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  • La semaine de l'entreprise à l'IMUS d'ANNECY-LE-VIEUX

    Participation à la conférence inaugurale ce lundi matin, animée par Bernard Accoyer, sur le thème "Comment manager l'Assemblée nationale".

    Apprès avoir expliqué le fonctionnement de nos institutions, Bernard Accoyer s'est attaché a expliquer les réformes qu'il a engagé concernant la gestion des 1500 personnels de l'Assemblée.

    Puis il a expliqué qu'il n'avait pas a manager individuellement les 577 députés, qui par définition, sont libres de leurs choix, et ne se devait d'intervenir qu'en terme de gestion de l'ordre du jour et de l'organisation des débats. Il a souligné, en direction des étudiants amenés à devenir de futurs chefs d'entreprises, toute l'importance de l'action et des décisions prises par les élus sur le monde de l'entreprise.

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  • Remise des prix ARTINOV 2008 à ANNECY

    Cérémonie de remise des prix Artinov 2008 à la Chambre des Métiers et de l'Arisanat de la Haute-Savoie.

    Les 4 candidats distingués cette année sont :

    • Serge Socquet
    • Guy Georget (les Métalliers Réunis)
    • Samia Ferrad (Samia Bijoux)
    • Vincent Lissonde (Roulottes Collinéa)
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  • Point d'étape sur les pôles de compétitivité

    LES CHIFFRES :

    • 5 000 : c’est le nombre de PME membres de l’un des 71 pôles en 2007
    • 1,7 Md € : c’est le montant des dépenses publiques de recherche & développement dans les pôles entre 2005 et 2007
    • 58 sur 71 : c’est le nombre de pôles dont l’évaluation est positive ou très positive

    L’ESSENTIEL :

    • Les pôles de compétitivité ont été lancés en 2005 : compte tenu des enjeux et des financements dédiés, après 3 ans, une évaluation s’imposait.
    • Le rapport d’évaluation commandé par Luc Chatel et Hubert Falco est clair : c’est une politique industrielle moderne et efficace. Sur les 71 pôles, 58 ont totalement ou partiellement atteint les défis initiaux. C’est plus de 4 sur 5 !
    • Notre prochain défi : développer des « clusters » mondiaux à l’image de la Silicon Valley , capables d’attirer les talents, les idées et les capitaux privés et favoriser le financement des PME innovantes.

    POURQUOI UNE EVALUATION DES POLES DE COMPETITIVITE ?

    • Les pôles de compétitivité ont été lancés en 2005 pour favoriser la capacité d’innovation de la France, facteur clé de la compétitivité. Depuis 3 ans, plus d’1,4 milliard d’euros ont été investis par l’Etat et ses agences (Agence Nationale pour la Recherche , OSEO) dans des projets de recherche et développement, dépassant ainsi l’enveloppe initiale prévue. Les collectivités territoriales ont pour leur part cofinancé des projets pour près de 300 millions d’euros.
    • 4 défis ont été définis initialement pour tous les pôles : un développement cohérent avec le territoire, une visibilité internationale suffisante, un partenariat efficace entre industriels et établissements d’enseignement supérieur et de recherche, et des synergies en matière de recherche et développement.
    • Après 3 ans d’existence, il était impératif de vérifier et de mesurer l’efficacité de l’argent public dépensé. Une évaluation de cette politique s’imposait !
    • Comme l’ont souhaité le Président de la République et le Premier ministre, Luc Chatel et Hubert Falco ont donc demandé à 2 cabinets indépendants une évaluation des mesures de sélection et d’accompagnement des pôles et un bilan pour chacun des 71 pôles labellisés.

    QUELLES SONT LES CONCLUSIONS DE L’EVALUATION ?

    • Première conclusion de l’évaluation : la politique des pôles de compétitivité est un vrai succès.
    • Concrètement, les 71 pôles ont été évalués en détail pendant 6 mois :
      • 36 pôles ont parfaitement relevé les défis initiaux. C’est un motif de satisfaction pour les pouvoirs publics mais surtout pour ces pôles. Les crédits et l’effort seront donc poursuivis par les pouvoirs publics au cours des 3 prochaines années.
      • 22 pôles sont sur la bonne voie pour atteindre les objectifs fixés au départ. Les 18 mois qui viennent leur permettront de travailler leurs points faibles pour assurer leur succès.
      • Seuls 13 pôles ne répondent pas aujourd’hui aux attentes de cette politique. Le Président de la République et le Gouvernement souhaitent leur laisser 1 an de plus pour réussir. La décision d’une éventuelle réorientation les concernant sera prise en 2009.
    • De nombreux projets sont déjà de vraies « success stories ». La société Protein’eXpert est spécialisée dans les protéines recombinantes. Depuis 2005, elle est membre du pôle Lyonbiopôle et son président Tristan Rousselle s’est beaucoup impliqué dans l’animation du pôle. Les résultats sont là : en 2 ans, son chiffre d’affaires a doublé, comme le nombre de ses salariés !

    QUELLE EST LA PROCHAINE ETAPE ?

    • Maintenant nous devons accompagner le développement de « clusters » de niveau mondial. Nous aurons réussi lorsque de véritables écosystèmes de l’innovation, capables d’attirer les talents, les idées et les capitaux privés se seront développés.
    • Notre ambition sera particulièrement forte pour les pôles mondiaux : nous voulons créer des « clusters » aussi puissants que la Silicon Valley , celui de Kijsta en Suède ou d’Osaka-Kobé au Japon.
    • Enfin, il n’y a pas d’écosystème de l’innovation qui fonctionne sans capitaux ! La Caisse des Dépôts et Consignations et le dispositif France Investissement doivent continuer à jouer leur rôle d’apporteur de capitaux privés. Nous voulons aussi que chaque pôle de compétitivité s’associe localement dès cette année à un club local d’investisseurs particuliers, (des « business angels ») pour favoriser le financement de la concrétisation des projets de recherche et développement.

    POURQUOI UNE POLITIQUE DEDIEE AUX POLE DE COMPETITIVITE ?

    • En France, les dépenses publiques et privées de recherche & développement représentent seulement 2,11% du PIB. En Allemagne, elles s’élèvent à 2.52% et en Suède à près de 4% ! Les chiffres sont parlants : la France , et notamment ses entreprises, doivent investir davantage pour gagner la course de l’innovation.
    • Avec la politique des pôles, le Gouvernement poursuit deux objectifs : la création de richesses nouvelles et le développement de l’emploi dans les territoires. C’est une illustration majeure de lambition du Gouvernement pour l’industrie française.
    • Un pôle de compétitivité, c’est le rapprochement, sur un territoire donné, d’entreprises, de centres de recherche et d’organismes de formation, autour d’une filière industrielle et d’un projet commun de développement. Aujourd’hui, les 71 pôles labellisés regroupent plus de 5 000 entreprises et 10 000 chercheurs.
    • Rapprocher les acteurs d’un même territoire, c’est une source d’innovation car la proximité stimule la circulation de l’information et des compétences. C’est aussi une source d’attractivité car la densité augmente la visibilité. C’est enfin un frein aux délocalisations car l’ancrage territorial des entreprises favorise le maintien de l’activité locale.
    • La politique des pôles est une politique industrielle moderne : c’est une politique offensive mais pas interventionniste, nous visons l’excellence. C’est une politique sectorielle qui s’ajoute aux mesures générales prises par le Gouvernement pour améliorer la compétitivité : revalorisation du facteur travail, crédit d’impôt recherche, loi de modernisation de l’économie.
  • Déjeuner/débat sur avec Elie Cohen

    Thème de ce déjeuner : Les conséquences du Grenelle de l'Environnement sur les entreprises.

    Débat complètement hors sujet par rapport au thème.

    Après les exposés généraux sur les 5 scénarios possibles et des banalités du genre " on a la technologie/les solutions/ la volonté, il nous faut du temps/des investissements/changer les comportements ", aucune solution concrète.

    Et c'est bien la toute la question sur l'attitude des entreprises, par rapport au Grenelle de l'Environnement :

    • quel coût 
    • quel bénéfice
    • quelles aides
    • pourquoi faire
    • quelle compétitivité
    • quel financement

    Autant de questions sans réponses que je vais poser à Jean-louis Borloo, Ministre de l'Ecologie, lors de notre rendez-vous de jeudi matin.

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  • Amicale parlementaire des PME à PARIS

    Première réunion de l'amicale parlementaire des PME, que je préside, à la Maison de la Chimie.

    100 députés et sénateurs présents autour du Président National de la CGPME, Jean-François ROUBAUD.

    Thème de l'amicale,  le commerce de proximité :

    • Comment dynamiser le commerce de proximité ?
    • Le commerce de proximité et la grande distribution 
    • Ouverture le dimanche

    Réunion suivie par une visite de l'Hôtel de Lassay.

    Téléchargez les propositions de la CGPME :

    AP sur commerce de proximité 21 03 2008.pdf

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  • Réunion de travail à l'Elysée

    Réunion de travail sur le projet de Loi de Modernisation de l'Economie (LME) autour de Claude Guéan, Secrétaire Général de l'Elysée.
    Ce projet de loi vise à libérer notre économie.
    Les questions abordées :
    • un ou plusieurs textes
    • inclure ou pas les mesures fiscales
    • loi spécifique aux entreprises ou plus large
    Cette loi comprendrai 4 chapitres.
    Le chapitre 2 plus spécifique aux entreprises traitera :
    • les délais de paiement
    • les PME et les marchés publics
    • le statut de l'entrepreneur individuel
    • les baux commerciaux
    • la simplification du droit des sociétés
    • le financement des entreprises
    • la tranmission des entreprises
    • le développement à l'export
    • donner une seconde chance aux entrepreneurs
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  • Réunion au WTC à GENEVE

    Rencontre avec Philippe DOUBRE, Président du WTC de GENEVE (World Trade Center).

    Débat sur l'implantation d'un WTC, destiné aux PME savoyardes exportatrices, sur l'agglomération d'ANNECY.

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  • La dépénalisation du droit des affaires

    La commission présidée par Jean-Pierre Coulon vient de rendre son rapport sur la dépénalisation du droit des affaires

    Il propose une remise en ordre du système de sanctions en droits des affaires, en prenant en compte les sanctions pénales, mais aussi les sanctions civiles et administratives. Au fil des textes, le système de sanctions en droit des affaires était devenu un véritable maquis, et un chef d'entreperise risquait parois plusieurs sanctions pour un même fait. Cette remise en cohérence était devenue une nécessité, tant l'insécurité juridique est dommageable pour les chefs d'entreprise. 

    Ce rapport offre aussi une intéressante reflxion sur la nature du droit pénal, qui doit protéger les valeurs supérieures de la société, et ne doit surtout pas être un instrument utilisé par les parties dans un conflit privé. Trop souvent, le droit pénal est utilisé comme un moyen de pression dans une négociation, ou comme un moyen d'attaquer une réputation et de nuire ainsi à un concurrent. Le droit pénal est ainsi remis à sa juste place, dans une bonne articulation avec les sanctions civiles et adminsitratives. 

    Ce rapport analyse de manière limpide chaque infraction pénale et propose une solution concrète. Même les solutions qui ont été écartées sont quand même évoquées, avec les raisons qui ont conduit à ne pas les retenir. Ce rapport est un modèle que devraient suivre toutes les commissions !