Dauphiné Libéré du 18 juillet 2010
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Fête départementale de l'UMP Haute-Savoie :
Samedi 17 juillet 2010
12 heures
(à la Ferme Biologique)
à JONZIER-EPAGNY
Vous êtes cordialement invité à participer à cette fête départementale, avec vos collègues, amis, relations, qui se déroulera en présence de Christian ESTROSI, ministre chargé de l'Industrie.
En matinée, Christian Estrosi visitera, en compagnie des élus, le site de l'entreprise SNR à SEYNOD.
les photos de la manifestation :
Depuis près d'un siècle, SNR concentre son activité sur la conception, le développement et la fabrication de roulements, dans des secteurs où cette pièce, souvent invisible, joue un rôle fondamental et parfois vital.
A travers son réseau commercial, SNR est aujourd'hui présent dans plus de 200 pays sur les 5 continents.
En 2007, la société NTN (Japon) a acquis 35% du capital de SNR. Suite à ce rapprochement, NTN a poursuivi le processus d'acquisition d'actions du groupe, jusqu'à détenir 51% le 7 avril 2008, et 80% le 22 avril 2010.
En intégrant SNR, le groupe NTN est devenu le 3ème roulementier mondial. Avec ses marqiues fortes, NTN-SNR est rès active dans les secteurs de :
La société NTN-SNR est la plus grosse société industrielle de Haute-Savoie.
Les chiffres clés du groupe NTN Corp. :
Chiffres clés du groupe NTN-SNR, branche de NTN Corp. :
Par sa présence ce matin, Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie, a tenu a rendre hommage a notre fleuron industriel et a plaidé pour une industrie novatrice, gage de notre compétitivité et meilleur remède contre les délocalisations.
L'aménagement du giratoire Berlet, à la sortie sud de Saint-Jorioz, est terminé après plus de 10 mois de travaux.
Il s'agissait de réaliser deux ouvrages en passage inférieur pour permettres à la piste cyclabe, gérée par le SILA et particulièrement fréquentée à cet endroit (5000 à 6000 cyclistes en heure de pointe), de franchir la RD 1508 en toute sécurité.
Les caractéristiques principales des aménagements sont les suivantes :
L'opération a nécessité le déplacement de tous les réseaux présents sur le site.
Le montant global des travaux s'élève à 2 300 000 euros TTC, compte tenu des déplacements des réseaux d'eau pluviales et eaux usées.
La répartition financière est la suivante :
LES CHIFFRES :
L’ESSENTIEL :
POURQUOI UN DEUXIÈME PLAN POUR LA SANTÉ AU TRAVAIL ?
QUE CONTIENT CE PLAN ?
QUELLES MESURES POUR PRÉVENIR LE STRESS AU TRAVAIL ?
CE PLAN A-T-IL ÉTÉ ÉTABLI DE MANIÈRE CONCERTÉE ?
Comme de plus en plus d'hommes politiques, Lionel Tardy a son blog, sa page Facebook et son compte Twitter. Quitte à fâcher une partie de ses confrères quand il rend compte d'une réunion à huis clos via Internet. Rencontre avec un député high-tech sur le site du Figaro.
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Grâce à Internet, le député UMP Lionel Tardy est en train de se faire un nom sur la scène médiatique. Son dernier coup : avoir commenté en temps réel, fin juin, l'audition à huis-clos de Raymond Domenech et Jean-Pierre Escalettes, via son compte Twitter. Une opération qui a permis à ce patron d'entreprise spécialisée dans les nouvelles technologies de gagner une visibilité médiatique non-négligeable, mais qui n'a pas été du goût de tout le monde.
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Dans les couloirs du Palais Bourbon, plusieurs de ses collègues lui ont reproché de ne pas jouer le jeu du huis-clos. Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a annoncé son intention de soumettre le cas des députés «twitteurs» au bureau de l'Assemblée. Sur son blog, le journaliste Jean-Michel Aphatie l'a accusé de «se dissimuler», «de trahir», «en clair d'agir sournoisement». L'origine de ces critiques ? La remise en cause d'un journalisme politique à l'ancienne, fait d'effets de manche et d'hypocrisie, estime Tardy.
Lors de l'audition de Domenech et d'Escalettes, Lionel Tardy n'en était pas à son coup d'essai. Voilà près d'un an qu'il possède son compte Twitter et qu'il y diffuse des messages de façon régulière.
En mars, c'est d'ailleurs déjà qui lui avait posté en direct les temps forts de la première réunion du groupe UMP à l'Assemblée après la débâcle de la droite aux élections régionales, et révélé l'abandon de la taxe carbone. Quelques mois plus tôt, il partageait avec les internautes sa position contre la Hadopi, s'attirant les compliments de nombreux utilisateurs de Twitter, hostiles dans leur majorité au projet de loi contre le téléchargement illégal.
Depuis quelques temps déjà, Internet est devenu un espace incontournable pour les hommes politiques. Tenir un blog, posséder une page Facebook et avoir un compte Twitter est désormais assez banal. Reste encore à savoir s'en servir correctement.
Lionel Tardy a une idée assez précise de la question. «Pour moi, ce sont des médias différents. Sur le blog, c'est de l'information à tête reposée, essentiellement sur du local. Twitter, je le réserve pour mes relations avec la presse, sur des sujets politiques nationaux : sur Twitter, la fête champêtre de Haute-Savoie, tout le monde s'en fout ! Quant à Facebook, c'est un peu pour tout le monde, entre le blog et Twitter». Peu de parlementaires - et plus largement d'hommes politiques -, prennent le temps de faire cette distinction, pourtant impérative lorsque l'on veut utiliser correctement ces outils.
A l'écouter, Lionel Tardy ne regrette en tout cas en rien l'heure et demie qu'il consacre quotidiennement à son activité multimédia. Convaincu de l'intérêt que peuvent lui apporter blog, page Facebook et compte Twitter, le député haut-savoyard croit aussi aux bienfaits de ses supports «deux points zéro» auprès de ses administrés.
Pas de déplacement sur Paris ce mardi : j'ai reçu pendant 2 heures à la permanence UMP d'Annecy, en compagnie de François Carbonnel (suppléant de Bernard accoyer), une délégation CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA pour faire le point sur le dossier des retraites.
J'ai salué cette initiative car il est de plus en plus rare que l'on vienne nous rencontrer en amont d'un texte de loi.
La délégation est revenu sur les manifestations du 24 juin et nous a fait part de sa motion adressée aux députés et sénateurs de Haute-Savoie.
Après avoir demandé un retrait de la réforme en l'état, le débat a très vite dévié sur le pouvoir d'achat et les conditions de travail :
Après avoir réorienté les débats et rappelé les enjeux de cette réforme (système déficitaire, 1 retraite sur 10 non financée en 2010 ...) nous avons abordés la question phare du passage de l'âge légal du départ en retraite de 60 à 62 ans.
Beaucoup d'intervenant m'ont demandé ma position sur le passage à 62 ans :
Tout d'abord, j'ai clairement fait savoir a mes interlocuteurs que sans le passage de la retraite de 65 ans à 60 ans en 1983, nous n'en serions pas là : les réformes de 1993 (régime privé), de 2003 (régime public) et de 2008 (régimes spéciaux) ont toutes été conduites par des gouvernements de droite.
J'ai confirmé que j'étais pour le passage à 62 ans, pour différentes raisons :
Parmi les propositions faites par les organisations syndicales :
Puis à nouveau retour sur d'autres revendications :
Sur la question du fanancement :
J'ai réexpliqué le mode de financement retenu pour arriver a un équilibre du régime des retraites en 2018 (déficit attendu de 43 milliards si nous ne faisons rien).
Les salariés (à hauteur de 18 milliards : mesures d'âge), l'Etat (à hauteur de 15 milliards), les hauts revenus et les entreprises (à hauteur de 6 milliards) et les mesures de convergence public/privé (à hauteur de 4 milliards) participeront à l'effort demandé.
Pour les syndicats, l'intégralité de la charge doit revenir aux entreprises et aux revenus du capital.
Sur la question de la pénibilité :
Gros débat sur les salariés cassés, les suicides, les conditions de travail ... mais pas de solutions concrètes, sauf à faire référence aux débats de 2003 (et aux engagements à ce sujet).
Là est tout le problème, comment légiférer d'une façon générale à ce sujet, quand il faudrait raisonner au cas par cas. Les situations sont très différentes d'une entreprise à une autre, d'un poste à un autre ... à l'intérieur d'une même profession.
Aucun pays n'ayant encore intégré la notion de pénibilité dans le calcul de 'lâge de départ en retraite, je suis ouvert à toute proposition constructive et applicable à ce sujet, d'ici le mois de septembre.
Sur la convergence des mesures public/privé :
Pas de débat particulier, si ce n'est que certains ont souligné la difficulté de devoir côtiser davantage (6 euros par mois, à terme, en 2018) sans augmentation des salaires dans la fonction publique.
La réunion s'est finie sur un constat d'échec des représentations des organisations syndicales, qui ont déploré notre souhait de ne pas voter CONTRE cette réforme : ils appellent donc à manifester contre cette réforme en septembre.
LES CHIFFRES :
L’ESSENTIEL :
RGPP, OÙ EN EST-ON ?
POURQUOI LANCER UNE DEUXIÈME PHASE DE LA RGPP ?
DES RÉDUCTIONS DE DÉPENSES AU DÉTRIMENT DE LA QUALITÉ DES SERVICES PUBLICS ?
LES FONCTIONNAIRES, GRANDS PERDANTS DE LA RGPP ?
C’est tout le contraire. L’Etat est le premier employeur de France, il doit également être le meilleur. Ce que souhaite le Gouvernement c’est une fonction publique mieux gérée avec des fonctionnaires mieux formés, plus mobiles et mieux payés :
Plus de 1000 personnes ont assisté hier soir aux démonstrations acrobatiques des jeunes sapeurs pompiers de Thônes, suivies de celles de l'équipe spéciale des pompiers de Lyon : un grand moment.
La biennale se poursuivra demain matin par la cérémonie aux monuments aux morts, par la remise de décorations puis le défilé historique dans les rues de Thônes. L'après-midi, place à de nouvelles démonstrations et le soir à la retraite aux flambeaux et au feu d'artifice, suivi d'un bal populaire.
Les choses sérieuses commencent aujourd'hui sur le Tour de France, avec la première étape de montagne entre la station des Rousses (Jura)et la station de Morzine-Avoriaz (Haute-Savoie).
189 kilomètres au programme avec deux cols de 1ère catégorie : le col de la Ramaz (1619 mètres) et la montée finale vers Avoriaz (1796 mètres) où sera jugée l'arrivée.
Avec un français en jaune (Sylvain Chavanel), un temps superbe et toutes les incertitudes d'une première étape de montagne ... je file sur la ligne d'arrivée, je ne vais surtout pas rater celà !
Rendez-vous demain matin pour le compte-rendu photo et vidéo sur ma fiche FACEBOOK
Je m'exprimerai ce dimanche sur TV8 Mont-Blanc pendant 12 minutes (vers 12 heures 35), dans le cadre de l'émission " 7 jour en 1 heure" de Gilles Meunier, sur la réforme des retraites :
Rediffusion de l'émission ce soir à 19 heures (canal 21 sur la TNT).