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aéronautique

  • Audition du nouveau DG de Safran : CA de 15 milliards / 69 000 salariés (dont 41 000 en France)

    Le chiffre d'affaire du groupe Safran provient à 70% de l'aéronautique civile, marché en plein essor.

    Le trafic passager est en hausse de 6,3% dans le monde en 2015 :

    • + 8,6% en Asie
    • + 12% au Moyen Orient
    • + 5% en Europe
    • + 3% aux USA

    Le trafic domestique en Chine est en hausse de 12 % !

    Les compagnies aériennes devraient générer en 2015 un CA de 727 milliards de dollars pour un résulta global de 29 milliards (4%), grâce notamment à la forte chute du prix du pétrole.

    Mes questions à P. Petitcolin, directeur général de Safran :



    Ses réponses :


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  • 49ème salon international de l'Aéronautique et de l'Espace au BOURGET

    Le salon du Bourget, qui a ouvert ses portes au professionnels depuis lundi, justifie encore cette année son appellation de salon aéronautique des records : plus de 300 000 visiteurs sont attendus, les commandes pleuvent (le temps aussi ...) et les nouveautés sont nombreuses.

    Il devrait se livrer plus de 35 000 avions entre 2011 et 2030 !

    Toute la matinée, j'ai arpenté les allées du salon, en compagnie de députés membres de la Commission des Affaires Economiques, à la rencontre des industriels et sous-traitants de l'aéronautique.

    Nous avons visité les incontournables mastodontes :

    • EADS
    • Thales
    • Safran
    • Eurocopter
    • Dassault Aviation ...

    ... mais aussi des PME regroupées au sein du GIFAS (Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales).

    ... et assisté aux démonstration en vol de l'Eurocopter X3, du Dassaul Falcon 7X, du Dassault Rafale C, de l'Airbus A380-800 et du Lockheed Martin F-16 Fighting Falcon.

    Les entreprises haut-savoyardes exposent au salon sous la bannière AIR Mont-Blanc (groupement d'entreprises aéronautiques du Pôle de Compétitivité Arve-Industries Haute-Savoie Mont-Blanc) :

    • Alpes -Usinage Decoprem (stand BC 157 hall 4)
    • Clerc Industries (stand DE 29 hall 2b)
    • Lathuille Hudry (stand B 83 hall 4)
    • MGB (stand B82 hall 4)
    • Amphenol Socapex (stand E 80 hall 2b
    • SIS Decolletage (stand D 81 (hall 4) ...

    Les chiffres de l'industrie aéronautique et spatiale en France en 2010 :

    • Chiffre d'affaire de 36,8 milliards d'euros (dont 69% de civil ret 31% de militaire)
    • 73% du chiffre d'affaire réalisé à l'export
    • 42,9 milliards d'euros de commandes en cours (dont 66% à l'export)
    • 157 000 salariés
    • 4 500 sous-traitants
    • 18 milliards d'euros d'excedent commercial

    Le salon est ouvert au grand public du jeudi 24 au samedi 26 juin.

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  • Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie, visite l'entreprise NTN-SNR de SEYNOD

    Depuis près d'un siècle, SNR concentre son activité sur la conception, le développement et la fabrication de roulements, dans des secteurs où cette pièce, souvent invisible, joue un rôle fondamental et parfois vital.

    A travers son réseau commercial, SNR est aujourd'hui présent dans plus de 200 pays sur les 5 continents.

    En 2007, la société NTN (Japon) a acquis 35% du capital de SNR. Suite à ce rapprochement, NTN a poursuivi le processus d'acquisition d'actions du groupe, jusqu'à détenir 51% le 7 avril 2008, et 80% le 22 avril 2010.

    En intégrant SNR, le groupe NTN est devenu le 3ème roulementier mondial. Avec ses marqiues fortes, NTN-SNR est rès active dans les secteurs de :

    • l'automobile : créateur d'ASB (Active Sensor Bearing), roulement instrumenté devenu un standard mondial, SNR équipe, depuis 2003, entre 8 et 9 des 10 véhicules les plus vendus en Europe.
    • l'industrie : partenaire du TGV depuis son lancement et présent lors du dernier record de vitesse en 2007. En première monte comme en rechange, SNR est au service des grandes industries comme le ferroviaire, le textile, la robotique, la sidérurgie, l'agro-alimentaire, la papeterie ..
    • l'aéronautique : partenaire du 1er vol commercial de l'Airbus A380, le plus gros porteur au monde. Les roulements SNR équipent les plus grands programmes aéronautiques et spaciaux : le lanceur européen Ariane 5, le réacteur CFM 56 qui ets le plus utilisé au monde. SNR est aussi le leader européen dans la transmission d'hélicoptère. 

    La société NTN-SNR est la plus grosse société industrielle de Haute-Savoie.

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     Les chiffres clés du groupe NTN Corp. :

    • Chiffre d'affaires : 3,8 milliards d'euros
    • Employés : 18 000
    • 62 sites de production dans le monde
    • 83 agences commerciales
    • 2 centres de R&D au Japon et en France (Annecy)

    Chiffres clés du groupe NTN-SNR, branche de NTN Corp. :

    • Chiffre d'affaires : 590 millions d'euros
    • Employés : 3 800
    • 11 sites de production dans le monde
    • 18 agences commerciales
    • 1 centre de R&D en Europe (Annecy)
    • 1 centre logistique en France (Lyon)

    Par sa présence ce matin, Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie, a tenu a rendre hommage a notre fleuron industriel et a plaidé pour une industrie novatrice, gage de notre compétitivité et meilleur remède contre les délocalisations. 

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  • Audition de Louis Gallois, PDG d'EADS

    L'audition a commencé par le point sur l'activité d'EADS :

    • 45000 emplois directs en France (hors sous -traitance) : + 10% depuis 2000
    • 1/3 des achats réalisés en France (10 milliards d'euros/an)
    • 1er employeur privé en région PACA ...

    En 2008, le chiffre d'affaire d'EADS a été supérieur à celui de BOEING.

    La trésorerie du groupe est de 9 milliards d'euros et le carnet de commande est de ... 400 milliards d'euros.

    En 2009 l'activité et bonne, car l'industrie aéronautique n'a pas encore ressenti la crise. Mais la crise et l'effet dollar sont préoccupants : EADS fabrique en euros et vend en dollars, un écart de 10 centimes entre l'euro et le dollar correspond à 1 milliard de résultat en moins.

    L'objectif de commandes pour 2009 est de 300 avions, mais l'objectif est avant tout de sécuriser les livraisons en évitant les annulations : un véritable problème quand certaines grandes compagnies aériennes, en manque de cash, empruntent sur le marché à des taux de 9 à 13%.

    Louis Gallois a souligné le rôle primordial de la Coface et d'Euler Hermes à l'export. Il a également souligné l'action forte du gouvernement qui en mettant en place un fond de 5 milliards destiné à assurer le financement des ventes à l'exportation et ainsi permettre aux clients d'honorer leurs engagements d'achats vis à vis d'Airbus (crédit relais), a ainsi évité beaucoup d'annulation de commandes. Tout comme pour les banques, ces 5 milliards destinés à fluidifier les marchés financiers, n'ont pratiquement pas été utilisés ... mais ont largement contribué à rassurer les acteurs du marché aéronautique.

    Le président d'EADS s'est ensuite attardé sur le programme A350 qui représente un investissement de 12 milliards et dont 493 commandes ont déjà été enregistrées.

    Concernant l'A380, 20 avions sont actuellement en service et le taux de remplissage est remarquable. Le coût de production reste cependant encore trop élevé, mais devrait évoluer à la baisse dans le temps.

    Enfin concernant l'avion de transport militaire, le fameux A400M, le premier vol est prévu en décembre 2009 : plus de 2,3 milliards ont été provisionnés dans les comptes d'EADS en raison des retards. Il faudra donc en vendre plus de 179 pour commencer à gagner de l'argent.

    Le contrat du siècle passé avec l'armée américaine, concernant la vente d'avions ravitailleurs (qui a été cassé par BOEING), va faire l'objet d'un nouvel appel d'offre en fin d'année.

    De nombreuses questions de la part des députés :

    • quid de la fabrication en dehors de la zone euro
    • quid de la sous traitance
    • quid du probleme des sondes sur Airbus
    • quid de l'environnement
    • quid des relations avec la Chine
    • quel apport de la part des pôles de compétitivité
    • nombre d'annulations ...

    Réponses :

    • notre volume de sous-traitance reste élevé : les sous-traitants aéronautique sont impactés par Boeing (retard du 787 Dreamliner), par Embraer et Dassault ... pas par EADS
    • EADS ne sentira la crise qu'à partir de l'hiver 2010
    • 80% de la recherche est basée sur le développement durable (pollution et bruit) : le développement du traffic est lié à cette exigence
    • La sécurité n'a pas baissé (tout est mis en oeuvre pour savoir ce qui s'est passé sur le vol AF447 : problème d'avion, de pilote ou de conditions météo)
    • Seulement 22 annulations de commande depuis le début de l'année.
    • 97% des effectifs d'EADS sont dans les 4 pays européens qui produisent pour EADS donc en zone euro) ... alors que l'on exporte 75% de nos avions hors zone euros (payé en dollar) : le but à terme est de réequilibrer les effectifs en passant à 80% des effectifs en zone euro et 20% en zone dollar.
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  • Etats généraux de l'industrie

    Le Président de la République a annoncé la réunion d’Etats généraux de l’industrie avant la fin de l’année 2009. Ces Etats généraux devraient se terminer par une Convention nationale et permettre de tracer les grandes lignes de la politique industrielle de la France. A cette occasion, une réflexion sera menée sur toutes les grandes filières industrielles comme cela a déjà été fait pour le secteur de l’automobile, par exemple.

     

    Le chef de l’Etat a également demandé au Gouvernement de faire des propositions en vue de renforcer les fonds propres des PME, en particulier des PMI (demande que je défend depuis plusieurs mois). 

  • Visite du salon aéronautique du Bourget

    Peu passionné, jeudi matin, par la discussion dans l'hémicycle de la proposition de loi portant sur la modification du mode de scrutin de l'élection de l'Assemblée de Corse et relative au fonctionnement de la collectivité territoriale de Corse (tout un programme) ... j'ai fait une petite escapade au Salon aéronautique du Bourget, accompagné du sénateur Pierre Herisson et en compagnie de Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux transports.

    Nous avons rejoint sur place les membres de la commission de la défense du Sénat et quelques membres de la commission des affaires économiques.

    Au programme, visite au pas de charge des fleurons de l'industrie française et européenne : Dassault Aviation, EADS, Eurocopter, Thales ...

    L'occasion de prendre place dans le cockpit du Rafale, du Tigre et de visiter le premier A380 mis en service (aménagé en plateforme de test). 

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  • Mesures de soutien aux secteurs de l'automobile et de l'aéronautique

    Automobile :

    Le secteur de l’automobile français est le deuxième producteur d’automobiles en Europe. Il contribue à hauteur de 1 % au PIB français. Il représente 10 % des emplois en France (2,5 millions d’emplois) et 15 % des dépenses de R&D.

    A l’issue des Etats généraux de l’automobile qui se sont tenus à Bercy, le 20 janvier dernier, le Gouvernement a annoncé de nouvelles aides au secteur de l’automobile de l’ordre de 5 à 6 milliards d’euros pour faire face aux besoins de financement de court terme des constructeurs Français.

    L’effort de l’Etat sera conditionné au respect d’engagements des constructeurs : pas de fermeture de sites de production en France, amélioration des relations au sein de la filière, suppression des bonus et dividendes pour les dirigeants et les actionnaires.

    Le Chef de l’Etat devrait annoncer le détail du plan de relance du secteur de l’automobile dans la semaine à venir.

    A cet engagement financier de l’Etat, il convient d’ajouter les mesures déjà mises en œuvre par le Gouvernement qui ont pour objectif de soutenir les constructeurs et la filière automobile :

    • Prime à la casse de 1.000 euros, depuis le 4 décembre jusqu’à fin 2009, pour les véhicules de plus de 10 ans et l’achat d’un véhicule neuf émettant moins de 160 gr de CO2/km. Le coût de cette mesure est estimé à 220 millions d’euros.
    • Soutien à l’activité de crédit des filiales bancaires des constructeurs à hauteur de 1 milliard d’euros.
    • Création d’un fonds de modernisation des équipementiers automobiles doté de 300 millions d’euros abondé à part égale par le fonds stratégique d’investissement, par Peugeot Citroën et Renault.
    • 400 millions d’euros sur 4 ans pour la recherche en faveur des véhicules « décarbonés », c'est-à-dire les véhicules électriques et hybrides « rechargeables ».
    • Le système du bonus-malus écologique automobile.
    • Le triplement du crédit d’impôt recherche, la réforme de la taxe professionnelle et l’exonération de taxe professionnelle sur tous les investissements opérés avant le 31 décembre 2009 participent également au soutien de la filière automobile.

    Aéronautique :

    Le Gouvernement prévoit de mobiliser 7 milliards d’euros pour le secteur aéronautique par le biais de la société de financement de l’économie française (SFEF) dont 5 milliards d’euros de crédit destinés à soutenir les ventes d’Airbus. Selon les déclarations de Tom Enders, le PDG d’Airbus, les commandes d’avions, en 2009, devaient baisser de 50 à 60 % par rapport à 2008 en raison de la crise économique et financière.

  • Visite du site AIRBUS d'HAMBOURG

    C’est à Hambourg que se trouve la direction d’Airbus Deutschland.

    Et c’est également ici que sont basées les équipes en charge de la gestion des programmes, pour les appareils monocouloirs (A318, A319, A320 et A321). Le centre d’assemblage final de Hambourg – second en importance après celui de Toulouse –, assure les opérations d’assemblage final sur les A318, A319 et A321, avant leur livraison aux clients dans le monde entier.

    Outre l’assemblage, diverses opérations de conception et de développement sont également réalisées à Hambourg, et c’est ici que se trouvent les bureaux des managers produits pour les programmes Airbus nationaux et le service client.

    L’assemblage du fuselage de tous les modèles d’Airbus est assuré à Hambourg, ainsi que l’installation des différents systèmes essentiels au vol – systèmes électriques, électroniques et hydrauliques, ainsi que les systèmes de climatisation et d’alimentation en eau.

    Le centre d’excellence pour la Customisation Cabine & Cargo est également basé à Hambourg, ainsi que le centre d’excellence en charge des sections avant et arrière du fuselage. Airbus bénéficie également d’importantes installations lui permettant de réaliser les différents types d’essais statiques et dynamiques.

    Hambourg abrite également le centre de formation d’Airbus Deutschland et le centre de formation à la maintenance pour les appareils monocouloirs.

    Pour ce qui concerne le très gros-porteur A380, c’est à Hambourg que sont assurées de nombreuses tâches : une grande partie des opérations de développement, de construction et d’assemblage, mais aussi l’équipement de sections complètes du fuselage, l’équipement intérieur, la mise en peinture, ainsi que les procédures d’agrément final et la livraison à destination des clients d’Europe et du Moyen-Orient.

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  • Participation au 7ème colloque parlementaire Paris-Berlin à HAMBOURG

    Arrivé hier soir à Hambourg, je participe aujourd'hui au 7ème colloque parlementaire Paris-Berlin dont le thème est "la politique industrielle européenne dans le domaine de l'aéronautique et de l'aérospatiale".

    Le colloque Paris-Berlin, organisé alternativement en France et en Allemagne depuis l'an 2000, par les groupes d'amitié interparlementaire France-Allemagne de l'Assemblée nationale et du Bundestag allemand, est devenu l'un des piliers des relations d'amitié entre nos deux parlements.

    La conférence à laquelle des représentants d'autres Etats membres de l'Union européenne sont également invités depuis 2005, offre au monde politique, des experts et des journalistes, un forum d'échange sur les thèmes importants de société.

    Nous allons discuter, sur l'un des principaux site de production d'EADS à HAMBOURG, de la question de la coopération industrielle en Europe, à l'exemple de ce qui se fait dans le secteur de l'aérospatiale :

    • quelles expériences peuvent être retirées de l'exemple d'EADS pour la coopération industrielle ?
    • comment une collaboration fructueuse peut-elle être transmise à d'autres secteurs économiques ?
    • quels défis l'association d'entreprises aux structures différentes génère-t-elle ?

    Particulièrement porté sur les questions économiques, je pense que les stratégies en faveur de l'industrie, de l'innovation et de la compétitivité doivent être au centre des efforts européens pour que l'Europe puisse s'affirmer face à ses concurrents ailleurs dans le monde. Face à la crise financière et aux conditions économiques générales difficiles, il est d'autant plus urgent que les partenaires se concertent étroitement et s'engagent dans des coopérations bilatérales ou multilatérales.

    Le secteur aérospatial, ainsi que l'industrie de l'armement, sont des branches importantes de l'économie qui se prêtent bien à des coopérations, ne fût-ce qu'en raison des coûts élevés de recherche et développement.

    La politique a, en outre, intérêt à ce que, s'il ne peut être maintenu au niveau national, le savoir-faire stratégique dans des branches sensibles de la politique industrielle le soit au moins dans un cadre européen.

    L'Europe ne peut exister dans la concurrence internationale que si toutes les parties intéressées appréhendent ensemble leur responsabilité. L'Allemagne et la France savent combien la promotion et le développement de projets d'avenir visbles, concrets et porteurs de croissance peuvent contribuer à donner un profil autonome à l'Union européenne. Malgré les différences juridiques et des divergences dans la culture et la structure d'entreprise, nos deux pays collaborent étroitement et avec succès depuis plus de 30 ans dans le secteur aérospatial.

    Le dialogue avec les nombreux invités, dont Louis Gallois, PDG d'EADS, ainsi que la visite du site d'assemblage des Airbus (dont des tronçons de l'A380) promettent d'être passionnants.

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  • Exposition 100 ans d'industrie aérospatiale française à PARIS

    Hier midi, de retour à pied d'un déjeûner ayant pour thème "Des règles applicables à l'audiovisuel au cadre de la convergence : adaptation ou reconstruction" auquel je partcipais dans le cadre de prise d'informations en vue du projet de loi Internet et Création, j'ai découvert une superbe exposition aéronautique sur les Champs Elysées.

    Cette exposition est en place depuis le 4 octobre (jusqu'au 9 octobre), elle se situe à 200 mètres de l'Assemblée nationale et je ne m'étais rendu compte de rien ... Il est vrai que depuis lundi, tous les députés ont le nez dans le guidon, entre le RSA, le Grenelle de l'environnement et la crise financière.

    Passionné d'aéronautique, c'est une belle initiative qui met en avant tout notre savoir faire civil et militaire. A ne pas manquer.

    Plus d'infos sur :

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