saint-eustache
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SAINT-EUSTACHE : Cérémonie des vœux
Dauphiné Libéré du 17 janvier :
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SAINT-EUSTACHE : Guy Pegatoquet devient maire honoraire
Dauphiné libéré du 7 mars :
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Cérémonies du 71ème anniversaire de la Déportation à SAINT-EUSTACHE
Beaucoup de monde ce matin à Saint-Eustache pour la 71ème cérémonie de la Déportation, en présence du Préfet, des sénateurs Carle et Pellevat, de la vice-présidente du conseil général Françoise Camusso, de Michèle Lutz, maire de Doussard et des maires de la communauté de communes de la Rive gauche du Lac et du Pays de Faverges.
Le village de Saint-Eustache est reconnu comme un « village martyr » de la seconde guerre mondiale.
Cette tragédie est décrite dans un opuscule intitulé « La Tragédie de Saint-Eustache, mémoire du dernier jour » par Guy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet , publié en 2003 :
"… Le mercredi 22 décembre 1943, trois soldats allemands, dont un officier, sont tués au Hameau de Lavray. Le moulin de Jean Armataffet, maire de Saint-Eustache, vient d'être le théâtre d'un sanglant affrontement entre le corps franc Simon et les soldats allemands en quête de victuailles.
La vengeance ne se fait pas attendre et le 31 décembre 1943, la Wehrmacht, les SS et la Gestapo encerclent à l'aube plusieurs hameaux de la commune, pillent les fermes et arrêtent 28 habitants (plus de 10% de la population) qui sont conduits à l'école "prison" Saint-François à Annecy.
Après interrogatoire, 4 seront relâchés, 24 vont connaître les camps de concentration et 4 seulement reviendront en 1945 à Saint-Eustache, où 9 veuves et 33 orphelins espèrent ..."
Dépôt de gerbe devant la stèle de la Croix Blanche :
Messe puis cérémonie sur la place du village :
Dauphiné Libéré du 3 janvier :
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70ème anniversaire de la Déportation à SAINT-EUSTACHE
Beaucoup de monde ce matin à Saint-Eustache pour la 70ème cérémonie de la Déportation, en présence du Préfet, des sénateurs Hérisson, Amoudry et Carle, de la vice-présidente du conseil général et conseillère générale du canton Françoise Camusso, des maires du canton.
Le village de Saint-Eustache est reconnu comme un « village martyr » de la seconde guerre mondiale.
Cette tragédie est décrite dans un opuscule intitulé « La Tragédie de Saint-Eustache, mémoire du dernier jour »par Guy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet , publié en 2003 :
"… Le mercredi 22 décembre 1943, trois soldats allemands, dont un officier, sont tués au Hameau de Lavray. Le moulin de Jean Armataffet, maire de Saint-Eustache, vient d'être le théâtre d'un sanglant affrontement entre le corps franc Simon et les soldats allemands en quête de victuailles.
La vengeance ne se fait pas attendre et le 31 décembre 1943, la Wehrmacht, les SS et la Gestapo encerclent à l'aube plusieurs hameaux de la commune, pillent les fermes et arrêtent 28 habitants (plus de 10% de la population) qui sont conduits à l'école "prison" Saint-François à Annecy.
Après interrogatoire, 4 seront relâchés, 24 vont connaître les camps de concentration et 4 seulement reviendront en 1945 à Saint-Eustache, où 9 veuves et 33 orphelins espèrent ..."
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Dépôt de gerbe devant la stèle de la Croix Blanche :
Messe à la mémoire des Déportés :
Remise de la croix du combattant à René Barithel, dépôt de gerbe et inauguration stèle commémorative :
Dauphiné Libéré du 2 janvier :
Essor du 9 janvier :
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Inauguration d'une nouvelle école à SAINT-EUSTACHE
Dauphiné Libéré du 15 avril
Essor du 18 avril
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69ème anniversaire de la déportation d'habitants de SAINT-EUSTACHE
Cérémonie émouvante ce matin à Saint-Eustache, en présence du Préfet et des sénateurs Herisson et Carle, avec dépôt de gerbe devant la stèle de la Croix Blanche, puis après la messe du Souvenir, dépôt de gerbe aux Monuments aux morts devant la mairie.
Le village de Saint-Eustache est reconnu comme un « village martyr » de la seconde guerre mondiale.
Cette tragédie est décrite dans un opuscule intitulé « La Tragédie de Saint-Eustache, mémoire du dernier jour »parGuy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet , publié en 2003 :
"… Le mercredi 22 décembre 1943, trois soldats allemands, dont un officier, sont tués au Hameau de Lavray. Le moulin de Jean Armataffet, maire de Saint-Eustache, vient d'être le théâtre d'un sanglant affrontement entre le corps franc Simon et les soldats allemands en quête de victuailles.
La vengeance ne se fait pas attendre et le 31 décembre 1943, la Wehrmacht, les SS et la Gestapo encerclent à l'aube plusieurs hameaux de la commune, pillent les fermes et arrêtent 28 habitants (plus de 10% de la population) qui sont conduits à l'école "prison" Saint-François à Annecy.
Après interrogatoire, 4 seront relâchés, 24 vont connaître les camps de concentration et 4 seulement reviendront en 1945 à Saint-Eustache, où 9 veuves et 33 orphelins espèrent ..."
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68ème anniversaire de la Déportation à SAINT-EUSTACHE
Cérémonie émouvante ce matin à Saint-Eustache, en présence du Président de l'Assemblée nationale, du Préfet et des 3 sénateurs de la Haute-Savoie, avec dépôt de gerbe devant la stèle de la Croix Blanche, puis après la messe du Souvenir, dépôt de gerbe aux Monuments aux morts devant la mairie.
Le village de Saint-Eustache est reconnu comme un « village martyr » de la seconde guerre mondiale.
Cette tragédie est décrite dans un opuscule intitulé « La Tragédie de Saint-Eustache, mémoire du dernier jour »parGuy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet , publié en 2003 :
"… Le mercredi 22 décembre 1943, trois soldats allemands, dont un officier, sont tués au Hameau de Lavray. Le moulin de Jean Armataffet, maire de Saint-Eustache, vient d'être le théâtre d'un sanglant affrontement entre le corps franc Simon et les soldats allemands en quête de victuailles.
La vengeance ne se fait pas attendre et le 31 décembre 1943, la Wehrmacht, les SS et la Gestapo encerclent à l'aube plusieurs hameaux de la commune, pillent les fermes et arrêtent 28 habitants (plus de 10% de la population) qui sont conduits à l'école "prison" Saint-François à Annecy.
Après interrogatoire, 4 seront relâchés, 24 vont connaître les camps de concentration et 4 seulement reviendront en 1945 à Saint-Eustache, où 9 veuves et 33 orphelins espèrent ..."
Dauphiné Libéré du 02 janvier
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Le Dauphiné Libéré du 2 janvier 2011
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67 ème anniversaire de la Déportation à SAINT-EUSTACHE
Cérémonie émouvante ce matin avec dépôt de gerbe devant la stèle de la Croix Blanche, puis après la messe du Souvenir, dépôt de gerbe aux Monuments aux morts devant la mairie.
Le village de Saint-Eustache est reconnu comme un « village martyr » de la seconde guerre mondiale.
Cette tragédie est décrite dans un opuscule intitulé « La Tragédie de Saint-Eustache, mémoire du dernier jour » par Guy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet , publié en 2003 :
"… Le mercredi 22 décembre 1943, trois soldats allemands, dont un officier, sont tués au Hameau de Lavray. Le moulin de Jean Armataffet, maire de Saint-Eustache, vient d'être le théâtre d'un sanglant affrontement entre le corps franc Simon et les soldats allemands en quête de victuailles.
La vengeance ne se fait pas attendre et le 31 décembre 1943, la Wehrmacht, les SS et la Gestapo encerclent à l'aube plusieurs hameaux de la commune, pillent les fermes et arrêtent 28 habitants (plus de 10% de la population) qui sont conduits à l'école "prison" Saint-François à Annecy.
Après interrogatoire, 4 seront relâchés, 24 vont connaître les camps de concentration et 4 seulement reviendront en 1945 à Saint-Eustache, où 9 veuves et 33 orphelins espèrent..."
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Dauphiné Libéré du 2 janvier 2010
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66 ème anniversaire de la Déportation à SAINT-EUSTACHE
Cérémonie émouvante avec dépôt de gerbe devant la stèle de la Croix Blanche, puis après la messe du Souvenir, dépôt de gerbe aux Monuments aux morts.
Le village de Saint-Eustache est reconnu comme un « village martyr » de la seconde guerre mondiale.
Cette tragédie est décrite dans un opuscule intitulé « La Tragédie de Saint-Eustache, mémoire du dernier jour » par Guy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet , publié en 2003 :
"… Le mercredi 22 décembre 1943, trois soldats allemands, dont un officier, sont tués au Hameau de Lavray. Le moulin de Jean Armataffet, maire de Saint-Eustache, vient d'être le théâtre d'un sanglant affrontement entre le corps franc Simon et les soldats allemands en quête de victuailles.
La vengeance ne se fait pas attendre et le 31 décembre 1943, la Wehrmacht, les SS et la Gestapo encerclent à l'aube plusieurs hameaux de la commune, pillent les fermes et arrêtent 28 habitants (plus de 10% de la population) qui sont conduits à l'école "prison" Saint-François à Annecy.
Après interrogatoire, 4 seront relâchés, 24 vont connaître les camps de concentration et 4 seulement reviendront en 1945 à Saint-Eustache, où 9 veuves et 33 orphelins espèrent..."
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Essor du 8 janvier 2009
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Dauphiné Libéré du 3 janvier 2009
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65ème anniversaire de la Déportation à SAINT-EUSTACHE
Cérémonie émouvante avec dépôt de gerbe devant la stèle de la Croix Blanche, puis après la messe célébrée par l’Evêque d’Annecy, dépôt de gerbe aux Monuments aux morts.
Le village de Saint-Eustache est reconnu comme un « village martyr » de la seconde guerre mondiale.
Cette tragédie est décrite dans un opuscule intitulé La Tragédie de Saint-Eustache (Mairie de Saint-Eustache :
"Le mercredi 22 décembre 1943, trois soldats allemands, dont un officier, sont tués au Hameau de Lavray. Le moulin de Jean Armataffet, maire de Saint-Eustache, vient d'être le théâtre d'un sanglant affrontement entre le corps franc Simon et les soldats allemands en quête de victuailles. La vengeance ne se fait pas attendre et le 31 décembre 1943, la Wehrmacht, les SS et la Gestapo encerclent à l'aube plusieurs hameaux de la commune, pillent les fermes et arrêtent 28 habitants (plus de 10% de la population) qui sont conduits à l'école "prison" Saint-François à Annecy. Après interrogatoire, 4 seront relâchés, 24 vont connaître les camps de concentration et 4 seulement reviendront en 1945 à Saint-Eustache, où 9 veuves et 33 orphelins espèrent..." Guy Pégatoquet, Michel Folliet et Joseph Tilliet, La tragédie de Saint-Eustache, Mémoire du dernier jour, publié en 2003.
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Dauphiné Libéré du 3 janvier 2008