Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

qe - Page 4

  • Ma Question écrite de la semaine

    961567148.jpg
    Question à Monsieur le Secrétaire d'Etat aux Anciens combattants

    Thème : PMI, pension, Marine
    Date de publication au Journal Officiel : 03/11/2015

     

    M. LIONEL TARDY alerte Monsieur le secrétaire d’Etat aux anciens combattants sur l'alignement des indices des taux de pensions militaires d'invalidité (PMI). Depuis 1959, une différence d’indice existe en effet entre deux militaires d'un même grade, selon qu’ils faisaient partie de la Marine ou des autres armées pour l'autre. Cette disparité a été corrigée par le décret n°2010-473 du 10 mai 2010, mais uniquement pour les personnes qui ont obtenu une PMI après la date d’application du décret. Pour les autres, cette inégalité persiste. Certains bénéficiaires sont engagés dans des actions en Justice, dans lesquels ils obtiennent parfois gains de cause. Un changement clair doit donc intervenir rapidement pour permettre aux militaires concernés d’obtenir une juste réparation, avec la revalorisation de leur pension sur demande. Il souhaite connaître quand il compte mettre fin à cette inégalité et procéder à cette modification.

    171655.JPG

  • Ma Question écrite de la semaine

    961567148.jpg
    Question à Monsieur le Premier ministre

    Thème : circulaire, entreprises, PME
    Date de publication au Journal Officiel : 27/10/2015

     

    M. LIONEL TARDY interroge Monsieur le Premier ministre sur sa circulaire du 12 octobre 2015 concernant l’évaluation préalable des normes et la qualité du droit. Cette circulaire – attendue depuis longtemps – impose une fiche d’impact pour les textes ayant un « impact significatif en termes de charges nouvelles ou d’économie pour les entreprises et le public ». Si les textes n’ont pas fait l’objet d’échanges préalables avec le Conseil de la simplification pour les entreprises, le Secrétariat Général du Gouvernement (SGG) pourra leur faire passer un « test PME » auprès d’un panel d’entreprises pour une durée de six semaines. Il souhaite, d’une part, savoir comment il compte rendre possible la réalisation de ces éventuels « tests PME », sachant qu’entre la finalisation d’un projet de loi et sa présentation en Conseil des ministres, le délai est souvent de moins de six semaines. Il souhaite, d’autre part, connaître la façon dont la fiche d’impact pourra mesurer l’ajout de charges administratives sur les entreprises, dans la mesure où cet ajout est difficilement quantifiable, et alors que le seul critère retenu par la circulaire est celui du coût financier (500 000 euros au moins pour l’ensemble des entreprises, et 10 000 euros au moins pour une entreprise).

    151524.JPG

  • Ma Question écrite de la semaine

    Rappel : depuis cette semaine, les Questions écrites sont plafonnées à une par député et par semaine (j'en posait 5 par semaine en moyenne)... Cette mesure décidée par l'Assemblée va limiter mon travail parlementaire et les remontées des interrogations des habitants ma circonscription (voir mes articles).

    logobleu.jpgQuestion à Madame la Ministre du Logement
    Thème : ALUR, copropriétaires, instances représentatives
    Date de publication au Journal Officiel : 13/10/2015

     
    M. LIONEL TARDY attire l’attention de Madame la ministre du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité sur la mise en place de la Commission de Contrôle des Activités de Transaction et de Gestion Immobilières (CCATGI). La loi ALUR a créé cette commission au sein de le la loin° 70-9 du 2 janvier 1970 réglementant les conditions d'exercice des activités relatives à certaines opérations portant sur les immeubles et les fonds de commerce(article 13-5). Toutefois, le décret en Conseil d’Etat sur la composition et le fonctionnement de cette commission n’a, à ce jour, pas été pris. Il souhaite savoir quand elle compte publier ce décret, et la place qu’elle compte accorder aux copropriétaires dans cette commission.

    alur,copropriétaires,immobilier,décret,question écrite,qe

  • Mes questions écrites de la semaine

    Rappel : à compter de la semaine prochaine, les Questions écrites seront plafonnées à une par député et par semaine (j'en pose 5 par semaine en moyenne)... Cette mesure décidée par l'Assemblée va limiter mon travail parlementaire et les remontées des interrogations des habitants ma circonscription (voir mon article).

    questions écrites,qe,simplification,décrets,taxes,schwartz,procédure212855.JPG213021.JPG213136.JPG213228.JPG213313.JPG213431.JPG213512.JPG213541.JPG213606.JPG

  • Questions écrites : un plafond pour limiter le travail des parlementaires !

    L'Assemblée nationale vient de s'autocensurer, en prévoyant un plafond du nombre de questions écrites par an et par député.

    Je m'étais prononcé contre cette décision lors de la réforme du Règlement en 2014, mais cette fois la majorité semble bien décidée à limiter l'activité des députés.

    Le Président de l'Assemblée, Claude Bartolone, vient d'annoncer Par courrier en date du 18 juin (tout un symbole) que chaque député aura désormais droit à 52 questions écrites par an (une par semaine). La raison : les ministères seraient submergés...

    C'est très insuffisant, sachant que j'utilise ces Questions écrites comme un moyen de faire remonter les questions du terrain, la possibilité d’interpeller les ministres via les Questions aux Gouvernement et les Questions Orales Sans Débat étant trop rare (2 à 3 fois par an et par député).

    Chaque semaine, je dépose ces Questions et j'en publie quelques unes sur mon blog. Elles sont issues de demandes de haut-savoyards, de la lecture quotidienne du Journal officiel et d'interrogations juridiques.

    Je n'ai pas du tout l'impression d'abuser de la procédure. Chaque question a sa raison d'être et appelle une réponse des ministres interrogés.

    Sur les 12 derniers mois, j'ai posé 318 questions écrites (7ème député le plus actif sur ce critère selon le site nosdeputes.fr).Je suis donc largement au-dessus du plafond et vais devoir restreindre mon activité... ! C'est un outil indispensable de contrôle de l'action du gouvernement, dont on nous prive.

    La lettre de Claude Bartolone envoyée aux députés :

    175121.JPG

    174812.JPGUn échantillon de mes questions écrites, publiées chaque semaine

  • Mes questions écrites sur le droit d'information préalable des salariés concernant le cession de leur entreprise ... mesure applicable au 1er novembre

    En mai dernier, l'Assemblée nationale votait, dans la loi sur l'économie sociale et solidaire (ESS), deux articles sur l'information obligatoire des salariés en cas de cession de leur entreprise (au moins 2 mois à l'avance).

    L'intention de départ n'est pas mauvaise (préserver coûte que coûte des emplois), même si le risque de voir une entreprise saine disparaître faute de repreneur est très très faible (moins de 0,5% des cas).

    Mais à cause d'une méconnaissance totale du monde de l'entreprise, le résultat est catastrophique. 

    cette mesure peut gravement nuire au bon fonctionnement de l'entreprise, comme je l'avais expliqué à l'époque dans l'hémicycle :


    Aujourd'hui, le dispositif prévu par Benoit Hamon (alors ministre) prend l'eau.

    Les décrets d'application de cette mesure ne sont à ce jour pas parus ... pour une application au 1er novembre, c'est à dire dans dans 8 jours !

    Les entreprises sur le point d'être cédées au 1er novembre, auraient donc dû informer leurs salariés deux mois avant (en septembre), sans en connaître les modalités pratiques, et risquent des pénalités, voire une annulation pure et simple de la vente !

    C'est pourquoi j'ai posé 5 questions écrites (ci-dessous) afin d'éclairer les entreprises et les salariés concernés qui sont dans le flou le plus total.

    Pire : les décrets, qui vont sans doute sortir dans l'urgence, s'annoncent très complexes, à tel point qu'il faudra un guide d'application pour les comprendre (voir cet article des Echos).

    En tout cas, les objections que j'avais soulevées il y a 6 mois sont toujours là (obligation de "publicité" et donc problèmes de confidentialité de la vente vis-à-vis des concurrents, des clients et des fournisseurs, notamment .. quand bien même le chef d'entreprise a déjà trouvé un repreneur).

    Encore une fois, on vient ajouter de nouvelles obligations incompréhensibles sur toutes les entreprises de moins de 250 salariés pour une mesure qui ne concernera au final que quelques entreprises qui risquent de disparaître faute de repreneur (ou plutôt de mauvaise santé financière) ou soi-disant faute de dialogue entre le dirigeant cédant et ses salariés ... alors que le dirigeant a tout intérêt, ne serait-ce que financièrement, de trouver un repreneur, plutôt que de voir son entreprise, souvent le fruit d'une vie de travail, disparaître.

    Quelle méconnaissance du monde économique. Vous avez dit choc de simplification ?

    J'ai évoqué cette situation hallucinante ce matin lors de la réunion du groupe d'étude sur l'Economie sociale et solidaire : 

    paris,qe,lionel tardy,assemblee nationale

     

    Mes questions écrites de la semaine à ce sujet :

    10 - 22oct14 QE LT   0001.jpg

    10 - 22oct14 QE LT   0002.jpg

    10 - 22oct14 QE LT   0003.jpg

    10 - 22oct14 QE LT   0004.jpg

    10 - 22oct14 QE LT   0005.jpg