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Lionel TARDY - Page 305

  • Jeux inter villages à DUINGT

    Grosse ambiance pour les jeux inter villages, organisés cette année sur la plage de Duingt.

    Les maires des communes participantes sont venus en force pour soutenir leurs troupes.

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  • Fête du cidre à DOUSSARD

    Pénurie de cidre à Doussard.

    Le beau temps aidant, plus de 1500 litres de cidre ont été fabriqués et vendus sur place.

    Une belle fête traditionnelle.

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  • Festival du cinéma italien à ANNECY

    Soirée de clôture et palmarès ce samedi soir à Bonlieu.

    Le Grand Prix Annecy Cinéma italien 2008 a été remporté par "Se Chiudi gli occhi" de Lisa Romano.

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  • Journées Parlementaires à JUAN-LES-PINS

    Les présidents du groupe UMP à l'Assemblée (Jean-François Copé) et au Sénat (Henri de Raincourt), ainsi que les présidents de l'Assemblée (Bernard Accoyer) et du Sénat (Gérard Larcher) se sont succédés à la tribune.

    Henri de Raincourt a fustigé un PS sans solutions.

    Copé a réaffirmé tout le rôle du politique en temps de crise : dès que les choses vont mal, on se tourne vers l'Etat.

    Il a rappelé, en ce qui concerne la crise financière, qu'il était important, à l'image de la démarche du Président de la République, de dire les choses et d'apporter des solutions : diagnostic le week-end, puis intervention ciblée sur Dexia, puis a nouveau intervention en amont concernant le risque de resserement du crédit en libérant 22 milliards de liquidités sur le marché (tout celà en une semaine).

    Il a rappelé qu'il y avait de la liquidité sur le marché, mais qu'il manquait avant tout de la confiance.

    Puis il a énuméré tous les atouts de la réforme constitutionnelle, le travail fait en un an et vanté la coproduction législative entre le gouvernement et les assemblées.

    Jean-François Copé a annoncé le lancement de la réforme REGION / DEPARTEMENT qui sera conduite par les deux assemblées.

    Puis Bernard Accoyer a axé son discours sur la réforme du règlement intérieur de l'Assemblée nationale et a rappelé sa volonté de lutter contre l'absentéisme des députés.

    Enfin, Gérard Larcher a annoncé qu'un débat publique, à l'Assemblée et au Sénat, aurait lieu mardi et mercredi prochain, concernant la crise financière internationale.

    Il a rappelé, suite au attaques contre le Sénat, que la qualité de la réponse politique était la meilleure réponse à l'antiparlementarisme.

    Enfin, le Premier Ministre a rappelé que 2/3 des engagements de la campagne avaient été tenus en 18 mois et qu'il fallait poursuivre les réformes, dans un contexte difficile (discours joint ci-dessous).

    Discours de François Fillon.pdf

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  • Journées parlementaires UMP à JUAN-LES-PINS

    Les débats de ce jeudi matin ont été particulièrement intéressants.

    La réforme constitutionnelle et la révision du règlement intérieur de l'Assemblée doivent changer le rôle des députés et permettre de retrouver davantage d'efficacité dans les débats.

    Tout le monde s'accorde a dire que nous légiférons beaucoup trop (2000 pages de lois par an), au détriment du contrôle et de l'évaluation et que trop de lois sont issues du Gouvernement.

    La mise en place de l'ordre du jour partagé va changer les choses :

    • Sur 4 semaines de travail, 1 semaine sera réservée au contrôle, l'idée étant de demander aux ministres de rendre compte, dans l'hémicycle, du suivi de leurs textes (une vraie révolution).
    • Sur 4 semaines de travail, 2 seront réservées au Gouvernement
    • Sur 4 semaines de travail, 1 semaine sera réservée au députés pour qu'ils puissent s'approprier et présenter des textes lourds (aujourd'hui, les députés doivent se contenter de niches parlementaires d'une demi-journée pour présenter leurs propres textes)

    L'ordre du jour partagé pose également d'autres questions :

    • Comment choisir les thèmes de travail et suivant quelle procédure
    • Quels moyens (à budget constant) sont mis à disposition des députés pour leur permettre d'écrire la loi (au lieu de se contenter d'amender)
    • Comment réorganiser le travail des députés au sein du groupe (travail en équipe)

    Toutes ces questions reportent à une question majeure : celà nécessitera un engagement plus fort des députés à Paris, avec au moins 3 jours de présence par semaine ==> sont-ils prêts à celà ?

    De nombreux députés ont réagit :

    • Certains souhaitent que le rôle des administrateurs de l'Assemblée soit revus
    • Ils veulent que l'on puisse utiliser les différents personnels des corps d'inspection (celà ne coûte rien, mais pose le problème de la séparation des pouvoirs)
    • Il faut également que l'on soit en amont sur les textes débattus au niveau de l'Europe (beaucoup de directives européennes nous sont imposées)
    • On doit utiliser davantage les rapports des corps d'inspection et de la cour des comptes

    La problématique de la discussion des textes en commission a également donné lieu à de forts débats : celà doit permettre de remédier au caractère superficiel de certains débats et des redites dans l'hémicycle.

    Là aussi, de nombreuses réactions :

    Faut-il arrêter la double navette (chaque texte passe 2 fois au Sénat et à l'Assemblée) et privilégier la procédure d'urgence : une seule lecture par le Sénat et l'Assemblée. Si le travail en commission est sérieux, celà ne pose pas de problème.

    Les ministres devront-ils être systématiquement présents en commission. Quid de leur emploi du temps ?

    Il ne faut plus que des amendements puissent être déposés en séance

    • Doit-on imposer aux débats un temps de parole global ?
    • Sur le droit d'amendement, là aussi de nombreuses questions :
    • Il faut connaitre la durée d'examen d'un texte pour savoir à quel moment on aura à défendre son amendement.
    • Il faut limiter la durée des débats pour limiter les séances de nuits ou s'enchaînent obstructions, suspensions de séance, rappels au règlements

    Le débat sur le contrôle et l'évaluation a été également très dense et il serait trop long d'en reprendre tous les élements : c'est un vrai enjeu.

    Jeudi après-midi était consacré à France 2025, débat animé par Eric Besson.

    Là aussi, beaucoup de choses à dire ... mais il me faudrait des heures.

    Je vous invite à visiter les sites suivants : 

    www.france2025.fr

     www.prospective.gouv.fr

    Le repas du soir a été l'occasion de féliciter Gérard Larcher pour son élection à la présidence du Sénat.

    La matinée de vendredi est réservée aux discours et à l'intervention de François Fillon, Premier Ministre.

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  • Journées parlementaires UMP à JUAN-LES-PINS

    Arrivée ce mercredi après-midi à Juan-les Pins pour participer aux journées parlementaires de l'UMP.

    Au programme de jeudi matin :

    Parlementaire, une mission à réinventer

    • 1ère partie : Le Parlement prend l'initiative
    • 2ème partie : Mieux évaluer, mieux évaluer

    Puis jeudi après-midi :

    Les parlementaires au coeur des nouveaux défis européens pour préparer la France de demain

    Présentation par Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la prospective et de l'économie numérique, de la démarche "France 2025".

    • 1ère partie : Le politique face à la mondialisation
      • L'Europe face aux grands bouleversements de la mondialisation à l'horizon 2015
    • 2ème partie : Citoyens européens : nouvelles protections pour nouveaux risques
      • S'adapter aux nouveaux risques sociaux
      • Energies rares et environnement menacé, des priorités pour l'Union européenne

    Le soir :

    Réunion militante au Palais de la Méditerranée à Nice

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  • Forum de l'emploi à MEYTHET

    Inauguration du Forum de l'Emploi qui se déroule sur 2 jours à Meythet.

    Cette journée de mercredi est une journée où sont présentés l'ensemble des métiers, et la journée de jeudi sera plus particulièrement dédiée aux métiers liés au développement durable.

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  • La revalorisation des retraites agricoles

    LES CHIFFRES :

    • 233 000 : c’est le nombre d’agriculteurs qui vont bénéficier d’une amélioration de leur retraite grâce à cette revalorisation.
    • 17,5 : c’est le nombre d’années de cotisations nécessaires pour bénéficier du montant minimum de retraite, contre 22,5 actuellement.
    • 400 euros: c’est la retraite que touchent les veuves des agriculteurs sans droits propres.

    L’ESSENTIEL :

    • A l’occasion du salon SPACE qui s’est tenu à Rennes le 10 septembre 2008, François Fillon a annoncé une revalorisation des petites retraites agricoles.
    • La majorité des anciens agriculteurs et agricultrices ont une retraite très faible. La très grande majorité des veuves sans droits propres à la retraite ont une pension de moins de 400 euros.
    • Le Premier ministre a annoncé la création d’un montant minimum de retraite et l’extension à toutes les veuves du bénéfice d’une pension de réversion du régime de retraite complémentaire obligatoire.
    • C’est une mesure simple, qui permet d’établir un filet de sécurité pour tous.
    • C’est une mesure d’équité, qui améliore la situation des retraités les plus modestes et qui répond aux priorités des associations de retraités.

    POURQUOI CETTE REVALORISATION ?

    • Parce que certains retraités agricoles, leurs épouses ou leurs veuves qui ont eu des carrières incomplètes n’ont pas bénéficié des majorations de pensions qui sont intervenues ces dernières années et ont des pensions d’un niveau très faible.

    CONCRETEMENT, EN QUOI CONSISTE LA GARANTIE D’UN MONTANT MINIMUM DE RETRAITE ?

    • Cette garantie :
      • correspond au montant du minimum vieillesse au 1er septembre 2008 pour les retraités qui ont eu des carrières complètes, soit 633 euros pour les agriculteurs et pour les veuves et 506 euros pour les conjoints ;
      • est proportionnelle à la durée de cotisations pour ceux dont la carrière est incomplète ;
      • bénéficie à tous ceux dont les pensions ne dépassent pas 750 €, tous régimes confondus ;
      • sera accessible pour tous dès 17 ans et demi de cotisations.
    • Grâce à cette mesure, c’est près de 233 000 personnes qui bénéficieront d’une amélioration de leur retraite dont 196 000 dès 2009.

    LA SITUATION DES VEUVES VA-T-ELLE S’AMELIORER ?

    • Absolument. Il est prévu que les veuves d’exploitants agricoles pourront bénéficier à partir de 2010 d’une réversion sur la pension du régime complémentaire obligatoire agricole de leur conjoint :
    • 64 000 veuves vont en bénéficier.
    • De plus, les pensions des veuves, qui n’étaient jusque là revalorisées qu’à partir de 32 ans et demi de cotisation, le seront, comme les autres pensions, à partir de 17 ans et demi.
  • La politique de santé et la réforme du système du soins

    LES CHIFFRES : 

    • 200 Mds d’euros : c’est le montant de nos dépenses de santé aujourd’hui.
    • 7% : c’est la part consacrée à la prévention dans ces dépenses.
    • 46% : c’est la part consacrée à l’hôpital dans ces dépenses.
    • 2011 : c’est la date à laquelle l’assurance maladie doit revenir à l’équilibre.

    L’ESSENTIEL :

    • Avec l’évolution des modes de vie, de nouveaux besoins apparaissent et les dépenses de santé augmentent. Pour que notre système de santé demeure à la fois performant et solidaire, c’est dès aujourd’hui que nous devons engager les réformes pour assurer l’avenir.
    • Le Président de la République a réaffirmé l’objectif de parvenir à l’équilibre de l’assurance maladie en 2011. Il a défini les grandes priorités pour les 15 prochaines années : garantir la sécurité et la qualité des soins ; accentuer les actions de prévention et de dépistage ; réorganiser l’hôpital, et mieux piloter le système de santé.
    • Dans ce cadre, il a annoncé les grandes lignes du projet de loi « hôpital, patients, santé et territoires », qui sera présenté prochainement en Conseil des ministres par Roselyne Bachelot.

    POURQUOI REFORMER NOTRE SYSTEME DE SANTE ?

    • Parce qu’il doit se moderniser pour s’adapter à de nouvelles réalités :
      • L’allongement de notre espérance de vie (15 ans de plus depuis 1950) est une bonne nouvelle, mais la forte progression des personnes âgées dans la population exige aussi de répondre à de nouveaux besoins ;
      • Nos modes de vie sédentaires entraînent davantage de risques (maladies cardio-vasculaires, obésité). Le nombre de malades chroniques augmente.
    • Par conséquent, nos besoins de santé (auxquels nous consacrons 200 milliards d’euros aujourd’hui) vont s’accroître de plusieurs milliards d’euros d’ici 2025. Or le déficit de l’assurance maladie s’élève à 4,1milliards d'euros en 2008. Si nous voulons préserver un financement universel et solidaire de nos dépenses de santé, il faut désormais que chaque acte accompli le soit de la façon la plus efficiente possible.

    PAR QUELS MOYENS L’ASSURANCE MALADIE PEUT-ELLE REVENIR À L’EQUILIBRE ?

    • Tous les acteurs doivent prendre leurs responsabilités dans la maîtrise de ces dépenses.
    • Les négociations entre l’assurance maladie et les professionnels de santé associeront dorénavant les organismes complémentaires, en particulier dans les secteurs où ces derniers garantissent une prise en charge importante, comme l’optique ou les soins dentaires.
    • Des référentiels de bonnes pratiques seront élaborés dans les secteurs où existent des divergences notables dans les prestations de soins (prescription de kinésithérapie par exemple).
    • L’hôpital est lui aussi concerné. Une convention nationale entre les médecins hospitaliers, l’assurance maladie, l’Etat et les fédérations hospitalières pourrait poser les fondements d’une meilleure régulation des prescriptions de l’hôpital délivrées en ville.
    • Pour intensifier la lutte contre les fraudes sur les prestations sociales, un mécanisme de pénalités plancher sera institué à compter de l’an prochain, sur le modèle de celui en vigueur pour lutter contre le travail illégal.

    L’ACCES DE TOUS A DES SOINS DE QUALITE SERA-T-IL GARANTI ?

    • Oui. Il est impératif que chacun puisse trouver l’offre de soins dont il a besoin. Les avantages offerts aux médecins qui s’installeront dans des zones à faible densité médicale seront renforcés et simplifiés. L’accès aux spécialités sera mieux réparti pour chacune d’entre elles et entre les régions, en fonction de la démographie médicale et des besoins des territoires.
    • La coopération entre les professionnels de santé, gage de qualité des soins pour tous, sera généralisée.
      • L’assurance-maladie privilégiera les maisons de santé, qui offrent une réponse de proximité ;
      • Les paramédicaux, en particulier les infirmiers, doivent pouvoir assurer des actes qui peuvent relever de leurs compétences et qui surchargent les médecins (ex : suivi des personnes atteintes de maladies chroniques).
    • Concernant les honoraires médicaux, tous les acteurs (assurance maladie, médecins et assurances complémentaires) devront définir avant la fin de l'année les modalités d'un secteur optionnel pour les chirurgiens, les obstétriciens et les anesthésistes.
    • Ce secteur optionnel doit permettre de mieux encadrer les tarifs que le secteur 2 (tarifs librement fixés par les médecins), en y ajoutant des objectifs de qualité.

    CONCRETEMENT, COMMENT ALLEZ-VOUS RENFORCER LA SECURITE ET LA QUALITE DES SOINS ?

    • Par une recherche biomédicale d’excellence : une commission de réflexion sera installée prochainement afin de tirer les conséquences pour les CHU de l’autonomie désormais accordée aux universités et de la recomposition de la recherche biomédicale.
    • Par le renforcement et la simplification de la formation continue des professionnels de santé et la diffusion de bonnes pratiques.
    • Par une transparence accrue à l’hôpital : chaque établissement de santé rendra public des indicateurs simples comme le taux d’infections contractées à l’hôpital.
    • Par l’application de protocoles clairs et connus de tous concernant les principales maladies chroniques telles que le diabète ou l’asthme.
    • Par le renforcement de l’éducation thérapeutique, qui permet au patient de mieux comprendre sa maladie et son traitement, et donc d’être davantage actif dans sa prise en charge.
    • En développant les actions de prévention et de dépistage pour que chacun puisse recevoir un diagnostic fiable au plus vite. 7% des dépenses de santé sont aujourd’hui consacrées à la prévention. Elles devront atteindre 10% d’ici 2012.

    L’HOPITAL A-T-IL UN ROLE A JOUER DANS CETTE REORGANISATION ?

    • Oui. Pour que l’hôpital s’adapte, il doit gagner en efficacité et en souplesse d’organisation. Les grandes lignes de cette réforme, que reprend le projet de loi, sont connues depuis le rapport Larcher et le discours du Président de la République à Neufchâteau en avril dernier : évolution de la gouvernance, nécessité d’avoir un patron à l’hôpital, ouverture du recrutement des directeurs, extension du contrat pour les praticiens, regroupement des hôpitaux publics au sein de communautés hospitalières de territoires, souplesses de gestion.
    • Les comptes des hôpitaux seront certifiés, et les situations de déficit seront strictement contrôlées. Les hôpitaux qui seront à l’équilibre, grâce aux efforts de tous leurs personnels, pourront redistribuer une partie des excédents à leurs salariés via une politique d’intéressement.
    • Par ailleurs, pour mettre en place un pilotage plus efficace et plus cohérent du système de santé, les agences régionales de santé (ARS) vont assurer une meilleure organisation des soins sur le territoire. Face au doublement en 15 ans du nombre de passages aux urgences, les ARS doivent réconcilier l’organisation des soins et la maîtrise de la dépense, pour apporter plus aux patients.