Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lionel tardy - Page 12

  • Invité de l'émission ARRET SUR INFO ce midi sur I>TELE

    Je participerai en direct ce matin, de 11 heures 40 à 12 heures, à l'émission ARRET SUR INFO sur I<TELE.

    Cette émission, présentée par Audrey Pulvar, appronfondit chaque jour avec des experts et des témoins (le témoin c'est moi !) un thème précis de l'actualité pour mieux comprendre les sujets qui font débat.

    Ce matin, l'émission parlera de la problématique des "détachements" dans l'éducation, suite à l'affaire Luc Ferry.

    Je serai entouré sur le plateau par :

    • Agnès-Verdier-Molinié, de l'IFRAP
    • Emmanuel Davidenkoff, spécialiste de l'éducation

    L'émission sera rediffusée à 16 h 10 et sera en ligne sur internet pendant 1 semaine.

    tele,television,interview,itele,ferry,lionel tardy,pulvar

    tele,television,interview,itele,ferry,lionel tardy,pulvar

    Lien vers la vidéo de l'émission du 15 juin

    tele,television,interview,itele,ferry,lionel tardy,pulvar

  • Interview dans "La séance continue" sur LCP AN

    De retour à Paris, après avoir assisté ce matin aux cérémonies à Morette et au plateau des Glières, en présence du Président de la République, j’ai participé de 16 heures à 16 heures 30 à l’émission « La séance continue » sur LCP (canal 13 de la TNT).

    Les Questions au Gouvernement sont le rendez-vous incontournable à l’Assemblée nationale.

    A l’issue de cette séance attendue les mardis et mercredis, Jean-Pierre Gratien propose à quatre députés de prolonger le débat souvent houleux de l’hémicycle.

    Discussions, réactions, commentaires, « La séance continue » permet de mieux cerner les enjeux de la confrontation entre députés et membres du Gouvernement.

    Les invités du jour :

    Pascal Brindeau, député NC de Loir-et-Cher

    Roland Muzeau, député PC des Hauts-de-Seine

    Olivier Dussopt, député PS de l’Ardèche

    Lionel Tardy, député UMP de Haute-Savoie

  • Invité du journal de 20 heures 30 sur LCP

    J'étais ce soir l'invité du journal LCP INFOS sur La Chaîne Parlementaire (canal 13 de la TNT).

    Ce journal, présenté par Luce Nuttin, fait le point sur l'actualité politique et parlementaire.

    Au programme de mon intervention :

    • le point sur les nouvelles mesures de prévention routière
    • le point sur la première journée du eG8 Forum

     

  • J'ai posé cet après-midi une Question au Gouvernement sur le crash du vol AF 447

    Je suis intervenu cet après-midi dans le cadre des Questions au Gouvernement (QAG) pour poser une question à Thierry Mariani, Secrétaire d'Etat aux transports, à propos du crash du vol Air France Rio - Paris AF 447 et notamment sur l'exploitation des deux boîtes noires repêchées récemment.



    qag,questions au gouvernement,air france,vol af 447,boite noire,lionel tardy

    Le texte de ma question :

    Ma question s’adresse à Thierry Mariani, Secrétaire d’Etat chargé des Transports. 

    Monsieur le Ministre,

    Le 1er juin 2009, le vol Air France 447 reliant Rio à Paris s’est abîmé en mer dans des circonstances tragiques et encore inexpliquées.

    228 personnes de différentes nationalités se trouvaient à bord, dont 73 Français, ainsi que de nombreux Brésiliens et Allemands.

    Alors que des débris de l’épave avaient été repêchés dans les premiers jours qui ont suivi l’accident, des parties essentielles pour expliquer les causes de cet accident semblaient perdues, dont notamment les fameuses « boîtes noires ».

    Trois campagnes de recherche ont été engagées en deux ans, pour un coût total de 35 millions d’euros, afin de retrouver l’épave de l’avion.

    Une 4ème campagne de recherche a été lancée fin mars, les 3 premières étant restées infructueuses.

    Le 3 avril, soit un peu moins de deux ans après le drame, l’épave a été localisée à 4000 kilomètres de profondeur.

    Dimanche et lundi dernier, les 2 boîtes noires ont enfin été repêchées.

    Aujourd’hui, de nombreuses questions se posent sur les prochaines étapes qui permettront d’analyser le déroulement de cet accident.

    Les familles des victimes, en premier lieu, ont besoin de connaître toutes les circonstances de ce drame.

    Le monde de l'aéronautique a besoin de ces informations pour éventuellement modifier la conception des avions et améliorer la formation des pilotes.

    Et enfin, l’examen des boites noires devrait notamment permettre d'établir les responsabilités d'Airbus et d'Air France, qui ont été mis en cause, sans pouvoir se défendre.

    Vous vous êtes très impliqué sur ce dossier, en rencontrant à plusieurs reprises les familles des victimes et en lançant cette 4ème campagne.

    Monsieur le Ministre, pouvez-vous nous détailler les initiatives que vous comptez prendre pour que toutes ces réponses soient apportées dans les meilleurs délais.

    Je vous remercie.

  • Projet de loi constitutionnelle relatif à l'équilibre des finances publiques

    Le Gouvernement propose d’inscrire dans la Constitution trois séries de dispositions visant à réformer la gouvernance de nos finances publiques, suite notamment aux travaux du groupe de travail présidé par Michel CAMDESSUS, mais également à l’image de ce qui existe dans d’autres pays, comme en Allemagne.

    Création des lois-cadres d’équilibre des finances publiques :

    Il s’agit tout d’abord de créer un instrument juridique nouveau, les « lois-cadres d’équilibre des finances publiques », qui auront pour objectif d’assurer l’équilibre des comptes des administrations publiques. Ces dispositions permettront de voter une date de retour à l’équilibre des finances publiques et d’établir en cohérence l’effort à réaliser sur une période fixe d’au moins trois ans.

    Ces lois-cadres d’équilibre s’imposeront aux lois de finances et lois de financement de la sécurité sociale, et permettront au Conseil constitutionnel de sanctionner une loi de finances qui ne respecterait pas la trajectoire définie.

    Monopole des lois de finances et des lois de financement de la sécurité sociale :

    Il s’agit ensuite d’assurer juridiquement le monopole des lois de finances et des lois de financement de la sécurité sociale pour régir le domaine de la fiscalité et celui des recettes de la sécurité sociale.

    Transmission au Parlement des projets de programme de stabilité :

    Enfin, il est proposé d’inscrire dans la Constitution le principe d’une transmission systématique au Parlement des programmes de stabilité, avant qu’ils soient adressés à la Commission européenne dans le cadre du Pacte de stabilité et de croissance.

    Le projet de loi constitutionnelle comprend 13 articles.

    Pour être adopté, ce texte devra être voté à la majorité simple dans les mêmes termes, par chaque assemblée, puis approuvé à la majorité des trois-cinquièmes du Parlement réuni en Congrès. Le Président de la République peut également choisir la voie référendaire.

    Mon intervention à 23 h 30, lors de la Discussion Générale :

    Le texte de mon intervention :

    Monsieur le Président,

    Monsieur le Ministre,

    Monsieur le Président de la commission des Lois,

    Monsieur le rapporteur,

    Mes cher(e)s collègues, 

    Bien qu'étant très favorable à l'objectif d'équilibre des finances publiques, je dois bien avouer ici mon faible enthousiasme pour ce projet de loi constitutionnel. Je n'en vois en effet guère l'utilité et même plutôt quelques inconvénients.

    Pourquoi donc inscrire dans la Constitution des règles que l'on pourrait très bien s'appliquer avec un peu d'autodiscipline.

    Depuis que je siège ici, je suis effaré de la manière dont nous légiférons, avec des amendements qui arrivent d'on ne sait où, à la dernière minute, et qui sont adoptés les yeux fermés ... quand ils sont déposés par le gouvernement ou le rapporteur.

    Nous sommes, sur beaucoup de sujets, incapables de la moindre constance, avec des modifications incessantes des règles, notamment fiscales.

    Nous mettre, comme nous le faisons ici, au pied du mur est quelque part un constat de notre impuissance à modifier notre manière de travailler et d'écrire la loi. C'est sans doute aussi malheureusement le signe d'une incapacité à assumer des décisions difficiles.

    Pourquoi se réfugier derrière des obligations constitutionnelles, sinon pour pouvoir se couvrir et dire à tous les mécontents que nous n'avions pas le choix, que nous y étions obligés par les règles constitutionnelles.

    Mes chers collègues, il faudrait nous interroger avant tout sur notre faiblesse et notre difficulté à prendre des décisions difficiles et à nous y tenir, car ce texte constitutionnel n'apporte que des solutions en trompe-l'oeil.

    En effet, l'essentiel du dispositif se trouvera dans la loi organique, et on le sait tous, une loi organique se change facilement. On peut ainsi renier au bout de quelques années des engagements que l'on avait pourtant affirmés comme écrits dans le marbre de la loi organique.

    Le dernier exemple en date est celui de la prolongation de la durée de la CADES. J'ai bien peur que les engagements d'équilibres pris en début de mandat ne soient amendés au bout de deux ou trois ans.

    Trois aspects de ce texte m'inquiètent.

    Nous continuons à casser nos instruments de politique économique.

    Nous avons déjà entièrement abandonné le levier monétaire, et voilà maintenant que nous bridons le levier budgétaire.

    Comment allons nous faire pour mener à bien une politique économique digne de ce nom ?

    Je trouve que nous retouchons la Constitution avec parfois un peu de légèreté.

    Ce n'est pas un texte anodin, et surtout, ce n'est pas seulement un texte technique.

    Par ce projet de loi, nous ne nous contentons pas de mettre en place un mécanisme, nous inscrivons aussi dans la Constitution l'objectif d'équilibre des finances publiques.

    Avons nous anticipé ce que le Conseil constitutionnel en fera ? Ses décisions sont parfois surprenantes et peuvent faire parler les textes bien au delà de ce que le constituant a voulu dire !

    L'équilibre envisagé est global. Il comprend les finances publiques de l'Etat et de la sécurité sociale, mais également celles des collectivités locales.

    Comment concilier cela avec le principe constitutionnel de libre administration des collectivités territoriales ?

    Enfin, et cela a déjà fait l'objet de débats abondants, on risque de bouleverser les équilibres au sein du Parlement, en limitant encore plus les capacités d'initiative des parlementaires sur les questions fiscales, avec un poids important donné à la commission des finances.

    Autant je suis d'accord pour rationnaliser ce qui se fait actuellement, autant les solutions proposées dans ce texte m'apparaissent trop radicales.

    Des solutions plus consensuelles doivent être trouvées, car le texte initial n'est pas acceptable en l'état.

    Je conçois bien qu'il est nécessaire d'envoyer des signaux forts de notre volonté politique de régler la question des déficits et de la dette.

    Ces signaux seraient encore mieux reçus si, en plus de promettre de faire, nous nous y mettions concrètement dès l'examen du prochain budget.

    Je vous remercie.

  • Interview sur RMC (Bourdin an Co) demain à 8 heures 10

    Je serai interviewé lundi matin EN DIRECT à partir de 8 heures 10 sur RMC, dans le cadre de l'émission BOURDIN & CO.

    Sujet du jour :

    • la réforme du permis à point
    • les éthylotests antidémarrage
    • le drame de Chelles (conducteur ivre, récidiviste et sans permis, qui a tué 3 personnes)

    Rmc info.jpg

    Cliquez ci-dessous pour écouter mon interview :


    podcast

  • Invité de l'émission "La séance continue" sur LCP, ce mardi à 16 heures

    Intervention en direct sur la chaine LCP-ASSEMBLEE NATIONALE, ce mercredi de 16 heures à 16 heures 30, dans le cadre de l'émission "La séance continue" (canal 13 de la TNT).

     

    Cette émission oppose deux députés de la majorité à deux députés de l'opposition, qui reviennent sur les sujets abordés lors de la séance des questions au Gouvernement du jour.

     

    Les invités du jour :

    • Philippe Folliot (Nouveau Centre)
    • Bruno Le Roux (SRC)
    • Roland Muzeau (GDR)
    • Lionel Tardy (UMP) 


  • Classement 2010 des députés en cumul depuis 2007 ... 14ème place (l'Expansion avril 2011)

    La saison des classements des députés se poursuit : c'est comme la saison des prix littéraires ...

    Après Lyon Capitale et le Figaro, au tour de l'Expansion !

    Ces classements valent ce qu'ils valent : certains applaudissent, d'autres critiquent ... toujours est-il que beaucoup se recoupent, qu'il s'agisse de l'activité pour la seule année 2010 ou en cumul depuis juin 2007.

    Ainsi, sur celui délivré par le mensuel l'Expansion d'avril 2001, je me situe en 14 ème position dans le classement des députés les plus assidus, en cumul depuis juin 2007 (ce qui est plus représentatif que la seule année 2010)

    Quoi qu'il en soit et même si certains ne sont pas d'accord, je suis plutôt satisfait de figurer parmi les 100 premiers ... que parmi les 100 derniers !

    A quand un classement pour les conseillers régionaux et les conseillers généraux ... il y aurait de belles surprises !

    Cassement députés LES INFOS du 23 avril 2009

    Classement députés LES INFOS du 18 mai 2010

    Classement députés sur Twitter du 16 septembre 2010

    Classement des parlementaires LE FIGARO du 25 mars 2011

    03 - 31mars11 Expansion.jpg03 - 31mars11 Expansion1.jpg03 - 31mars11 Expansion2.jpg

  • Classement des parlementaires 2010 : les 25 premiers députés et sénateurs

            Source www.lefigaro.fr :

    Les deux rapporteurs généraux du Budget à l'Assemblée nationale et au Sénat ont pris la tête du palmarès des 50 meilleurs députés et sénateurs, établi par le cabinet Interel.

    Gilles Carrez (UMP, Val-de-Marne), Charles de Courson (Nouveau Centre, Marne) et François Brottes (PS, Isère) pour l'Assemblée Nationale. Philippe Marini (UMP, Oise), Jean Arthuis (Union centriste, Mayenne) et Yvon Collin (RDSE, Tarn-et-Garonne) pour le Sénat.

    Ce sont les six gagnants du palmarès 2010 des 50 meilleurs parlementaires (25 députés + 25 sénateurs) établi par Interel. Ce cabinet, spécialisé en affaires publiques et en lobbying, a en effet dressé, pour la deuxième année, la liste des 25 députés et des 25 sénateurs les plus actifs au Palais Bourbon et au Palais du Luxembourg.

    Pour y parvenir, Interel a retenu cinq critères composés chacun d'un ou de plusieurs indicateurs. Des points ont ensuite été attribués à chaque critère qui, une fois cumulés, donnent le classement général.

    Pour figurer en bonne place dans ce classement, chaque parlementaire a été évalué en fonction :

    • de son dynamisme en commission (le nombre d'interventions)
    • de sa force de proposition (nombre de propositions de loi ou de résolutions déposées)
    • de son travail comme rapporteur (le nombre de rapports législatifs rendus)
    • de la défense des amendements (nombre de d'amendements défendus et adoptés en séance)
    • et enfin, du contrôle et de l'évaluation (nombre d'interventions dans les offices, délégation et missions d'information, rédactions de contrôle, questions écrites)

    Logiquement, la tête du palmarès est occupée par les deux rapporteurs généraux du Budget, le député Gilles Carrez et le sénateur Philippe Marini. Ils occupent des fonctions très exigeantes qui leur imposent de connaître toutes les arcanes de la vie parlementaire et en même temps, d'être très présents aussi bien commission qu'en séance. «C'est effectivement, une demi-surprise de les voir en tête. Ceux qui suivent l'activité réelle du Parlement savent très bien que les rapporteurs généraux du Budget sont de véritables bourreaux de travail. Par exemple, au cours de l'année 2010, ils ont dû examiner une loi de finances initiale et quatre lois rectificatives. Ils ne doivent tous les deux leur première place qu'à leur expérience et à leur détermination», explique Aristide Luneau, directeur d'Interel. Travail et détermination qui valent d'ailleurs pour l'ensemble des 50 parlementaires récompensés.

    En effet, très peu de députés sont connus du grand public et seuls trois d'entre eux ont été ministres.

    «Ce qui compte, c'est le travail accompli, rappelle Aristide Luneau. Tous les parlementaires retenus dans notre palmarès n'ont uniquement en commun que leur capacité de travail».

    Je me classe 23ème sur 577 députés pour l’année 2010.

    classement,depute,cumul,assemblee,lionel tardy,interel,le figaro,presseclassement,depute,cumul,assemblee,lionel tardy,interel,le figaro,presse

    classement,depute,cumul,assemblee,lionel tardy,interel,le figaro,presseclassement,depute,cumul,assemblee,lionel tardy,interel,le figaro,presse

    Cliquez ici pour consulter le rapport complet

  • Audition à l'Assemblée nationale sur le passage à la TNT

    Cet après-midi, dans le cadre du passage de la télévision au tout numérique, la Commission des Affaires culturelles et de l'Education de l'Assemblée nationale a auditionné :

    • Michel Boyon : président du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA)
    • Nicolas About : membre du CSA
    • Alain Méar : membre du CSA
    • Louis de Broissia : président de France Télé Numérique

    Je suis intervenu, lors des questions/réponses, pour attirer l'attention des intervenants sur la difficulté que va représenter la bascule vers le tout numérique dans les secteurs de montagne et pour demander a ce qu'il y ait davantage d'information en direction des collectivités qui souhaitent numériser un émetteur non retenu par le CSA.

  • Intervention dans un reportage diffusé lors du journal de 20 h de TF1 de ce soir

    Je serai interviewé ce matin par une équipe de TF1 à l'Assemblée nationale.

    Cette intervention sera diffusée dans le journal de 20 heures de ce soir sur TF1, dans le cadre d'un reportage sur les commissions et instances consultatives ou délibératives ... plus prosaïquement appelées "comités Théodule".

     

    tele,television,tf1,reportage,interview,comite theodule,theodule,lionel tardy

  • Visite du salon de l'agriculture

    Il n'y a pas de séance à l'Assemblée nationale cette semaine (vacances parlementaires).

    Présent depuis lundi soir à Paris pour honorer des rendez-vous, j'en ai donc profité pour faire un tour complet du salon de l'agriculture, cet après-midi.

    Ma visite a démarré, comme il se doit, par le stand de la Savoie.

    J'y ai retrouvé Michel Barnier, commissaire européen en charge du marché intérieur et des services et le président de la Chambre d'agriculture : au menu du déjeûner, politique agricole commune, coût des matières premières, budget de l'Europe, point sur les filières agricoles ... Jean-Pierre Raffarin et une délégation de sénateurs nous ont rejoins en cours de repas.

    J'ai ensuite fait le tour des différents pavillons en compagnie de Bruno Le Maire, ministre de l'agriculture.

    Beaucoup de monde, comme d'habitude, avec notamment beaucoup de visiteurs parisiens, venus en famille, à l'occasion des vacances scolaires de février.

    www.salon-agriculture.com

    Lien vers l'album sur ma fiche FACEBOOK 

    paris,salon,agriculture,savoie,barnier,ministre,lionel tardyparis,salon,agriculture,savoie,barnier,ministre,lionel tardyparis,salon,agriculture,savoie,barnier,ministre,lionel tardyparis,salon,agriculture,savoie,barnier,ministre,lionel tardyparis,salon,agriculture,savoie,barnier,ministre,lionel tardy