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  • Mercredi 18 juillet :

    Déjeuner/débat des réformateurs à Bercy :

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    Discours du Président de la République aux élus de l'UMP, au Carrousel du Louvre :

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    Cocktail/débat au ministère du Logement :

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  • Samedi 14 juillet :

    Cérémonie au Paquier à ANNECY :
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     Garden party en Préfecture (avec le préfet Rémi Caron) :

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    Arrivée du Tour de France au GRAND-BORNAND :
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  • Agenda du 9 au 15 juillet 2007

    Lundi 9 juillet : CIRCONSCRIPTION

    20 H 00 : PLU de MANIGOD

    Mardi 10 juillet : PARIS

    06 H 00 : Train pour PARIS

    11 H 00 : Réunion groupe UMP

    13 H 00 : Déjeuner/débat avec Michel DIDIER, directeur REXECODE 

    15 H 00 : Loi TEPA (hémicycle)

    21 H 30 : Loi TEPA (hémicycle : séance de nuit)

    Mercredi 11 juillet : PARIS

    08 H 30 : Petit déjeuner avec Jean-François Coppé, président groupe UMP, à la questure

    09 H 30 : Loi TEPA (hémicycle)

    12 H 30 : Déjeuner avec revue Trombinoscope

    15 H 00 : Loi TEPA (hémicycle)

    20 H 00 : Diner Hôtel de Lassay

    21 H 30 : Loi TEPA (hémicycle : séance de nuit)

    Jeudi 12 juillet : PARIS et CIRCONSCRIPTION

    09 H 30 : loi TEPA (hémicycle)

    12 H 30 : Déjeuner avec Jean-Francois Roubaud, président national CGPME

    15 h 30 : Avion pour ANNECY

    18 H 30 : Signature convention partenariat SOPRA/APEI/Polytech'Savoie

    Vendredi 13 juillet : CIRCONSCRIPTION

    10 H 30 : Remise médailles Ordre du Mérite Agricole à MONTAGNY-LES-LANCHES

    18 H 30 : Cérémonie anniversaire catastrophe du 14/07/87 au GRAND-BORNAND

    Samedi 14 juillet : CIRCONSCRIPTION

    10 H 00 : Cérémonie citoyenneté en Préfecture

    11 H 00 : Cérémonie du 14 jullet au Paquier ANNECY

    15 H 00 : Arrivée du Tour de France au GRAND-BORNAND

    Dimanche 15 juillet : CIRCONSCRIPTION

    10 h 30 : départ du Tour de France au GRAND-BORNAND avec Roselyne Bachelot, Ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports

     

  • Agenda du 2 au 8 juillet 2007

    Mardi 3 juillet : PARIS

    06 H 00 : train pour PARIS

    11 H 00 : Réunion groupe UMP

    12 H 00 : Déjeuner au Ministète des relations avec le Parlement (Roger Karoutchi)

    15 H 00 : Discours de politique générale du premier Ministre (hémicycle)

    Mercredi 4 juillet : PARIS

    08 H 00 : Réunions Assemblée (commissions)

    20 H 00 : Réunion chambre agriculture Paris

    Jeudi 5 juillet : CIRCONSCRIPTION

    Vacances

    Vendredi 6 juillet : CIRCONSCRIPTION

    Vacances

    Samedi 7 juillet : CIRCONSCRIPTION

    Vacances

    Dimanche 8 juillet : CIRCONSCRIPTION

    11 H 00 : Monuments aux morts THONES

    11 H 30 : Remise médailles aux pompiers THONES

    12 H 00 : Défilé tout feu tout flamme THONES

  • Sécurité sociale : de nouvelles mesures pour enrayer le déficit

    Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, et Eric Woerth, ministre du Budget, ont présenté, le 4 juillet, les comptes prévisionnels de la sécurité sociale pour 2007 et les mesures de redressement de l’assurance maladie que le Gouvernement souhaite mettre en place. Une maîtrise des dépenses à laquelle tous les acteurs seront partie prenante.

    Le déficit du régime général de la sécurité sociale devrait atteindre 12 milliards d’euros en 2007, selon les prévisions de la Commission des comptes de la sécurité sociale (CCSS). Ce déficit, plus important que celui prévu par la loi de financement de la sécurité sociale du 21 décembre 2006 - 8 milliards - concerne essentiellement les branches maladie et vieillesse.

    La reprise des dépenses liées aux arrêts maladie de courte durée et au remboursement des médicaments explique le déficit plus important de la branche maladie (6,4 milliards d’euros). Le contexte épidémique défavorable du début d’année a contribué à son accélération.

    Du fait du nombre accru de départs en retraite, la branche vieillesse voit son solde se dégrader de 2,8 milliards d’euros par rapport à 2006. Les déficits des branches famille et accidents du travail-maladies professionnelles se dégradent moins fortement (0,7 et 0,3 milliard d’euros).

    Les mesures retenues par le Gouvernement engageront les professionnels, responsabiliseront les assurés et relanceront l’efficience du système de soins :

    - baisse des prix des médicaments ;
    - baisse des prix sur certains dispositifs médicaux (prothèses, appareillages) ;
    - baisse des tarifs d’actes de radiologie et de biologie ;
    - remboursement à 50 % de la consultation pour les assurés n’ayant pas de médecin traitant ;
    - généralisation du tiers payant (absence d’avance de frais) aux patients qui acceptent la substitution générique ;
    - plafond du forfait par acte médical porté à 4 euros par jour ;
    - lutte contre les fraudes ;
    - gel du Fonds d’intervention pour la qualité des soins de ville (FIQSV) au titre du Dossier médical personnel ;
    - mobilisation des professionnels de santé sur une maîtrise médicalisée des dépenses ;
    - incitation des établissements hospitaliers à recourir davantage à la chirurgie ambulatoire.

    Roselyne Bachelot a par ailleurs indiqué que de nouvelles ressources devront financer l’offre de soins palliatifs et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer.

    L’instauration d’une franchise médicale, qui devrait tenir compte du revenu du patient, pourrait permettre de couvrir ces nouvelles dépenses.

  • Discours de politique générale du Premier Ministre

    Le Premier Ministre, François FILLON, a hier présenté le calendrier de son action aux députés. Il a confirmé, le 3 juillet, devant les députés sa volonté de réformer le Parlement et d’offrir un véritable statut à l’opposition. Il a proposé de "rénover le contrat politique, social et culturel de la France", et a annoncé une refonte de la démocratie sociale. Présentation des priorités de l’action gouvernementale.

    Modernisation des institutions. Une commission composée de constitutionnalistes et d’hommes politiques va être nommée pour préparer une vaste réforme des institutions, qui permettra au président de la République de s’exprimer devant le Parlement. La procédure législative sera revue, le nombre des commissions pourrait être modifié. Il s’agit aussi de revaloriser le rôle du Parlement, grâce à un statut de l’opposition, à un contrôle des nominations et aussi à la mise en place de moyens indépendants d’audits. Les circonscriptions législatives seront redessinées, avec l’instauration possible d’une dose de proportionnelle.

    Démocratie sociale. Le Premier ministre souhaite favoriser les compromis sociaux dans les entreprises. Il a plaidé pour une refonte de la représentativité des organisations syndicales, qui "devrait reposer sans équivoque sur le critère de leur audience parmi les salariés", et cela à tous les niveaux de négociation. Dans cette perspective s’inscrirait "l’élection à un seul tour, ouverte à chaque syndicat légalement constitué dans l’entreprise". A l’heure actuelle, les syndicats "non représentatifs" ne peuvent se présenter à ces élections que si un second tour a lieu. Ce second scrutin est organisé si une majorité de salariés n’a pas participé au premier tour.

    Réforme de l’université. Celle-ci se fera autour d’un double objectif : conduire 50 % de chaque classe d’âge vers un diplôme de l’enseignement supérieur, et faire des universités des pôles d’excellence. Outre la réforme sur la gouvernance des universités, le Premier ministre a insisté sur la concertation engagée sur les conditions de vie et de travail des étudiants - il s’agit de lutter contre l’échec en première année, de favoriser l’insertion professionnelle mais aussi de créer de véritables campus autour des universités.
    Parallèlement, le Premier ministre a annoncé un investissement massif dans la recherche, qui devrait atteindre 3 % du PIB.

    Education. Parmi les priorités, la liberté pédagogique - qui conduit le Gouvernement à assouplir progressivement la carte scolaire -, et la généralisation du soutien scolaire individualisé. "Quatre fois par semaine, écoliers, collégiens et lycéens pourront bénéficier d’un encadrement éducatif d’au moins deux heures par jour", a déclaré le Premier ministre. Les études dirigées devront être effectives pour tous les collégiens dès la rentrée 2008, et dans la totalité de l’enseignement scolaire à la rentrée 2011. Autre mesure prévue, l’instauration d’un droit opposable à la scolarisation de tout élève handicapé.

    Culture. La gratuité sera expérimentée dans certains musées. Un passeport culturel valable sur tout le territoire sera créé, à destination des jeunes.

    Ville. Un plan "respect et égalité des chances" sera lancé dans les banlieues. Objectifs : la réduction du nombre d’élèves dans les établissements scolaires où se concentrent les difficultés, et le renforcement du tutorat. Le Gouvernement soutiendra notamment les internats de réussite éducative. Un effort particulier sera fait en faveur de la formation et de l’insertion professionnelle. "L’effort massif en faveur de la rénovation des quartiers se poursuivra", a aussi précisé le Premier ministre.

    Justice. Parmi les actions déjà engagées, la réforme de la carte judiciaire et le projet de loi renforçant la lutte contre la récidive des majeurs et mineurs. Le Gouvernement proposera une loi sur le système pénitentiaire pour garantir des conditions décentes de détention aux prisonniers et de travail aux surveillants ; il souhaite créer un contrôleur général des prisons et des autres lieux privatifs de liberté.

    Développement durable. Deux mois avant la réunion cet automne du Grenelle de l’environnement, François Fillon a insisté sur la mise en place d’une "fiscalité écologique", avec notamment l’expérimentation de l’eurovignette et le projet de taxe carbone.

    Nouvelle croissance. L’objectif du Premier ministre est de gagner un point de croissance. "La politique monétaire européenne n’est "pas aussi réactive" que le souhaiterait la France, a-t-il affirmé. Mais le coeur du problème est d’abord chez nous." La revalorisation du travail est l’axe prioritaire de l’action du Gouvernement : elle passe par la réforme des heures supplémentaires, le projet de loi sur le travail, l’emploi et le pouvoir d’achat, et la mise en place d’un contrat de travail unique. Le Gouvernement se fixe pour objectif un taux de chômage de 5 % à la fin du quinquennat.

    Finances publiques. François Fillon s’est engagé sur une progression, à compter de 2008, de 0 % en volume (hors inflation) des crédits, soit un gel budgétaire, qui s’appliquera aussi à la dotation globale aux collectivités locales, jusqu’ici indexée sur la croissance du PIB. "Nous ramènerons la dette publique en deçà de 60 % du PIB et nous rétablirons une situation budgétaire à l’équilibre en 2012 au plus tard", a-t-il assuré. François Fillon a aussi confirmé le principe du non-remplacement d’un fonctionnaire partant en retraite sur deux : "50 % des économies retirées du non-remplacement de tous les départs à la retraite seront affectées à l’amélioration des carrières dans la fonction publique", a-t-il souligné.

    Santé. "Les contraintes techniques plaident en faveur d’une franchise fractionnée avec un plafond annuel par personne", a expliqué François Fillon, précisant que c’était "une solution possible pour 2008".Le Premier ministre s’est prononcé pour un débat "sans a priori" sur un "bouclier sanitaire", un mécanisme qui permettrait de "plafonner ce que paie chacun pour sa santé en fonction de son revenu".

  • Discours de politique générale du Premier Ministre

    Un gouvernement, la confiance, l'action.

    Le discours de politique générale du Premier Ministre, de ce mardi 3 juillet, a mis un terme aux controverses d’un autre âge sur la formation du gouvernement.

    A partir d’aujourd’hui, les Français ont l’assurance d’avoir le gouvernement qu’ils ont voulu par leurs votes de mai et juin derniers.

    Un gouvernement qui repose sur quatre fondements solides :

    • un Président de la République
    • un Premier Ministre et ses Ministres
    • les deux Chambres et les partis politiques qui soutiennent l’action du Premier Ministre

    Les choses sont maintenant claires. La France s’engage résolument dans son programme de rénovation. Une rénovation hardie, ambitieuse, minutieusement étudiée dans ses étapes et son contenu. Une rénovation qui n’est pas une aventure, le Parlement la soutient mais la contrôle aussi.

    La rénovation commence par celle des institutions. Le discours du Premier Ministre François FILLON est un message de volonté et d’espoir. Les députés à l’Assemblée Nationale lui ont apporté une majorité sans ambiguïté.

    Je m'inscris sans réserve dans celle-ci.