Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Marianne du 28 novembre au 4 décembre 2009

Marianne du 28 novembre 2009.JPG

Commentaires

  • Attention tout de même. J'ai fait appel à cette société, et les profs étaient super ! Tout dépend, en fait, de l'implication des parents.

    Parce que très souvent, les cours et les explications sont là...Mais l'élève échoue parce que le professeur n'est pas épaulé par la famille.

    Les enseignants de l'éduc nat peuvent donner des lignes, convoquer les parents, faire de la discipline pour que l'élève apprenne ses leçons, voire même le coller pour lui faire comprendre qu'il n'est pas là pour s'amuser.

    Ce n'est pas le cas des enseignants à domicile, qui eux, ne peuvent avoir d'autorité sur l'élève, et donc d'écoute de ce dernier, que si les parents suivent.

    Cela a été le cas avec mes enfants. Tout s'est donc bien passé. Mais je sais que dans plusieurs familles, qui ont fait appel à acadomia, cela s'est mal passé, notamment parce que :
    -les parents prenaient le parti de l'élève quand ce dernier refusait d'écouter et de travailler
    -les parents croyaient pouvoir se décharger de leur responsabilité sur l'élève.

    Attention aussi à ne pas mettre toutes les sociétés ou associations aidant les élèves, dans le même panier.

    Une amie a fait appel à l'association "premiersdelaclasse" et s'en félicite tous les jours ! C'est le même principe que pour acadomia, mais en peut être plus sérieux.

    Attention, enfin, à ne pas créer d'inégalités. Une heure de cours à domicile, c'est autour des 35 euros. 17 avec le crédit impôt. Or...Malheureusement, il y a généralement une corrélation entre "niveau" des élèves et "niveau de salaires" des parents. Pas toujours, mais très souvent. Ce n'est pas un hasard si les enfants d'enseignants réussissent (à l'école) mieux que la plupart des enfants.

    Il ne faudrait donc pas faire retourner les élèves en difficulté dans les abimes de l'échec, pour des raisons financières.

    Au lieu de retirer le crédit d'impôt, peut être faudrait il imposer à ces sociétés qu'elles démontrent leur efficacité, via leur résultat auprès des élèves.

    Qu'il y ait un classement desdites sociétés. Un moyen simple et clair de faire le tri entre les sociétés racoleuses, et celles efficaces.

    Je ne vois pas bien la pertinence d'enlever à ces sociétés un crédit d'impôt, qui in fine, ne va avoir qu'une seule (et réelle) conséquence : faire raquer plus les parents.

    Dans l'affaire, ce ne sont pas les sociétés qui vont y perdre...Mais bien le pouvoir d"achat des Français.

Les commentaires sont fermés.