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  • Assister à une séance dans l'hémicycle

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    Le principe de la publicité des débats du Parlement, consacré par l'article 33 de la Constitution de la Ve République, remonte à la Révolution française.

    Il se traduit, en particulier, par la présence du public aux séances de l'Assemblée Nationale.

    Pour connaître le programme de la séance publique, vous pouvez :
    - consulter le site : www.assemblee-nationale.fr/agendas/odj.asp,
    - appeler le répondeur téléphonique de l'Assemblée : 01 40 63 77 77

    Individuels :

    Les personnes désireuses d'assister à une séance doivent se présenter 33, quai d'Orsay.

    Préalablement (au moins une semaine à l'avance), elles doivent se munir d'une carte d'invitation (ou "billet de séance") qui peut être obtenue auprès d'un député, dans la limite des places disponibles.

    L'accès à la séance est assuré pour les dix premières personnes arrivées avant le début de la séance, dans la limite des places disponibles.

    Les séances de questions au Gouvernement des mardis et mercredis sont réservées aux individuels.

    Groupes :

    Il est possible pour un groupe de 50 personnes maximum d'assister à une séance de l'Assemblée nationale.

    L'assistance à une séance de l'Assemblée nationale, bien évidemment gratuite, dure environ trois quarts d'heure. Elle est précédée de la projection d'un film de 12 minutes sur le rôle des députés et le fonctionnement de l'Assemblée.

    Elle n'est possible que les jours de séance, lorsque l'Assemble nationale est en session (la session ordinaire commence le premier jour ouvrable d'octobre et prend fin le dernier jour ouvrable de juin), à l'exception des mardis et mercredis pendant les séances de questions au Gouvernement (de 15 heures à environ 16 heures).

    Si l'Assemblée ne siège pas le jour prévu, l'assistance à la séance se transforme automatiquement en une visite des locaux du Palais Bourbon.

    L'attention des groupes est attirée sur le fait que les porteurs de billets individuels sont prioritaires et, qu'en cas d'affluence, les groupes doivent libérer les places sur simple demande d'un agent de l'Assemblée.

    Avertissement :

    Le public admis en séance se tient assis et découvert.

    Il doit observer le silence et ne donner aucune marque d'approbation ou de désapprobation. Une tenue correcte est exigée (pour les hommes : veste, blouson à manches longues, pantalon long). Vestiaire obligatoire et gratuit.

    Les réservations s'effectuent, par l'intermédiaire de votre député.

    Contactez Brice Lacourieux, mon assistant parlementaire à PARIS, au 01 40 63 75 24.

  • Visiter l'Assemblée Nationale

    Visiter le Palais Bourbon :

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    Le Palais Bourbon est d'abord le lieu de travail des députés. Il ne peut donc être visité que les jours où l'Assemblée ne siège pas.

    Les visites débutent par la diffusion d'un film de 12 minutes sur le fonctionnement de l'Assemblée nationale et le rôle des députés. Les salons attenant à l'hémicycle (Pujol, Delacroix, Casimir Perier, Mazeppa), la salle des conférences, la bibliothèque décorée par Delacroix, l'hémicycle, ainsi que la Galerie des Fêtes sont ensuite présentés aux visiteurs.

    Les visites, commentées et guidées, sont organisées pour des groupes de 50 personnes maximum, invitées par un député. Elles sont gratuites et durent environ une heure trente.

    Aucune visite n'est possible lors des jours de séance de l'Assemblée. Si l'horaire retenu pour la visite coïncide avec une séance publique, les groupes sont conduits dans l'hémicycle pour y assister.

    Les réservations de visite s'effectuent par l'intermédiaire de votre député y compris pour les classes du Parlement des enfants. En période de suspension des travaux parlementaires, les visites ne sont pas guidées.

    Les adultes doivent se munir d'une pièce d'identité (carte nationale d'identité ou passeport). L'encadrement doit répondre des mineurs sans pièce d'identité. Une tenue correcte est exigée.

    Comment venir au Palais Bourbon ?

    ATTENTION : en raison de la forte demande, pour les groupes (plus de 5 personnes), notamment scolaires, les visites doivent se faire entre 5 et 7 mois à l'avance selon les périodes.

    Contactez Brice LACOURIEUX, mon assistant parlementaire à PARIS au 01 40 63 75 24.


    Visiter l'Hôtel de Lassay :

     

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    L'Hôtel de Lassay est ouvert aux groupes invités par un député ou à l'initiative d'associations ayant sollicité la Présidence. Les groupes sont de 50 personnes maximum et la visite de l'Hôtel de Lassay est gratuite.

    Les réservations s'effectuent à l'avance (2 à 3 mois) . Les groupes se présentent au 33, quai d'Orsay, le député ayant pris soin auparavant de confirmer la réservation. Les adultes doivent se munir d'une pièce d'identité (carte nationale d'identité ou passeport). L'encadrement doit répondre des mineurs sans pièce d'identité. Une tenue correcte est exigée.

    Les visites de groupes à l'Hôtel de Lassay sont toujours subordonnées à la condition que ne s'y déroule aucune réception officielle ni aucun colloque ou exposition.

  • Ma semaine type

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    Comme chacun le sait, l'agenda d'un Député est particulièrement chargé. Que ce soit à l'Assemblée Nationale, en déplacement pour les missions nationales ou à l'étranger, en manifestation ou en rendez-vous.

    Je vous communique donc mon emploi du temps sur une semaine type, afin de connaître mon agenda et mes jours de disponibilité en circonscription.

    Celà vous faciliteras la prise de rendez-vous !

    LUNDI : Accueil et rendez-vous avec les citoyens à la permanence d'Annecy.

    MARDI - MERCREDI : Assemblée Nationale (travail en commission, audition, réunion du groupe UMP, séance, questions au gouvernement ...)

    JEUDI : Assemblée Nationale OU déplacement en circonscription, dans les chefs-lieux de canton et dans les communes

    VENDREDI : Accueil et rendez-vous avec les citoyens à la permanence d'Annecy OU réunions en circonscription

    SAMEDI - DIMANCHE : Manifestations en circonscription

  • Questions écrites, orales, au gouvernement

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    L'Assemblée nationale réunit 577 députés élus pour cinq ans dans le cadre de 555 circonscriptions en métropole et 22 circonscriptions outre-mer.

    Chaque député, bien qu'élu dans un cadre géographique déterminé, est le représentant de la Nation toute entière.

    Pendant la session ordinaire, qui depuis la révision de la Constitution de 1995 s'étend du début d'octobre à la fin juin, les députés siègent en séance publique dans l'hémicycle du Palais-Bourbon. Les séances publiques marquent les temps forts du travail du député, mais elles n'en représentent qu'une petite partie.

    Les questions permettent aux députés d'interroger directement les ministres, soit oralement (questions au gouvernement, questions orales sans débat), soit par écrit : 13 à 15 000 questions sont publiées chaque année au Journal officiel.

    Pour interpeller le Gouvernement, le Député peut utiliser la procédure des questions écrites (QE), orales (QO) ou au Gouvernement (QG).
    D'après l'article 139 du Règlement de l'Assemblée nationale, les questions écrites sont posées par un député à un ministre, celles qui portent sur la politique générale du Gouvernement sont posées au Premier ministre.

    Les questions écrites doivent être sommairement rédigées et se limiter aux éléments strictement indispensables à la compréhension de la question. Elles ne doivent contenir aucune imputation d'ordre personnel à l'égard du tiers nommément désignés.

    Tout député qui désire poser une question écrite en remet le texte au Président de l'Assemblée qui le notifie au Gouvernement.

    Les questions écrites sont publiées, durant les sessions et hors session, au Journal officiel.

    Les réponses des ministres doivent être publiées dans le mois suivant la publication des questions. Ce délai ne comporte aucune interruption.

    Le contrôle du Gouvernement s'exerce également au moyen des questions au Gouvernement (du mardi ou mercredi après-midi), des questions orales sans débat (le mardi matin) qui sont publiées, ainsi que les réponses au Journal Officiel.


    EN RESUME :

    1. Les questions écrites :
    Elles sont adressées aux ministres dans le but soit d’obtenir des éclaircissements sur des points particuliers de la législation, soit de faire préciser un aspect de la politique du Gouvernement. Ce dernier dispose d’un délai de deux mois pour y répondre. Les questions écrites – près de 28 000 en 2005 – sont publiées chaque semaine, ainsi que les réponses des ministres, au Journal Officiel, édition des Questions de l’Assemblée nationale.

    2. Les questions orales :
    Sauf pendant la période de la discussion budgétaire, les questions orales sont appelées lors de séances du mardi matin. Vingt cinq questions peuvent être inscrites par séance. Chaque question donne lieu, après avoir été exposée par son auteur, à une intervention du ministre chargé d’y répondre et, s’il le désire, à une réplique de l’auteur à laquelle le ministre peut répondre. Ces questions portent le plus souvent sur des sujets d’intérêt local.

    3. Les questions au Gouvernement :
    L’Assemblée consacre deux séances par semaine à ces questions, le mardi et le mercredi après-midi, de 15 heures à 16 heures. Le premier mercredi de chaque mois, les quatre premières questions sont consacrées à des thèmes européens.

    Avant chaque séance et au plus tard à 14 heures, les groupes, qui disposent d’un temps de parole tenant compte de leurs effectifs, font parvenir à la Présidence le nom du ou des auteurs de leurs questions et des ministres auxquels ces questions sont posées. Le thème des questions n’a pas à être communiqué.

    En séance, le Président appelle les questions selon un ordre qui permet à chacun des six groupes d'intervenir le premier toutes les six séances, et de faire alterner une question posée par un membre d’un groupe de la majorité et une question posée par un membre d’un groupe de l’opposition.

    Chaque question, réponse du Gouvernement comprise, durant en moyenne cinq minutes, une douzaine de questions peuvent être appelées par séance.

    La retransmission télévisée en direct des séances de questions au Gouvernement est assurée par France 3 et LCP-Assemblée nationale.

  • Qu'est-ce qu'un député ?

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    Le Député et le citoyen :


    Le Député est le représentant de la Nation. Il est à l'écoute de ses concitoyens, qu'il peut recevoir et également visiter. Il s'efforce de trouver une solution aux problèmes qu'ils rencontrent en intervenant auprès des administrations. Il se fait l'écho de leurs préoccupations à l'Assemblée pour critiquer et faire progresser la législation et améliorer son application. Il peut saisir le Médiateur de la république sur un dossier précis afin de trancher un litige entre un particulier et une administration.

    Le Député et le développement local :


    Le Député se préoccupe du développement économique, social et culturel de sa circonscription, en liaison avec les autres élus. Il est l'interlocuteur privilégié et permanent :

    * des maires,
    * des services de l'Etat,
    * des milieux socioprofessionnels,
    * des associations.

    Le Député et le débat politique :


    Le Député est généralement membre d'un parti. A ce titre, il anime le débat politique dans sa circonscription avec tous les habitants. Il est l'acteur principal du débat démocratique quotidien sur le plan local.

  • Organisation de l'Assemblée Nationale

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    L'Assemblée Nationale est composée de 577 députés élus dans le cadre d'une circonscription découpée à l'intérieur d'un département. Le département de l'Ain compte quatre circonscriptions.
    Les députés sont désignés au scrutin universel majoritaire à deux tours.

    Les sessions et séances :

    L'Assemblée Nationale fonctionne sous le principe de la session unique. La session ordinaire s'étend du début octobre à la fin juin.

    Mais le Parlement peut se réunir en session extraordinaire à la demande du premier ministre ou de la majorité des membres composant l'Assemblée nationale sur un ordre du jour déterminé. Depuis juin 2002, le Parlement s'est systématiquement réuni en session extraordinaire, notamment au mois de juillet.

    Durant ces sessions, l'Assemblée nationale tient donc séance normalement :
    - le mardi de 9 h 30 à 13 heures, pour les questions orales sans débat ou pour l'examen de l'ordre du jour fixé par l'Assemblée, puis de 15 heures à 19 h 30 et de 21 h 30 à 1 heure du matin au plus tard (la tranche 15 heures-16 heures étant réservée aux questions au Gouvernement) ;
    - le mercredi de 15 heures à 19 h 30, puis de 21 h 30 à 1 heure du matin au plus tard (avec une deuxième série de questions au Gouvernement de 15 heures à 16 heures) ;
    - le jeudi de 15 heures à 19 h 30, puis de 21 h 30 à 1 heure du matin au plus tard.

    Le président de l'Assemblée :

    Toute assemblée nouvellement élue commence, dès sa première séance, par élire son Président. Cette élection, qui est acquise pour la durée de la législature, a lieu au scrutin secret à la tribune ; si la majorité absolue des suffrages exprimés n'a pas été obtenue aux deux premiers tours de scrutin, au troisième tour, la majorité relative suffit et, en cas d'égalité de suffrages, le plus âgé est élu.

    Le Président de l'Assemblée nationale -personnalité politique de tout premier plan- est appelé à jouer un rôle important non seulement en raison de sa place au sein des institutions de la République et de sa contribution essentielle au bon fonctionnement de l'Assemblée, mais aussi par la responsabilité qui est aujourd'hui la sienne de moderniser l'Assemblée, de l'ouvrir toujours plus aux citoyens et d'assurer son rayonnement dans le monde.

    Le Président ouvre la séance, dirige les délibérations, fait observer le règlement et maintient l'ordre ; il peut à tout moment suspendre la séance ou lever la séance.

    Le Bureau :

    Le Bureau de l'Assemblée Nationale dirige la vie intérieure et les travaux parlementaires. C'est une autorité collégiale composée de 22 membres parmi lesquels on compte le Président, 6 vice-présidents, 3 questeurs et 12 secrétaires, qui sont chargés de l'ensemble de la vie de l'Assemblée nationale. Ils sont élus en début de Législature à la proportionnelle des groupes politiques qui composent l'Assemblée nationale.

    Le Bureau a tous les pouvoirs pour présider aux délibérations de l'assemblée et pour organiser et diriger tous les services. Le gouvernement est associé de manière systématique aux travaux du bureau de l'Assemblée nationale en déterminant l'ordre du jour.

    Les questeurs :

    Sous la haute autorité du Bureau dont ils sont membres, les questeurs exercent des pouvoirs étendus en matière financière, comptable et administrative dans le cadre de l'autonomie de gestion de l'Assemblée nationale. Les trois questeurs sont élus par leurs collègues au début de chaque législature, puis tous les ans au début de la session ordinaire.

    Les questeurs assument une triple fonction :
    - Ils disposent de pouvoirs financiers et budgétaires. Ils établissent le budget de l'Assemblée, gèrent les crédits du Palais-Bourbon et engagent toutes les dépenses.
    - Ils exercent un pouvoir administratif de direction du personnel et des services de l'Assemblée nationale. - Ils assurent les relations de l'Assemblée avec les députés et avec l'extérieur (moyens matériels mis à disposition des députés, relations avec la presse, autorisation de photographier et de filmer...)

    La fonction de questeur, par les larges pouvoirs financiers, comptables et administratifs qui y sont rattachés, est un poste clé du Parlement, qui assure les députés qu'aucun problème matériel ne viendra perturber le bon déroulement de leur activité législative.

    Les groupes politiques :

    Les députés peuvent se regrouper selon leurs affinités politiques. Les groupes parlementaires de l'Assemblée représentent ainsi les grandes formations politiques du pays. Etienne BLANC est membre du groupe UMP.

    Durant cette législature (2007/2012), les groupes politiques sont au nombre de quatre :

    - le groupe UMP (Union pour un mouvement populaire)
    - le groupe Nouveau Centre
    - le groupe Socialiste, Radical et Citoyen
    - le groupe de la Gauche Démocrate et Républicaine.

    Il faut au moins 20 députés pour pouvoir constituer un groupe parlementaire. Les groupes permettent aux députés d'un même courant de pensée d'adopter une position politique commune concernant les différents travaux parlementaires. Ils servent également d'intermédiaire pour la désignation de leurs membres dans les différents organes de l'Assemblée.

  • La fonction de député

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    Le député est un élu qui représente la Nation entière. S'il participe à l'ensemble des activités de l'Assemblée nationale, il doit également travailler sur le terrain, auprès de ses électeurs.

    1 - l'élection du député :

    Tous les 5 ans, sauf dissolution, les Français de plus de 18 ans élisent 577 députés au scrutin majoritaire à 2 tours, dans le cadre géographique des circonscriptions.

    Au premier tour, sont élus les candidats ayant obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés ; au deuxième tour, la majorité simple suffit.

    Tout département comporte au moins 2 circonscriptions (le Nord compte 24 circonscriptions). Sont éligibles les citoyens français âgés de 23 ans au moins.


    2 - le mandat du député :

    Chaque député, bien qu'élu dans un cadre géographique déterminé, est le représentant de la Nation toute entière. Il n'est pas un élu local.

    A l'Assemblée nationale et dans sa circonscription, il agit et parle au nom de l'intérêt général et non pas au nom d'un parti politique, d'un groupe d'intérêt ou d'une région.


    3 - l'organisation du travail parlementaire :

    Ce sont la Constitution et le Règlement de l'Assemblée nationale qui déterminent à titre principal les règles auxquelles doivent se plier les députés pour remplir leur mandat.

    Pendant la session ordinaire (qui, depuis la révision de la Constitution de 1995 s'étend de début octobre à fin juin), les députés siègent en séance publique dans l'hémicycle du Palais Bourbon. Ils peuvent également siéger en session extraordinaire sur convocation du Président de la république.

    Les séances publiques marquent les temps forts du travail du député, mais elles n'en représentent qu'une petite partie.

    Chaque député est membre d'une commission permanente, et d'une seule.

    Ces commissions sont spécialisées par domaine d'activité :
    * affaires culturelles, familiales et sociales
    * affaires économiques, de l'environnement et du territoire
    * affaires étrangères
    * défense nationale et forces armées
    * finances, économie générale et Plan
    * lois constitutionnelles, législation et administration générale de la république.

    Les députés y examinent les textes de loi qui seront discutés en séance publique.

    Les députés partageant les mêmes opinions politiques constituent des groupes politiques. Ceux-ci tiennent des réunions hebdomadaires où ils fixent leur position sur les débats de la semaine.

    Les députés consacrent aussi une partie importante de leur emploi du temps à des réunions diverses, et à leur travail personnel de contact, de négociation et de réflexion. Certains d'entre eux représentent l'Assemblée auprès des Parlements étrangers et des institutions internationales.

    Deux organes particuliers fixent les conditions, les méthodes et le calendrier du travail des députés à l'Assemblée :
    Le Bureau prend les décision importante concernant le travail de l'Assemblée.
    Les députés élisent le Président pour la durée de la législature et les autres membres du Bureau chaque année, dont 3 Questeurs, qui décident des dépenses nécessaires au fonctionnement de l'Assemblée.
    Le programme des travaux de l'Assemblée, l'ordre du jour, est fixé par la Conférence des Présidents qui réunit une fois par semaine, autour du Président, le Ministre des relations avec le Parlement et les présidents de groupes et de commissions.


    4 - le travail du député à l'Assemblée Nationale :

    à l'Assemblée, le député vote la loi et contrôle le gouvernement.

    Le vote de la loi :
    Hormis les cas très rares où un projet de loi peut être adopté par référendum, le loi est votée par le Parlement, selon une procédure fixée par la Constitution.
    Le Parlement vote une centaine de lois par an et de nombreux amendements, au terme d'un processus d'étude, de préparation et de discussion qui peut durer plusieurs mois, voire plusieurs années.
    Il peut également faire des propositions de loi.

    Le contrôle du gouvernement :
    Les questions permettent aux députés d'interroger directement les ministres, soit oralement (questions au gouvernement, questions orales sans débat), soit par écrit (plus de 15 000 questions écrites sont publiées chaque année au Journal Officiel).
    Les communications du gouvernement sont l'occasion pour eux de s'informer et de critiquer un point particulier de la politique d'un ministre.

    Le travail du député au sein de la commission permanente dont il est membre représente l'essentiel du travail parlementaire, puisqu'on y étudie en détail les textes qui seront discutés en séance publique.
    Les commissions permanentes constituent, de plus en plus souvent, des missions d'information sur un thème précis.

    L'Assemblée peut en outre créer des commissions d'enquête sur la gestion d'un service public ou pour recueillir des informations sur des faits déterminés. Le résultat de leurs travaux peut être publié.

    Chaque député peut adhérer et participer aux travaux de divers groupes d'études, constitués pour étudier des problèmes particuliers qui lui tiennent à cœur.

    Les députés peuvent contraindre le gouvernement à démissionner par le vote d'une motion de censure.

    Statut :
    Le député ne peut pas être traduit devant les tribunaux pour les opinions ou pour les votes émis par lui lors de l'exercice de ses fonctions.
    En revanche, comme tout citoyen, il est responsable de tous ses autres actes. Cependant, en dehors des cas de flagrant délit ou de condamnation définitive, il ne peut être arrêté qu'avec l'autorisation du Bureau de l'Assemblée.


    5 - le travail du député sur le terrain :

    Moyens de travail :
    Pour exercer son mandat, le député reçoit une indemnité parlementaire qui assure son indépendance.
    Il est entouré d'une équipe composée de 5 personnes au maximum (assistants parlementaires, secrétaires…), dispose d'un bureau à l'Assemblée et bénéficie de facilités pour ses communications postales et téléphoniques, ainsi que pour ses transports.

    Le député et le citoyen :
    Le député est le représentant de la Nation entière, ce qui lui confère, entre autres, l'obligation de participer aux manifestations officielles de sa circonscription.

    Il est à l'écoute de ses concitoyens qu'il peut recevoir lors de permanences et s'efforce de trouver une solution aux problèmes qu'ils rencontrent en intervenant par exemple auprès des administrations.
    Les principales interventions effectuées sont relatives à des problèmes d'emploi, de logement, d'insécurité dans les quartiers, de litiges avec telle ou telle administration ou collectivité, etc…

    A l'Assemblée nationale, le député se fait l'écho des préoccupations qui lui sont exprimées pour critiquer et faire progresser la législation et améliorer son application.

    Le député et le développement local :
    Le député se préoccupe du développement économique, social et culturel de sa circonscription, en liaison avec les autres élus. Il est l'interlocuteur privilégié et permanent des maires, des services de l'Etat, des milieux socioprofessionnels et associatifs.

    Là également, sur la base des contacts qu'il noue, il relaye à l'Assemblée nationale les préoccupations exprimées afin d'améliorer la législation et l'action du gouvernement.

    Le travail sur le terrain en circonscription est indissociable du travail législatif et du contrôle du gouvernement.

    Le député et le débat politique :
    Le député est généralement membre d'un parti. A ce titre, il anime le débat politique dans sa circonscription avec tous les habitants et est l'un des principaux acteurs du débat démocratique quotidien sur le plan local.

    Emploi du temps :
    Le député se doit d'être présent tant à l'Assemblée nationale que dans sa circonscription. Il n'existe donc pas vraiment de journée type mais plutôt une semaine type :

    Lundi : réunion de coordination avec les collaborateurs pour planifier le travail de la semaine. Entretiens avec les habitants ayant sollicité un rendez-vous. Réunions et manifestations diverses (à l'initiative de telle ou telle association, collectivité etc…).

    Mardi à Mercredi (voire Jeudi) : à l'Assemblée nationale. Réunion du groupe UMP. Réunion de la commission des affaires économiques. Réunions de groupes d'études. Séances de questions au gouvernement. Examen des projets de lois en séance…

    Jeudi à Vendredi : en circonscription. Entretien avec les personnes ayant sollicité un rendez-vous. Réunions diverses.

    Samedi : à la rencontre des habitants lors de permanences dans les mairies de la circonscription…et Dimanche : réunions et manifestations diverses.

  • Les valeurs de l'UMP

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    LE SENS DE L'UNION :

    La politique a besoin d’un souffle nouveau. La création de notre Union représente un tournant politique majeur. Nos familles - gaulliste, démocrate-chrétienne, libérale, radicale, sociale et indépendante -se sont pour la première fois rassemblées dans un seul et grand Mouvement, qui transcende désormais leurs anciennes frontières. Riches de nos différences, nous voulons être forts de notre union et créer une force politique nouvelle, ouverte à tous les Français.

    Nous croyons au rôle éminent des partis. Lorsque les citoyens s’engagent dans un parti, c’est une façon pour eux de faire vivre la démocratie, de se faire entendre, d’apporter leur énergie à un grand projet commun.

    Nous proposons aujourd’hui à nos concitoyens de se rassembler dans une même formation populaire et ouverte à tous. Chacun doit pouvoir s’y exprimer, débattre pour élaborer des idées nouvelles, pour les mettre en oeuvre.


    ÉCOUTER, COMPRENDRE, PARTICIPER, RESPECTER :

    La société française est beaucoup plus informée qu’auparavant. Nos concitoyens perçoivent parfaitement les problèmes de leur avenir et pourtant les Français se sentent souvent seuls et rarement écoutés. L’homme politique doit retrouver sa fonction essentielle de médiateur.

    Écouter : aucun engagement politique n’est durable sans que soient écoutés ceux que personne n’entend.

    Comprendre : être aux côtés de tous nos compatriotes, mesurer les difficultés et les aspirations de chacun.

    Participer : chaque citoyen peut revendiquer le droit de participer à la décision ; cela suppose proximité, démocratie directe, dialogue social. Respecter : aucun point de vue n’est négligeable ; il n’y a ni conviction, ni élan, sans attention prêtée à l’autre.


    ANTICIPER, DÉCIDER, AGIR :

    Le temps du politique dépasse le court terme. Voir plus loin, discerner les problèmes de demain pour construire l’avenir : il faut savoir anticiper.

    Après la concertation, vient le moment des choix. Au-delà des intérêts particuliers, l’homme politique doit dégager la vision de l’intérêt général sans laquelle le lien social se délite. Cela suppose du courage pour affronter les oppositions individuelles. Il faut s’y résoudre et savoir décider.

    Une fois le cap arrêté, il faut le tenir. Il ne suffit pas de voter des lois ou de prendre des décrets, il reste à traduire ces choix dans le réel. Nous voulons restaurer le sens de l’action en politique : donner des objectifs, définir les moyens, contrôler la progression et évaluer les résultats atteints.


    LIBERTÉ :

    La liberté s’exprime naturellement dans le travail et dans toutes les activités créatrices qui sont celles de l’être humain. Nous voulons que soient récompensés, à tous les niveaux, ceux qui s’impliquent et qui cherchent à innover. Le mérite et l’ascension sociale sont les signes d’une société qui progresse. Il faut restaurer la dignité du travail, et le sens de l’effort. Notre société doit particulièrement marquer sa reconnaissance à ceux qui dans leur domaine accomplissent des performances exceptionnelles.
    L’avenir de notre économie, c’est l’innovation, l’imagination, l’envie de créer, la volonté d’entreprendre, l’esprit d’entreprise.


    RESPONSABILITÉ :

    La responsabilité dépasse le seul fait de ne pas enfreindre la loi : c’est la conscience que l’on a certes des droits mais aussi des obligations à l’égard de la communauté. La responsabilité permet de bâtir une société de confiance qui donne la possibilité à chacun de s’épanouir.

    Le développement durable, la coopération internationale et la mise en pratique de bonne mesures de régulation du monde sont l’une des formes modernes de la responsabilité : il existe une solidarité planétaire.


    SOLIDARITÉ :

    La solidarité doit permettre de protéger chacun contre les aléas de la vie : maladie, handicap, dépendance ou chômage. L’Etat est là pour que soit garantie la protection sociale à laquelle les Français sont légitimement attachés.

    Mais la solidarité doit respecter l’individu. Elle ne doit pas se transformer en assistanat, par une distribution uniforme d’aides qui conduit à une forme d’accoutumance. L’assistanat décourage ceux qui travaillent et maintient dans l’inactivité ceux qui sont en difficulté. Le sens de la solidarité, c’est de donner à chacun la possibilité de rebondir et par exemple de se former tout au long de la vie. Cette solidarité, parce qu’elle est plus exigeante, est plus efficace.


    NOTRE NATION :

    La Nation républicaine fonde notre identité commune. Elle est riche d’une histoire dont nous sommes fiers, qui a forgé notre volonté de vivre ensemble. Les valeurs républicaines, notre culture, notre langue, l’attachement à nos paysages et à nos terroirs, la défense d’un système social équilibré et le sens de la création fondent cet attachement. La Nation se vit à travers des symboles comme la Marseillaise, Marianne, le 14 juillet, le drapeau tricolore ou la devise sur le fronton de nos mairies. Ces symboles sont le ciment qui nous rassemble. Ils doivent être maintenus. Le rituel républicain qui permet à tous de prendre conscience de l’appartenance commune doit être revalorisé. Notre pays est celui qui a défendu la liberté et qui a combattu pour les Lumières. La Nation se construit à travers cette volonté de bâtir ensemble une destinée commune qui doit être défendue, dans un monde dangereux et parfois hostile, contre toute les formes de menaces.


    L’EUROPE :

    L’Europe est notre horizon. C’est à la fois une réalité et une aventure. Depuis les années cinquante, grâce à l’œuvre des pères fondateurs de l’Europe, nos démocraties ont décidé de se rassembler et de s’interdire les rapports de haine et de guerre. La paix n’est pas un acquis définitif, c’est le fruit d’une volonté commune qu’il faut poursuivre. Pour nous tous, l’Europe est un élargissement de nos perspectives. Cette diversité entre les pays, conjuguée à la volonté de construire un projet commun, fait la valeur de l’Europe. C’est aussi un formidable stimulant ; en confrontant nos systèmes, nous pouvons progresser.

  • Comment adhérer à l'UMP

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    Le montant de l'adhésion à l'UMP est de 25 euros seulement par an. Nous proposons également un tarif spécial pour les couples, de 35 euros par couple, et un tarif modéré pour les moins de 30 ans, étudiants et demandeurs d'emploi, de 10 euros.

    Chaque adhésion est valable jusqu'à la fin de l'année courante.

    Vous pouvez régler son montant par chèque ou par mandat au niveau local et/ou par carte bancaire avec une inscription au niveau national.

    Attention : Seul le paiement par chèque ou par mandat donne droit à une déduction fiscale. Cette déduction représente 66% du montant du versement dans la limite de 20% de votre revenu imposable. Une adhésion de 25 euros permet par conséquent de déduire directement de votre impôt 15 euros.

    Votre adhésion deviendra définitive dès réception de votre carte d'adhérent.

    Au niveau local au sein de notre circonscription :

    Deux possibilités vous sont offertes :

    Rendez-vous à ma permanence 8, avenue Pré Closet à ANNECY-LE-VIEUX, ouverte tous les jours (sauf les amedi et le dimanche) de 8 H à 12 H et de 14 H à 18 H (17 H le vendredi).

    Par courrier : Envoyez-nous votre bulletin d’adhésion (téléchargez-le au format PDF puis imprimez-le sur http:///www.u-m-p.org) accompagné de votre chèque libellé à l'ordre de l'ANFUMP au 8, avenue du Pré Closet - 74940 ANNECY-LE-VIEUX.
     
    Au niveau national :

    Nous vous proposons quatre façons d'adhérer :

    En ligne : Remplissez directement un formulaire d'adhésion sur le site http://www.u-m-p.org en suivant les étapes pas-à-pas.

    Par courrier : Imprimez le formulaire de demande d'adhésion, remplissez-le, accompagnez-le d'un chèque ou d'un mandat postal libellé à l'ordre de l'ANFUMP et envoyez le tout à UMP

    Par SMS : Envoyez "UMP" suivi de vos prénom, nom et numéro de téléphone portable au 31767. Vous serez ensuite contacté par le service des adhésions de l’UMP.
    Par téléphone 7 jours sur 7 : Composez le 0 825 UMP UMP ou 0 825 867 867 (numéro indigo : 0,15 euro la minute)

    Pour adhérer, cliquez ici

  • Mes valeurs

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    C'est ma conviction et mon attachement à un certain nombre de valeurs que je veux défendre pour vous et qui me motivent chaque jour dans mon travail de Député.


    Le Mérite :


    Favoriser et reconnaître l’effort, la prise d’initiative, la prise de risques, l’audace.

    Encourager le bénévolat en le valorisant.

    Permettre à ceux qui trébuchent mais qui souhaitent se relancer, d’être soutenus et récompensés.

    Revaloriser le travail, qui doit nous protéger et nous rassembler, en le repositionnant au coeur de nos choix de société, car c’est dans ce travail que se trouvent la dignité et la sécurité.

    Tout ne se vaut pas. C’est à la société d’établir la hiérarchie des valeurs.


    La Justice :


    Etre plus à l’écoute de ceux qui voudraient faire des efforts, mais qui en sont empêchés par leur handicap, en leur permettant de concrétiser leur projet.

    Faciliter l’accès des personnes handicapées à la pratique d’un sport, par des incitations spécifiques au sein des fédérations locales.

    La justice, c’est aussi la lutte contre toutes les discriminations et contre la délinquance plus précisément. Parce qu'aujourd’hui, la justice est trop faible avec les délinquants, trop dure avec les innocents et indifférente à la souffrance des victimes.

    Je suis sûr que vous aussi pensez que ceux qui ont plus de handicaps ou moins la possibilité de se défendre doivent être aidés davantage.


    La Responsabilité :


    C’est la condition impérative pour conserver notre niveau de protection sociale.

    Recevoir de l’aide lorsque l’on est au chômage, malade ou lorsque que l’on n’a plus rien pour vivre est légitime.

    Mais vivre de l’assistanat, gaspiller les ressources de l’assurance maladie, percevoir indûment des prestations n’est pas acceptable. C’est une rupture du contrat social qui met en péril l’équilibre fragile des régimes sociaux qui nous protègent.

    Il faut aider les plus démunis tant en faisant cesser les abus quels qu’ils soient.

    Ne croyez-vous pas comme moi que chacun a des droits, mais aussi des devoirs ?



    Le Respect :


    C’est une des valeurs qui, pour moi, a le plus besoin d’être réaffirmée car elle est le fondement de toute vie en société.

    Il s’élève dans notre pays un immense besoin de respect. Le morcellement de la société et la défiance entre ses différentes composantes donnent à chacun le sentiment qu’il n’est pas respecté par l’autre.

    L’atteinte au prestige de la Nation, le doute jeté sur l’authenticité des promesses républicaines, l’impuissance de l’Etat et l’oubli des devoirs tarissent l’autorité à sa source.

    Je veux donc tout comme vous le retour d’une société qui redonne au mot respect son véritable sens.


    La Confiance :


    Il faut cesser de compliquer la vie de la quasi-totalité des ménages, des entreprises, des collectivités territoriales et des associations, pour régler les problèmes posés par une minorité.

    Il est urgent de simplifier les structures, d'arrêter la machine à produire de la complexité (qui ne résout rien) et se concentrer sur les priorités.

    C’est la mission de l’Etat que de garantir les principes fondateurs, préserver la cohésion sociale et régler les difficultés qui relèvent de sa compétence.

    La confiance que chacun aura en lui même démultipliera la confiance collective.

    Je vous propose qu’ensemble, nous rétablissions ce lien privilégié.