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La réforme des retraites en bref

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Commentaires

  • Bonjour, habituellement je suis en accord avec votre point de vue de la politique.

    Bien que de tendance gauche, je pense qu'il faut savoir prendre le bon là ou il est.

    Par contre il est clair que cette réforme est injuste, en ce sens que comme d'habitude, droite et gauche tapent a l'unisson sur les salariés (et de préférence du privé) alors que la crise à été provoquée par les banques et les structures financières, que notre "chere" gouvernement trouve subitement les moyen de débloquer 380 milliards d'euros pour sauver un système que tout le monde s'accorde a dire qu'il déforme le réel au profit de quelques un

    Je pense qu'il faut d'avantage taxer le monde financier et qu'il se mettent a contribuer à la relance, tout comme les entreprise, en particulier les grandes, devraient être contraintes a augmenter les salaires pour relancer la consommation, ce n'est que l'avis d'un citoyen qui a vu ses impôts bondir de 1000€ sans explications et surtout sans avoir été lui augmenté d'un seul centime

  • Une question me tracasse:

    Pourquoi avoir choisi de relever l'age de la retraite au lieu d'augmenter le nombre de semestres à cotiser ?
    (ce qui paraîtrait plus juste)

  • Bon, je ne sais pas s'il s'agit de votre opinion...Ou si vous faites figurer sur votre blog la propagande de votre parti – n'y voyez pas un sens péjoratif, ici le terme propagande est utilisé par moi, comme on l'utilise au moment des élections – reste qu'au jeu des mensonges et/ou des erreurs, il ne fait guère mieux que ceux qu'ils dénoncent.

    1. Pour commencer...Le COR ne propose pas :
    -de baisser les pensions
    -l'augmentation des cotisations retraite
    -travailler un peu plus longtemps (et donc augmenter l'âge de la retraite à 62 (général), 67 (pour certains)

    Mais ceci (cf rapport du COR) :
    -ne pas augmenter les cotisations et ne pas diminuer le montant des retraites. MAIS augmenter de NEUF ANS la durée de cotisation.
    -ne pas augmenter les cotisations et ne pas allonger la durée de cotisation. MAIS accepter que le montant des retraites baissent de manière drastique : 78% à 43% du salaire.
    -ne pas allonger la durée de cotisation, ne pas diminuer le montant des retraites. MAIS augmenter de 15 points le montant des cotisations pendant 40 ans (2000/2040 ; 2010/ 2050)

    Il convient aussi de rappeler que ces propositions du COR sont conditionnées à une croissance de 1,75%...Ce qui n'est certes pas irréalisable, mais difficile, au regard des taux de croissance de la France sur les dix dernières années.

    Rien qu'à cette étape, la « réforme » proposée par le Gouvernement et la « majorité parlementaire » est battue en brèche. Elle n'est pas crédible, au sens où elle ne ne « sauve pas le système des retraites ». Elle est « injuste » car les sacrifices que demandent le Gouvernement et la « majorité parlementaire » aux Français, ne trouvent rien qui puisse offrir une « compensation » sérieuse et motivée à ces efforts.

    Si l'on ajoute à cela – et je trouve fort dommage que M. JACQUAT, le rapporteur du texte, membre du COR, si je ne m'abuse, garde le silence en la matière – que l'on ne nous a pas expliqué, concrètement, comment M. FILLON – qui n'a pas réussi à tenir une seule de ses prévisions de croissance, tout au contraire, celles ci ont été récemment baissées par M. FILLON suite à sa réunion avec M. SARKOZY au fort de Brégançon – compte garantir au pays, sur plusieurs années, une croissance d'au moins 1,75%...Condition sine qua non pour garantir les « retraites » selon les propres termes du COR...Et cela dans les trois cas évoqués.

    2. Le Gouvernement – dont les membres n'ont jamais travaillé dans une entreprise pour la plupart – part du postulat que les salariés « choisissent » s'ils veulent travailler plus longtemps ou non. Or, je ne sais pas si le Gouvernement est au courant, mais...Il existe depuis les années 70 un phénomène, que les Gouvernements successifs ont infiniment de mal à réduire, à savoir le chômage. Autrement dit, il existe un marché du travail...Et ceux qui décident de l'emploi, ne sont pas les employés...Mais les employeurs. Le « choix » de continuer à travailler ou non, est donc conditionné au bon vouloir de l'employeur. Ce qui est d'ailleurs normal, puisque le travail d'un employeur consiste à ajuster ses effectifs à son activité. S'il a besoin de bras, il va employer. S'il n'en a pas besoin, il ne le fera pas...Déductions fiscales ou non. La chose est si vraie, que la Cour des Comptes passe son temps à expliquer aux parlementaires que les dites déductions fiscales sont, d'une année sur l'autre, des effets d'aubaine, pour employeurs peu scrupuleux...Et qu'elles n'ont aucun impact, tant sur l'investissement, que sur l'emploi.

    Et pour cause : en dehors du fait que l'employeur doit veiller à ajuster, comme je l'ai dit plus haut, ses effectifs avec l'activité...Il doit, dans beaucoup de cas, veiller aussi à l'intérêt de ses actionnaires quand l'entreprise est en bourse. Or, savez vous le meilleur moyen de faire monter une action ? Programmer des licenciements, si possible massifs.

    Bref, sauf à interdire demain aux actionnaires peu soucieux de l'emploi d'avoir des actions, et aux employeurs de licencier « le personnel en trop » comme dirait M. BARROSO, que cela soit fait du reste dans le conflit ou à l'amiable...Le « choix » de l'employé, salarié, est incontestablement tributaire de sa hiérarchie.

    On peut donc comprendre le trouble, sinon le sentiment de colère, qui accapare les personnes qui se sont mises en grève aujourd'hui – dont je ne suis pas mais que je soutiens (mes employés ont besoin de leur salaire) – quand ils constatent que la « réforme du quinquennat » est tributaire d'un postulat erroné, qui ferait de l'employé le maître de son emploi. Dans la « vraie vie » – et vous devez le savoir M. TARDY, puisque vous êtes un employeur – le salarié n'a qu'une part minime dans la pérennité de son emploi.

    Si je prends, pour ex, vos assistants parlementaires...Ceux ci dépendent de votre « bon plaisir » M. TARDY. Les pauvres sont en effet peu vernis. Non seulement ils sont tributaires de vos désidératas – puisque le plus souvent, ils n'ont pas de « contrat de travail » (si vous décidez demain qu'aller chercher votre linge chez le teinturier entre dans leurs attributions ils ne peuvent que s'y plier...Ou démissionner, ce qui, vous en conviendrez, est un « choix cornélien) mais en plus peuvent être virés aussi secs, sans préavis...A la défaveur d'une élection partielle, le « nouveau député » ne voulant pas forcément « récupérer » le pourtant dévoué et compétent assistant parlementaire de celui qu'il vient de battre (à la loyale ?) via le suffrage universel. Pourtant, cet assistant parlementaire convoitait peut être de faire quarante années de bons et loyaux services au service du pays : mais que faire quand la « roue tourne » ? Je pense notamment à ces pauvres assistants parlementaires, qui à la suite de la dissolution de 1997, se sont retrouvés nus...Parce que M. CHIRAC, croyant bien faire, n'avaient pas pesé les risques de les voir passer d'une situation relativement confortable – la République est bonne fille – à Pôle Emploi. Si le « marché » des députés « de droite » se réduit considérablement...Doivent ils donc louer leur service à ceux qu'ils combattaient politiquement hier ? Je sais bien que les « politiques » ne trouvent guère de difficulté à le faire...Mais les assistants parlementaires me semblent moins cyniques.

    Tiens, si on prend le cas de M. FILLON, a t il le "choix" de sa pérennité ? Non...Puisqu'elle est corollée à des éléments sur lesquels le Premier Ministre n'a qu'une marge bien faible : sondages, bon vouloir du Président, soutien de la "majorité", "chantage" (!)

    Au moment de la dissolution, le Premier Ministre de l'époque, avait pour lui le soutien Présidentiel, des militants, de la "majorité"...Et pourtant...Paf !

    Et bien, les salariés c'est un peu la même chose - en peut être un peu moins dur - ils n'ont qu'une part minime dans leur devenir. Pensez un peu aux "banquiers" et "traders" de 2008. Envisageaient ils une reconversion de carrière - dès lors qu'elle s'avérait possible - en 2008 ? Non. Des éléments extérieurs ont forcé la décision.

    Je ne suis pas sur que le Mur soit vraiment un "choix" ! Ou alors nous avons une opinion différente du libre arbitre.

  • Les enseignants peut on penser, ont une vie plus « cool ». Leurs deux mois de vacances et la sureté de l'emploi qui est leur, devraient leur assurer une sérénité à toute épreuve. Pourtant, enseigner est aussi un métier « pénible ». Qui apporte beaucoup de joie – comme beaucoup de métiers, sinon tous – mais aussi fatigue tant le corps (rester debout toute une journée ne favorise pas la circulation sanguine) que l'esprit (heureux parents que nous sommes, lorsque chaque matin, nous remettons à chaque enseignant une classe de charmants bambins capables en un instant de créer un foutoir indescriptible, si l'enseignante ne sait pas « tenir sa classe » et rendre son cours intéressant !)

    On notera aussi le manque de cohérence du projet de loi. Votre parti nous explique (c'est écrit en toute lettre) que nous sommes face à un problème de démographie. Et plus loin, le même, se félicite qu'on prive les femmes d'une reconnaissance de la Nation, pour les vies qu'elles ont mises au monde...Et qui participe(ro)nt à payer, pour ex...Les retraites ! Alors qu'on sait que la politique familiale – du quotient familiale aux allocations en passant par justement cette anticipation de la retraite pour les mères de + de trois enfants – a un impact important sur notre démographie, qui explique que la France continue à faire plus de bébés qu'avoir des anciens...On compte y porter des coups ! La logique là dedans ? Soit le « problème des retraites » est vraiment lié à la démographie, et dans ce cas, il convient non de réduire mais de nationaliser le système aux femmes de notre pays – sans discrimination en fonction de la profession – puisque c'est de cotisants que nous manquons.

    Pas de crédits...Sans débits. Pas de retraites....Sans bébés. Certes, les choses sont un plus compliquées, mais je n'ai pas souvenir qu'on renforce une armée en réduisant ses effectifs !

    Pour ce qui est des séniors, il faut arrêter un moment de se payer la tête des gens. Le Gouvernement ne peut ignorer que dans notre pays, les entreprises ont tendance à licencier vers les 55 ans/60 ans. Il ne suffit pas d'augmenter l'âge de la retraite...Pour que soudain, par miracle, ce qui est un phénomène tant cultuel que de réseau des entreprises, change. En s'appuyant sur le postulat, erroné, que c'est l'employé qui décide de son plan de carrière, et non l'employeur...Le Gouvernement se moque du monde.

    En « preuve » de sa bonne volonté, votre parti explique que les entreprises seront encouragées si elles engagent des séniors. Fort bien...Alors je vous apprends une chose. Si vous avez le malheur de vouloir engager « un sénior » en faisant une petite annonce du genre « je cherche un commercial de + de 55 ans, pour épauler mon équipe commerciale » la HALDE vous tombe dessus, au motif de l'anti discrimination ! Et si ce n'est elle, ce sont les médias, chez qui vous désirez publier votre « petite annonce » qui vous colle un procès pour discrimination en fonction de l'âge ! J'ai testé...Alors maintenant, je me tiens sur mes gardes. Quant aux « coup de pouce fiscal » s'il avait la moindre utilité, pourquoi la Cour des Comptes passe t elle son temps à dénoncer les « effets d'aubaine » résultant de ces pratiques ? Et note t elle, dans une continuité qui ne diffère pas, que son président soit « de droite » ou « de gauche »...L'effet contreproductif des dites mesures...Lesquelles coûtent d'ailleurs fort chers à la Nation, pour une efficacité, somme toute, peu à la hauteur des efforts consentis.

    Rajoutons à cela que, ailleurs, en Europe, les durées de cotisation sont loin d'être aussi importantes qu'en France (41 ans en 2012) : 35 ans en Espagne en Allemagne, 36 ans en Italie, 30 ans en Angleterre.

    Contrairement à ce qu'essaye de nous faire accroitre votre parti, l''effort de financement n'est pas équilibré. 80% des ressources nouvelles proviennent des travailleurs (via le recul des âges de départ et de retraite à taux plein et l'alignement public/privé), les revenus du capital étant quasiment épargnés. Faut il rappeler que ce n'est que si l'on augmente de NEUF ans l'âge de la retraite...Que l'option 1 du COR devient crédible ? Et à la condition sine qua non d'une croissance de 1,75% ?

    Certaines dispositions du projet sont carrément iniques, comme celle qui exige un handicap pour motif professionnel avéré d'au moins 20% pour maintenir un départ anticipé.

    Sur le fond, les opposants à la réforme ne nient donc pas le problème mais contestent les modalités retenues, et non négociées, par Nicolas SARKOZY, le Gouvernement, et la "majorité présidentielle".

    Quand 2 millions et quelques personnes perdent une journée de salaire - cela peu paraitre peu pour des Ministres ou/et des parlementaires voire un Président de la République - mais quand on a un salaire mensuel de 800 euros par mois voire moins, accepter de perdre le "beurre dans les épinards" pour défendre ses droits, n'est pas quelque chose de futile.

    J'espère donc, que vous entendrez ceux qui vous disent, non pas "retirer la réforme" mais "retirer ce texte qui n'a ni queue ni tête" et remplacez le par un texte "intelligent, crédible, cohérent, et juste".

    Serait ce donc trop demandé ?

    En 1789, les parlementaires Français ont parfaitement compris les "revendications" du Peuple qu'ils représentaient :

    "NON nous ne sommes pas opposés aux impôts...MAIS nous voulons que l'effort demandé soit partagé."

    "OUI, nous acceptons, car nous aimons la France, de consentir pour elle à des sacrifices. Pour elle nous disons "la Liberté ou la Mort". MAIS nous voulons, en contrepartie, l'égalité en droits...Et le principe selon lequel nous contribuerons en fonction de nos revenus, et eux seuls."

    Le "résultat" on le connait..La DDHC. Et par la suite, la "contribution commune" va, après moultes discussions, finir par apparaitre, sous le nom d'impôt sur le revenu.

    Les efforts, oui...Mais pas sans contreparties réelles. Si le Gouvernement ne cesse de se payer la tête de ceux qu'il doit servir, si M. SARKOZY persiste à nier l'injustice du projet qu'il soutient et défend par ailleurs un Ministre qui a reconnu son mensonge et s'est fait connaître pour sa capacité à faire du trafic d'influence et à couvrir la fraude fiscale de Mme BETTANCOURT...En l'échange de l'embauche de son épouse - je veux bien croire qu'il puisse être "banal" de soutenir une promotion à la légion d'honneur. En revanche, la probabilité pour qu'un parlementaire reçoive, sans sourciller, une missivecommençant par "cher Eric", est tout de même moindre - il ne faudra pas s'étonner des conséquences...Et pas seulement électorales.

    Je ne peux bien entendu, pas parler au nom des Français. Ceux ci ne m'ont pas honoré de leur confiance et fait de moi l'espoir qui est leur. Je me rappelle cependant que vous avez été élu, comme du reste M. SARKOZY, et l'ensemble de vos collègues députés – pour les sénateurs c'est un peu différent – sur un slogan qui avait du sens pour beaucoup : « ensemble, tout est possible ».

    Un slogan faisant écho à la fameuse phrase d'un certain Napoléon : « à Français, rien d'impossible »...Qui a depuis été transformée en « impossible n'est pas français ».

    Appeler les Français à se résigner – il FAUT reculer l'âge de la retraite ; il FAUT nous résigner à gagner moins en pension ; il FAUT accepter parce que les autres le font (heureusement que l'Angleterre n'a pas eu semblable comportement de « mouton » pendant la guerre !) – n'est pas digne d'un parti qui a gagné l'élection présidentielle et les législatives, en tissant des lauriers à la volonté politique.

    En 2007, M. SARKOZY – et ceux qui l'ont soutenu, dont vous êtes – nous a dit : l'action politique n'est pas morte. La France n'est pas un navire sans capitaine. Nous pouvons être nous mêmes, nous le devons même. La France doit avoir foi en elle parce que c'est lorsqu'elle se résigne, accepte la défaite, se soumet à l'étranger, à l'extérieur, elle se meurt.

    En 2010, le même nous explique que les marchés financiers, l'Union Européenne, le MEDEF, les spéculateurs, l'ONU font la LOI...Et que nous devons nous y soumettre. Et sans rien dire qui plus est...Même si l'on tolère quelques grèves – qui se voient – mais ne sauraient suffire (du moins officiellement) à provoquer un quelconque changement.

    Je sais bien que la cohérence n'est pas le fort des partis politiques, de gauche comme de droite, en passant par le centre. Il n'en demeure pas moins qu'au pays de Descartes, découvrir que celui qui en appelait à la volonté politique...Exige maintenant la résignation, et se refuse même au débat – M. WOERTH (qui apparaît de plus en plus comme l'artisan d'un trafic d'influence) et les syndicats ne discutant pas de la « réforme » mais des « compensations » contre l'acceptation de ladite « réforme » – est quelque peu perturbant (pour ne pas dire plus) pour ceux qui ont, peut être naïvement, cru à l'une des promesses les plus violées du candidat SARKOZY : "Je ne vous mentirai pas, je ne vous trahirai pas, je ne vous décevrai pas".

    Dans une tribune au « Monde » le collectif de la « droite populaire » exprime le vœu de retrouver le SARKOZY de 2007. Est il possible de le « retrouver » alors que son quinquennat se solderait par une « réforme » qui consacrerait l'emprise de la résignation sur la volonté politique ? L'acceptation d'une mauvaise solution (puisqu'elle ne résolve pas le problème, mais le renvoie à plus tard) plutôt qu'un débat d'idées enrichissantes et efficaces ?

    Qu'y a t il de courageux à obéir, à se soumettre...Quand le vrai courage serait, tout au contraire, d'en appeler à la volonté ? De ne pas se contenter de dires...Mais d'actes ? Dans le respect de la DDHC cela va de soi.

    J'aime notre pays. C'est peut être une tare à une époque où le Ministre de l'identité nationale parle de son Peuple comme d'un « conglomérat (sic!) de peuples (sic !) désireux de vivre ensemble ». Je crois cependant qu'il n'y a rien de honteux à aimer son pays. Surtout quand ce pays s'avère être la Terre Promise pour beaucoup, et pour nous un diamant étincelant, qui en dépit de ses défauts, continue de subjuguer le plus grand nombre. Est ce trop demandé à la classe politique d'avoir un minimum de considération pour la France ?

  • Cette loi était nécessaire mais pour moi elle n'est pas juste!!

    Il fallait profiter de cette loi pour mettre a égalité tous les Français, c'est à dire : personne ne par à 55ans ou parfois moins (administration!), la cotisation est la même pour tous,

    Le calcul est le même pour tous (pas avec les 6 derniers mois comme dans l'administration) et par conséquence LA MËME CAISSE POUR TOUS. Au moins les manifestations pourraient ce justifier et tout aurait été fait au lieu d'y revenir plus tard

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