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Le sommet international contre le réchauffement climatique

La 15e Conférence des parties contre le réchauffement climatique, qui réuni les représentants de 192 pays, se tient du 7 au 18 décembre 2010 à Copenhague. L’objectif est de parvenir à un accord global et juridiquement contraignant sur le régime qui succédera au protocole de Kyoto.

 

De RIO à COPENHAGUE :

  • 1992 : la Conférence de Rio reconnaît le changement climatique. L’engagement de stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre (GES) est prévu par la convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique (CCNUCC) signée par 192 pays. Cependant, la CCNUCC, cadre international de la lutte contre le changement climatique, ne fixe pas d’objectifs chiffrés.
  • 1997 : le protocole de Kyoto, ratifié par 184 pays, détermine des objectifs chiffrés de réduction des émissions de GES couvrant la période 2008-2012 (une réduction moyenne de 5% par rapport à 1990 pour les pays industrialisés). Les Etats-Unis ne l’ont pas ratifié. De nombreux Etats ne respectent pas les engagements pris (l’Australie, le Canada par exemple).
  • 2007 : la Conférence de Bali trace la feuille de route pour Copenhague ouvrant un nouveau cycle de négociations.
  • Décembre 2008 : le « Paquet Energie-Climat » est adopté par les 27 membres de l’Union européenne.

L’Union européenne détient un rôle majeur  dans les négociations à Copenhague.

 

Les propositions européennes s’articulent autour de cinq axes, conformément à la feuille de route tracée à Bali :

  • Des objectifs de réduction de GES chiffrés et contraignants pour 2020 et 2050, destinés aux pays industriels 
  • Une atténuation renforcée d’émissions pour les pays émergents 
  • Une coopération technologique et une aide financière aux pays les plus vulnérables au nom d’une solidarité internationale. Il s’agit de la mise en place du « Plan Justice-Climat » 
  • L’adaptation aux conséquences du changement climatique 
  • La prise en compte de nouveaux secteurs qui ne sont pas prévus par le protocole de Kyoto : l’agriculture, le transport maritime et aérien, les forêts.

De nombreuses propositions traduisent les préoccupations exprimées par la France :

  • Les questions liées à la déforestation 
  • L’instauration des mécanismes de contrôle et de sanction 
  • La création d’une taxe carbone communautaire 
  • La fixation des objectifs de croissance de population dans les zones économiques vulnérables 
  • La valorisation du rôle des collectivités locales 
  • La détermination précise des projets à financer ainsi que de l’enveloppe qui leur est attribuée 
  • La mise en place d’un dispositif d’inclusion carbone pour les pays qui ne signeront pas l’accord 
  • La mise en place d’un Comité de pilotage permanent des engagements pris qui se transformerait en Organisation mondiale de l’environnement.

Commentaires

  • Copenhague : vaste blague...

    141 scientifiques du monde entier ont envoyé une lettre à Ban Ki Moon que je me permets de reproduire, parce qu'elle est une réponse argumentée à bien des affirmations sans preuves qui fleurissent à la Conférence de Copenhague.

    La version originale de cette lettre ouverte se trouve ici :
    http://www.copenhagenclimatechallenge.org/

    Bien sûr il y a fort à parier que cette lettre ouverte restera lettre morte, mais il faut saluer ces scientifiques qui osent braver la propagande totalitaire de l'écologie politique.

    Pour mémoire, l'an passé, plus de 31 000 scientifiques américains avaient signé l' "Oregon petition".

    "Lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies

    Son Excellence M. Ban Ki Moon
    Secrétaire général des Nations Unies
    New York, NY
    États-Unis d'Amérique
    8 Décembre 2009

    Monsieur le Secrétaire général,

    La science du changement climatique est dans une période de "découverte négative" - plus nous en apprenons au sujet de cette discipline exceptionnellement complexe et en rapide évolution, plus nous réalisons à quel point nous connaissons peu. En vérité, la science n'est PAS résolue.

    Par conséquent, il n'y a aucune raison valable d'imposer des décisions de politique publique coûteuse et restrictive sur les peuples de la Terre sans d'abord fournir des preuves convaincantes que les activités humaines causent de dangereux changements climatiques au-delà de ceux résultant de causes naturelles. Avant que toute action précipitée ne soit prise, nous devons disposer de solides données d'observations démontrant que les changements climatiques récents diffèrent substantiellement de changements observés dans le passé et sont bien au-delà des variations normales causées par les cycles solaires, les courants océaniques, les changements de paramètres orbitaux de la Terre et autres phénomènes naturels.

    Nous, les soussignés, qualifiés dans des disciplines scientifiques liées au climat, exigeons de la CCNUCC et des sympathisants de la Conférence sur le Climat de l'ONU de produire des preuves ISSUES DE L'OBSERVATION convaincantes pour leurs affirmations qu'il y un réchauffement global et autres changements climatiques causés par l'homme. Les projections de scénarios futurs possibles à partir de modèles informatiques du climat non prouvés ne sont pas acceptables pour remplacer les données réelles obtenues par la recherche scientifique impartiale et rigoureuse.

    Plus précisément, nous mettons au défi les partisans de la thèse d'un réchauffement climatique dangereux causé par l'homme de démontrer que :

    *Les variations dans le climat mondial au cours des cent dernières années sont nettement en dehors des variations naturelles constatées lors des siècles précédents ; (pourquoi le GIEC écarte t il, d'un revers de la main, la période moyen ageuse ? Parce que pas écologiquement correcte ?)

    *Les émissions de dioxyde de carbone et d'autres "gaz à effet de serre" (GES) ont un impact dangereux sur le climat mondial ;

    *Les modèles informatiques peuvent répliquer de façon significative l'incidence de tous les facteurs naturels qui pourraient influencer le climat de façon significative ;

    *La mer monte dangereusement à un rythme qui s'est accéléré avec l'augmentation des émissions de GES de l'homme, mettant ainsi en péril les petites îles et les communautés côtières ;

    *L'incidence du paludisme est en augmentation en raison des changements climatiques récents ;

    *La société humaine et les écosystèmes naturels ne peuvent pas s'adapter aux changements climatiques prévisibles comme ils l'ont fait dans le passé ;

    *le recul des glaciers de la planète et la fonte de la banquise dans les régions polaires sont inhabituels et liés à l'augmentation des émissions anthropiques de GES ;

    *Les ours polaires et autres animaux sauvages de l'Arctique et l'Antarctique sont incapables de s'adapter aux effets attendus des changements locaux du climat, indépendamment des causes de ces changements ;

    *Les ouragans, divers cyclones tropicaux et les événements météorologiques extrêmes qui leur sont liés ont augmenté en gravité et en fréquence ;

    *Les données enregistrées par les stations terrestres sont un indicateur fiable des tendances de la température de surface.

    Ce n'est pas de la responsabilité des scientifiques "réalistes du climat" de prouver que des changements climatiques dangereux d'origine humaine ne se sont pas produits. Plutôt, c'est ceux qui proposent que cela est dangereux et promeuvent des investissements massifs pour résoudre le prétendu "problème", qui sont dans l'obligation de démontrer de façon convaincante que les changements climatiques récents ne sont pas principalement d'origine naturelle et que si nous ne faisons rien, des changements catastrophiques s'en suivraient. À ce jour, ils y ont totalement échoué."

    Chiche, M. TARDY, que vous demanderez aux dits "experts" de nous prouver la véracité de leurs propos ? Avant de dépenser le moindre sou ?

  • Je vais peut être vous apprendre un truc, M. TARDY, mais...Toutes les planètes du système solaire - dont la Terre - se réchauffe. Etant donné qu'on a pas visité toutes les dites planètes, je ne peux affirmer qu'il n'y a pas de "présence humaine" sur celles ci...Néanmoins je crois que notre Terre est la seule planète où la vie existe.

    Par ailleurs, on a noté récemment la présence d'eau sur la lune. Je ne sais pas si beaucoup d'astronautes y vivent, mais même s'ils y étaient allés en masse, je doute qu'à eux tous seuls, ils auraient réussi à faire que la lune se réchauffe, d'où la présence d'eau.

    Le bon sens - qui est censé être la chose la mieux partagée au monde - ne devrait il pas nous faire (au moins) nous interroger sur plusieurs suspects, au lieu de désigner l'Homme comme seul responsable dudit "réchauffement".

    Etant donné que toutes les planètes du système solaire se sont "réchauffées" et qu'elles tournent toutes autour d'un axe qui s'appelle le SOLEIL...Ne peut on supposer qu'il puisse être plus responsable que l'Homme dans cette "douceur" hivernale ?

    La température moyenne du globe descend depuis dix ans...Et c'est également le cas de la température du soleil.

    On fait du CO2 l'ennemi à abattre. Mais le CO2 n'est qu'un gaz à effet de serre parmi d'autres, dont le plus important est sans conteste la vapeur d'eau ! La concentration de CO2 dans l'atmosphère n'a qu'une faible influence sur la hausse de température.

    L'augmentation de CO2 serait davantage l'effet du réchauffement que la cause. S'il y a réchauffement...

    Car s'il est indéniable qu'il y a un réchauffement dans l'hémisphère Nord, inégal d'ailleurs, les "experts" (aussi indépendants que ceux qui dissertent sur la grippe A) ne disent pas que tel n'est pas le cas dans l'hémisphère Sud...

    En disant que "11 des 14 dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées" ces "experts"laissent entendre que des températures comme celles que nous connaissons actuellement n'ont jamais été atteintes lors des derniers siècles. Rien de plus faux ! En effet, les températures de l'optimum médiéval ont été supérieures de 0,5° à 2°C aux températures actuelles ! Mais bien sur...Cela ne les émeut pas outre mesure !

    Cela fait penser au concert d'indignations suscité par le vote suisse...Et au silence bien pensant sur le maintien des décrets BENES qui visent à perpétuer une ethnisation de la population ! (Bref, les priorités sont les futilités !)

    Lesdits "experts" oublient également que s'il y a réchauffement, que la concentration de CO2, qui n'est pas un gaz toxique, peut avoir des effets bénéfiques, notamment sur la végétation. Mais non, le CO2 voilà l'ennemi. Pour sauver la planète je leur suggère de diminuer de manière drastique le nombre d'Hommes sur la Terre, parce que leurs émissions de C02 sont incompatibles avec le réchauffement. Ha ! Mais c'est vrai...La grippe A, une fois qu'elle aura mutée, grâce aux efforts des médias et experts, s'occupera de tuer tout le monde. Un petit tour chez BAXTER, un mélange détonnant, et la moitié de la population en moins ! (Cf la réunion des milliardaires à N. Y rapporté par "Marianne")

    Pour finir...J'aimerais vraiment que le GIEC explique comment il peut calculer la "température moyenne" du globe.

    En effet, le thermomètre a été inventé dans le 16ème siècle, mais l'enregistrement systématique des températures à large échelle date du début du 20ème siècle. Je vous laisse imaginer la fiabilité de ces enregistrement, consignés manuellement sur un bout de papier et mesurés avec des thermomètres de peu de précision. La marge d'erreur d'une lecture atteint facilement 1 degré.

    C'est pour cette raison que les chercheurs inpliqués dans Climategate utilisent des arbres pour reconstruire les températures du passé. A ce jour, personne a apporté la preuve que la largeur des anneaux correspond à la température ou que la largeur croît proportionnellement avec la température.

    Comme l'un des emails piratés le révèle, un des chercheurs (Briffa) avait émis des doutes à ce sujet, il y a 10 ans déjà. Rassurez vous...ca ne l'a pas empêché de continuer à reconstruire le passé à l'aide d'arbres, avec le consentement (ou sous la pression ?) de ses pairs.

    Et puis, lutter contre "l'effet de serre" c'est bien...Sauf qu'on semble oublier chez les "gouvernants" que sans ledit "effet de serre" la Terre serait glaciale ! Mais c'est peut être le but ? Après avoir imposer le tout réchauffement climatique...L'ère de la glaciation ?

    Attention : je n'ai jamais dit qu'il ne fallait pas économiser le pétrole et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ni déresponsabiliser l'Homme.

    Seulement...Soyons un peu sérieux. Faisons ce que nous pouvons faire à notre niveau...Et laissons la Nature gérer le reste.

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