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1. Erreur dans le titre ? Ne serait ce pas plutôt "radars : le grand mensonge" ?
2. La dette de notre belle France est effectivement un gros problème. Que le Législateur ne prend pas au sérieux, en dépit de l'inquiétude exprimée – à vous entendre – par les parlementaires. Comment expliquer, sinon, le silence du Législateur sur le train de vie des Ministres, du Président, Premier Ministre, sans parler des Commissaires Européens, le Président du CONSEIL Européen (et non de l'Europe : je doute que M. POUTINE reconnaisse en un Belge – fut il adoubé par les 27 – la moindre autorité. La Russie est en Europe !) sans parler des rémunérations scandaleuses des HAUTS fonctionnaires (qui sont bien moins utiles, et bien plus chers, que les fonctionnaires "de base")
Je crains que, malheureusement, le Législateur et l'Exécutif aient une confiance aveugle dans une hypothétique croissance, qui viendrait nous sauver. A moins qu'au Parlement on n'attende l'arrivée d'un homme ou d'une femme providentiel(le) (après tout, notre pays a eu les deux !) qui d'un coup de baguette magique (abracadabra) viendrait nous tirer des mauvais pas dans laquelle notre si belle France sombre. Il suffit d'écouter M. SARKOZY pour s'en convaincre : "la croissance va évacuer nos dettes". Certes...Sauf que désormais le Président ne déclare plus naivement qu'il va aller la "chercher avec les dents" (les vraies ou les fausses ?)...Il inviterait presque à prier, s'il n'était pas le Chef d'Etat d'un pays laic. (Même s'il a très souvent tendance à l'oublier.)
3. Il y aurait pourtant moyen d'aider notre pays. En ayant une STRATEGIE pour sortir notre belle France de ses difficultés, sans s'en remettre systématiquement à la providence divine ou à celle plus matérialiste (le nouveau veau d'or : la croissance).
a) Pourquoi, pour commencer, le Législateur ne fait il pas ce qu'il aurait dû faire depuis belle lurette ? Demander la suppression de l'article 123 du traité de Lisbonne, article 104 du traité de Maastricht ?
Cet article nous fait payer, chaque année, des intérêts de la dette, colossaux ! A qui ? Aux banques privées ! Vu le montant desdits intérêts, le Législateur ne peut qu'aisément comprendre le profit qu'il y aurait à supprimer cet article, qui a été introduit sous l'influence du groupe Rostchild, des grands financiers en général.
-indépendance pour la France : si l'on se fait prêter de l'argent par la Banque de France ou par la BCE, notre voix pourra plus facilement être portée. Il est évident que si nous sommes débiteurs, nous devons surveiller nos actions, sous peine de perdre des épargnants. Alors que là...Ni la BdF ni la BCE n'ont intérêt à remettre en cause l'indépendance de notre France. Sur le plan "affaires étrangères" nous pourrons donc nous présenter devant tous, sans avoir à quémander.
-intérêts de la dette réintroduits dans le circuit économique français (BdF), voire européen (et quand l'UE va bien, la France en profite) : ces intérêts ne seront pas posés sur des comptes, mais utilisés par la BdF et/ou la BCE pour les prêts aux entreprises, aux particuliers, et le financement de grands projets français ou européens. Dans tous les cas, la France est gagnante. L'UE aussi.
-plus de marges pour investir : imagine t on un instant ce qu'on pourrait faire avec ces intérêts de la dette ? Surtout si ce sont des intérêts de la dette européen ? Ils pourraient être distribués, pour moitié, au budget de l'UE, qui ainsi pourrait nous faire une (vraie) stratégie de Lisbonne...Financée ! Et l'autre moitié servirait à investir pour financer des grands projets français : restauration de notre patrimoine, investissements pour nos universités, etc. Les banques privées font dormir l'argent sur les comptes...Pourquoi ne pas utiliser cette manne financière, puisque les banques privées ont prouvé leur incapacité à gérer en "bon père de famille" l'argent ?
Je suis absolument certain que si l'on fait valoir l'intérêt pour l'Union Européenne – enfin un budget européen conséquent...Et sans aller jusqu'à créer un impôt européen, comme le souhaite M. BARROSO (qui oublie qu'il n'est pas élu) – de mettre fin à un article, qui l'empêche de mettre la main sur une fabuleuse cassette nommée "intérêts de la dette" (pour moitié), et celui des Etats membres – qui à l'heure actuelle traversent tous des difficultés en matière de dette – à "empocher" (via la BCE ou leur banque nationale) la moitié restante...Cet article pourra facilement sauter. Encore faut il que "quelqu'un" fasse le premier pas. Pourquoi pas le Législateur Français ?
Pourquoi le Législateur accepte t il une telle arnaque ? "Battre monnaie" est un pouvoir SOUVERAIN. Il faut être vraiment stupide – et oui, je l'ai dit – pour ne pas l'utiliser. Car c'est le premier levier de notre indépendance. A défaut de vouloir voir la France souveraine...Au moins le Législateur pourrait il faire en sorte qu'elle ne soit pas dans la main des Rotschild and co.
b) Faire des économies
Vous parlez dans l'article de faire "des réformes". Soyez franc M. TARDY, et utilisez le bon mot : SACRIFICE. La réforme, jadis, cela voulait dire "améliorer les choses". Aujourd'hui c'est "paye plus, tais toi, paye encore, et pour moins bien qu'avant". Pas étonnant qu'ils descendent dans la rue ! Quand on est victime d'une politique néfaste, il est normal qu'on se révolte, surtout si elle est injuste et inefficace.
Depuis 2007, la RGPP est mise en place. Elle s'est traduite, à travers plus de 370 mesures, par la suppression d'administrations d'Etat et de services publics dans tous les domaines de la vie publique
: restriction de la carte judiciaire au forceps et fermeture de tribunaux dans tout le pays, fermeture de petits collèges (ceux qui comptent moins de 200 élèves), fermeture de maternités, de centres hospitaliers jugés non rentables, fermeture de casernes et suppression entamée de 45 000 postes dans l'armée d'ici 2014, suppression chaque année de 15 000 à 20 000 postes d'enseignants (avec en parallèle l'allègement du nombre d'heures de cours dispensés aux élèves, l'accroissement de la taille des classes, le non-remplacement des professeurs absents et la désincitation à inscrire les enfants en maternelle avant l'âge de trois ans), la fermeture de dizaines de consulats à l'étranger, la suppression de la quasi-totalité des directions départementales de l'Etat, l'amaigrissement des préfectures et sous-préfectures, la suppression de commissariats, de gendarmeries pour accompagner la réduction d'effectifs (-6500 policiers et -3000 gendarmes d'ici 2011), en n'oubliant pas de mentionner le recul des services publics à l'instar de la Poste, qui ferme chaque jour depuis le 1er janvier 2009 ferme 3 bureaux de poste et supprime 42 emplois.
Qui pâtit de ces mesures ? les Français les plus démunis, mais également les habitants des lointaines banlieues et des campagnes. Sans gendarmerie, sans bureau de poste, sans collège, sans caserne, un village meurt. Une petite ville n'y résiste pas beaucoup mieux. L'égalité entre les citoyens et la probité sont les autres grandes victimes de cette RGPP. Il est évident en effet que seul l'Etat est en mesure de jouer le rôle de redistributeur efficace entre les territoires pauvres et les territoires riches. Quand il s'efface, les inégalités progressent. Quand il s'efface, il est par ailleurs souvent remplacé par les intérêts privés, d'abord soucieux de maximiser les profits.
Savez vous le "bénéfice" qu'on espère tirer de désengagement de l'Etat ? 2,3 milliards d'euros par an, de l'aveu même du gouvernement, quand les vraies sources de dépenses inutiles ne sont pas remises en cause.
En revanche, ni le Gouvernement, ni le Législateur, ne pose leur regard sur :
--les 55 milliards distribués chaque année aux collectivités territoriales. Je suis tout a fait favorable à ce que celles ci aient un budget conséquent, leur permettant de fonctionner...Mais de grâce ! Que le Parlement CONTROLE L'UTILISATION DES DENIERS PUBLICS ou qu'à défaut il donne la possibilité aux citoyens de s'opposer à tel ou tel impôt, s'il vise à financer le yacht du Président de région, la comm du département (électoraliste), ou des dépenses futiles (du style des pilules pour favoriser le vice)
--les 17 milliards accordés à l'Union Européenne que là encore le Législateur contrôle de très, très loin.
De même, il y a des quantités de "petites économies" que l'on peut faire et qui, réunies font de rivières une mer méditerrannée voire même un océan.
--les "machins" : observatoires, hauts comités, etc.
--le "jaune" : associations notamment
--un vrai engagement pour les services publics au lieu de faire du replâtrage qui in fine nous coûte cher (cf audit sur la SNCF réalisé par des Suisses, cf audit sur la R ATP réalisé par Cour des Comptes)
Autres économies faciles :
--Rendre impossible qu'un projet de loi ou une proposition de loi soit présentée au Parlement si :
*la loi actuelle n'a pas été évaluée (ainsi, on évitera les "lois d'émotion" souvent bâclées).
*la loi respecte la DDHC notamment le fait que "la loi ne doit défendre que (contre) ce qui est nuisible à la Société".
*les mesures prévues par loi sont...Applicables (budget prévu, et disponible au moment de l'examen du projet de loi ; personnel opérationnel (formé, suffisant, qui sait ce qu'il doit faire) ; coordonnées (si cela fait appel, comme souvent, à plusieurs Ministères))
Chaque année, la France dilapide son argent, et le temps des élus, avec des lois qui fragilisent notre pays, bien plus sûrement que sa fiscalité. Le premier problème du pays, c'est l'obésité législative. Avec la CCDH comme limite, il est certain qu'on fera de conséquentes économies. Le livre "La France peut s'en sortir" chiffre à 57 milliards l'économie qui en résulterait ! Surtout si le Législateur reste cohérent...Et fait passer par ce filtre, et la "législation" européenne, et les traités. Là, les auteurs chiffrent l'économie pour la France à 94 milliards d'euros !
Cela vaut peut être la peine d'essayer, non ?
--Déménager l'Assemblée Nationale, le Sénat, l'Elysée, et Matignon : le coût pour notre pays est abyssal ! Alors que les Allemands ont un Parlement ouvert – cf M. WAUQUIEZ "un huron à l'Assemblée" – l'Assemblée Nationale est comparée (par le même WAUQUIEZ) à la Cité Interdite ! Et c'est la même chose pour l'Elysée, Matignon, et le Sénat.
En 2007, M. SARKOZY plaidait pour la rupture ? Et bien qu'on fasse une vraie rupture, qui donnerait un élan décisif à la volonté du Gouvernement et du Parlement, sans parler du Président, de donner des "signes" de vraies réformes, au sens noble du terme.
Ce serait un grand déménagement qui serait financé par les entrées de ce qui deviendraient des musées – Elysée, Matignon, Palais Bourbon, Palais du Luxembourg – pour les élus et Ministres. Certaines salles pourront être mises à disposition de qui de droit, en cas de réception d'un invité prestigieux.
L'Assemblée Nationale pourrait faire reconstruire la "Salle du Manège". Peut être, ainsi, les parlementaires se sentiraient ils l'âme plus révolutionnaire et républicaine, que dans le Palais de la dernière famille royale ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Salle_du_Man%C3%A8ge
Au lieu d'être logé à l'Elysée, M. SARKOZY pourrait prendre ses quartiers à...Orléans. (Après tout, ne sommes nous pas à l'heure de la vidéoconférence ?) Pourquoi pas à proximité de la maison où logea Jeanne ?
Et le Sénat...Irait de son coté s'installer place des Vosges.
Quant au Premier Ministre, si sa présence est requise à proximité de la Capitale, il me semble qu'il devrait, en principe, vivre en Seine Saint Denis. Pourquoi pas à Clichy sous Bois ? Drancy ? Ou bien encore Bondy ?
Sa seule présence en ces lieux enverrait un message absolument phénoménal au pays ! Et en répartissant ainsi les "lieux de pouvoir" – au lieu de les concentrer sur Paris – on rassurerait à la fois les élus locaux sur les intentions bienveillantes du Président à l'égard de la décentralisation, on passerait vraiment à une République du 21ème siècle, et on répartirait mieux aussi les sources de richesses du pays. (Il est évident que la seule présence de M. SARKOZY à Orléans ou de celle de M. FILLON en banlieue parisienne, permettra d'attirer les entreprises, en les "déconcentrant" de Paris)
Autre source d'économies (faciles) :
1. Ne pas attendre qu'un nouvel effondrement des marchés arrive
Le 20 novembre 2009, le Figaro a publié un article titré "la société générale se prépare à un effondrement économique mondial". Dans cet article, le Figaro relate les divers scénarii envisagés par la Societé Générale, pour les mois à venir.
Peut être serait il bon que le Parlement - au lieu de jouer la musique de la "reprise" comme le Gouvernement - auditionne les auteurs du rapport de 68 pages, sur le sujet ! Histoire qu'on ne soit pas pris au dépouvu, quand les imbéciles de banques vont nous replonger dans le gouffre !
2. Modifier le protocole d'injection du vaccin pour éviter une catastrophe sanitaire aux répercussions lourdes (dans tous les domaines)
Protocole actuel : il ne faut pas utiliser d'autres aiguillles que celles que les préfectures font passer aux centres de vaccination ; la piqure se fait à angle droit ; il faut retirer l'aiguille sans hésitation après l'injection. Utilisation de deux aiguilles : une pour aspirer le vaccin dans la seringue (elle sert à percer l'opercule du flacon, lequel est susceptible de porter des microbes) une pour faire l'injection. (Motif invoqué pour l'usage de deux seringues : des soucis d'hygiène)
Problème : ce protocole n'a pas de sens ! En effet, si la capsule du flacon multi dose (dix doses pour chaque flacon dans les centres) est souillée, il faut la désynfecter, car le fait que l'aiguille prélève la dose de vaccin va sans cela souiller la préparation...Et ce n'est pas le fait de changer l'aiguille qui va enlever l'éventuelle présence de microbes dans la dose de vaccin !
En d'autre terme : le protocole actuel ne garantie aucunement l'hygiène vantée...Puisque les microbes ne disparaissent que si l'on désynfecte la capsule multi dose ! Merci de rappeler cette "base" à Mme BACHELOT !
On vaccine donc, à l'heure actuelle, des tas de Français, sans souci de leur santé ! Or, mettre en relation un microbe "bénin" avec un virus "bénin" peut faire des étincelles dans le corps...Puisque ce dernier est censé lutter contre des tas d'ennemis à la fois ! Sans parler des complications pour les personnes déjà fragiles !
Par ailleurs, le fait de piquer à angle droit est aussi une méthode peu recommandée par les médecins, dans le cadre d'une vaccination. (Cf les études (en anglais) de l'institut COCHRANE !)
3. Mettre fin (pour le moment) à la campagne de vaccination tant que le vaccin ne sera pas réalisé dans le respect de la loi
A. Violation de la loi
Selon l’art. L. 5323-4 du Code de la Santé publique, applicable aux membres des instances consultatives de l’AFSSAPS et à ses collaborateurs extérieurs, il est interdit à ses membres de traiter une question dans laquelle ils auraient un intérêt direct ou indirect. Or...On a appris, que nombre "d'experts", appelés à conseiller le cabinet de la Ministre de la Santé, sont très impliqués dans les questions qu'ils traitent, du fait de leur lien avec l'industrie pharmaceutique.
Selon l’article 13 du décret n°2006-672 du 8 juin 2008, il est par ailleurs – théoriquement – interdit aux membres d’un organisme consultatif placé auprès des autorités de l'État et des établissements publics administratifs de l'État de prendre part aux délibérations lorsqu’ils ont un intérêt personnel à l’affaire qui en est l’objet. Là encore...On a pu constater une violation de cet article, rapportée par les médias.
Je note qu'à ce jour, le Législateur – qui est apparemment agacé par la rébellion de certains médecins – semble trouver très normal :
--qu'il n'existe aucun inventaire précis – et récent – des liens d’intérêts des médecins et "experts" autoproclamés, rapidement identifiable par les citoyens. Comment se fait il que le Législateur tolère que les membres du CNOM – à commencer par ceux travaillant pour l'AFSSAPS et ses instances de tutelle – omettent de faire parvenir leur déclaration ? A temps ? Et régulièrement ?
--de ne pas sévir contre la flopée de médecins qui ont discouru avant le lancement de la campagne de vaccination, et même encore maintenant pour certains, sans avoir fait mention de leurs liens d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique ? Médecins, qui de ce fait, ce sont rendus coupables du discrédit de la profession et ont donc porté atteinte à l'une des missions du Législateur : faire la loi ? Est il bien normal qu'une profession, même en situation "d'épidémie" viole la loi ?
--que les exposés des "experts" forts dépendants des labos pharmaceutiques, tiennent plus du discours marketing que de l’analyse pharmaco-épidémiologique. Ce qui rend difficile le maintien du principe de la "compétence" surpassé par l'appât du gain !
Pourriez vous m'indiquer quand le Législateur sévira contre ces médecins qui ont violé copieusement la loi ? Et quand on pourra, également, consulter les déclarations d'intérêt de l'ensemble des membres du CNOM, afin de se faire une idée sur les réelles convictions des médecins, quant au vaccin miraculeux ? Peut on appeler les médecins au "devoir" de vacciner et de se faire vacciner...Et dans le même temps, rester silencieux sur des actes d'une gravité bien plus grande : la violation des règles éthiques que le Législateur se doit – c'est un devoir juridique – pourtant, normalement, de "maintenir"?
B. Vaccin : une "procédure d’autorisation de mise sur le marché rigoureuse" ? (Mme BACHELOT)
Pouvez vous me prouver que cette procédure a été rigoureuse ? La lecture des médias me fait penser le contraire.
--Le Parisien : 09.07.2009
"Les vaccins issus des différents laboratoires sont très ressemblants et ont tous reçu l’autorisation de mise sur le marché délivrée par l’Agence française des produits de santé. "Il n’y a pas de différence majeure dans l’efficacité de ces différents vaccins (…)" précise le professeur Bruno Lina. (…) Les livraisons [devaccins] devront avoir lieu entre le 15/09/09 et le 31/01/10. Ces clauses sont incluses de façon explicite dans les contrats qui seront signés avec les laboratoires"
Résumons : dès le 09. 07. 09 on apprend donc – rappelons qu'à cette date, aucun essai clinique n’avait encore été même entrepris avec les vaccins contre la grippe ! Les premières unités de vaccins n’étant pas disponibles, encore moins testées chez les animaux ou les gens ! – que les autorités sanitaires françaises considéraient bel et bien l’AMM comme acquise d’avance, jugeant qu’il ne restait plus qu’à fixer les modalités de livraison !
Je ne suis pas médecin...Mais selon mon médecin de famille c'est du jamais vu dans l’histoire de la pharmacie moderne ! Quant au professeur Lina, il s'est épargné de mentionner ses liens d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique...Une fois cette information en main, on comprend mieux pourquoi il ne trouve absolument pas choquant qu'on achète des vaccins non fabriqués, dont on a aucune connaissance des effets, à des prix exhorbitant ! Et l'on comprend également pourquoi il ne semble pas le moins du monde troublé, qu'on puisse faire en six mois, ce que l'on fait généralement en deux, cinq, dix ans...Et tout cela sans pouvoir affirmer, néanmoins, à l'efficacité à 100% du médicament, vaccin, pilule !
--06.08.09 LCI
"Plus de 3.500 personnes ont déjà reçu le vaccin dans le cadre d'une étude de phase III, la dernière avant la demande d'autorisation de mise sur le marché (…) "On devrait pouvoir déterminer si une ou deux doses sont nécessaires pour être vaccinés", a déclaré Marie-Paule Kieny, experte auprès de l'OMS"
Comme me l'a expliqué mon médecin de famille, les études de recherche de posologie (dites de doseranging) relèvent de la phase II des essais cliniques. Laquelle, logiquement, se doit de précéder, et même de conditionner les études de phase III. Le fait que cette "experte" à l'OMS – qui là encore ne mentionne pas ses possibles liens d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique, alors que c'est un "devoir" de le faire ! Mais que faisait donc le Législateur ? – déclare ne pouvoir déterminer le nombre de doses nécessaires, pour la vaccination, montre donc bien, selon mon médecin, que le développement des vaccins contre la grippe porcine a bien été saboté. Que le Législateur soit resté silencieux sur le sujet est très grave selon mon médecin. Car il aurait, justement, fallu rappeler à l'OMS, et consorts...Que faire un vaccin bâclé faute de mieux, n'est en rien rendre service, ni à la profession – dès lors discrédité – ni aux patients, qui s'apparentent dès lors à des cobayes pour l'industrie pharmaceutique !
--27.08.09 le Figaro
"Il n'est pas question de les administrer avant d'obtenir courant octobre les autorisations de mise sur le marché" (Mme BACHELOT)
Mon médecin relève que Mme BACHELOT semble ne pas maîtriser son sujet. Une semaine plus tôt, les préféts recevaient une circulaire datée du 21/08/09 où celle ci annonçait que la campagne de vaccination débuterait "à compter du 28 septembre". Preuve, à ses yeux, que Mme BACHELOT ne sait pas ce qu'on appelle une AMM. Sinon, elle n'aurait pas avancé de date pourl'obtention de celle ci !
--04.09.09 le Parisien
"Si on met en place une vaccination de masse, c’est qu’on pense que le bénéfice (…) est supérieur aux risques éventuels. (…) Quelle que soit la politique vaccinale décidée en France, il sera très important de suivre les effets potentiellement indésirables de ces vaccins". (Carmen Kreft-Jaïs (chef du département de pharmacovigilance de l’AFSSAPS)
Comment le Législateur peut il parler de procédé rigoureux, après la lecture de tels propos ? On apprend ici qu'une mesure de santé publique – la vaccination de masse – a été arrêtée, en se fondant non sur la preuve –l’évaluation des effets indésirables d'un médicament/vaccin devrait relever, théoriquement, d’un processus technico-réglementaire lourd et précis d’évaluation (l’autorisation de mise sur le marché) normalement ! – mais sur du...Ressenti ! Le soit disant "expert" de l'AFSSAPS n'a, au moment de l'article, aucun élément scientifique, qui lui permet d'affirmer que les bénéfices du (des) vaccin(s) sont supérieurs aux risques encourus. Ce qui ne l'empêche, cependant pas, de préconiser qu'on vaccine massivement ! Pardon de m'interroger mais...Le principe de précaution ne devrait il pas être, normalement, à double sens, et non à sens unique ? Un scientifique faisant appel à la foi, on aura tout vu !
--04.09.09 Le Parisien
"Chez les enfants (…), il existe un risque de déclencher des maladies auto-immunes [avec les adjuvants]" (Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations)
Comment peut on appeler à la vaccination des enfants dès lors ? Trouvez rigoureux, et surtout normal, qu'en dépit de cette déclaration, ce risque auto-immun lié aux adjuvants n'aient pas été pris en compte par le Comité technique des vaccinations dans les obligations vaccinales qu’il établit ou les recommandations qu’il concocte via son calendrier des vaccinations ? N'est ce donc pas le devoir du Législateur que de s'opposer à la vaccination des enfants...Tant qu'on aura pas le fameux vaccin sans adjuvant...Puisque cet "expert" nous affirme qu'on accentue les risques en donnant à nos enfants des vaccins avec adjuvant ?
--14.09.09 Le Parisien
"Je ne crois pas aux effets secondaires graves neurologiques de ce vaccin" (Claude Hannoun, virulogue)
C'est fou le nombre de médecins, qui depuis quelques temps font appel à la foi, pour cautionner la vaccination ! Comme le rappelle mon médecin, les effets neurologiques d’un médicament sont évalués (normalement) avant l'autorisation de mise sur le marché (AMM). Là encore où est la "rigueur" ? Est ce rigoureux de faire accroître aux citoyens des faits non avérés ? Depuis quand les médecins se prononcent ils sur un médicament, un vaccin, avant même l'AMM ? Le Législateur n'aurait il pas dû rappeler à l'ordre ces drôles de praticiens, qui font valoir leur foi avant la preuve scientifique ?
--16.09.09 Le Parisien
"Pour moi, en période de pandémie et d’un point de vue collectif, il n’y a pas de doute à avoir : le bénéfice de la vaccination est considérable. Rendez-vous compte que si l’on vaccinait la moitié des Français, cela stopperait l’épidémie en France". (LINA)
Je ne reviens pas sur les intérêts qui lient ce brave médecin à l'industrie pharmaceutique. Force est pour moi de constater, en revanche, que le Législateur trouve normal que les membres du CNOM s'affranchissent de tout devoir de médecins ! A commencer par dire la vérité sur les vaccins ou en l'absence de preuves scientifiques, se taire. Car qu'est ce là ? Sinon de la désinformation ? M. LINA affirme – sans se référer à une quelconque étude scientifique – qu'en vaccinant la moitié des Français, l'épidémie serait stoppée dans notre beau pays. De la part d'un lobbyiste de l'industrie pharmaceutique, rien d'étonnant à ce qu'il fasse la promotion de la vaccination. En revanche, on ne peut, là encore, que s'étonner qu'aucun "expert" indépendant, ou que le Législateur, n'ait trouvé à redire sur ces affirmations complaisamment relayées dans les médias ! (Il me semblait pourtant que les médecins ne manquaient pas à l'Assemblée...)
Pourtant, le Législateur est bien placé pour savoir qu'il y a un précédent où l'on a vacciné la moitié de la population : lors de l'épidémie d'hépatite B...Avec les succès qu'on sait ! Dans le même temps, via d'autres journaux, on apprenait qu'il faudrait vacciner le tiers, l'ensemble, seulement 10% de la population française ! N'aurait il pas été bon, que le Législateur intervienne ? Et rappelle qu'en science, seule la preuve est considérée ? Et que la foi, même venue d'imminents spécialistes en tout genre, ne saurait la remplacer ou la supplanter ? Que dès lors, prévoir de vacciner la moitié, le tiers, ou 10% de la population n'avait aucun sens...Tant qu'on avait pas trouvé, scientifiquement, à quel stade de vaccination, on serait en droit d'affirmer l'éradiquation de la maladie ?
--21.09.09 Le Monde
"L'évaluation des bénéfices/risques plaide en faveur de la vaccination (…) D'ailleurs, le nombre de syndromes de Guillain-Barré n'est pas plus élevé que pour le vaccin contre la grippe saisonnière." (Vincent Enouf (responsable du Centre national de référence pour la grippe de l'Institut Pasteur))
Comme dit plus haut...Seule l'AMM permet de dire si les bénéfices/risques sont en faveur de la vaccination. Comme à l'époque, l'AMM n'était donné à personne – puisqu'on était en phase III – c'est donc là encore une affirmation gratuite. Qui a parlé d'un procédé rigoureux ? Le Législateur c'est çà ?
Rajoutons à cela que pour affirmer de telles choses, le brave "responsable" doit nécessairement avoir travailler avec l'industrie pharmaceutique, puisqu'à preuve du contraire, les essais cliniques sont censés être la propriété des fabricants ! Et les seuls à y avoir accès sont les membres de l'AFSSAPS dont ne fait pas partie ce "responsable" qui viole pas moins de trois lois françaises...Sans que cela ne semble choquer le Législateur !
La démonstration est aussi scandaleuse : le nombre de sujets exposés ne devaient, en effet, pas dépasser quelques centaines, puisqu'on était au début de la "pandémie". Autant dire que les observations de ce "responsable" sont aussi crédibles et dignes d'intérêt, que des sondages "objectifs" financés par les services de l'Elysée, les faisant passer pour des enquêtes journalistiques indépendantes !
Autant dire que même si la probabilité des Guillain-Barré liés aux nouveaux vaccins était multipliée par dix ou cent, la probabilité de s’en apercevoir sur quelques centaines de patients serait minime ! Là encore, difficile de comprendre le silence du Législateur sur ces prétendues "réassurances" qui n'ont aucune base scientifique correcte et objective ! Pourquoi ne pas avoir fait un communiqué pour rappeler que même si le risque d’effets indésirables était multiplié par 10 ou 100 par rapport aux fréquences données pour la grippe saisonnière, la probabilité de le détecter au cours des essais cliniques serait proche de zéro (cela s’appelle, en termes techniques, le « manque de puissance statistique ») ? Le principe de précaution ne vaut que si cela va dans le sens des carnets de commandes de l'industrie pharmaceutique ?
Ainsi affirmer, comme le fait l'OMS, dans le nouvel obs du 24.09.09, que "les résultats des essais réalisés à cette date suggèrent que le vaccin pandémique est aussi sûr que les vaccins contre la grippe saisonnière [avec des effets secondaires] similaires" est extrêmement inquiétant ! Car cela démontre que, pas plus que les instances nationales, l'OMS ne semble préoccuper par les règles en vigueur, en matière de médecine ! Serait ce que les "experts" autoproclamés n'y connaissent rien en statistiques élémentaires ? Et dès lors, n'aurait il pas été bien utile que le Législateur montre que les membres de l'Assemblée, sont bien concernés ? Et qu'ils savent de quoi on parle ?
--24.09.09 20Minutes
"La France disposera à cette date [15/10/09 : début de la campagne de vaccination] de 1 à 1,2 millions de doses, soit "un peu moins que prévu"." (Mme BACHELOT)
Là encore, pardon d'être sceptique sur les considérants du Législateur...Mais comment peut on prétendre qu'il y a eu la moindre rigueur, depuis que l'on a commencé à parler de vaccin ? C'est la Ministre elle même qui l'avoue ! Les achats et l'utilisation de ces derniers ont été prévus avant toute AMM ! Et...La campagne vaccinale a commencé AVANT l'AMM ! Trouvez vous vraiment cela sérieux ? Comment ne pas comprendre les réticences des médecins, devant un tel bâclage ? Et est il responsable de promouvoir la vaccination, quand on apprend que achats, utilisation, se sont faits AVANT l'AMM, et que les "risques" du vaccin...Eux seront faits APRES l'AMM, ce qui prouve assurément à quel point la procédure a été respectée !
--25.09.09 : Nouv Obs
"La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a insisté sur le fait que ce vaccin-là n'avait rien à voir avec celui contre la nouvelle grippe H1N1. La vaccination contre la grippe saisonnière "n'apportera pas de protection" contre le nouveau virus, et inversement."
Comment le Législateur peut il cautionner un tel vaccin ? Mme BACHELOT affirme qu'il n'a rien à voir avec les autres vaccins. Pardon, mais...Lorsqu’on prétend introduire sur le marché un médicament qui n’a "rien à voir" avec ceux qui l’ont précédé, comment peut on justifier d'une fabrication de six mois ? Le Législateur est bien placé pour savoir que toute nouvelle maladie, qui diffère des autres – et Mme BACHELOT affirme qu'il y a bien une grande différence entre le virus H1N1 et tous ceux qui l'ont précédé – exige que l'on parte sur un développement très lourd et réglementairement, avec une quantité incompressible d’études pharmaceutiques, toxicologiques et cliniques. C'est pour cette raison, pour ex, que chaque année, on fait le téléthon, pour lutter contre le virus du SIDA, qui malheureusement pour l'Humanité, n'a pas la chance, lui, de trouver un vaccin en six mois top chrono !
En tant que citoyen lambda, habitué à entendre les médecins du monde entier expliquer qu'il faudra énormément de temps pour fabriquer, tester, des possibles vaccins, sans être d'ailleurs sûr du résultat à l'arrivée, et les labos expliquer que si leurs médicaments/vaccins coûtent si chers, c'est justement parce qu'il faut bien rentabiliser le coût de cette recherche laborieuse, longue, et comple, vous comprendrez mon étonnement à voir cet enthousiasme unanime chez les autorités publiques de santé, y compris le Législateur ! Comment peut on être si prudent sur des possibles vaccins contre le SIDA...Et déborder d'enthousiasme – au point d'affirmer, avant tout test, à l'efficacité des vaccins ! – à l'idée de vacciner des milliers d'individus, avec un vaccin qui a été miraculeusement trouvé, en moins de six mois, dans des conditions qui ne plaident pas pour la rigueur scientifique !?
Commentaires
Remarques :
1. Erreur dans le titre ? Ne serait ce pas plutôt "radars : le grand mensonge" ?
2. La dette de notre belle France est effectivement un gros problème. Que le Législateur ne prend pas au sérieux, en dépit de l'inquiétude exprimée – à vous entendre – par les parlementaires. Comment expliquer, sinon, le silence du Législateur sur le train de vie des Ministres, du Président, Premier Ministre, sans parler des Commissaires Européens, le Président du CONSEIL Européen (et non de l'Europe : je doute que M. POUTINE reconnaisse en un Belge – fut il adoubé par les 27 – la moindre autorité. La Russie est en Europe !) sans parler des rémunérations scandaleuses des HAUTS fonctionnaires (qui sont bien moins utiles, et bien plus chers, que les fonctionnaires "de base")
Je crains que, malheureusement, le Législateur et l'Exécutif aient une confiance aveugle dans une hypothétique croissance, qui viendrait nous sauver. A moins qu'au Parlement on n'attende l'arrivée d'un homme ou d'une femme providentiel(le) (après tout, notre pays a eu les deux !) qui d'un coup de baguette magique (abracadabra) viendrait nous tirer des mauvais pas dans laquelle notre si belle France sombre. Il suffit d'écouter M. SARKOZY pour s'en convaincre : "la croissance va évacuer nos dettes". Certes...Sauf que désormais le Président ne déclare plus naivement qu'il va aller la "chercher avec les dents" (les vraies ou les fausses ?)...Il inviterait presque à prier, s'il n'était pas le Chef d'Etat d'un pays laic. (Même s'il a très souvent tendance à l'oublier.)
3. Il y aurait pourtant moyen d'aider notre pays. En ayant une STRATEGIE pour sortir notre belle France de ses difficultés, sans s'en remettre systématiquement à la providence divine ou à celle plus matérialiste (le nouveau veau d'or : la croissance).
a) Pourquoi, pour commencer, le Législateur ne fait il pas ce qu'il aurait dû faire depuis belle lurette ? Demander la suppression de l'article 123 du traité de Lisbonne, article 104 du traité de Maastricht ?
Cet article nous fait payer, chaque année, des intérêts de la dette, colossaux ! A qui ? Aux banques privées ! Vu le montant desdits intérêts, le Législateur ne peut qu'aisément comprendre le profit qu'il y aurait à supprimer cet article, qui a été introduit sous l'influence du groupe Rostchild, des grands financiers en général.
-indépendance pour la France : si l'on se fait prêter de l'argent par la Banque de France ou par la BCE, notre voix pourra plus facilement être portée. Il est évident que si nous sommes débiteurs, nous devons surveiller nos actions, sous peine de perdre des épargnants. Alors que là...Ni la BdF ni la BCE n'ont intérêt à remettre en cause l'indépendance de notre France. Sur le plan "affaires étrangères" nous pourrons donc nous présenter devant tous, sans avoir à quémander.
-intérêts de la dette réintroduits dans le circuit économique français (BdF), voire européen (et quand l'UE va bien, la France en profite) : ces intérêts ne seront pas posés sur des comptes, mais utilisés par la BdF et/ou la BCE pour les prêts aux entreprises, aux particuliers, et le financement de grands projets français ou européens. Dans tous les cas, la France est gagnante. L'UE aussi.
-plus de marges pour investir : imagine t on un instant ce qu'on pourrait faire avec ces intérêts de la dette ? Surtout si ce sont des intérêts de la dette européen ? Ils pourraient être distribués, pour moitié, au budget de l'UE, qui ainsi pourrait nous faire une (vraie) stratégie de Lisbonne...Financée ! Et l'autre moitié servirait à investir pour financer des grands projets français : restauration de notre patrimoine, investissements pour nos universités, etc. Les banques privées font dormir l'argent sur les comptes...Pourquoi ne pas utiliser cette manne financière, puisque les banques privées ont prouvé leur incapacité à gérer en "bon père de famille" l'argent ?
Je suis absolument certain que si l'on fait valoir l'intérêt pour l'Union Européenne – enfin un budget européen conséquent...Et sans aller jusqu'à créer un impôt européen, comme le souhaite M. BARROSO (qui oublie qu'il n'est pas élu) – de mettre fin à un article, qui l'empêche de mettre la main sur une fabuleuse cassette nommée "intérêts de la dette" (pour moitié), et celui des Etats membres – qui à l'heure actuelle traversent tous des difficultés en matière de dette – à "empocher" (via la BCE ou leur banque nationale) la moitié restante...Cet article pourra facilement sauter. Encore faut il que "quelqu'un" fasse le premier pas. Pourquoi pas le Législateur Français ?
Pourquoi le Législateur accepte t il une telle arnaque ? "Battre monnaie" est un pouvoir SOUVERAIN. Il faut être vraiment stupide – et oui, je l'ai dit – pour ne pas l'utiliser. Car c'est le premier levier de notre indépendance. A défaut de vouloir voir la France souveraine...Au moins le Législateur pourrait il faire en sorte qu'elle ne soit pas dans la main des Rotschild and co.
b) Faire des économies
Vous parlez dans l'article de faire "des réformes". Soyez franc M. TARDY, et utilisez le bon mot : SACRIFICE. La réforme, jadis, cela voulait dire "améliorer les choses". Aujourd'hui c'est "paye plus, tais toi, paye encore, et pour moins bien qu'avant". Pas étonnant qu'ils descendent dans la rue ! Quand on est victime d'une politique néfaste, il est normal qu'on se révolte, surtout si elle est injuste et inefficace.
Depuis 2007, la RGPP est mise en place. Elle s'est traduite, à travers plus de 370 mesures, par la suppression d'administrations d'Etat et de services publics dans tous les domaines de la vie publique
: restriction de la carte judiciaire au forceps et fermeture de tribunaux dans tout le pays, fermeture de petits collèges (ceux qui comptent moins de 200 élèves), fermeture de maternités, de centres hospitaliers jugés non rentables, fermeture de casernes et suppression entamée de 45 000 postes dans l'armée d'ici 2014, suppression chaque année de 15 000 à 20 000 postes d'enseignants (avec en parallèle l'allègement du nombre d'heures de cours dispensés aux élèves, l'accroissement de la taille des classes, le non-remplacement des professeurs absents et la désincitation à inscrire les enfants en maternelle avant l'âge de trois ans), la fermeture de dizaines de consulats à l'étranger, la suppression de la quasi-totalité des directions départementales de l'Etat, l'amaigrissement des préfectures et sous-préfectures, la suppression de commissariats, de gendarmeries pour accompagner la réduction d'effectifs (-6500 policiers et -3000 gendarmes d'ici 2011), en n'oubliant pas de mentionner le recul des services publics à l'instar de la Poste, qui ferme chaque jour depuis le 1er janvier 2009 ferme 3 bureaux de poste et supprime 42 emplois.
Qui pâtit de ces mesures ? les Français les plus démunis, mais également les habitants des lointaines banlieues et des campagnes. Sans gendarmerie, sans bureau de poste, sans collège, sans caserne, un village meurt. Une petite ville n'y résiste pas beaucoup mieux. L'égalité entre les citoyens et la probité sont les autres grandes victimes de cette RGPP. Il est évident en effet que seul l'Etat est en mesure de jouer le rôle de redistributeur efficace entre les territoires pauvres et les territoires riches. Quand il s'efface, les inégalités progressent. Quand il s'efface, il est par ailleurs souvent remplacé par les intérêts privés, d'abord soucieux de maximiser les profits.
Savez vous le "bénéfice" qu'on espère tirer de désengagement de l'Etat ? 2,3 milliards d'euros par an, de l'aveu même du gouvernement, quand les vraies sources de dépenses inutiles ne sont pas remises en cause.
En revanche, ni le Gouvernement, ni le Législateur, ne pose leur regard sur :
--les 55 milliards distribués chaque année aux collectivités territoriales. Je suis tout a fait favorable à ce que celles ci aient un budget conséquent, leur permettant de fonctionner...Mais de grâce ! Que le Parlement CONTROLE L'UTILISATION DES DENIERS PUBLICS ou qu'à défaut il donne la possibilité aux citoyens de s'opposer à tel ou tel impôt, s'il vise à financer le yacht du Président de région, la comm du département (électoraliste), ou des dépenses futiles (du style des pilules pour favoriser le vice)
--les 17 milliards accordés à l'Union Européenne que là encore le Législateur contrôle de très, très loin.
De même, il y a des quantités de "petites économies" que l'on peut faire et qui, réunies font de rivières une mer méditerrannée voire même un océan.
--les "machins" : observatoires, hauts comités, etc.
--le "jaune" : associations notamment
--un vrai engagement pour les services publics au lieu de faire du replâtrage qui in fine nous coûte cher (cf audit sur la SNCF réalisé par des Suisses, cf audit sur la R ATP réalisé par Cour des Comptes)
Autres économies faciles :
--Rendre impossible qu'un projet de loi ou une proposition de loi soit présentée au Parlement si :
*la loi actuelle n'a pas été évaluée (ainsi, on évitera les "lois d'émotion" souvent bâclées).
*la loi respecte la DDHC notamment le fait que "la loi ne doit défendre que (contre) ce qui est nuisible à la Société".
*les mesures prévues par loi sont...Applicables (budget prévu, et disponible au moment de l'examen du projet de loi ; personnel opérationnel (formé, suffisant, qui sait ce qu'il doit faire) ; coordonnées (si cela fait appel, comme souvent, à plusieurs Ministères))
Chaque année, la France dilapide son argent, et le temps des élus, avec des lois qui fragilisent notre pays, bien plus sûrement que sa fiscalité. Le premier problème du pays, c'est l'obésité législative. Avec la CCDH comme limite, il est certain qu'on fera de conséquentes économies. Le livre "La France peut s'en sortir" chiffre à 57 milliards l'économie qui en résulterait ! Surtout si le Législateur reste cohérent...Et fait passer par ce filtre, et la "législation" européenne, et les traités. Là, les auteurs chiffrent l'économie pour la France à 94 milliards d'euros !
Cela vaut peut être la peine d'essayer, non ?
--Déménager l'Assemblée Nationale, le Sénat, l'Elysée, et Matignon : le coût pour notre pays est abyssal ! Alors que les Allemands ont un Parlement ouvert – cf M. WAUQUIEZ "un huron à l'Assemblée" – l'Assemblée Nationale est comparée (par le même WAUQUIEZ) à la Cité Interdite ! Et c'est la même chose pour l'Elysée, Matignon, et le Sénat.
En 2007, M. SARKOZY plaidait pour la rupture ? Et bien qu'on fasse une vraie rupture, qui donnerait un élan décisif à la volonté du Gouvernement et du Parlement, sans parler du Président, de donner des "signes" de vraies réformes, au sens noble du terme.
Ce serait un grand déménagement qui serait financé par les entrées de ce qui deviendraient des musées – Elysée, Matignon, Palais Bourbon, Palais du Luxembourg – pour les élus et Ministres. Certaines salles pourront être mises à disposition de qui de droit, en cas de réception d'un invité prestigieux.
L'Assemblée Nationale pourrait faire reconstruire la "Salle du Manège". Peut être, ainsi, les parlementaires se sentiraient ils l'âme plus révolutionnaire et républicaine, que dans le Palais de la dernière famille royale ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Salle_du_Man%C3%A8ge
Au lieu d'être logé à l'Elysée, M. SARKOZY pourrait prendre ses quartiers à...Orléans. (Après tout, ne sommes nous pas à l'heure de la vidéoconférence ?) Pourquoi pas à proximité de la maison où logea Jeanne ?
Et le Sénat...Irait de son coté s'installer place des Vosges.
Quant au Premier Ministre, si sa présence est requise à proximité de la Capitale, il me semble qu'il devrait, en principe, vivre en Seine Saint Denis. Pourquoi pas à Clichy sous Bois ? Drancy ? Ou bien encore Bondy ?
Sa seule présence en ces lieux enverrait un message absolument phénoménal au pays ! Et en répartissant ainsi les "lieux de pouvoir" – au lieu de les concentrer sur Paris – on rassurerait à la fois les élus locaux sur les intentions bienveillantes du Président à l'égard de la décentralisation, on passerait vraiment à une République du 21ème siècle, et on répartirait mieux aussi les sources de richesses du pays. (Il est évident que la seule présence de M. SARKOZY à Orléans ou de celle de M. FILLON en banlieue parisienne, permettra d'attirer les entreprises, en les "déconcentrant" de Paris)
Autre source d'économies (faciles) :
1. Ne pas attendre qu'un nouvel effondrement des marchés arrive
Le 20 novembre 2009, le Figaro a publié un article titré "la société générale se prépare à un effondrement économique mondial". Dans cet article, le Figaro relate les divers scénarii envisagés par la Societé Générale, pour les mois à venir.
Peut être serait il bon que le Parlement - au lieu de jouer la musique de la "reprise" comme le Gouvernement - auditionne les auteurs du rapport de 68 pages, sur le sujet ! Histoire qu'on ne soit pas pris au dépouvu, quand les imbéciles de banques vont nous replonger dans le gouffre !
2. Modifier le protocole d'injection du vaccin pour éviter une catastrophe sanitaire aux répercussions lourdes (dans tous les domaines)
Protocole actuel : il ne faut pas utiliser d'autres aiguillles que celles que les préfectures font passer aux centres de vaccination ; la piqure se fait à angle droit ; il faut retirer l'aiguille sans hésitation après l'injection. Utilisation de deux aiguilles : une pour aspirer le vaccin dans la seringue (elle sert à percer l'opercule du flacon, lequel est susceptible de porter des microbes) une pour faire l'injection. (Motif invoqué pour l'usage de deux seringues : des soucis d'hygiène)
Problème : ce protocole n'a pas de sens ! En effet, si la capsule du flacon multi dose (dix doses pour chaque flacon dans les centres) est souillée, il faut la désynfecter, car le fait que l'aiguille prélève la dose de vaccin va sans cela souiller la préparation...Et ce n'est pas le fait de changer l'aiguille qui va enlever l'éventuelle présence de microbes dans la dose de vaccin !
En d'autre terme : le protocole actuel ne garantie aucunement l'hygiène vantée...Puisque les microbes ne disparaissent que si l'on désynfecte la capsule multi dose ! Merci de rappeler cette "base" à Mme BACHELOT !
On vaccine donc, à l'heure actuelle, des tas de Français, sans souci de leur santé ! Or, mettre en relation un microbe "bénin" avec un virus "bénin" peut faire des étincelles dans le corps...Puisque ce dernier est censé lutter contre des tas d'ennemis à la fois ! Sans parler des complications pour les personnes déjà fragiles !
Par ailleurs, le fait de piquer à angle droit est aussi une méthode peu recommandée par les médecins, dans le cadre d'une vaccination. (Cf les études (en anglais) de l'institut COCHRANE !)
3. Mettre fin (pour le moment) à la campagne de vaccination tant que le vaccin ne sera pas réalisé dans le respect de la loi
A. Violation de la loi
Selon l’art. L. 5323-4 du Code de la Santé publique, applicable aux membres des instances consultatives de l’AFSSAPS et à ses collaborateurs extérieurs, il est interdit à ses membres de traiter une question dans laquelle ils auraient un intérêt direct ou indirect. Or...On a appris, que nombre "d'experts", appelés à conseiller le cabinet de la Ministre de la Santé, sont très impliqués dans les questions qu'ils traitent, du fait de leur lien avec l'industrie pharmaceutique.
Selon l’article 13 du décret n°2006-672 du 8 juin 2008, il est par ailleurs – théoriquement – interdit aux membres d’un organisme consultatif placé auprès des autorités de l'État et des établissements publics administratifs de l'État de prendre part aux délibérations lorsqu’ils ont un intérêt personnel à l’affaire qui en est l’objet. Là encore...On a pu constater une violation de cet article, rapportée par les médias.
Je note qu'à ce jour, le Législateur – qui est apparemment agacé par la rébellion de certains médecins – semble trouver très normal :
--qu'il n'existe aucun inventaire précis – et récent – des liens d’intérêts des médecins et "experts" autoproclamés, rapidement identifiable par les citoyens. Comment se fait il que le Législateur tolère que les membres du CNOM – à commencer par ceux travaillant pour l'AFSSAPS et ses instances de tutelle – omettent de faire parvenir leur déclaration ? A temps ? Et régulièrement ?
--de ne pas sévir contre la flopée de médecins qui ont discouru avant le lancement de la campagne de vaccination, et même encore maintenant pour certains, sans avoir fait mention de leurs liens d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique ? Médecins, qui de ce fait, ce sont rendus coupables du discrédit de la profession et ont donc porté atteinte à l'une des missions du Législateur : faire la loi ? Est il bien normal qu'une profession, même en situation "d'épidémie" viole la loi ?
--que les exposés des "experts" forts dépendants des labos pharmaceutiques, tiennent plus du discours marketing que de l’analyse pharmaco-épidémiologique. Ce qui rend difficile le maintien du principe de la "compétence" surpassé par l'appât du gain !
Pourriez vous m'indiquer quand le Législateur sévira contre ces médecins qui ont violé copieusement la loi ? Et quand on pourra, également, consulter les déclarations d'intérêt de l'ensemble des membres du CNOM, afin de se faire une idée sur les réelles convictions des médecins, quant au vaccin miraculeux ? Peut on appeler les médecins au "devoir" de vacciner et de se faire vacciner...Et dans le même temps, rester silencieux sur des actes d'une gravité bien plus grande : la violation des règles éthiques que le Législateur se doit – c'est un devoir juridique – pourtant, normalement, de "maintenir"?
B. Vaccin : une "procédure d’autorisation de mise sur le marché rigoureuse" ? (Mme BACHELOT)
Pouvez vous me prouver que cette procédure a été rigoureuse ? La lecture des médias me fait penser le contraire.
--Le Parisien : 09.07.2009
"Les vaccins issus des différents laboratoires sont très ressemblants et ont tous reçu l’autorisation de mise sur le marché délivrée par l’Agence française des produits de santé. "Il n’y a pas de différence majeure dans l’efficacité de ces différents vaccins (…)" précise le professeur Bruno Lina. (…) Les livraisons [devaccins] devront avoir lieu entre le 15/09/09 et le 31/01/10. Ces clauses sont incluses de façon explicite dans les contrats qui seront signés avec les laboratoires"
Résumons : dès le 09. 07. 09 on apprend donc – rappelons qu'à cette date, aucun essai clinique n’avait encore été même entrepris avec les vaccins contre la grippe ! Les premières unités de vaccins n’étant pas disponibles, encore moins testées chez les animaux ou les gens ! – que les autorités sanitaires françaises considéraient bel et bien l’AMM comme acquise d’avance, jugeant qu’il ne restait plus qu’à fixer les modalités de livraison !
Je ne suis pas médecin...Mais selon mon médecin de famille c'est du jamais vu dans l’histoire de la pharmacie moderne ! Quant au professeur Lina, il s'est épargné de mentionner ses liens d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique...Une fois cette information en main, on comprend mieux pourquoi il ne trouve absolument pas choquant qu'on achète des vaccins non fabriqués, dont on a aucune connaissance des effets, à des prix exhorbitant ! Et l'on comprend également pourquoi il ne semble pas le moins du monde troublé, qu'on puisse faire en six mois, ce que l'on fait généralement en deux, cinq, dix ans...Et tout cela sans pouvoir affirmer, néanmoins, à l'efficacité à 100% du médicament, vaccin, pilule !
--06.08.09 LCI
"Plus de 3.500 personnes ont déjà reçu le vaccin dans le cadre d'une étude de phase III, la dernière avant la demande d'autorisation de mise sur le marché (…) "On devrait pouvoir déterminer si une ou deux doses sont nécessaires pour être vaccinés", a déclaré Marie-Paule Kieny, experte auprès de l'OMS"
Comme me l'a expliqué mon médecin de famille, les études de recherche de posologie (dites de doseranging) relèvent de la phase II des essais cliniques. Laquelle, logiquement, se doit de précéder, et même de conditionner les études de phase III. Le fait que cette "experte" à l'OMS – qui là encore ne mentionne pas ses possibles liens d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique, alors que c'est un "devoir" de le faire ! Mais que faisait donc le Législateur ? – déclare ne pouvoir déterminer le nombre de doses nécessaires, pour la vaccination, montre donc bien, selon mon médecin, que le développement des vaccins contre la grippe porcine a bien été saboté. Que le Législateur soit resté silencieux sur le sujet est très grave selon mon médecin. Car il aurait, justement, fallu rappeler à l'OMS, et consorts...Que faire un vaccin bâclé faute de mieux, n'est en rien rendre service, ni à la profession – dès lors discrédité – ni aux patients, qui s'apparentent dès lors à des cobayes pour l'industrie pharmaceutique !
--27.08.09 le Figaro
"Il n'est pas question de les administrer avant d'obtenir courant octobre les autorisations de mise sur le marché" (Mme BACHELOT)
Mon médecin relève que Mme BACHELOT semble ne pas maîtriser son sujet. Une semaine plus tôt, les préféts recevaient une circulaire datée du 21/08/09 où celle ci annonçait que la campagne de vaccination débuterait "à compter du 28 septembre". Preuve, à ses yeux, que Mme BACHELOT ne sait pas ce qu'on appelle une AMM. Sinon, elle n'aurait pas avancé de date pourl'obtention de celle ci !
--04.09.09 le Parisien
"Si on met en place une vaccination de masse, c’est qu’on pense que le bénéfice (…) est supérieur aux risques éventuels. (…) Quelle que soit la politique vaccinale décidée en France, il sera très important de suivre les effets potentiellement indésirables de ces vaccins". (Carmen Kreft-Jaïs (chef du département de pharmacovigilance de l’AFSSAPS)
Comment le Législateur peut il parler de procédé rigoureux, après la lecture de tels propos ? On apprend ici qu'une mesure de santé publique – la vaccination de masse – a été arrêtée, en se fondant non sur la preuve –l’évaluation des effets indésirables d'un médicament/vaccin devrait relever, théoriquement, d’un processus technico-réglementaire lourd et précis d’évaluation (l’autorisation de mise sur le marché) normalement ! – mais sur du...Ressenti ! Le soit disant "expert" de l'AFSSAPS n'a, au moment de l'article, aucun élément scientifique, qui lui permet d'affirmer que les bénéfices du (des) vaccin(s) sont supérieurs aux risques encourus. Ce qui ne l'empêche, cependant pas, de préconiser qu'on vaccine massivement ! Pardon de m'interroger mais...Le principe de précaution ne devrait il pas être, normalement, à double sens, et non à sens unique ? Un scientifique faisant appel à la foi, on aura tout vu !
--04.09.09 Le Parisien
"Chez les enfants (…), il existe un risque de déclencher des maladies auto-immunes [avec les adjuvants]" (Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations)
Comment peut on appeler à la vaccination des enfants dès lors ? Trouvez rigoureux, et surtout normal, qu'en dépit de cette déclaration, ce risque auto-immun lié aux adjuvants n'aient pas été pris en compte par le Comité technique des vaccinations dans les obligations vaccinales qu’il établit ou les recommandations qu’il concocte via son calendrier des vaccinations ? N'est ce donc pas le devoir du Législateur que de s'opposer à la vaccination des enfants...Tant qu'on aura pas le fameux vaccin sans adjuvant...Puisque cet "expert" nous affirme qu'on accentue les risques en donnant à nos enfants des vaccins avec adjuvant ?
--14.09.09 Le Parisien
"Je ne crois pas aux effets secondaires graves neurologiques de ce vaccin" (Claude Hannoun, virulogue)
C'est fou le nombre de médecins, qui depuis quelques temps font appel à la foi, pour cautionner la vaccination ! Comme le rappelle mon médecin, les effets neurologiques d’un médicament sont évalués (normalement) avant l'autorisation de mise sur le marché (AMM). Là encore où est la "rigueur" ? Est ce rigoureux de faire accroître aux citoyens des faits non avérés ? Depuis quand les médecins se prononcent ils sur un médicament, un vaccin, avant même l'AMM ? Le Législateur n'aurait il pas dû rappeler à l'ordre ces drôles de praticiens, qui font valoir leur foi avant la preuve scientifique ?
--16.09.09 Le Parisien
"Pour moi, en période de pandémie et d’un point de vue collectif, il n’y a pas de doute à avoir : le bénéfice de la vaccination est considérable. Rendez-vous compte que si l’on vaccinait la moitié des Français, cela stopperait l’épidémie en France". (LINA)
Je ne reviens pas sur les intérêts qui lient ce brave médecin à l'industrie pharmaceutique. Force est pour moi de constater, en revanche, que le Législateur trouve normal que les membres du CNOM s'affranchissent de tout devoir de médecins ! A commencer par dire la vérité sur les vaccins ou en l'absence de preuves scientifiques, se taire. Car qu'est ce là ? Sinon de la désinformation ? M. LINA affirme – sans se référer à une quelconque étude scientifique – qu'en vaccinant la moitié des Français, l'épidémie serait stoppée dans notre beau pays. De la part d'un lobbyiste de l'industrie pharmaceutique, rien d'étonnant à ce qu'il fasse la promotion de la vaccination. En revanche, on ne peut, là encore, que s'étonner qu'aucun "expert" indépendant, ou que le Législateur, n'ait trouvé à redire sur ces affirmations complaisamment relayées dans les médias ! (Il me semblait pourtant que les médecins ne manquaient pas à l'Assemblée...)
Pourtant, le Législateur est bien placé pour savoir qu'il y a un précédent où l'on a vacciné la moitié de la population : lors de l'épidémie d'hépatite B...Avec les succès qu'on sait ! Dans le même temps, via d'autres journaux, on apprenait qu'il faudrait vacciner le tiers, l'ensemble, seulement 10% de la population française ! N'aurait il pas été bon, que le Législateur intervienne ? Et rappelle qu'en science, seule la preuve est considérée ? Et que la foi, même venue d'imminents spécialistes en tout genre, ne saurait la remplacer ou la supplanter ? Que dès lors, prévoir de vacciner la moitié, le tiers, ou 10% de la population n'avait aucun sens...Tant qu'on avait pas trouvé, scientifiquement, à quel stade de vaccination, on serait en droit d'affirmer l'éradiquation de la maladie ?
--21.09.09 Le Monde
"L'évaluation des bénéfices/risques plaide en faveur de la vaccination (…) D'ailleurs, le nombre de syndromes de Guillain-Barré n'est pas plus élevé que pour le vaccin contre la grippe saisonnière." (Vincent Enouf (responsable du Centre national de référence pour la grippe de l'Institut Pasteur))
Comme dit plus haut...Seule l'AMM permet de dire si les bénéfices/risques sont en faveur de la vaccination. Comme à l'époque, l'AMM n'était donné à personne – puisqu'on était en phase III – c'est donc là encore une affirmation gratuite. Qui a parlé d'un procédé rigoureux ? Le Législateur c'est çà ?
Rajoutons à cela que pour affirmer de telles choses, le brave "responsable" doit nécessairement avoir travailler avec l'industrie pharmaceutique, puisqu'à preuve du contraire, les essais cliniques sont censés être la propriété des fabricants ! Et les seuls à y avoir accès sont les membres de l'AFSSAPS dont ne fait pas partie ce "responsable" qui viole pas moins de trois lois françaises...Sans que cela ne semble choquer le Législateur !
La démonstration est aussi scandaleuse : le nombre de sujets exposés ne devaient, en effet, pas dépasser quelques centaines, puisqu'on était au début de la "pandémie". Autant dire que les observations de ce "responsable" sont aussi crédibles et dignes d'intérêt, que des sondages "objectifs" financés par les services de l'Elysée, les faisant passer pour des enquêtes journalistiques indépendantes !
Autant dire que même si la probabilité des Guillain-Barré liés aux nouveaux vaccins était multipliée par dix ou cent, la probabilité de s’en apercevoir sur quelques centaines de patients serait minime ! Là encore, difficile de comprendre le silence du Législateur sur ces prétendues "réassurances" qui n'ont aucune base scientifique correcte et objective ! Pourquoi ne pas avoir fait un communiqué pour rappeler que même si le risque d’effets indésirables était multiplié par 10 ou 100 par rapport aux fréquences données pour la grippe saisonnière, la probabilité de le détecter au cours des essais cliniques serait proche de zéro (cela s’appelle, en termes techniques, le « manque de puissance statistique ») ? Le principe de précaution ne vaut que si cela va dans le sens des carnets de commandes de l'industrie pharmaceutique ?
Ainsi affirmer, comme le fait l'OMS, dans le nouvel obs du 24.09.09, que "les résultats des essais réalisés à cette date suggèrent que le vaccin pandémique est aussi sûr que les vaccins contre la grippe saisonnière [avec des effets secondaires] similaires" est extrêmement inquiétant ! Car cela démontre que, pas plus que les instances nationales, l'OMS ne semble préoccuper par les règles en vigueur, en matière de médecine ! Serait ce que les "experts" autoproclamés n'y connaissent rien en statistiques élémentaires ? Et dès lors, n'aurait il pas été bien utile que le Législateur montre que les membres de l'Assemblée, sont bien concernés ? Et qu'ils savent de quoi on parle ?
--24.09.09 20Minutes
"La France disposera à cette date [15/10/09 : début de la campagne de vaccination] de 1 à 1,2 millions de doses, soit "un peu moins que prévu"." (Mme BACHELOT)
Là encore, pardon d'être sceptique sur les considérants du Législateur...Mais comment peut on prétendre qu'il y a eu la moindre rigueur, depuis que l'on a commencé à parler de vaccin ? C'est la Ministre elle même qui l'avoue ! Les achats et l'utilisation de ces derniers ont été prévus avant toute AMM ! Et...La campagne vaccinale a commencé AVANT l'AMM ! Trouvez vous vraiment cela sérieux ? Comment ne pas comprendre les réticences des médecins, devant un tel bâclage ? Et est il responsable de promouvoir la vaccination, quand on apprend que achats, utilisation, se sont faits AVANT l'AMM, et que les "risques" du vaccin...Eux seront faits APRES l'AMM, ce qui prouve assurément à quel point la procédure a été respectée !
--25.09.09 : Nouv Obs
"La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a insisté sur le fait que ce vaccin-là n'avait rien à voir avec celui contre la nouvelle grippe H1N1. La vaccination contre la grippe saisonnière "n'apportera pas de protection" contre le nouveau virus, et inversement."
Comment le Législateur peut il cautionner un tel vaccin ? Mme BACHELOT affirme qu'il n'a rien à voir avec les autres vaccins. Pardon, mais...Lorsqu’on prétend introduire sur le marché un médicament qui n’a "rien à voir" avec ceux qui l’ont précédé, comment peut on justifier d'une fabrication de six mois ? Le Législateur est bien placé pour savoir que toute nouvelle maladie, qui diffère des autres – et Mme BACHELOT affirme qu'il y a bien une grande différence entre le virus H1N1 et tous ceux qui l'ont précédé – exige que l'on parte sur un développement très lourd et réglementairement, avec une quantité incompressible d’études pharmaceutiques, toxicologiques et cliniques. C'est pour cette raison, pour ex, que chaque année, on fait le téléthon, pour lutter contre le virus du SIDA, qui malheureusement pour l'Humanité, n'a pas la chance, lui, de trouver un vaccin en six mois top chrono !
En tant que citoyen lambda, habitué à entendre les médecins du monde entier expliquer qu'il faudra énormément de temps pour fabriquer, tester, des possibles vaccins, sans être d'ailleurs sûr du résultat à l'arrivée, et les labos expliquer que si leurs médicaments/vaccins coûtent si chers, c'est justement parce qu'il faut bien rentabiliser le coût de cette recherche laborieuse, longue, et comple, vous comprendrez mon étonnement à voir cet enthousiasme unanime chez les autorités publiques de santé, y compris le Législateur ! Comment peut on être si prudent sur des possibles vaccins contre le SIDA...Et déborder d'enthousiasme – au point d'affirmer, avant tout test, à l'efficacité des vaccins ! – à l'idée de vacciner des milliers d'individus, avec un vaccin qui a été miraculeusement trouvé, en moins de six mois, dans des conditions qui ne plaident pas pour la rigueur scientifique !?