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  • Conférence des Nations Unies sur le climat

    Le 12 décembre 2011, les 195 pays participant à la 17ème conférence des Nations Unies sur le changement climatique (CNUCC) à Durban (Afrique du Sud), se sont mis d’accord sur un ensemble de décisions afin de renforcer le régime multilatéral de lutte contre le réchauffement climatique.

    • Une feuille de route pour un accord global en 2015 a été fixée. Malgré les réticences initiales de certains pays émergents et de plusieurs grandes puissances industrielles concernant le principe d’un tel accord, sa nature juridique, sa date d’adoption et de mise en place, la dynamique insufflée par l’Union Européenne a permis de conduire l’ensemble des grands pays émetteurs à faire évoluer leur position.
    • Le Protocole de Kyoto est prolongé. La première période d’engagement du Protocole de Kyoto devait s’achever au 31 décembre 2012 ; une second période entrera en vigueur au 1er janvier 2013. La Conférence de Durban permet ainsi de préserver ce qui constitue le seul cadre multilatéral juridiquement contraignant de réduction des émissions de gaz à effet de serre tout en ouvrant la voie à un accord global plus large et plus ambitieux d’ici 2015.
    • Les modalités de mise en œuvre du Fonds vert pour le Climat ont été déterminées. Ce Fonds, décidé à Copenhague et officiellement créé à Cancún, répond à une demande forte des pays en développement de se doter d’un instrument financier innovant facilitant leur transition vers une économie bas carbone et résiliente au changement climatique. La Conférence de Durban a permis d’adopter l’instrument du Fonds vert (grands objectifs, principes de gouvernance et modalités opérationnelles) et définit l’ensemble des arrangements pratiques assurant sa mise en place début 2012 (nomination du Conseil et établissement du secrétariat). Des contributions volontaires permettront de couvrir les frais de fonctionnement du Fonds vert sur les deux années à venir.
    • Un dialogue sur l’agriculture est ouvert pour développer les bonnes pratiques et les transferts de technologies et répondre aux enjeux climatiques tant sur le plan de la réduction des émissions que de l’adaptation à ses effets, notamment en ce qui concerne la sécurité alimentaire.
    • Un programme de travail a été lancé sur les sources de financements de long terme faisant référence aux travaux du G20 sur les financements innovants.
  • Ce soir à Annecy, soirée débat sur les Gaz de schiste

    Les "Amis de la Terre 74" organisent ce soir à 20 heures, salle pierre Lamy, une soirée débat autour du gaz de schiste.

    Encore une fois, tout comme lors du débat sur la loi littoral, le titre prête à interprétation ...

    ... et tout comme lors du débat sur la loi littoral en avril 2010 ... les parlementaires ont fait leur travail : vote d'une motion parlementaire et vote d'une loi sur les gaz de schiste le 13 juillet 2011, interdisant la fracturation hydraulique !

    Alors pourquoi un titre si racoleur "gaz de schiste, le pire est-il à venir ?" ... bonne question !

    Du coup, je serai présent à la réunion publique de ce soir et j'écouterai attentivement les intervenants. 

     Lien vers mon article du 10 mai 2011

    Lien vers mon article du 27 avril 2011

    Lien vers le débat à l'Assemblée du 29 mars 2011

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  • Présentation de la 1ère semaine de l'industrie à la MLJBA d'ANNECY

    J'ai participé ce matin à la conférence de presse de lancement de la 1ère semaine de l'industrie, au siège de la Mission Locale des Jeunes du Bassin Annécien (MLJBA).

    Cette semaine de l'industrie, organisée en partenariat avec Pôle Emploi, permettra au jeunes de la MLJBA de découvrir les métiers et emplois de plusieurs sociétés : SNR, Tefal, Fournier, Mobalpa ...

    Lors de mon intervention, j'ai indiqué qu'une proposition de loi sur l'alternance, déposée le 11 avril, devrait être prochainement discutée à l'Assemblée nationale.

    Rapport d'information des députés Cherpion et Gille

    Proposition de loi des députés Cherpion, Perrut et Taugourdeau

    Mais avant de passer entre les mains des députés, elle va être analysée par les partenaires sociaux. Ce nouveau processus est issu d'un protocole adopté le 16 février 2010 par l'Assemblée nationale. Un protocole qui impose "une consultation des partenaires sociaux sur les propositions de loi à caractère social qui sont dans le champ de la négociation collective" et qui répond au souhait des organisations syndicales et patronales d'être mieux associées à la préparation des propositions de loi.

    A la demande de plusieurs organisations syndicales d'employeurs et de salariés, Pierre Méhaignerie, président de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée, a ainsi décidé d'accorder quatre semaines pour cette négociation.

    Les partenaires sociaux ont jusqu'au 3 juin pour se mettre d'accord sur le texte.

    Ensuite, la parole sera donnée au Parlement qui légifèrera.

    Cette proposition de loi a plusieurs objectifs :

    • Le premier est d'améliorer la situation et l'insertion des jeunes sur le marché du travail en favorisant le développement de l'alternance. Le but est de porter le nombre d'alternants de 600 000 à 1 million, à terme.
    • Le deuxième objectif est de mieux de sécuriser les parcours professionnels tout au long de la vie. Le développement des groupements d'employeurs, qui permettent d'offrir des emplois à durée indéterminée et à temps plein à des personnes qui auraient sinon un statut précaire, est un outil de cette sécurisation. L'instauration d'un dispositif unique d'accompagnement des salariés licenciés pour motif économique, autre outil de sécurisation, doit être négociée avec les partenaires sociaux et inspirée des meilleures pratiques actuelles, en particulier celles qui ont été expérimentées dans le cadre dans le cadre du contrat de transition professionnelle.

     

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    Dauphiné Libéré du 10 mai

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    Essor du 12 mai

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  • La Conférence nationale sur les rythmes scolaires

    LES CHIFFRES :

    • 144 : c’est le nombre de jours de classe en France, pour les écoles, le plus bas dans toute l’Europe (la moyenne dans l’OCDE est de 184 jours).
    • 864 : c’est le nombre d’heures de cours dispensées par an en primaire (la moyenne dans l’OCDE est de 769 heures).
    • 35 : c’est le nombre d’heures de cours que peut atteindre l’emploi du temps d’un lycéen.

    L’ESSENTIEL :

    • Beaucoup d’élèves, qu’ils soient dans le premier ou le second degré, supportent mal les rythmes scolaires actuels. Consciente de ces difficultés, une très grande majorité de Français est favorable à ce qu’une réflexion de fond soit menée sur ce sujet.
    • C’est pourquoi, lors des États généraux de la sécurité à l’École, Luc CHATEL avait annoncé qu’il installerait une conférence nationale sur les rythmes scolaires. Depuis le 7 juin, c’est chose faite : la Conférence nationale sur les rythmes scolaires va aborder la question de l’équilibre entre le temps de l’École, le temps de repos, les vacances, les activités sportives et culturelles.
    • Son objectif majeur : améliorer les conditions de vie et d’apprentissage des élèves en travaillant sur ces rythmes.
    • Afin d’examiner l’ensemble des enjeux et ainsi, de parvenir à des solutions concertées et favorables à tous, elle disposera d’un large temps réservé à la réflexion, à la consultation et au débat.
    • Cette réflexion s’appuiera sur l’expérimentation, lancée par Luc CHATEL le 25 mai dernier, dans 100 établissements du secondaire : cours le matin, activités sportives et culturelles l’après-midi.

    POURQUOI ENVISAGER DE MODIFIER LES RYTHMES SCOLAIRES ?

    • Tout le monde en est conscient, en termes de rythmes, le système scolaire français est peut être l’un des plus déséquilibrés d’Europe, avec ce paradoxe : l’un des plus grands nombres d’heures de cours, mais réparties sur un nombre de jours de classe parmi les plus bas.
    • Pour les élèves, du premier comme du second degré, les journées de cours sont aujourd’hui trop longues. Un tel rythme génère fatigue et stress et a des conséquences aussi bien sur les résultats des élèves que sur le climat des établissements scolaires.
    • Face à ce constat, le statu quo n’est pas possible. La mission de l’École est de proposer à tous les élèves les meilleures conditions de vie scolaire, les plus favorables à leur apprentissage et à leur réussite. Le Gouvernement a donc décidé de remettre à plat la question des rythmes scolaires en installant une Conférence ouverte à tous les acteurs et à toutes les propositions.
    • Lors de cette conférence, la question des rythmes sera abordée dans toutes ses dimensions : la durée et l’organisation des journées de cours, des semaines ainsi que l’ensemble du calendrier de l’année.

    COMMENT LA CONFÉRENCE VA-T-ELLE TRAVAILLER ?

    • Installée le 7 juin 2010, la Conférence nationale sur les rythmes scolaires aura tout le temps nécessaire pour envisager tous les paramètres d’un sujet complexe, puisqu’il concerne de nombreux acteurs et doit tenir compte du contexte économique et social. Elle pourra ainsi sereinement mener ses auditions et consultations.
    • Cette Conférence s’appuiera sur les travaux d’un Comité de pilotage :
      • Composé d’une vingtaine de personnalités qualifiées sur les questions éducatives, économiques et sociales, ce Comité reflète, par la diversité de ses membres, les différentes composantes de la société : sociologues, psychologues, représentants d’organismes qualifiés, élus, personnalités investies dans les secteurs concernés par les rythmes scolaires, tous contribueront à ce que le débat soit large et approfondi.
      • Ce Comité consultera les organisations syndicales, les fédérations de parents d'élèves, les organisations de lycéens, les autorités religieuses, les représentants du monde associatif et du monde économique et social. Il organisera également des débats dans les académies, ainsi qu’un débat citoyen sur Internet, examinera les expériences menées au-delà de nos frontières, commandera des travaux bibliographiques, de recherche et d’analyse. Il remettra des points d’étape au Ministre de l’Éducation nationale.
    • La mission d’information parlementaire apportera elle aussi son expertise sur le sujet. Sous la Présidence de Michèle TABAROT, elle a débuté jeudi 29 avril ses travaux sur les rythmes scolaires dans le premier degré. La mission va étudier les différents modèles européens et consulter des experts (chronobiologistes, médecins, pédagogues...).

    AMÉNAGER LES RYTHMES, CELA SIGNIFIE-T-IL MOINS DE COURS POUR LES ÉLÈVES ?

    • Reconsidérer les rythmes, réaménager la journée et la semaine de cours ne signifie pas moins apprendre, mais mieux apprendre. Or des journées trop chargées sont néfastes à l’apprentissage.
    • L’objectif de cette conférence est clair : améliorer les conditions de vie et d’apprentissage des élèves dans les établissements. Une répartition des heures mieux adaptée aux rythmes des enfants et des adolescents, des heures de cours mieux réparties sur la semaine, une année plus équilibrée contribueront à un meilleur apprentissage et à une mémorisation plus efficace. Comme le disait MONTAIGNE : « Une tête bien faite vaut mieux qu'une tête bien pleine ».

    EST-IL ENVISAGÉ DE RÉDUIRE LES VACANCES D’ÉTÉ ?

    • Rien n’est aujourd’hui envisagé parce que la Conférence vient d’être installée et qu’elle rendra ses premières analyses dans plusieurs mois.
    • Soyons clairs : aucune décision d’aucune sorte n’a été prise, ce qui serait contraire aux objectifs de cette Conférence nationale, qui doit procéder à une large consultation et animer un débat le plus ouvert possible.

    QUEL RAPPORT ENTRE LES RYTHMES SCOLAIRES ET LE SPORT ?

    • Une expérimentation innovante lancée dans un lycée de Meaux l’a montré : la réorganisation du temps scolaire, avec cours le matin et sport l’après-midi, permet aux élèves de trouver un nouvel équilibre de travail, de se remotiver, de nouer d’autres contacts avec leurs camarades et leurs enseignants, de s’investir davantage dans l’établissement.
    • Les valeurs du sport, telles que le respect des règles, le dépassement de soi et l’esprit d’équipe sont aussi celles de l’École.
    • Par ailleurs, il ne s’agit pas seulement de proposer aux élèves des activités sportives, mais aussi des activités culturelles et de soutien personnalisé l’après-midi, adaptées à chaque élève.

    S’AGIT-IL D’IMPORTER LE MODÈLE ALLEMAND ?

    • En aucun cas. Il y a une grande différence entre le modèle allemand et le modèle que Luc CHATEL propose en expérimentation dans 100 établissements pour la rentrée scolaire 2010.
    • De fait, dans le modèle allemand, l’après-midi est laissé aux initiatives personnelles, qui bien souvent se réduisent à de l’inactivité et creusent les inégalités entre élèves. Notre projet est différent, plus précis, mieux organisé et plus encadré. Lors de ces après-midi, les élèves resteront en effet sous la responsabilité des établissements : les enseignants seront donc constamment à leurs côtés pour les initier et les guider dans les activités qui leur seront proposées. Des intervenants extérieurs seront sollicités lors de ces activités diverses, mais elles seront néanmoins toujours pilotées par des enseignants.
  • 14èmes journées d'Etudes François de Sales à ANNECY

    J'ai assisté cet après-midi au débat "les journalistes font-ils ou suivent-ils les opinions publiques ?",  mené par Mgr Jean-Michel Di Falco-Léandri et Philippe Boggio (ancien grand reporter au Monde, ancien directeur de la rédaction de Marianne et de l'Evènement du Jeudi).

    Débat très intéressant où j'ai part, en tant qu'homme politique, de mon sentiment sur les relations entre journalistes et élus et notamment sur le problème de l'immédiateté de l'information, qui très souvent supplante les articles de fonds ou les articles de prospective dans la presse.

    Ces 14ème journées d'Etudes, organisée par la Fédération Française de la Presse Catholique, qui se tenaient ce jeudi et ce vendredi à Annecy ont rassemblé quelque deux cent éditeurs, journalistes ou collaborateurs de la presse catholique française, qui se sont penchés sur le thème : médias, opinions publiques et Eglise.

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  • Journées de l'alpage à MEGEVE

    Trè attendue, après la dernière édition qui s'est tenue en 2003, cette grande manifestation constitue un lieu de rencontres pour tous les alpagistes et les éleveurs, techniciens et professionnels de la montagne, responsables associatifs, grand public et bien sûr, pour les élus des collectivités locales des zones de montagne.

    L'un des temps fort de cette édition est l'organisation du 14ème Concours Spécial National de la Race Abondance, par le tout nouvel Organisme de Sélection "Races Alpines Réunies", dont Damien Bastard (mon neveu) est le tout jeune président. 

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  • Salon des carrières internationales à ANNECY

    Première édition du Salon des carrières internationales, organisé par l'IPAC, salle Eugène Verdun à Bonlieu.

    Ce salon a permis aux visiteurs de rencontrer des entreprises qui travaillent à l'international, de participer à des ateliers, de répondre à des offres d'emplois et de stages à l'étranger.

    David Talerman, auteur du livre « Travailler et vivre en Suisse », et Cécile Petit du Groupement transfrontalier européen ont animé la conférence « Les opportunités du marché de l’emploi en Suisse ».

     

     

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  • Réunion du Comité d'information et de suivi sanitaire de la situation du lac d'ANNECY

    Lors de cette réunion en Préfecture, à laquelle j'assistais, le Préfet a commenté les résultats d'analyse des prélèvements, opérés en mai dernier dans les lacs Léman et d'Annecy, par l'AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments).

    Les résultats font apparaître que les poissons appartenant à l'espèce "Omble chevalier" sont conformes au regard de la limite réglementaire et peuvent être pêchés en vue de leur commercialisation et consommation, dès lors que leur taille ne dépasse pas 39 cm pour le lac Léman, et 40 cm pour le lac d'Annecy. 

    En conséquence, l'interdiction totale de la pêche en vue de la consommation humaine et animale, ainsi que de la commercialisation des poissons appartenant à l'espèce "Omble chevalier", du lac Léman et du lac d'Annecy, est levée et l'arrêté préfectoral du 2 avril 2008 est abrogé.

    La commercialisation et la consommation des "Ombles chavaliers" pêchés dans le lac Léman et le lac d'Annecy demeurent interdites lorsque leur taille dépasse les valeurs suivantes :

    • 39 cm dans le lac Léman
    • 40 cm dans le lac d'Annecy

    Relevé de conclusions de la Préfecture.pdf

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