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entreprise - Page 3

  • Congrès d'été de la Fédération des Jeunes Chambres Economiques de Rhône-Alpes à ANNECY

    Table ronde ce samedi matin à la Chambre des Métiers autour du thème "Envie d'entreprendre ? Les réseaux d'accompagnement à la création d'entreprise sur les territaoires".

    Réseau Entreprendre :

    48 implantations dont 9 en Rhône-Alpes (regroupe 9 000 chefs d'entreprises).

    En Haute-Savoie :

    84 projets pour 105 lauréats

    1 688 500 euros attribués sous forme de prêts d'honneur.

    Taux de pérennité des entreprises suivies à 5 ans = 85%.

    Initiative France en Haute Savoie :

    149 lauréats accompagnés.

    132 entreprises soutenues.

    182 prêts à taux zéro accordés pour un montant de 1 248 000 euros (dont 114 prêts d'honneur pour un total de 883 200 euros).

    300 emplois créés et 277 entreprises suivies.

    Taux de pérennité des entreprises suivies à 3 ans = 88%.

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  • Assemblée générale de la Fédération BTP 74 à ANNECY

    Le thème cette année de l'assemblée générale organisée à la Chambre de Métiers : les chemins de la réussite.

    Belle prestation de l'intervenant Hervé Gougeon ... une petite piqûre de rappel pour tous les chefs d'entreprise présents ... dont je suis !

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  • Portes ouvertes chez Curioz à ALBY-SUR-CHERAN

    Beaucoup de monde ce vendredi lors des traditionnelles "portes ouvertes" chez Curioz.

    L'occasion de distinguer de la médaille du travail 4 employés exemplaires ... le secret avait été bien gardé.

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    Dauphiné Libéré du 12 juin

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    Hebdo des Savoie du 13 juin

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  • Petit déjeuner thématique à la permanence UMP 74

    Samedi 9 mars

    de 9 h 30 à 12 h 00

     

    Petit déjeuner thématique

    " la création d'entreprises

    en Haute-Savoie "

    présenté par Maxime MORAND

     

    Permanence UMP

    59 avenue de Genève

    ANNECY

  • Invité de Radio Courtoisie de 18 h à 19 h 30

    Le libre journal des Contribuables présenté par Benoîte Taffin recevra :

    En première partie :

    • Lionel TARDY, député UMP de Haute Savoie, chef d’entreprise
    • Bernard ZIMMERN,  animateur du blog « Emploi 2017 », fondateur de l’IFRAP

    En seconde partie :

    • Nicolas PERRUCHOT, rapporteur d’une commission d’enquête parlementaire sur le financement des syndicats, conseiller régional Nouveau Centre
    • Thierry JALLAS, consultant, créateur du syndicat « LIBRES »
    • Guy MILLIERE, professeur d’université, pour son livre « Le désastre OBAMA »

     

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  • Audition sur le commerce extérieur

    Ce matin en commission des Affaires économiques, nous auditionnions des responsables d'organismes chargés d'aider les entreprises françaises à exporter (UBI France, ADIT, AFII ...), mais aussi trois dirigeants d'entreprises, venus témoigner de la manière dont ils travaillent avec ces organismes.

    J'approuve pleinement l'idée d'associer des chefs d'entreprises, dont le témoignage, trop rare, est pourtant indispensable pour que les députés comprennent quelque chose à l'économie et notamment au problèmes rencontrés à l'export.

    Je suis intervenu en tant qu'orateur commun aux groupes UMP et R-UMP (preuve que la fracture n'est que provisoire).


  • Les socialistes ne connaissent rien au monde de l'entreprise ...

    Hier soir, nous avons continué l'examen des amendements de la loi de Finances Rectificative pour 2012.

    L'article 11 qui pose le principe de la transmission dématérialisée des donnees comptables des entreprises, lors des contrôles fiscaux, ne semblait pas poser de problème de principe. Il faut s'adapter, et cela facilitera le travail de tout le monde.

    Sauf que lorsque l'on regarde dans le détail, on se rend compte que rien n'est bordé ! Je suis intervenu plusieurs fois, soulevant à chaque fois un problème différent.

    Déjà, toutes les manipulations informatiques ne vont pas se faire instantanément, il va falloir faire des conversions de données, ce qui demande du temps a partir du moment ou une entreprise se voit signifier un contrôle fiscal ... le Gouvernement demande que ces données soient disponibles au premier jour de la signification du contrôle !

    Il faudra aussi s'assurer que le fichier fourni par l'entreprise soit exploitable par l'administration, qui n'est pas équipé de logiciels aux standards du marché. Il faudra donc convertir les fichiers, et bien entendu, ce cout supplementaire, qui vise a faciliter la tache de l'administration, sera à la charge des entreprises ...


    J'ai également soulevé le problème des risques de fuites de données. C'est tellement facile de faire suivre un fichier informatique par mail, contenant toutes les donnees comptables d'une entreprise. On parle bien ici des donnes comptables des entreprises, avec un besoin important de confidentialité !!!!

    Comment s'assurer également que les fichiers seront bien détruits après la fin du contrôle ?

    Voilà des questions auxquelles nous n'avons eu aucune réponse...

    Techniquement, un bon nombre de PME vont avoir des soucis, car leurs logiciels ne sont pas adaptés pour exporter des données.

    Encore un point complètement oublié, et ce sera à la PME, lors du contrôle fiscal, d'essayer d'expliquer qu'elle ne peut pas, techniquement, répondre à la demande de l'administration ... y compris sur des exercices comptables antérieurs.

    Comme si les chefs d'entreprises n'avaient que ça à faire !!

  • Les amendements "pigeons" sur la loi de finances

    Ce vendredi après-midi, nous avons repris la séance à 15 heures sur les articles 6, 7 et 8, qui traitent de la taxation des plus-values de cessions d'entreprises. Les articles qui ont déclenché le mouvement de protestation des "pigeons", qui ont obligé le Gouvernement à reculer.

    Je suis intervenu à deux reprises, une première fois pour exprimer une opposition politique aux mesures du Gouvernement.


    Et une deuxième fois, sur les aspects plus techniques des dispositions revues et corrigées par le Gouvernement ... par des amendements gouvernementaux déposés en catastrophe jeudi soir.


  • Lancement du think tank "Génération entreprise - Entrepreneurs associés" à l'Assemblée nationale

    La présentation officielle de du think tank « Génération entreprise – Entrepreneurs associés » (GEEA) a eu lieu hier après-midi à l’Assemblée nationale.


    Pourquoi créer ce think tank :

     

    Comme l’a montré le mouvement spontané des « pigeons » les entrepreneurs sont les mal-aimés du nouveau Gouvernement.

     

    Dans ce contexte les députés de l’opposition ont le devoir de faire entendre le point de vue de celles et de ceux qui créent, innovent, osent et entreprennent ; celles et ceux qui sont la source de la croissance et du dynamisme de l’économie française et du rayonnement international de la France.

     

    Force de proposition, levier politique, laboratoire d’idées, « Génération entreprise», association créée en 2002 par Olivier Dassault et Jean-Michel Fourgous, s’appelle désormais « Génération entreprise – Entrepreneurs associés » et a vocation à rassembler des députés et anciens députés, des entrepreneurs mais aussi celles et ceux qui ont à coeur de défendre et de promouvoir l’esprit d’entreprise et la liberté d’entreprendre. Nous sommes déjà 74 députés à nous engager.

     

    Pédagogie de l’économie, valorisation de l’initiative et de la responsabilité, sont au coeur de notre action.

    Nous voulons être les défenseurs de l’équilibre entre économie et politique, être une plateforme d’échanges entre ces deux mondes et porter la voix des entrepreneurs.

    Pour créer des emplois : arrêtons d’accabler nos entreprises !

     

    Discours simplistes, méconnaissance des réalités économiques, mesures idéologiques et contraires à l’intérêt national : l’entreprise semble être devenue aujourd’hui un bouc émissaire facile et commode pour le Gouvernement. La preuve en est le matraquage fiscal que prévoit la prochaine loi de finances qui risque de casser la croissance, d’assécher le financement de nos PME, de démotiver nos talents.

     

    Comment pourrait-il en être autrement compte-tenu de la sous-représentation de l’entreprise au sein du monde politique ? A l’Assemblée nationale, un très grand nombre de Députés sont issus du secteur public et ne connaissent pas les contraintes d’un marché concurrentiel mondialisé. Conseillers ministériels et présidentiels, issus en grande majorité de la sphère administrative, donnent parfois l’impression aux entreprises qu’un mur d’incompréhension voire d’hostilité entoure les décisionnaires politiques. N’a-t-on pas vu récemment le ministre du Redressement productif et son cabinet, s’en prendre très violemment au président directeur général de Sanofi ?

     

    En pleine guerre économique mondiale, cette absence de mixité culturelle dans les cercles décisionnels français est un handicap majeur pour notre pays. Culture administrative et culture économique doivent pouvoir se parler et se comprendre.

     

    Dépourvus d’expériences pratiques, nos hauts fonctionnaires, si brillants soient-ils, développent souvent une vision de l’économie trop éloignée de la réalité vécue par les entreprises. Trop souvent, ils ne semblent pas prendre en compte qu’avant de taxer et redistribuer la richesse, il faut d’abord la créer ! Doit-on rappeler que la croissance ne vient pas de l’Etat, mais des entreprises, qui ont aujourd’hui, plus que jamais, besoin de capitaux et de compétitivité pour investir et créer des emplois ?

     

    Malheureusement, le déficit de culture économique des élites dirigeantes françaises n’est pas nouveau. L’ENA a bien intégré dans son cursus un stage en entreprise mais 15 semaines sont bien insuffisantes pour comprendre les chefs d’entreprises. Quant à l’enseignement des sciences économiques au lycée c’est souvent une vision caricaturale de l’économie, davantage considérée comme un théâtre d’exploitation des hommes qu’un jeu gagnant-gagnant, qui prédomine.

     

    C’est pour réduire cette fracture culturelle entre les sphères économiques et administratives, qui prend aujourd’hui une ampleur inégalée, que 70 Députés ont décidé de se réunir pour créer un think tank auquel seront associés les entrepreneurs.

     

    Son objectif est de faire la pédagogie de l’économie en rappelant que l’entreprise est une nécessité vitale pour la France : elle seule produit des richesses, crée des emplois, et contribue largement à financer nos routes, nos hôpitaux, nos écoles. Son ambition est de faire des propositions pour la compétitivité française, qui vient encore de perdre 3 places dans le dernier classement du World Economic Forum…avant même le choc fiscal sans précédent que prévoit le gouvernement !

     

    Dans la situation inédite que vit notre pays, il n’est pas normal que le prochain budget 2013 prévoit 2/3 de hausses d’impôts et seulement 1/3 de baisse des dépenses publiques. Depuis 20 ans, notre pays a déjà augmenté son nombre de fonctionnaires de plus d’1 million, alors que l’Allemagne l’a réduit de 2 millions. Résultat : nous avons le niveau de dépenses publiques le plus élevé de la zone euro (56% du PIB contre 46% en Allemagne) et l’un des plus forts taux de prélèvements obligatoires (nos entreprises, dont 97% sont des PME de moins de 20 salariés, payent chaque année 140 milliards d’euros de plus de charges que leurs concurrentes allemandes)… Sans oublier la fiscalité instable et confiscatoire que subissent nos entrepreneurs qui les met en danger et qui peut les obliger à tout moment à quitter le sol national.


    On ne le dira jamais assez : le financement de notre économie, l’avenir de notre protection sociale, et la lutte contre le chômage dépendent de nos entreprises…pas de l’Etat.

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