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4 ans d'action : opération 24 heures pour un bilan

Le 6 mai prochain marquera la date anniversaire de l’élection de Nicolas SARKOZY à la Présidence de la République en 2007 et ponctuera quatre années de travail et d’action du Gouvernement, et de notre majorité, au service de la France et des Français.

 

A cette occasion, l’UMP lance une grande campagne intitulée « La République qui agit, la République qui protège ».

 

La fédération UMP de Haute-Savoie se mobilise pour valoriser cette action, présenter cette campagne, et en débattre avec tous les Français sur le terrain.

 

Elle ouvrira ses portes au grand public

samedi 7 mai 2011

de 9 heures à 13 heures

à ANNECY

(au 59 avenue de Genève)

 

Un livret  4 ans d’actions sera remis à chaque participant.

(vous pourrez également en prendre pour distribution)

 

Pendant quatre ans, le Président de la République n’a cessé de défendre sans relâche, avec courage et responsabilité, les intérêts de la France dans le monde et des Français au quotidien. 

 

Notre majorité a su gérer une succession sans précédent de 5 crises d’une ampleur mondiale : financière, économique et sociale, monétaire, énergétique et environnementale, géopolitique. Malgré ces difficultés, Nicolas Sarkozy a protégé les Français et fait avancer notre pays. La France change, se modernise et se transforme.

 

Grâce à l’action du Président de la République et aux efforts de chaque Français, nous sortons de la crise et préparons l’avenir de la France.

 

Chaque militant et sympathisant UMP doit être le premier ambassadeur de l’action du Président de la République, du gouvernement et de notre majorité.

 

Nous restons plus que jamais mobilisés derrière le chef de l’Etat pour poursuivre les réformes engagées et gagner en 2012.

 

Discours du Premier ministre lors du Séminaire du Gouvernement du jeudi 5 mai

 

4_ans d'action : mai 2007 - mai 2011

 

Le magazine de l'Union : 4 ans d'actions

 

Argu flash 4 ans d'actions : 4 axes et 15 priorités

 

Powerpoint : bilan de 4 ans d'actions

05 - 05mai11 4 ans d'action.jpg

Commentaires

  • Jamais nous avons eu un président si actif et efficace malgré la crise, les critiques partisanes qui s appuient sur la désinformation exemple : Mme aubry qui dit que les réformes faites ont pour but d avantager les plus riches à savoir les amis du président , sont des critiques fausses.
    J espère que la majorité des français va ouvrir les yeux et se rendre compte que nous avons un gouvernement "acharné" à nous servir au mieux dans notre intérêt et celui de nos enfants

  • Pour commencer, je me dois de féliciter les membres du parti (présidentiel ? Populaire ? Populiste ? (Des) Privilégiés ?) : je suis admiratif de la manière dont certaines personnes arrivent à organiser de tels événements, en dépit de leur mandat ou/et obligations étatiques.

    Ainsi, apprend t on ces jours ci que les membres du Gouvernement sont sur le pieds de guerre pour défendre...Le bilan du quinquennat.

    En soi, cela ne me dérangerait pas, si dans le même temps, le Gouvernement (et le staff présidentiel) ne nous expliquait pas que la France est : en guerre (1), en situation difficile sur le plan des finances (2), confrontée à une immigration massive en direction de l'Italie (3) et quasi sous le menace d'un coup d'Etat (4) ! Sans parler des fléaux qu'on nous annonce à la Une : explosion de la centrale nucléaire japonaise (5), hausses spéculatives (6), bulles financières (7)

    Bref, si l'on peut juger de bon augure qu'un Gouvernement (et ses soutiens) défende les politiques (car elles ont été plus que fluctuantes à l'évidence : sinon pourquoi 4 remaniements ministériels ?) qu'il a appliqué sur la période 2007-2011...

    On peut en revanche s'étonner qu'il le fasse, au moment même où ledit Gouvernement (et ses soutiens) brandit nombre de menaces, tant intérieures qu'extérieures, à l'encontre de la France ! De deux choses l'une : soit lesdites menaces sont du pipeau et cela dénote un mépris certain des gouvernants envers les Français ; soit lesdites menaces sont réelles et on est, franchement, à s'interroger sur la compétence, la capacité, et les vertus du Gouvernement (et de ses soutiens) dans l'exercice de son mandat !

    Outre le décalage entre les priorités du moment et celles suscitant l'activité du Gouvernement (et de ses soutiens)...On peut encore s'interroger sur l'utilité de défendre un bilan à un an de la fin du mandat confié par les Français ! Surtout quand le Président de la République, répète en boucle, qu'il désire être jugé sur son bilan complet...Non à un an de l'échéance. Une fois de plus, où est la cohérence ?

    L'activisme déployé pour défendre un bilan incomplet, souligne, en fait, plus la fébrilité gouvernementale et la peur de ses soutiens. Sans parler de l'hystérie élyséenne. En principe, un bilan se défend pendant la période électorale. Le parti en place défendant la continuité, ses adversaires invoquant de leur coté la rupture ou le changement. Je parle de période électorale...Mais on pourrait dire la période de stabilité. Au sens où l'on constate que les actionnaires d'une société ne demandent pas (sauf cas très graves) au PDG d'un groupe de leur faire un bilan, pendant le mandat de ce dernier, mais au moment (seulement) où il requiera le renouvellement de son mandat. Idem...Pour ce qui est des syndicats ou du patronat. Ceux ci ne font pas de bilan de leurs actions pendant leur mandat, mais à sa conclusion.

    J'ajoute qu'un bilan, généralement, n'a pas vraiment besoin d'être fait. Les actionnaires voient – en suivant la courbe de progression ou la régularité de leurs dividendes – s'ils ont acclamé un gagnant ou quelqu'un qui n'attache pas autant d'importance à leurs intérêts qu'il l'aurait fallu. Les syndiqués (ou non) n'ont pas besoin, non plus, qu'on leur rappelle les actes de leurs représentants. Ils jugent en fonction des hausses de leur salaire, des acquis conservés, des primes obtenues, des privilèges accordés. En politique, c'est la même chose. Les Français se souviennent très bien de ce qu'on leur avait promis...Et établissent très bien le différentiel entre les engagements pris et les actions concrètes, sans parler des résultats finaux.

    J'ajouterai une dernière chose – qui peut être vous mettra du baume au coeur...Ou foudroira vos collègues ? – d'importance : tout bilan est collectif et personnel. J'entends par là qu'un député qui s'engage, a une démarche collective, au sens où il rattache son action à un collectif. Mais, si ce député a pris des engagements spécifiques, propres à lui même – ce qu'on appelle le plus simplement du monde le mandat représentatif – alors ce caractère individuel peut, la plupart du temps, prévaloir sur le collectif. C'est pourquoi, très personnellement, je voterai en votre faveur, pour vos actes personnels, alors que je suis – sur le plan collectif – très peu satisfait du travail de la majorité à laquelle vous appartenez.

    -Vous nous expliquez que votre majorité a traversé plusieurs crises d'une ampleur mondiale : financière, économique et sociale, monétaire, énergétique et environnementale, géopolitique.

    On veut bien l'admettre...Mais à quoi s'attendait donc la majorité ? Le Gouvernement ? Et plus encore M. SARKOZY ? La France n'a jamais été un long fleuve tranquille, chacun de ses dirigeants, à sa manière, peut en attester !

    Le Général DE GAULLE a affronté un péril – au regard de la situation – bien plus dangereux que celui vécu par les actuels gouvernants. Il a d'abord commencé son mandat par un conflit tant interne qu'externe, à savoir la guerre d'Algérie (1) et par là même tout le dossier de la décolonisation (2), aux conséquences multiples (3) (il fallait bien accueillir les pieds noirs et maintenir des relations diplomatiques avec les ex colonies). Cela fait, il a fallu s'occuper de la construction européenne (4) et pour se faire entendre, faire la politique de la chaise vide (5)...Et tout cela en reconstruisant le pays du bas vers le haut. (6) Recréer des alliances (7) sur tous les terrains, faire la paix avec l'Allemagne (8) et engranger pour l'avenir (9) tout en tenant farouchement les cordons de la bourse (10) et sans tergiverser pour les nécessités du jour (arme nucléaire par ex) (11) pour éviter à la France d'être vassal de l'une des deux puissances d'alors.

    M. SARKOZY – et cie – a sans doute eu des difficultés, mais il n'a pas eu, comme notre premier gouvernant de la V République, à défendre l'indépendance de la France contre ses ennemis (12), ses alliés (13) ni à jouer le rôle de médiateur pour éviter la III Guerre Mondiale ! (14)

    Les crises dont vous faites mention sont monnaies courantes...! Chacun des Présidents de notre République les a traversé, a un moment ou un autre !

    Crise du franc ou de l'euro, ce n'est guère la première fois que la spéculation s'en prend aux pays européens ! Il faut dire qu'avec Trichet aux commandes (et bientôt le patron de Golman Sach (soutenu par M. SARKOZY !)...Oui, vous savez, celui qui a enclenché la crise aux USA !) on peut comprendre les doutes de certains !
    http://www.marianne2.fr/hervenathan/Mario-Draghi-un-truqueur-a-la-tete-de-la-BCE_a96.html

    Crise géopolitique ? Qu'était ce donc que la Chute du Mur (comparativement beaucoup plus grave pour la France que la révolte dans les pays arabes) ? Les guerres du Golfe ? Ou les conflits (permanents) en Afrique ? Des anecdotes ?

    Crise sanitaire ? Je ne crois pas me souvenir que miss BACHELOT fut excellente dans la gestion d'une crise orchestrée par l'industrie pharmaceutique ! On peut reconnaître au Gouvernement de M. RAFFARIN une meilleure organisation contre le H5N1 !

    Crise environnementale ? Là encore, c'est oublier que les autres Présidents ont été confrontés à de pareilles menaces ! On peut penser à Tchernobyl bien sur, à la tempête de 1999, ou encore à l'usine AZF. Des catastrophes qui ont eu une ampleur mondiale, par leurs conséquences.

    Quant à l'économique et le social...Il faut reconnaître que si la France – de l'aveu même de la Commission Européenne – s'en est mieux sorti qu'autrui, c'est sans doute parce que : 1) sa croissance se fait sur la consommation intérieure ; 2) depuis 2005 (merci le TCE!) elle n'appliquait plus la Stratégie de Lisbonne I et par conséquent a su conserver ses protections sociales, au contraire des pays qui ont (comme l'Irlande) été des élèves studieux !

    Je trouve un peu facile le prétexte de la crise, comme élément explicatif tant des échecs gouvernementaux (en matière de pouvoir d'achat et emploi notamment, dixit M. FILLON) car celle ci n'est pas plus signifiante et grave que celles qui l'ont précédé, en tout domaine du reste. Au reste, la crise peut être une alliée : n'est ce pas la crise de l'euro...Qui a boosté (dixit le Figaro) la croissance française ? Mais quand donc va t on virer Trichet...Et le remplacer par quelqu'un, ayant à son actif, autre chose que des condamnations et des échecs patents ? Un grand ménage qui serait vraiment à souhaiter : je comprends un peu les investisseurs ou les spéculateurs. Comment faire confiance à M. BARROSO – responsable (par l'onction du traité de Lisbonne) de la politique économique, financière, monétaire – du Marché Intérieur...Quand on sait que le brave homme est surtout connu pour avoir fait couler le Portugal ?

    -D'autres ont connu des situations bien pires...Et affichent, à leurs compteurs, des bilans bien plus flatteurs. Vous voulez des ex ?

    *Charles V de France, confronté à rien de moins que : la guerre de Cent Ans (1), la peste noire (2), une noblesse incapable de discipline lors des combats et une famille pour le moins comploteuse !

    Nous lui devons, rien de moins que : la restauration de la souveraineté de la France (1), l'établissement de règles claires concernant le pouvoir (2), une première ébauche de la séparation de la religion et de l'Etat (3), des finances saines (4), un pays en sûreté (5) et un commerce florissant après des années de conflits ouverts avec l'Angleterre (entre autres) !

    *Napoléon Bonaparte : il dû survivre à la Terreur (1), mettre fin aux troubles politiques instaurés par la Révolution française (2), gérer une guerre ouverte de tous les monarques européens contre la France (3), restaurer la confiance dans la monnaie (4) et inventer l'avenir en (re)fondant les bases de l'Etat dit moderne ! (5) Tout cela en unifiant le pays (6) et en évitant des conflits religieux (7) issus de la Constitution civile du clergé !

    A son actif, des Codes juridiques qui font encore foi de nos jours (1), des Institutions qui sont toujours perennes (2), une poursuite de la séparation de l'Eglise et de l'Etat même via le Concordat (3), un redressement spectaculaire des comptes de la Nation (4), une préservation constante de la défense nationale (5), des droits juridiques considérant la DDHC (6)

    *la III République : manquant de crédit du départ (1), fruit d'une défaite (2) les acteurs de la III République n'auraient jamais dû laisser un souvenir important dans l'esprit des Français. Et pourtant...

    A son actif, des droits sociaux (1), une grande préoccupation de l'indépendance de la France (2), un agrandissement du territoire national (3) même au prix qu'on sait, le développement d'un véritable amour pour la France (y compris dans les colonies) (4), des principes inscrits dans les tables de la loi de notre pays (5) et bien sur une démocratisation de l'enseignement et de la culture incontestable (6)

    Alors oui...Gouvernement, majorité, Président, peuvent arguer qu'ils ont été confrontés à des difficultés, que d'autres n'ont point connu. Mais l'on retiendra surtout que ces difficultés, qui servent d'alibi aux échecs reconnus ou non, sont surtout des preuves incontestables que Gouvernement, majorité, Président...N'ont su surmonter les dites problématiques qui se sont, plus ou moins, imposées à eux. Au contraire d'un Napoléon, d'un Charles V ou d'un Charles De Gaulle...Voire un Chirac ou un Mitterrand en quelques occasions.

    -Je terminerai par le bilan lui même. On nous fait tout un rapport, alors qu'il y a quelques temps – des années lumière ! – on nous affichait un site récapitulant les promesses du Président...Jusqu'au jour où un certain blanc est venu le remplacer !

    Par prudence – ou vision ? – j'ai conservé ce catalogue de promesses qui permet de voir ce qui, au juste, a été tenu...Ou pas. Ce qui a été pris en décalage avec lesdits engagements...Et ce qui viole carrément le mandat représentatif de ceux qui s'attachent au bilan de la mandature.

    **Prenons l'agriculture...Une compétence exclusive de l'Union Européenne. M. SARKOZY soutenait vouloir défendre cette dernière et l'industrie agro alimentaire. Depuis 2007, l'aide du Président (de la majorité, du Gouvernement) aux agriculteurs ou à la filière agricole, se fait surtout en discours (au salon dédié) et en déplacements. Les agriculteurs ayant une bonne connaissance de la répartition des tâches en Europe, ils ont évidemment demandé à M. SARKOZY (et cie) de défendre leur cause...Lors de la révision de la PAC. Celui ci a promis...Pour s'incliner devant les Anglais, à l'évidence meilleurs négociateurs ! On ajoutera à cela que si des aides financières ont bien été actées...Elles ont vite été mises sur le grill par la Commission Européenne, qui aime à rappeler à M. WAUQUIEZ et M. SARKOZY qu'ils ont signé quelques traités européens, interdisant (notamment) des entraves concurrentielles, et des violations de la Charte des Droits, qui (pour rappel) s'oppose juridiquement à toute aide nationale, la nationalité étant considérée comme un facteur de discrimination, à portée négative.

    Quatre ans après...On est toujours au même point, en pire. Les agriculteurs bénéficaires des largesses étatiques se retrouvent à devoir payer des financements illégaux, amendes en plus. Les producteurs de lait dénoncent toujours autant la spéculation sur leur production tout en fustigeant une grande distribution qui n'est toujours pas touchée par Bruxelles, pas plus par Paris.

    **Prenons à présent l'indemnisation du chômage : en 2007, M. SARKOZY n'avait pas de mots assez durs pour conspuer les longueurs administratives, concernant les indemnités du chômage.

    Quatre ans plus tard...Celles ci n'ont pas étées revues comme primis, un demandeur d'emplois sur deux n'est pas indemnisé...Et suite à une loi votée en 2008 – au plus fort de la crise sociale – pour contraindre les chômeurs à accepter une offre qui n'a rien de raisonnable, quand on a (par ailleurs) des contraintes matérielles/budgétaires ! J'entends par là que c'est formidable de se voir proposer un poste de serveur à Lyon à 1200 euros nets par mois...Mais est ce si raisonnable de l'accepter quand : 1) on n'a aucun moyen de transport pour s'y rendre (si vous connaissez le département de l'Ain, vous pouvez comprendre pourquoi j'en parle) ; 2) on a des enfants à récupérer à 16 h à l'école et pas les moyens de payer une nounou ; 3) on ne connaît strictement rien au monde de la restauration et qu'en conséquence on risque fort de perdre son job durant la période d'essai ; 4) on connaît le coût de l'immobilier sur Lyon ? (Qui restreint donc l'opportunité d'aller travailler, tout le salaire était dépensé pour les frais afférents au travail !)

    Je m'en tiens à ces deux thématiques, mais on pourrait en dire autant sur l'Europe, le travailler plus pour gagner plus, le travail du dimanche, les seniors, la santé, la dette publique, les retraites, les prisons, la République irréprochable, la pauvreté, le logement, et tant d'autres sujets où les promesses ont été très loin d'être tenues.

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