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  • LONDRES : Visite des entreprises françaises de la French Tech

    Lancée officiellement par Emmanuel Macron, ministre de l'Economie et Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat au numérique le 14 avril, le French Tech Hub de Londres a pour but de fédérer et de coordonner l’écosystème numérique français.

    La French Tech de Londres est constituée d’une trentaine d'ambassadeurs qui ont monté leur start-up à Londres ou y travaillent chez des géants du numérique, et d'une dizaine d'investisseurs et VC.

    Premier objectif : cartographier la présence française à Londres pour mieux fédérer les (nombreuses) initiatives existantes.

    L'écosystème français à Londres est déjà très puissant, avec de nombreux clubs et réseaux d'expatriés, comme Frog Valley, French Digital et French Connect.

    Pour cimenter la communauté, un site internet des outils de communication en ligne sont mis en place, et des actions de networking et de mentoring seront proposées.

    Objectif : permettre aux Anglais de mieux identifier la French Tech, donner des outils aux start-up françaises installées à Londres pour accélérer et accompagner les porteurs de projets tricolores qui voudraient s'installer dans la capitale anglaise.

    109 start-up françaises ont déjà été identifiées, mais on estime qu'il en existe plus de 450, à des stades différents de maturité.

    Avec des pépites comme Made.com, vendeur de meubles en ligne ou Vestiaire Collective, marketplace de vêtements de luxe d'occasion, mais aussi dans la fintech, la spécialité londonienne.

    La ville de Londres compte environ 5 000 français dans la communauté tech, prêts pour certains à mettre leur enthousiasme et leur créativité au service de leurs compatriotes. L'engagement des entrepreneurs dans la dynamique French Tech est bénévole.

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  • LONDRES : Visite de start-ups françaises

    Attractivité des investissements start-up : les Anglais donnent une leçon à la France.

    Pour un paysage de l’entrepreneuriat en bonne santé, il faut une législation qui soit favorable aux investissements. Si la France n’est pas le pire pays où lever des fonds pour sa start-up, elle n’est clairement pas la destination rêvée non plus.

    Et alors que nos Mark Zuckerberg en herbe s’imaginent déjà partir pour la Silicon Valley, le Royaume-Uni espère s’installer durablement comme une terre d’attractivité pour les projets innovants de l’ensemble de l’Europe.

    Et pour cause, des 4 milliards de livres investis par les business angels européens, 1 milliard provient du Royaume-Uni. Mieux encore, 83% de ce milliard va directement aux investissements dits de « seed » (capital amorçage) ou de early stage. Précisément le type d’investissement qui est encore trop faible dans notre hexagone.

    Il faut dire que les investisseurs britanniques peuvent déduire de leurs impôts jusqu’à 50% de leurs investissements vers le seed, une nouvelle mesure qui aurait motivé plus de 58% des business angels à investir davantage dans ce secteur.

    ET dans le cas où la société rencontrerait l’échec durant ses débuts, l’investisseur pourra récupérer jusqu’à 40% de son investissement grâce à une autre mesure destinée à favoriser la prise de risque.

    Entre Paris et Londres, le combat est déséquilibré.

    La plupart des dirigeants start-ups françaises ont pris la décision de lancer leur business depuis Londres pour 3 raisons essentielles.

    • La simplicité de l’administratif : Une heure de temps, c’est ce qu’il a fallu à l’équipe de SunEos pour créer la société.
    • La disponibilité des capitaux : les différentes lois en vigueur rendent l’investissement beaucoup moins risqué pour le Business Angels.
    • Un pied à l’international : si de nombreuses start-ups souhaitent se lancer depuis la Silicon Valley, il sera plus simple et tout aussi efficace de commencer son internationalisation depuis l’Angleterre.

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