Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 4

  • Traité de Lisbonne

    Les apports essentiels du Traité de Lisbonne :

    1. Plus de stabilité et de visibilité


    Avec la création d'un Président de l’Union, élu par le Conseil européen à la majorité qualifiée pour 2 ans et demi, renouvelables une fois, le président occupera ainsi une fonction permanente. Il présidera et animera les travaux du Conseil européen, qui est constitué des chefs d’Etat et de gouvernement. Le système des présidences exercées par les Etats membres de l'Union selon un système de rotation semestrielle sera maintenu, mais seulement au niveau des conseils des ministres thématiques.

    2. Une présence plus forte de l’Europe sur la scène du monde

    La politique étrangère et de sécurité commune progresse avec la création d'un Haut représentant pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Il présidera le conseil des ministres des affaires étrangères et sera vice-président de la Commission européenne. Même s'il ne reçoit pas le titre de ministre des affaires étrangères (à la demande des Britanniques), il en assumera les prérogatives. Il disposera d'un service européen pour l'action extérieure, agissant en collaboration avec les services diplomatiques des Etats membres qui pourront y détacher des fonctionnaires.

    3. Une plus grande capacité de décision

    Dans 40 nouveaux domaines, les décisions seront prises à la majorité qualifiée et non plus à l'unanimité (immigration, coopération policière et judiciaire, fonctionnement des services d'intérêt économique général, propriété intellectuelle, politique spatiale, énergie...). Pour l'application de cette majorité qualifiée, la pondération des voix au Conseil a été revue. A partir de 2014, une décision, pour être adoptée, devra être soutenue par 55% des pays représentant 65% de la population de l'UE. Cette double majorité corrige la surreprésentation actuelle des pays les moins peuplés. Dans un souci d'efficacité, la Commission sera réduite. Le nombre de commissaires est ramené aux deux tiers du nombre des Etats membres, à compter de 2014.

    4. Le rôle accru du Parlement européen et des Parlements nationaux

    Le Parlement européen voit ses pouvoirs renforcés par l'extension générale de la procédure de codécision en matière législative. Il se voit également confier le droit d’élire le Président de la Commission européenne. Les Parlements nationaux interviennent dans le processus législatif, notamment s'ils estiment qu'un projet d'initiative européenne empiète indûment sur les compétences nationales.

    5. Un droit d’initiative collective reconnu aux citoyens

    Les citoyens européens obtiennent un droit d'initiative collective. Un million d'entre eux provenant de plusieurs Etats membres peuvent demander à la Commission d'élaborer un projet de directive ou de règlement européen.

    6. Les valeurs de l'Union européenne, fortement réaffirmées

    La question de l'adhésion de l'Union à la Convention européenne des droits de l'homme et des libertés fondamentales était en suspens depuis de nombreuses années. Le nouveau traité règle positivement cette question.

    Certes, le texte de la charte des droits fondamentaux n'est plus intégré dans le nouveau texte. Néanmoins, une référence à cette charte dans le traité la rend contraignante pour tous les Etats, à l'exception de la Grande-Bretagne et de la Pologne. Par ailleurs, les valeurs sur lesquelles reposent l'Union sont inclues dans le préambule et les premiers articles: "L'Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d'égalité, de l'Etat de droit, ainsi que le respect des droits de l'homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités. Ces valeurs sont communes aux Etats membres dans une société caractérisée par le pluralisme, la non-discrimination, la tolérance, la justice, la solidarité et l'égalité entre les femmes et les hommes".

  • La France relance le projet européen

    Les représentants des 27 Etats membres ont signés, ce jeudi 13 décembre, un nouveau traité, qui modifie à la fois le Traité sur l'Union européenne et le Traité instituant la Communauté européenne.

    - La France est de retour en Europe : la proposition de traité simplifié ratifié par la voie parlementaire faite par le Président de la République avec le soutien de la Présidence allemande a replacé la France au cœur de la construction européenne, et a redonné confiance à nos partenaires sur la possibilité d’adapter les institutions de l’Union européenne, qui ne pouvaient fonctionner avec le traité de Nice.

    - Le traité permet de sortir de l’impasse institutionnelle : il adapte les institutions dans le cadre d’une Union européenne qui compte désormais 27 membres et lui permet d’agir et de décider au profit des citoyens européens. Les objectifs de l’Union sont clarifiés : la paix, le bien-être des peuples, l’établissement d’un espace de liberté, de sécurité et de justice, le plein emploi, le progrès social, une économie sociale de marché hautement compétitive, la lutte contre l’exclusion sociale et les discriminations, la protection des citoyens.

    - Le nouveau traité n’est pas une Constitution. Il a pour objectif de restaurer la capacité de décision de l’Union, de placer le citoyen au cœur des institutions européennes, et de prendre en compte les préoccupations exprimées par les Français. La ratification par voie parlementaire se justifie donc pleinement, comme le Président de la République s’y était engagé devant les Français pendant la campagne électorale.

  • Qu'est-ce qu'un député ?

    ad9e4f3e537c026693e9ab764ca9a8b7.jpg


    Le Député et le citoyen :


    Le Député est le représentant de la Nation. Il est à l'écoute de ses concitoyens, qu'il peut recevoir et également visiter. Il s'efforce de trouver une solution aux problèmes qu'ils rencontrent en intervenant auprès des administrations. Il se fait l'écho de leurs préoccupations à l'Assemblée pour critiquer et faire progresser la législation et améliorer son application. Il peut saisir le Médiateur de la république sur un dossier précis afin de trancher un litige entre un particulier et une administration.

    Le Député et le développement local :


    Le Député se préoccupe du développement économique, social et culturel de sa circonscription, en liaison avec les autres élus. Il est l'interlocuteur privilégié et permanent :

    * des maires,
    * des services de l'Etat,
    * des milieux socioprofessionnels,
    * des associations.

    Le Député et le débat politique :


    Le Député est généralement membre d'un parti. A ce titre, il anime le débat politique dans sa circonscription avec tous les habitants. Il est l'acteur principal du débat démocratique quotidien sur le plan local.

  • Les valeurs de l'UMP

    56ae2edc4963421087be9fc7bbf5da2a.jpg



    LE SENS DE L'UNION :

    La politique a besoin d’un souffle nouveau. La création de notre Union représente un tournant politique majeur. Nos familles - gaulliste, démocrate-chrétienne, libérale, radicale, sociale et indépendante -se sont pour la première fois rassemblées dans un seul et grand Mouvement, qui transcende désormais leurs anciennes frontières. Riches de nos différences, nous voulons être forts de notre union et créer une force politique nouvelle, ouverte à tous les Français.

    Nous croyons au rôle éminent des partis. Lorsque les citoyens s’engagent dans un parti, c’est une façon pour eux de faire vivre la démocratie, de se faire entendre, d’apporter leur énergie à un grand projet commun.

    Nous proposons aujourd’hui à nos concitoyens de se rassembler dans une même formation populaire et ouverte à tous. Chacun doit pouvoir s’y exprimer, débattre pour élaborer des idées nouvelles, pour les mettre en oeuvre.


    ÉCOUTER, COMPRENDRE, PARTICIPER, RESPECTER :

    La société française est beaucoup plus informée qu’auparavant. Nos concitoyens perçoivent parfaitement les problèmes de leur avenir et pourtant les Français se sentent souvent seuls et rarement écoutés. L’homme politique doit retrouver sa fonction essentielle de médiateur.

    Écouter : aucun engagement politique n’est durable sans que soient écoutés ceux que personne n’entend.

    Comprendre : être aux côtés de tous nos compatriotes, mesurer les difficultés et les aspirations de chacun.

    Participer : chaque citoyen peut revendiquer le droit de participer à la décision ; cela suppose proximité, démocratie directe, dialogue social. Respecter : aucun point de vue n’est négligeable ; il n’y a ni conviction, ni élan, sans attention prêtée à l’autre.


    ANTICIPER, DÉCIDER, AGIR :

    Le temps du politique dépasse le court terme. Voir plus loin, discerner les problèmes de demain pour construire l’avenir : il faut savoir anticiper.

    Après la concertation, vient le moment des choix. Au-delà des intérêts particuliers, l’homme politique doit dégager la vision de l’intérêt général sans laquelle le lien social se délite. Cela suppose du courage pour affronter les oppositions individuelles. Il faut s’y résoudre et savoir décider.

    Une fois le cap arrêté, il faut le tenir. Il ne suffit pas de voter des lois ou de prendre des décrets, il reste à traduire ces choix dans le réel. Nous voulons restaurer le sens de l’action en politique : donner des objectifs, définir les moyens, contrôler la progression et évaluer les résultats atteints.


    LIBERTÉ :

    La liberté s’exprime naturellement dans le travail et dans toutes les activités créatrices qui sont celles de l’être humain. Nous voulons que soient récompensés, à tous les niveaux, ceux qui s’impliquent et qui cherchent à innover. Le mérite et l’ascension sociale sont les signes d’une société qui progresse. Il faut restaurer la dignité du travail, et le sens de l’effort. Notre société doit particulièrement marquer sa reconnaissance à ceux qui dans leur domaine accomplissent des performances exceptionnelles.
    L’avenir de notre économie, c’est l’innovation, l’imagination, l’envie de créer, la volonté d’entreprendre, l’esprit d’entreprise.


    RESPONSABILITÉ :

    La responsabilité dépasse le seul fait de ne pas enfreindre la loi : c’est la conscience que l’on a certes des droits mais aussi des obligations à l’égard de la communauté. La responsabilité permet de bâtir une société de confiance qui donne la possibilité à chacun de s’épanouir.

    Le développement durable, la coopération internationale et la mise en pratique de bonne mesures de régulation du monde sont l’une des formes modernes de la responsabilité : il existe une solidarité planétaire.


    SOLIDARITÉ :

    La solidarité doit permettre de protéger chacun contre les aléas de la vie : maladie, handicap, dépendance ou chômage. L’Etat est là pour que soit garantie la protection sociale à laquelle les Français sont légitimement attachés.

    Mais la solidarité doit respecter l’individu. Elle ne doit pas se transformer en assistanat, par une distribution uniforme d’aides qui conduit à une forme d’accoutumance. L’assistanat décourage ceux qui travaillent et maintient dans l’inactivité ceux qui sont en difficulté. Le sens de la solidarité, c’est de donner à chacun la possibilité de rebondir et par exemple de se former tout au long de la vie. Cette solidarité, parce qu’elle est plus exigeante, est plus efficace.


    NOTRE NATION :

    La Nation républicaine fonde notre identité commune. Elle est riche d’une histoire dont nous sommes fiers, qui a forgé notre volonté de vivre ensemble. Les valeurs républicaines, notre culture, notre langue, l’attachement à nos paysages et à nos terroirs, la défense d’un système social équilibré et le sens de la création fondent cet attachement. La Nation se vit à travers des symboles comme la Marseillaise, Marianne, le 14 juillet, le drapeau tricolore ou la devise sur le fronton de nos mairies. Ces symboles sont le ciment qui nous rassemble. Ils doivent être maintenus. Le rituel républicain qui permet à tous de prendre conscience de l’appartenance commune doit être revalorisé. Notre pays est celui qui a défendu la liberté et qui a combattu pour les Lumières. La Nation se construit à travers cette volonté de bâtir ensemble une destinée commune qui doit être défendue, dans un monde dangereux et parfois hostile, contre toute les formes de menaces.


    L’EUROPE :

    L’Europe est notre horizon. C’est à la fois une réalité et une aventure. Depuis les années cinquante, grâce à l’œuvre des pères fondateurs de l’Europe, nos démocraties ont décidé de se rassembler et de s’interdire les rapports de haine et de guerre. La paix n’est pas un acquis définitif, c’est le fruit d’une volonté commune qu’il faut poursuivre. Pour nous tous, l’Europe est un élargissement de nos perspectives. Cette diversité entre les pays, conjuguée à la volonté de construire un projet commun, fait la valeur de l’Europe. C’est aussi un formidable stimulant ; en confrontant nos systèmes, nous pouvons progresser.

  • Mes valeurs

    5e9f1b64c23ad8720006e002619e225c.jpg



    C'est ma conviction et mon attachement à un certain nombre de valeurs que je veux défendre pour vous et qui me motivent chaque jour dans mon travail de Député.


    Le Mérite :


    Favoriser et reconnaître l’effort, la prise d’initiative, la prise de risques, l’audace.

    Encourager le bénévolat en le valorisant.

    Permettre à ceux qui trébuchent mais qui souhaitent se relancer, d’être soutenus et récompensés.

    Revaloriser le travail, qui doit nous protéger et nous rassembler, en le repositionnant au coeur de nos choix de société, car c’est dans ce travail que se trouvent la dignité et la sécurité.

    Tout ne se vaut pas. C’est à la société d’établir la hiérarchie des valeurs.


    La Justice :


    Etre plus à l’écoute de ceux qui voudraient faire des efforts, mais qui en sont empêchés par leur handicap, en leur permettant de concrétiser leur projet.

    Faciliter l’accès des personnes handicapées à la pratique d’un sport, par des incitations spécifiques au sein des fédérations locales.

    La justice, c’est aussi la lutte contre toutes les discriminations et contre la délinquance plus précisément. Parce qu'aujourd’hui, la justice est trop faible avec les délinquants, trop dure avec les innocents et indifférente à la souffrance des victimes.

    Je suis sûr que vous aussi pensez que ceux qui ont plus de handicaps ou moins la possibilité de se défendre doivent être aidés davantage.


    La Responsabilité :


    C’est la condition impérative pour conserver notre niveau de protection sociale.

    Recevoir de l’aide lorsque l’on est au chômage, malade ou lorsque que l’on n’a plus rien pour vivre est légitime.

    Mais vivre de l’assistanat, gaspiller les ressources de l’assurance maladie, percevoir indûment des prestations n’est pas acceptable. C’est une rupture du contrat social qui met en péril l’équilibre fragile des régimes sociaux qui nous protègent.

    Il faut aider les plus démunis tant en faisant cesser les abus quels qu’ils soient.

    Ne croyez-vous pas comme moi que chacun a des droits, mais aussi des devoirs ?



    Le Respect :


    C’est une des valeurs qui, pour moi, a le plus besoin d’être réaffirmée car elle est le fondement de toute vie en société.

    Il s’élève dans notre pays un immense besoin de respect. Le morcellement de la société et la défiance entre ses différentes composantes donnent à chacun le sentiment qu’il n’est pas respecté par l’autre.

    L’atteinte au prestige de la Nation, le doute jeté sur l’authenticité des promesses républicaines, l’impuissance de l’Etat et l’oubli des devoirs tarissent l’autorité à sa source.

    Je veux donc tout comme vous le retour d’une société qui redonne au mot respect son véritable sens.


    La Confiance :


    Il faut cesser de compliquer la vie de la quasi-totalité des ménages, des entreprises, des collectivités territoriales et des associations, pour régler les problèmes posés par une minorité.

    Il est urgent de simplifier les structures, d'arrêter la machine à produire de la complexité (qui ne résout rien) et se concentrer sur les priorités.

    C’est la mission de l’Etat que de garantir les principes fondateurs, préserver la cohésion sociale et régler les difficultés qui relèvent de sa compétence.

    La confiance que chacun aura en lui même démultipliera la confiance collective.

    Je vous propose qu’ensemble, nous rétablissions ce lien privilégié.