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PARIS GAMES WEEK du 27 au 31 octobre
Soirée d'ouverture de la Paris Games Week.
La Paris Games Week est un des rendez-vous majeurs du jeu vidéo dans le monde.
Créé en 2010 à l'initiative du Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs (SELL), la Paris Games Week a réuni, pour son édition 2015, plus de 300 000 personnes, représentant l'ensemble de la communauté française et internationale du jeu vidéo.
La Paris Games Week est le 4ème plus grand salon du jeu vidéo au monde.
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ASSEMBLEE NATIONALE : Petit déjeuner / débat avec Xavier Berlin, président de la FNSEA
Petit déjeuner / débat sur la crise agricole et les mesures à mettre en œuvre avec Xavier Berlin, président de la FNSEA.
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Vote solennel de la Loi Montagne
Vote solennel de la Loi Montagne... vote à l'unanimité moins une voix !
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Mondial de l'automobile à Paris : Diner/débat des parlementaires avec les responsables de la filière automobile française
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Intervention au Forum parlementaire de la Blockchain
Intervenant ce matin au forum parlementaire de la Blockchain lors de la table ronde "Blockchain : ubérisation, disparition ou adaptation des tiers de confiance ?"
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PARIS : Salon mondial de l'Automobile 2016
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Match de football entre l'équipe de France des députés et le Variété Club de France
Match de football à Paris au profit des enfants malades de l'Institut Necker ... 58 000 euros de dons récoltés;
Dauphiné Libéré du 21 septembre :
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Suivi toute la journée par une équipe de France 3 ...
... dans le cadre d'une émission qui sera diffusée en octobre
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Reprise des travaux parlementaires à l'Assemblée nationale ...
... intervention en commission développement durable comme orateur pour le groupe Les Républicains sur la proposition de loi relative au renforcement de la sécurité de l'usage des drones civils
Puis examen du projet de loi relatif à une liaison ferroviaire express entre Paris et l'aéroport Paris-Charles de Gaulle ... le CDG express reliera l'aéroport à la Gare de l'Est en 20 minutes (liaison directe)
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Ouverture Officielle de la campagne de François FILLON au cirque d'hiver à PARIS le 21 septembre
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Je suis POUR une peine complémentaire d'inéligibilité, pour les personnes exerçant une fonction publique, en cas de condamnation pénale pour corruption
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Réunion, autour de Laurent Wauquiez, du groupe de travail informel des députés membres de l'ANEM (Association Nationale des Elus de la Montagne) pour valider des propositions dans le cadre de la future loi montagne
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Réunion plénière avec les présidents des CDPPT (Commissions Départementales de la Présence Postale Territoriale) dans le cadre de la démarche participative d'élaboration du nouveau contrat de présence postale
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Débat sur la modernisation numérique de l'Etat
Mon intervention :
débat modernisation numérique de l'Etat 24 05 16 par DeputeTardy -
Petit déjeuner avec Sir Julian King, ambassadeur du Royaume-Uni en France
Petit déjeuner avec Sir Julian King, ambassadeur du Royaume-Uni en France ... discussions autour du référendum du 23 juin concernant le maintien ou la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne
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COP 21 : Vote du projet de loi autorisant la ratification de l'accord de Paris adopté le 12 décembre
L’ESSENTIEL :
En septembre 2012, lors de la première session de la Conférence environnementale sur le développement durable, le Président de la République avait fait part de la volonté de la France d’accueillir en 2015 la 21ème session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques ainsi que la 11ème session de la Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties au Protocole de Kyoto (COP21- CMP11).
La France est Partie à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) depuis mars 1994 et à son protocole de Kyoto depuis février 2005.
Depuis 1995, le processus institutionnel de négociation en matière de lutte contre le dérèglement climatique est assuré par l’organe suprême de la Convention : la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques. Depuis 1995, elle se réunit annuellement et par rotation dans un des Etats des cinq groupes régionaux de l’Organisation des Nations-Unies.
Désignée lors de la COP19-CMP9 à Varsovie en novembre 2013, la France a accueilli la COP21-CMP11 à Paris du 30 novembre 2015 au 11 décembre 2015.
Volontiers présentée par les autorités comme « historique » la COP21/CMP11 affichait un objectif très ambitieux : aboutir à l’adoption d’un premier accord universel, juridiquement contraignant, dans l’objectif de maintenir la température globale en deçà de 2°C. Cet accord adopté le 12 décembre 2015 doit prendre le relais à compter de 2020 du protocole de Kyoto. L’accord a été signé par cent soixante-dix-sept parties lors d’une cérémonie qui s’est tenu à New York le 22 avril 2016.
COP 21 un accord, rien de plus :
Il y a eu un accord a minima qui a défini un cadre avec un calendrier pour l’avenir : un chemin pour des négociations ultérieures qui se dérouleront de 2015 à 2050 avec des cycles de renégociation tous les 5 ans. Cela est important, mais c’est à peu près tout.
En effet :
- Il ne s’agit pas d’un accord juridiquement contraignant car il ne contient pas de système de contrôle et ni de sanctions.
- L’objectif à atteindre est de : « maintenir la hausse de la température moyenne globale au-dessous de 2 ° et poursuivre les efforts pour limiter la hausse à 1,5° » pour répondre à la demande de plusieurs pays particulièrement touchés par le réchauffement climatique. Cependant, si on additionne les contributions nationales que les pays ont mis sur la table on est loin de cet objectif. En effet, si ces engagements étaient tenus, on arriverait, à une hausse de 3,5°. Pour cette raison on sait déjà que ces engagements - qui ne sont par ailleurs pas contraignants -, devront de toute façon être révisés. D’ailleurs une clause de revoyure tous les 5 ans a été actée dans l’accord.
- Sur les moyens de contenir le réchauffement à 2°, l’accord est vague car il invite les pays à parvenir à plafonner les émissions de gaz à effet serre « aussi rapidement que possible ».
- Sur les financements des pays développés vers les pays en voie de développement : le texte acte que les 100 milliards par an d’ici 2020 ne doivent être qu’un « plancher », comme les pays en voie de développement le demandaient. Mais ces crédits ne sont toujours pas réunis et l’accord se limite à encourager les pays développés « à apporter un soutien sur une base volontaire ».
- Par ailleurs, même si l’accord traite amplement des dommages irréversibles liés par exemple à la fonte des glaces, il est stipulé que : « l’accord ne pourra pas servir de base à des compensations pour pertes et préjudices irréversibles ». En effet plusieurs pays développés, notamment les Etats-Unis, redoutaient des actions en justice en raison de leur responsabilité historique dans le réchauffement.
- Enfin il n’y a rien sur le prix du carbone, sur la gestion des forêts, sur l’agriculture ou l’énergie. Il est clair que, sur ces sujets, il faudra avancer par des accords complémentaires.
En conclusion :
Soucieux de ne pas porter atteinte à la crédibilité de la France pour ce qui est du respect des conventions internationales et dans son action dans la lutte contre le réchauffement climatique au sein de l'Union Européenne et dans le monde, le groupe les Républicains a voté la ratification tout en considérant les résultats de la COP 21 comme une étape (notamment faute d'un mécanisme contraignant de contrôle et du manque des financements escomptées) et certainement pas comme le grand succès vanté par la majorité.
C'est un accord, rien de plus.
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Examen en commission du projet de loi Sapin 2
Examen en commission du projet de loi Sapin 2 (relatif à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie economique) en présence d'Emmanuel MACRON.
Intervention en discussion générale et défense de mes 5 amendements (sur 218).
Mon intervention :
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Visite du nouveau siège de Facebook par les membres de CSSPPCE — avec Virginie Duby-Muller et Loïc Hervé.
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Inauguration des nouveaux locaux de Twitter France en présence du Premier ministre, Manuel Valls et d'Axelle Lemaire, Secretaire d'Etat au numerique