Twitter : TOP 20 des personnalités politiques sur les 31 derniers jours
Classement du 8 février au 9 mars 2012
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Classement du 8 février au 9 mars 2012
Dimanche 11 mars
MEETING
Nicolas Sarkozy
à
VILLEPINTE
Pensez à vous inscrire au plus vite auprès de la Permanence UMP 74
04 50 46 84 52
Dauphiné Libéré du 7 mars
Sur la taxation à 75 % à partir d’1 million de revenus :
La proposition de François HOLLANDE va plus loin que la décision de Pierre MAUROY en 1981, qui, avec des ministres communistes au Gouvernement, avait porté la dernière tranche de 60 à 65 %. Même avec des communistes au Gouvernement, ils n’avaient pas fait 75 %
La proposition de François HOLLANDE ne rapportera rien : à 75 % de taxation (83 % avec la CSG), personne ne restera en France. 75 % sur des gens qui sont partis, cela fait 0 euros dans les caisses de l’Etat. Mieux vaut 53 % avec des gens qui restent, que 75 % avec des gens qui partent (pour mémoire : taux de taxation à l’impôt sur le revenu pour 1 million de salaire = 45 %, + CSG = 53 %).
Les gens partiront parce que le taux de 75 % n’existe nulle part ailleurs en Europe. Encore une fois François HOLLANDE fait un choix que personne ne fait en Europe (même chose sur les retraites, le 1 sur 2 etc.), même dans les Gouvernements socialistes.
Sous couvert de parler des grands patrons, il faut que François HOLLANDE dise aux artistes, aux acteurs et aux sportifs qu’il va les taxer à 75 %. Il faudra qu’il le dise aussi au Maire de Paris, Monsieur DELANOE, qui finance, avec l’argent des contribuables parisiens, l’arrivée à prix d’or de stars internationales au PSG.
Le problème, ce n’est pas de taxer à 75 %, c’est d’interdire les formes de rémunération qui choquent (retraites chapeaux, parachutes dorés), c’est de rendre aux salariés et aux actionnaires le pouvoir sur la détermination des rémunérations des dirigeants. C’est ce que fait Nicolas SARKOZY (représentant des salariés dans les comités de rémunération ; vote par l’AG des actionnaires des rémunérations des dirigeants).
Hollande était contre le 28 janvier 2011 ...
Sur la cotisation dépendance :
Après l’augmentation des cotisations sociales pour financer le retour en arrière sur les retraites, François HOLLANDE crée une cotisation sociale supplémentaire pour la dépendance. Le résultat sera identique : la fiche de paye des salariés va baisser.
Le taux de taxation à 75 % sera à cacher cette réalité : sa politique baissera les salaires nets. Un seul exemple, le recul sur les retraites, pour un couple payé 1500 € net chacun, c’est près de 250 euros de moins sur la fiche de paye.
Nicolas SARKOZY avait lui créé une réduction d’impôt spécifique pour les personnes dépendantes. Cela ne pèse pas sur la fiche de paye, cela ne pèse pas sur les entreprises, et ça aide concrètement les personnes confrontées à cette situation difficile.
Sur la proposition de loi Hollande sur les fermetures d’usine :
Pour information : la proposition de loi présentée par François Hollande oblige le groupe envisageant la fermeture d’un site industriel à examiner les offres de reprise en présence, et à le céder au repreneur dont le projet aura été validé par le tribunal de commerce et approuvé par un avis positif des instances représentatives du personnel.
Le problème de la proposition de loi de François HOLLANDE, c’est qu’elle ne répond pas au sujet :
Et le problème du programme de François HOLLANDE, c’est qu’il va réduire les perspectives de trouver des repreneurs pour toutes les entreprises en difficultés : l’augmentation des charges sur les entreprises pour financer le retour en arrière sur les retraites, la remise en cause de la réforme de la taxe professionnelle, la réduction des allègements de charges sur les bas salaires, la remise en cause de notre parc nucléaire, tout ceci va augmenter le coût du travail, de l’énergie, de l’investissement, et au final dissuader la reprise d’activité en France.
Lors de son Assemblée générale extraordinaire samedi dernier, et suite au désistement de son candidat Hervé Morin, la formation politique du Nouveau Centre a voté à plus de 85% son ralliement à la candidature de Nicolas Sarkozy pour les élections présidentielles.
Le Nouveau Centre, au niveau national, a ainsi confirmé son appartenance à la majorité présidentielle : la motion de soutien à François Bayrou n'a remporté que 15% des suffrages.
Au niveau local, le président et les vice-présidents du Nouveau Centre 74 ont confirmé leur soutien à la candidature de François Bayrou à l'élection présidentielle, bien avant que leur candidat ne se retire (sympa pour Hervé Morin) ... et depuis samedi en complet désaccord avec le vote des militants au niveau national ...
Vous me voyez exercer le poste de président ou de vice-président de l'UMP 74 (ce que je ne suis pas) et annoncer mon soutien à la candidature à la présidentielle de Dominique de Villepin ou de Christine Boutin (pourtant élue UMP), sans annoncer dans la foulée ma démission des instances dirigeantes de l'UMP départementale.
Le ridicule ne tue pas, mais un peu d'amour propre devrait appeler certains à la démission.
On est dans la majorité présidentielle ou on ne l'est pas : les électeurs ont besoin d'avoir un positionnement clair de leurs élus ... afin de pouvoir voter aux présidentielles et aux législatives en toute connaissance de cause.
Qu'en pensent les militants du Nouveau Centre 74 ????
Dauphiné Libéré du 29 février
Essor du 1er mars
Est-ce que la personnalité politique la plus « influente » sur Twitter est celle qui a le plus d’abonnés ? Est-ce celle qui est la plus active ? Est-ce celle dont on parle le plus ? Est-ce celle qui est la plus sociable ? La personnalité politique la plus influente sur Twitter est celle qui a en fait le meilleur équilibre entre tous ces indicateurs !
D’après notre étude basée sur les 31 derniers jours d’activité (du 25/12/2011 au 24/01/2012) des comptes Twitter des personnalités politiques françaises (partis et comités de soutien exclus) :
· François Hollande est le plus suivi avec 116 747 abonnés, suivi par Nathalie Kosciusko-Morizet avec 110 381 abonnés et vient ensuite Benoit Hamon avec 87 287 abonnés.
· Gérard Filoche est le plus actif avec 932 tweets, suivi par Eric Besson avec 741 tweets et Nadine Morano avec 432 tweets.
· Nadine Morano est la plus populaire avec 13 966 mentions, suivi par François Hollande avec 10 019 mentions et François Bayrou avec 5 304 mentions.
· Eric Besson est le plus sociable avec 907 citations, suivi par Gérard Filoche avec 462 citations et Lionel Tardy avec 437 citations.
· Eric Besson est le plus influent avec un score de 95,6/100, suivi par Nadine Morano avec un score de 95,3/100 et Jean-Luc Mélenchon avec un score de 84,6/100.
· Nadine Morano, Anne Hidalgo, Valérie Pécresse et Eric Besson sont présents dans les cinq TOP20 des personnalités les +suivies, les +actives, les +populaires, les +sociables et les +influentes.
Quelques explications pour aider à la lecture du tableau :
· Les +suivies : Les personnalités politiques qui ont le plus d’abonnés (followers)
· Les +actives : Les personnalités politiques qui ont publié le plus de messages (tweets)
· Les +populaires : Les personnalités politiques qui ont été les plus citées part d’autres comptes twitter (@mentions)
· Les +sociables : Les personnalités politiques qui ont les plus cité d’autres comptes twitter (@citations)
· Les +influentes : Les personnalités politiques qui ont la plus forte résonance des tweets qu’elles publient. Le Score Influence est un indicateur évalué de 0 à 100 qui est notamment construit en fonction des 4 valeurs précédentes et sur les 31 derniers jours d’activité.
L’essentiel :
Le Président de la République a annoncé une nouvelle étape de transformation de notre pays, dans le respect du calendrier qu’il a annoncé au Français le 31 décembre dernier : sommet social le 18 janvier, consultations jusqu’à la fin du mois, décisions fin janvier pour une mise en œuvre immédiate.
Le Président de la République a rappelé son objectif : faire que la France soit plus forte dans le nouveau monde qui sortira de la crise. A l’heure où la crise ébranle les économies les plus solides de la zone euro, il ne peut y avoir de pause. Pendant 6 mois, le Président et ses homologues européens se sont battus pour juguler la crise financière. Le Président veut relever maintenant le défi de la crise économique. Le nombre de chômeurs s’accroit. Il faut donc poursuivre les réformes pour prendre le prochain train de la croissance. Ceux qui disent qu’il faut les reporter à plus tard sont irresponsables.
L’enjeu, c’est l’avenir de la France et des générations futures. La France est un grand pays : elle a de nombreux atouts, une économie solide, une bonne cohésion sociale, un système de formation efficace. Mais elle doit se battre pour garder sa place dans un monde de plus en plus dur, touché par une crise sans précédent. Elle doit réduire l’écart de compétitivité avec ses concurrents, notamment l’Allemagne, qui n’ont pas subi les 35 heures. Si elle fait les bons choix, la France maitrisera son destin. Pour surmonter ses difficultés, elle doit avoir le courage de poursuivre les réformes. C’est ce que propose Nicolas SARKOZY, en affrontant la réalité avec lucidité.
Pour que la France soit plus forte dans la mondialisation, le Chef de l’État a annoncé des réformes justes. Elles rendront notre économie plus compétitive avec un objectif prioritaire et cohérent : l’emploi. Elles visent à combattre les délocalisations, créer davantage d’emploi pour les Français, et mettre à contribution la finance pour réparer les dégâts de la crise.
Face à la crise, Nicolas SARKOZY oppose la vérité sur la situation et le courage de l’action. Pas de promesses intenables, pas de rêve chimérique, mais des réformes structurelles pour que notre pays puisse affronter le monde. La France qui sortira plus solide de la crise, c’est une vie meilleure pour les Français : des emplois plus nombreux, des salaires en hausse, plus de logements, plus grands et moins chers.
Dauphiné Libéré du 24 janvier
Essor du 19 janvier
Bourse Plus du 23 décembre
Dauphiné Libéré du 15 décembre
Essor du 15 décembre
Direct Matin du 12 décembre
Petit retour sur les Assises du Numériques, auxquelles j'ai assisté la semaine dernière et qui ont été clôturées par le Premier Ministre.
Eric BESSON, Ministre chargé de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie numérique, a présenté le bilan du plan France numérique 2012 et les orientations du plan France numérique 2020, lors des Assises du numérique le 30 novembre 2011.
L’économie numérique est un des principaux moteurs de la croissance mondiale. Elle contribue à un quart de la croissance de l’économie française et elle est génératrice d’emplois. Le secteur numérique a en effet créé 700.000 emplois nets en 15 ans et en créera 450.000 supplémentaires d’ici 2015.
Le plan France Numérique 2012, présenté le 20 octobre 2008, dont l’ambition était de replacer la France parmi les grandes nations numériques, s’est traduit par une volonté de diffusion des technologies de l’information et de compétitivité des entreprises. Les principales réalisations de ce plan sont les suivantes :
Dans le prolongement du Plan France numérique 2012, le Ministre a annoncé le lancement d’un Plan France numérique 2020 comprenant 57 objectifs prioritaires, notamment :
Dauphiné Libéré du 17 novembre 2011
Essor Savoyard du 29 septembre 2011
Le site www.nossenateurs.fr est lancé aujourd'hui par le collectifs Regards Citoyens.
Ce site, qui est le pendant du site www.nosdeputes.fr, dont le lancement avait fait du bruit dans la sphère politique,recense toute l'activité parlementaire des sénateurs ... un vrai bijou, particulièrement instructif à 4 jours des élections sénatoriales !
Je vous recommande de consulter la fiche de vos sénateurs avant de voter !
Les sénateurs plus assidus que les députés (Le Point)
Lien vers ma fiche sur nosdeputes.fr
Essor Savoyard du 7 septembre
Essor Savoyard du 25 août
Éléments de contexte :
Les principaux points à retenir du Sommet :
Éclairages :
Le sommet des chefs d’Etat et de Gouvernement de la zone euro, un succès en trompe-l’oeil ?
Quel est le montant total et la durée du programme pour la Grèce ?
Comment le plan améliore-t-il la soutenabilité de la dette grecque ?
L’accord auquel nous sommes parvenus va permettre à la Grèce de poursuivre les efforts considérables qu’elle a engagés, grâce à :
Enfin, la clé de voûte de la soutenabilité de la dette, c’est la croissance. En ce sens, la mobilisation des fonds structurels européens au service de la compétitivité dans le cadre d’un véritable plan Marshall européen répondra au nécessaire renforcement de la croissance potentielle.
Pourquoi avoir pris le risque de mettre la Grèce en défaut sélectif ?
Pourquoi avoir renoncé à une taxe de stabilité financière ?
Pourquoi le cas de la Grèce est-il différent de celui de l’Irlande et du Portugal ?
La situation est très différente, tant sur le plan politique qu’économique.
Etes-vous certain qu’avec les mesures prises aujourd’hui, la contagion de la crise de la dette souveraine sera stoppée ?
Ce qui stoppera la contagion, c’est d’abord la volonté politique, la détermination unanime des Européens à agir !
Combien le nouveau plan d’aide à la Grèce va-t-il coûter à la France ?
Depuis 2007, une politique migratoire ferme et équilibrée
Lutter avec détermination contre toute forme d'immigration illégale :
Pour assurer sa cohésion, une société a besoin de réguler son immigration. La France reste attachée et fidèle à sa tradition d'accueil. Nous avons le devoir d’accueillir et de favoriser l’intégration des étrangers qui sont autorisés à entrer et à séjourner dans notre pays. En cela, la France est l’un des pays les plus ouverts du monde.
Cependant, notre politique migratoire doit demeurer ferme. Le Gouvernement engage tous les moyens nécessaires pour lutter efficacement contre l'immigration irrégulière. Nous ne pouvons en effet accepter que se maintiennent sur notre territoire des personnes qui ne sont pas autorisées à y séjourner.
En ce sens, depuis 4 ans, la politique du Gouvernement ne faiblit pas. Les résultats sont là ! Avant 2001, la France reconduisait dans leur pays d'origine entre 8 000 à 9 000 personnes en situation irrégulière par an, aujourd'hui ce sont environ 30 000 personnes qui, chaque année, sont éloignées du territoire français :
Le Gouvernement se refuse à procéder à des régularisations massives, comme ce fut le cas entre 1997 et 2002, lorsque 76 500 sans-papiers avaient été régularisés. Notre souhait est de régulariser au cas par cas, dans le souci d'éviter les "appels d'air" et de susciter de faux espoirs à des candidats à un "eldorado" européen idéalisé. En 2010, seules 2 500 personnes ont été régularisées.
Réguler l'immigration légale :
La question de l'immigration ne se limite pas à la lutte contre l'immigration clandestine. Notre politique doit aussi passer par une bonne capacité d’intégration des étrangers. Faire en sorte que les Français aient une relation paisible avec ceux que nous accueillons sur notre territoire. Or aujourd'hui, nous faisons le constat que l'intégration ne fonctionne plus et nous devons réagir. 24 % des étrangers non-européens présents sur le territoire sont des demandeurs d'emploi !
Dans ce contexte économique difficile, nous souhaitons désormais mieux réguler l'immigration légale. Celle-ci sera revue à la baisse dès cette année et passera de 200 000 à 180 000.
Tout responsable politique doit tenir compte de cette réalité. Nos voisins espagnols, anglais, allemands se posent les mêmes questions et les traitent sans susciter la polémique et l’amalgame. Le Gouvernement de David CAMERON a affiché un objectif de réduction de moitié du flux migratoire vers la Grande-Bretagne.
Vendredi 22 avril 2011
Le Gouvernement doit relever de nouveaux défis
Adapter nos moyens à l'évolution de l'immigration irrégulière :
L'immigration évolue et la France doit sans cesse adapter sa législation et développer des technologies nouvelles de lutte contre l'immigration clandestine :
Maitriser les nouvelles vagues d'immigration aux frontières de l'Union européenne :
Depuis plusieurs semaines, la France doit faire face à l'arrivée de milliers de migrants tunisiens qui, une fois en Italie, souhaitent entrer sur notre territoire.
Avec l’approbation de la Commission européenne, la France applique à la lettre les accords de Schengen. Ainsi, nous renvoyons immédiatement vers l'Italie les personnes qui ne rempliraient pas les conditions nécessaires pour être autorisées à circuler dans l'espace Schengen, à savoir détenir des documents d'identité valides et justifier de ressources suffisantes pour vivre pendant son séjour.
L’effectivité de cette réponse est assurée par le déploiement d'une patrouille de CRS supplémentaire à la frontière franco-italienne, afin d'épauler les services de police et de gendarmerie.
L’immigration en Europe c’est d’abord un enjeu et un défi européen ! C'est pourquoi, les ministres de l'Intérieur de l'Union européenne ont décidé d’envoyer, dans le cadre de FRONTEX, sur les côtes tunisiennes, des patrouilles aériennes et navales afin d'empêcher les départs d'immigrés illégaux. Nous devons convaincre nos partenaires européens que la solution ne réside pas dans la régularisation massive des migrants, mais dans la prévention de l’émigration illégale.
Au-delà, nous devons renforcer notre partenariat avec les pays d’émigration, en les accompagnant dans leurs efforts de démocratisation et de développement économique.