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Réunion/débat avec Contribuables Associés à PARIS

Thème du débat de ce jour : "Croissance : le rapport Attali, et après ?".

Jacques Garello, économiste, a souligné que les solutions du rapport étaient empruntes d'un étatisme de bon aloi.

Attali souligne que l'Etat est le problème, que la croissance se génère par des mesures structurelles et non conjoncturelles.

Mais pour Attali, le remède, c'est également l'Etat ...

Mr Garello a souligné le trop grand nombre de mesures : 316. Il aurait mieux valu mettre en place les principes directeurs au lieu de tout détailler.

Il souligne également l'obsession de la redistribution.

Pour lui, plus il y a de complexité, plus il faut décentraliser.

Le rapport ne dit rien sur :

  • la dette publique
  • la dette sociale

Pour Mr Garello, le système de retraite par répartition est condamné. 

Sir Roger Douglas, ancien ministre des Finances néo-zélandais, a indiqué qu'une politique de compromis ne fonctionne pas.

Il a énoncé quelques principes pour mettre en place une réforme structurelle :

  • classe politique de qualité et compétente
  • mettre en oeuvre des réformes avec des grandes mesures
  • agir vite (sinon le consensus de réforme s'effondre)
  • maintenir le rythme des réformes
  • montrer l'objectif (le chien doit voir le lapin) 
  • minimiser les coûts globaux 
  • ne pas douter (décisions justes)
  • enlever les privilèges (monopoles)
  • si on a des doutes : ne pas faire de politique 
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