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  • Inauguration des locaux de ST DUPONT à FAVERGES

    Inauguration ce matin des nouveaux locaux de ST DUPONT, moins de 11 mois après leur destruction par un incendie, le 5 janvier 2008.

    Cet incendie avait détruit près d'un tiers des locaux et conduit à la mise en chômage technique de 140 personnes sur 350.

    La reconstruction s'est élevée à 10 millions d'euros (6 pour le matériel et 4 pour le bâtiment).

    La société ST DUPONT est spécialisée dans la création et la fabrication d'objets personnels de luxe (briquets, instruments à écrire, horlogerie, bagagerie, accesoires de luxe ...). Son chiffre d'affaire est de 74 millions d'euros et 90% de ce chiffre d'affaire est fait à l'export.

    Cette inauguration a été l'occasion de présenter la série limitée "Phenix" et de découvrir tout le savoir faire et la forte valeur ajoutée de l'entreprise : la plupart des opérations sont effectuées manuellement.

    A titre indicatif, la fabrication d'un briquet de luxe nécessite plus de 70 pièces et 500 opérations différentes.

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  • Le statut de l'auto-entrepreneur

    LES CHIFFRES :

    • 80.000 € : c’est le chiffre d’affaires maximum pour bénéficier du statut d’auto-entrepreneur pour une activité commerciale (1er seuil) et 32.000 € pour une activité libérale ou pour les prestations de services (2nd seuil).
    • 13%, 20,5% et 23% : c’est le prélèvement unique sur le chiffre d’affaires dont l’auto-entrepreneur devra s’acquitter (pour une activité commerciale, une activité libérale et une activité de services).
    • 200 000 : c’est le nombre d’auto-entrepreneurs prévus pour 2009. 

    L’ESSENTIEL :

    • A partir du 1er janvier 2009, le nouveau régime de l’auto-entrepreneur va permettre à tous les Français qui le souhaitent de créer leur propre entreprise simplement et rapidement.
    • Ce nouveau régime, créé par la Loi de Modernisation de l’Economie, lève les barrières à l’entrée de l’entreprenariat et offre une nouvelle chance à de nombreux salariés, étudiants, retraités et chômeurs, de compléter leurs revenus.
    • Ce statut offre de nombreux avantages sociaux, déclaratifs et fiscaux.

    ETRE « AUTO-ENTREPRENEUR », CELA CONSISTE EN QUOI ?

    • Le régime de l’auto-entrepreneur mis en place par Hervé NOVELLI, c’est un passeport offert à tous les Français qui souhaitent transformer leur talent en argent et bénéficier de revenus supplémentaires. Cela répond à un vrai besoin, particulièrement en cette période de crise.
    • Il n’y a qu’une seule limite pour être auto-entrepreneur : il faut réaliser moins de 80 000 € de chiffre d’affaires pour une activité commerciale ou moins de 32 000 € pour les prestations de services et les activités libérales. Ces seuils évolueront chaque année comme le barème de l’impôt sur le revenu.

    A QUI S’ADRESSE CE STATUT ?

    • A tous les Français : aux retraités qui veulent bénéficier d’un supplément de revenu, aux jeunes qui ont besoin d’un peu d’argent pour financer leurs études ou encore aux chômeurs, pour qui c’est une vraie chance de rebondir.
    • Y compris aux salariés qui auront le droit de devenir auto-entrepreneurs en dehors de leurs horaires de travail. A une seule condition : ne pas créer une activité qui conduit à démarcher les clients de son employeur sans son accord.

    COMMENT BENEFICIER DE CE STATUT ?

    • C’est la simplicité même :
      • Finie la tracasserie administrative : l’auto-entrepreneur n’aura pas besoin de s’immatriculer au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers.
      • Une seule déclaration suffit : il doit s’inscrire sur le site en ligne www.lautoentrepreneur.fr pour pouvoir commencer son activité dès le lendemain.
      • Ce qui est vrai lorsqu’on souhaite créer son activité est aussi vrai pour l’interrompre : l’auto-entrepreneur peut cesser son activité sans être soumis à des formalités ou à des obligations administratives complexes.

    QUELS SONT SES AVANTAGES ?

    • Au quotidien, le système est très simple, les relations avec l’administration sont réduites à l’extrême :
      • L’auto-entrepreneur devra s’acquitter d’un seul prélèvement équivalent à 13% de son chiffre d’affaires mensuel ou trimestriel pour toute activité commerciale, 20,5% pour une activité libérale ou à 23% pour les activités de service.
      • Il n’y a aucune autre taxe à acquitter : l’auto-entrepreneur n’est pas soumis à la TVA et il est exonéré de taxe professionnelle pendant trois ans à compter de la création de son entreprise.
      • S’il ne réalise aucun chiffre d’affaires, l’auto-entrepreneur ne paiera aucune charge. Lorsqu’il cesse son activité, cela ne coûte rien non plus.
      • Techniquement, une seule chose est demandée : remplir « un livre chronologique des recettes » pour enregistrer les ventes effectuées, et pour les commerçants remplir un « livre des achats ».
    • Ce statut est protecteur et offre des droits sociaux importants :
      • L’auto-entrepreneur est affilié à la sécurité sociale et valide des trimestres de retraite.
      • Il s’acquitte forfaitairement de ses charges sociales et de ses impôts uniquement sur ce qu’il encaisse. S’il n’encaisse rien, il ne paie et ne déclare rien. Il bénéficiera de la couverture assurance maladie dès le premier euro de chiffre d’affaires.

    A COMBIEN D’AUTO-ENTREPRENEURS PEUT ON S’ATTENDRE ?

    • La France est un pays d’entrepreneurs : nous devrions atteindre un nouveau record cette année, en dépassant les 320 000 créations d’entreprises.
    • Ce statut va contribuer à libérer les énergies et les talents : Christine LAGARDE et Hervé NOVELLI tablent sur 100 000 auto-entrepreneurs au premier semestre 2009, et 100 000 de plus au second semestre.
    • Cela signifie que chaque année, en rythme de croisière, la France comptera 500 000 entrepreneurs nouveaux !
  • Visite entreprise Bourgeois à FAVERGES

    Journées "portes ouvertes" destinée aux professionnels de la restauration chez Bourgeois.

    L'occasion pour Guy Babolat, PDG de Bourgeois, de présenter aux élus la nouvelle génération de four mixte Zénith, qui a reçu le prix Apria "Recherche et développement" 2008. Ce four est le premier four professionnel ayant fait l'objet d'une démarche globale d'éco-conception.

    Quelques chiffres sur Bourgeois :

    • société anonyme coopérative
    • spécialiste français de la fabrication de fours mixtes depuis 1946
    • CA 2007 : 13,8 millions d'euros
    • effectif : 103 personnes
    • capital détenu à 70% par les salariés.
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  • Annonce du dispositif de soutien et d'accompagnement à l'assurance crédit

    Suite à ma question au gouvernement du mercredi 5 novembre, à mes questions écrites, à la réunion organisée avec la CGPME à Bonneville, aux différentes réunions à l'Assemblée et aux différents entretiens que j'ai eu avec le cabinet de Christine Lagarde, des mesures ont été prises, lors d'une réunion ce jeudi 27 novembre à Bercy, concernant le problème récurrent de l'assurance crédit.

    Un plan d'action qui repose sur 3 piliers :

    • la mise en place d’un dispositif de réassurance publique, le Complément d’assurance crédit public (CAP), pour permettre le maintien des encours garantis ;
    • l’intervention du médiateur du crédit, au cas par cas, pour les risques que les assureurs crédit estimeraient ne plus pouvoir prendre ;
    • des engagements pris par les assureurs-crédit et les fédérations d’entreprises, portant sur le niveau global de garantie et la transparence des conditions de couverture du crédit inter-entreprise.

    Les assureurs crédits et les fédérations d'entreprises prennent des engagements en matière de niveau et de renforcement de la transparence du marché :

    1. proposer systématiquement le complément d’assurance-crédit public (CAP) ;
    2. ne pas diminuer globalement le pourcentage du crédit-interentreprises français qu’ils garantissent au cours des six prochains mois ;
    3. communiquer à l’Etat tous les mois des données statistiques sur leur niveau d’encours garanti, en spécifiant la part des PME ;
    4. réexaminer dans un délai de cinq jours tout dossier qui leur sera soumis par le médiateur du crédit ;
    5. continuer à ne procéder à aucune coupure de garantie d’assurance sur une base sectorielle sans tenir compte de la situation individuelle de l’entreprise concernée ;
    6. motiver systématiquement toute décision de modification de couverture sur un risque donné ;
    7. et enfin donner des éléments d’explication à toute entreprise qui souhaiterait comprendre l’évolution de l’évaluation de l’assureur-crédit à son égard.

    Cliquez ci-dessous pour lire le communiqué :

     

    Communiqué de presse assurance crédit.doc

     

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  • Premières assises des acteurs économiques d'ANNECY

    Pour la première fois depuis bien longtemps, je n'étais pas sur Paris ce mardi.

    En effet, pour une fois qu'une réunion parle d'économie sur Annecy, je n'allais pas rater celà. Profitant du fait que cette journée de mardi à l'Assemblée nationale était consacrée à la partie discussion générale (le bla-bla) du projet de loi de réforme audiovisuelle, j'ai donc différé mon départ pour Paris à mercredi matin.

    Je me suis donc rendu aux "premières assises des acteurs économiques", salle Eugène Verdun, pour voir où en était notamment la mise en place du FISAC annécien (Fonds d'Intervention pour les Services, l'Artisanat et le Commerce), puisque j'ai été chargé par Hervé Novelli de suivre cette affaire d'un peu plus près au niveau national.

    Après l'introduction de la soirée par le Maire d'Annecy, qui a rappelé que la compétence économique n'était pas du ressort de la mairie (ça donne d'emblée envie de rester ...), la société Infusion a restitué une enquête sur les atouts et les points noirs des commerces du centre ville d'Annecy, vu par les commerçants et vu par les consommateurs..

    Que souhaitent les commerçants :

    • plus d'animation, notamment en période hivernale
    • plus de dynamique
    • plus de parking
    • stationnement moins cher
    • revoir le plan de circulation
    • une meilleure collaboration entre les quartiers
    • plus de lien avec la mairie
    • création d'un office du commerce ...

    Que souhaitent les consommateurs :

    • pouvoir stationner plus facilement
    • avoir un schéma de circulation plus simple
    • des prix moins chers
    • un meilleur accueil ...

    Enfin voilà, rien de bien nouveau, quelques confirmations mais aucun plan d'action pour l'avenir.

    Sachant que l'Etat a tout de même alloué 350 000 euros à la ville d'Annecy, lors de la première tranche du FISAC, qui sera suivie d'une deuxième, puis d'une troisième tranche, je suis intervenu pour faire le point sur ce dossier sur lequel personne n'ose s'exprimer à part en disant : aide toi et le FISAC t'aidera ... tout un programme.

    Qu'en est-il du FISAC annécien aujourd'hui : la première tranche a été un échec complet. La mairie étant maître d'ouvrage et maître d'oeuvre sur cette affaire (quel intérêt ?), il lui a déjà fallu plus de 6 mois pour recruter un chef de projet, qui a démissionné 2 mois après, ce qui a d'emblée fait complètement retomber le soufflet. Mais mieux encore, la nouvelle chef de projet FISAC passe son temps en mairie, alors que sa tâche première est d'être auprès des commerçants, sur le terrain, pour entreprendre des actions concrètes de soutien au commerce. Résultat, tout se beau monde n'arrive même pas a se mettre d'accord pour financer quelques guirlandes pour Noël.

    A ce jour, les 350 000 euros du FISAC ont servi à financer un emploi en mairie et à cofinancer les travaux du parking de la clinique générale et de l'aménagement de la place François de Menthon ... au détriment de leur but premier, qui est d'être utilisés dans des actions en rapport direct avec le commerce, comme me l'a rappelé récemment Hervé Novelli.

    En clair, cet argent n'est pas destiné à financer des équipements publics : financer des équipements publics a destination des commerçants, c'est le rôle de la TP (taxe professionnelle).

    J'ai donc demandé :

    • plus de transparence sur l'utilisation des fonds FISAC, avec association des commerçants aux décisions
    • à ce que les sommes allouées soient dorénavant uniquement utilisées pour des actions de promotion
    • que les commerçants deviennent maître d'oeuvre du FISAC
    • la mise en place d'un/une véritable Mr Commerce, motivé et dynamique, au niveau de la ville
    • la nomination d'un élu qui chapeaute réellement les actions, en lien avec le Mr Commerce ...

    Aucune intervention suite a mes propos (et de toute la soirée) de la part de la responsable de projet FISAC (Mme Commerce ...) et du maire-adjoint chargé du commerce et de l'artisanat (alors que sur les 200 commerçants présents, la plupart ne les connaissent pas ...)

    Dorénavant, je vais faire en sorte de participer à toutes les réunions des commerçants ayant trait à ce FISAC, afin d'en suivre l'évolution, sauf si elles sont programmées le mardi et le mercredi ... pour éviter ma participation.

    Les commerçants d'Annecy attendent depuis des années un réel SOUTIEN POLITIQUE sur ce dossier. Je me fais fort d'être leur relais si rien ne bouge suite à cette première réunion.

    A SUIVRE.

  • Le fonds stratégique d'investissement

    LES CHIFFRES :

    • 20 Mds € : c’est le montant total de la dotation du fonds stratégique d’investissement disponible en 2009.

    L’ESSENTIEL :

    • Trois semaines après avoir annoncé la création d'un fonds stratégique d’investissement, le Président de la République en a détaillé le fonctionnement lors d’un déplacement à Montrichard devant les salariés de l’entreprise Daher.
    • Doté de 20 Mds €, ce fonds poursuit 2 objectifs :
      • soutenir la croissance des PME prometteuses en leur apportant les fonds propres nécessaires à leur développement, dans un contexte de restriction du crédit ;
      • sécuriser le capital d’entreprises stratégiques.
    • Face à la crise, la stratégie du Gouvernement est offensive. L’heure n’est pas à la renonciation. Nous devons miser sur l’investissement pour relancer l’activité dès aujourd’hui et accroître notre compétitivité de demain. La crise, c’est le moment de préparer l’avenir, pas de l’hypothéquer. 

    POURQUOI UN FONDS D’INVESTISSEMENT ?

    • Nos entreprises ont besoin d’investisseurs de confiance qui ne soient pas seulement attirés par une logique financière de court terme. Elles ont besoin d’investisseurs stables, « patients », qui financent leurs projets et accompagnent leur développement.
    • C’est pourquoi Nicolas SARKZOZY a décidé de créer un fonds stratégique d’investissement. C’est une grande première dans l’histoire économique de notre pays. C’est aussi une solution pragmatique pour faire face à une crise sans précédent.

    A QUOI VA-T-IL SERVIR ?

    • Soutenir le développement des PME prometteuses car nos petites et moyennes entreprises innovantes ont moins de facilités que les grandes à accéder aux financements. Nous souhaitons que les entreprises à fort potentiel soient en mesure de se développer et ce, même dans un contexte de raréfaction du crédit.
    • Sécuriser le capital d’entreprises stratégiques. Nous ne voulons pas que des investisseurs à courte vue fassent des coups financiers en rachetant nos entreprises stratégiques parce que leur valeur en bourse s’est effondrée avec la crise. L’Etat sera là, aux côtés des industries, pour les accompagner dans la traversée de la crise comme il l’a été récemment en entrant au capital des chantiers de l’Atlantique, ou en 2004 avec ALSTOM. En protégeant nos industries, c’est toute notre économie que nous protégeons.

    DE QUELS MOYENS DISPOSERA-T-IL ?

    • Le fonds disposera de 20 Mds € de dotation d’ici la fin de l’année 2009, le classant ainsi dans les 20 premiers investisseurs de long terme à l’échelle mondiale. Cette somme sera directement mise au service de l’économie réelle :
      • 6 Mds € de fonds disponibles pour être investis seront débloqués très rapidement par les actionnaires du FSI (CDC et Etat) : c’est maintenant que les entreprises ont besoin de fonds propres et que le FSI doit donc leur en apporter.
      • 14 Mds € supplémentaires seront apportés dans le courant de l’année 2009 sous forme de participations par la CDC et l’État. La CDC apportera ses participations stratégiques. L’État apportera certaines des participations qu’il détient, par exemple celles d’Air France, de Renault ou des chantiers de l’Atlantique. 

    QUELLE EST LA STRATEGIE D’INVESTISSEMENT ?

    • L’objectif de ce fonds, ce n’est pas de faire perdurer des entreprises qui ne sont pas viables mais de développer des entreprises qui ont des projets d’avenir et d’apporter des fonds propres pour financer des projets industriels novateurs et audacieux.
    • Pour remplir cet objectif, le fonds s’appuiera sur des principes clairs :
      • Il devra investir dans des projets rentables, et qui génèrent des revenus ;
      • Il sera minoritaire dans les entreprises où il investit. L’objectif n’est pas de constituer un groupe industriel intégré ;
      • Il n’agira pas seul mais avec des partenaires privés et même étrangers ;
      • L’horizon d’investissement n’est pas figé au niveau de chaque participation. Pour être réactif, le fonds devra en effet faire tourner son portefeuille. Mais il aura globalement une vision de long terme.

    COMMENT CE FONDS SERA-T-IL GERE ?

    • La Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) va créer une filiale ad hoc qui prendra la forme d’une société anonyme :
      • La CDC et l’Etat sont les 2 actionnaires fondateurs du fonds, mais la CDC sera majoritaire à 51%.
      • D’autres actionnaires, y compris étrangers, pourront par la suite entrer au capital, mais à condition (1) que la CDC garde le contrôle du fonds et (2) que ces investisseurs adhèrent à la doctrine d’investissement.
    • La gouvernance exécutive serra resserrée pour une chaîne de décision responsable et réactive :
      • Augustin de ROMANET, le Directeur général de la CDC, sera Président du conseil d’administration qui est restreint à 7 membres. Au sein du conseil d’administration, un comité d’investissement aura pour mission de se prononcer sur les principaux investissements. Il sera présidé par Patricia BARBIZET, qui sera également administratrice du fonds. Enfin, le directeur général du fonds sera nommé par le conseil d’administration dans les prochains jours.
      • Un comité d’orientation, composé de représentants des entreprises, des organisations syndicales ainsi que de personnalités qualifiées, garantira la cohérence et les équilibres de la stratégie du fonds. Il sera présidé par Jean-François DEHECQ, grand industriel français et co-fondateur de Sanofi.

    QUAND SERA-T-IL OPERATIONNEL ?

    • Le Président de la République a demandé à Christine LAGARDE, avec Luc CHATEL, Hervé NOVELLI et la CDC de finaliser dans les prochaines semaines la mise en place du fonds.
    • Le comité d’orientation du fonds stratégique se réunira dès le mois prochain.
  • Réunion "les PME face à la crise" à BONNEVILLE

    Salle comble pour cette réunion organisée par la CGPME Haute-Savoie et à laquelle je participais.

    Au programme :

    • le point sur l'activité
    • les dispositifs mis en place par le gouvernement
    • les demandes complémentaires des PME ...

    Il apparaît très clairement que le plan PME actuel, centré sur les banques, est insuffisant pour faire a face aux attentes des PME.

    J'en ai fait part cette semaine à Christine Lagarde à François Fillon, en leur demandant d'axer toutes les mesures à venir sur la préservation et le renforcement de la trésorerie des PME.

    Celà passe par des mesures drastiques concernant la garantie du crédit fournisseur (et notamment des assureurs-crédit) et un réechelonnement des créances de l'Etat vis à vis des PME (Taxe Professionnelle et organismes sociaux).

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  • Réunion entreprises sur le plan PME à BONNEVILLE

    Face à l'urgence de la situation, et afin de proposer des solutions concrètes en matière de trésorerie, en complément au plan PME annoncé par le Président de la République le 23 octobre à ANNECY, j'invite les chefs d'entreprises, en partenariat avec la CGPME Haute-Savoie, à une réunion :

    le vendredi 21 novembre à 11 H

    à BONNEVILLE

    (Espace Agora)

    Lors de cette réunion, réservée je le rappelle aux PME, nous ferons le point sur les relations PME/banques et recencerons les solutions complémentaires à proposer en ce qui concerne :

    • le poste fournisseur (assurance crédit)
    • les créances dues à l'Etat (TP, dettes sociales ...)
    • la gestion du volet social (chômage partiel ...)

    Ces différentes solutions seront intégrées dans le projet de proposition de loi "mesures d'urgence pour aider les PME face à la crise" que je compte déposer prochainement à l'Assemblée nationale.

  • La crise financière : questions et réponses

    L'UMP a organisé un débat vidéo en direct sur u-m-p.org sur le thème : Plan d'action contre la crise : pour qui ? pourquoi ? en présence de Christine Lagarde, ministre de l'Économie, de l'industrie et de l'emploi, et de Frédéric Lefebvre, Secrétaire national à l'économie et porte-parole de l'UMP.

    Nouvelles règles du jeu internationales, rôle de l'Europe dans la crise, plan national de financement de l'économie, aides au crédit pour les PME et les particuliers, soutien aux banques, taux du Livret A, prix du pétrole, fiscalité... autant de sujets de questions de la part des internautes auxquels nous avons répondu.

    Je vous propose, ci-dessous, une sélection des questions les plus souvent posées ainsi que les réponses qui y ont été apportées :

     

     

  • Installation de la Commission Départementale pour le Financement de l'Economie (C.D.F.E) de Haute-Savoie

    INFORMATIONS A L'ATTENTION DES ENTREPRISES :

     

    Face à l'ampleur de la crise financière, le gouvernement a pris des mesures exceptionnelles pour garantir la solidité de notre système bancaire et assurer le financement de l'Economie. Il faut, maintenant sur le terrain, vérifier que ces mesures s'appliquent complètement.

     

    C'est la mission que le Président de la République a confié aux Préfets et aux Trésoriers Payeurs Généraux en les réunissant le 30 octobre dernier à Paris, au Palais de l'Elysée.

     

    C'est dans la droite ligne des instructions présidentielles, que Michel BILAUD, Préfet de la Haute Savoie et Laurent de JEKHOWSKY, Trésorier Payeur Général ont installé, ce vendredi 7 novembre 2008, « la commission départementale pour le financement de l'Economie » (CDFE).

     

    Cette commission rassemble les services de l'Etat et les représentants des acteurs de la vie économique du département :

    • le Préfet, président,
    • le Trésorier Payeur Général, vice- président,
    • le Directeur de la Banque de France d'Annecy/ Médiateur départemental du crédit,
    • le Directeur départemental du Travail, de l'Emploi et de la Formation Professionnelle (DDTEFP),
    • les Sous-Préfets d'arrondissement d'Annecy, de Bonneville, de Saint-Julien en Genevois et de Thonon,
    • le Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie,
    • le Président de la Chambre des Métiers,
    • le Président du MEDEF,
    • le Président de la CGPME (confédération générale des petites et moyennes entreprises),
    • le Président départemental de la Fédération Bancaire Française,
    • le Délégué régional d'OSEO,
    • la représentante du Directeur interrégional Auvergne-Bourgogne, Rhône-Alpes, Directeur régional Rhône-Alpes de la Caisse des Dépôts et Consignations.

    Cette commission a pour missions :

    • d'informer les acteurs économiques des mesures prises au niveau national et de leurs objectifs;
    • d'effectuer un diagnostic de la situation locale et en particulier du rétablissement d'un fonctionnement normal du marché du crédit aux entreprises;
    • de décliner au niveau local et de suivre de manière précise et régulière les engagements pris par les banques au niveau national.

    Adresse postale :

    Rue du 30ème Régiment d’infanterie - BP 2332 - 74034 ANNECY CEDEX

    Tel : 04.50.33.60.00 - Fax : 04.50.52.90.05

    http://www.haute-savoie.pref.gouv.fr

     

    Cette commission fonctionnera tant que des tensions persistantes seront identifiées.

    En outre, un guichet d'accueil et d'orientation des entreprises a été ouvert à la préfecture de Haute-Savoie.

     

    Ce guichet est chargé d'informer les entreprises sur les mesures mises en place par l'Etat, de les conseiller, de recueillir les demandes d'aides, de les analyser, de les diriger vers les services compétents de la Trésorerie Générale ou de la Banque de France/Médiation départementale du crédit.

     

    Ce guichet d'accueil et d'orientation des entreprises est situé rue du 30ème Régiment d'Infanterie à Annecy, ses coordonnées sont les suivantes :

    Il est conseillé d'utiliser le site internet de la préfecture sur lequel un formulaire en ligne de demande d'aide est disponible :

    • courriel : guichet-entreprises@haute-savoie.pref.gouv.fr
    • télécopie : 04.50.33.64.63
    • adresse postale : Préfecture de la Haute Savoie – guichet entreprises, BP 2332 – 74034 ANNECY CEDEX

    En conséquence, les entreprises de Haute-Savoie ont le choix de s'adresser au guichet de la Préfecture ou, pour bénéficier d'une assistance dans l'élaboration de leur demande aux chambres consulaires ou aux organisations professionnelles patronales. 

  • De nouvelles mesures pour soutenir l'économie

     LES CHIFFRES :

    • 22 Mds euros : c’est le montant du plan de soutien au financement des PME.
    • 175 Mds euros : c’est l’investissement direct de l’Etat dans l’économie dans les 3 prochaines années
    • 100% : c’est le taux d’exonération total et définitif de la taxe professionnelle jusqu’en 2010 pour les nouveaux investissements

    L’ESSENTIEL :

    • Face à l’ampleur de la crise financière, il fallait prendre des mesures exceptionnelles pour protéger les économies et l’emploi des Français : c’est ce que le Gouvernement a fait en garantissant la solidité de notre système bancaire.
    • Nicolas SARKOZY a dit la vérité aux Français, la crise n’est pas finie et elle aura des conséquences directes sur l’activité, l’emploi et le pouvoir d’achat. Après la crise financière, la crise économique c’est le défi qu’il va falloir maintenant relever.
    • Parce que cette crise est déjà perceptible, le Président de la République a annoncé dans son discours d’Argonay, jeudi 23 octobre de nouvelles mesures d’ampleur pour soutenir notre économie :
      • Le suivi de la façon dont les banques accordent les prêts ;
      • L’exonération immédiate et totale de la taxe professionnelle pour les nouveaux investissements ;
      • La création d’un fonds stratégique d’investissement.

    PENDANT QUE LE GOUVERNEMENT SAUVE LES BANQUES, IL NE FAIT RIEN POUR L’ECONOMIE ?

    • Aider les banques c’était une priorité pour sauver les économies et les emplois des Français. Si on avait laissé tomber les banques en faillite, ce sont les travailleurs, les retraités, les épargnants qui en auraient payé le prix fort.
    • A situation exceptionnelle, il fallait un engagement exceptionnel de l’Etat. L’Etat a donc apporter sa garantie à hauteur de 360 Mds d’€ pour assurer la stabilité du système bancaire. L’objectif était clair : rétablir la confiance pour que les banques puissent continuer à financer l’économie, prêter aux entreprises, aux collectivités et aux Français.
    • En injectant 10,5 Mds d’€ dans les fonds propres de 6 grandes banques françaises, nous permettons aux banques d’accorder 75 Mds d’€ supplémentaires à l’économie.

    JUSQU'A PRESENT RIEN N’A ETE FAIT POUR SOUTENIR L’ECONOMIE ?

    • Bien sûr que si. Puisque l’origine des difficultés économiques se trouve dans la crise du crédit et de la confiance, le Gouvernement a pris les devants avec des mesures immédiates.
      • L’Etat a rendu disponible 22 Mds d’€ pour assurer le financement des PME, premier employeur des Français. OSEO, la banque des PME, est aujourd’hui en mesure d’offrir davantage de garanties pour les PME qui souhaitent emprunter.
      • Par ailleurs, le Gouvernement soutient l’immobilier qui représente 1,2 millions d’emplois avec notamment le rachat massif de 30 000 logements à prix décoté.
      • Enfin, l’Etat va investir dans le secteur de l’automobile en particulier pour développer la voiture propre avec un plan de plus de 400 millions d’€ sur trois ans.

    QUE L’ETAT PEUT-IL FAIRE DE PLUS POUR ASSURER L’ACCES AU CREDIT DE NOS ENTREPRISES ?

    • Le Président de la République a décidé de renforcer les mesures en ce sens :
      • Nous allons apporter des garanties aux assureurs crédit pour qu’ils continuent à offrir aux entreprises les assurances dont elles ont besoin pour obtenir des financements sans lesquels elles ne pourront pas poursuivre leur activité.
      • Nicolas SARKOZY souhaite également l’accélération des remboursements aux entreprises du Crédit Impôt Recherche.
    • Parce que les crédits que l’Etat garantis et les fonds propres qu’il a injectés dans les banques doivent se retrouver dans le financement des PME, l’Etat s’assurera que les banques jouent pleinement le jeu.
    • A cette fin, les services de l’Etat seront mobilisés. Le Premier Ministre a installé vendredi, dans l’Eure, la première réunion du comité départemental de suivi du crédit aux PME. Le Président de la République réunira la semaine prochaine les préfets et tous les trésoriers payeurs généraux pour les mobiliser dans ce cadre, afin de recenser les situations qui posent problème et publier banque par banque, département par département, la politique de crédit des établissements financiers.
    • Pour résoudre les difficultés et assurer un dialogue constructif entre les banques et leurs clients, Nicolas SARKOZY a par ailleurs désigné un médiateur du crédit, René Ricol, qui sera à la disposition de toutes les entreprises françaises qui auront des difficultés pour accéder au crédit.

    FACE À LA CRISE FAUT-IL CHANGER DE CAP ECONOMIQUE ?

    • Non. Pour sortir plus vite de la crise et profiter le mieux possible du rebond à venir, il nous faut plus de souplesse, plus de réactivité et plus de capacité d’innovation. C’est l’objectif des réformes que nous menons depuis l’élection de Nicolas SARKOZY. La crise actuelle implique non pas de ralentir mais de poursuivre et d’accélérer ces réformes.
    • Pour autant dans cette période de crise, il faut aussi soutenir l’activité. Non pas par une relance de la consommation qui augmenterait nos importations et n’aurait aucun effet sur l’activité de nos entreprises mais en investissant massivement. Car avec l’investissement on soutient à la fois l’activité d’aujourd’hui et l’amélioration de la productivité et de la compétitivité de demain.
    • Investir c’est ce que fait l’Etat, dans l’enseignement supérieur et la recherche, dans le Grenelle de l’environnement et l’économie numérique : au total en trois ans, ce sont 175 milliards d’euros d’investissement direct qui seront injectés par l’Etat dans l’activité économique au cours des 3 prochaines années. Notre budget pour 2009-2011 est avant tout un budget d'investissement.

    NE FAUT-IL PAS AUSSI ENCOURAGER L’INVESTISSEMENT PRIVE ?

    • Absolument. Il faut inciter fortement nos entreprises à investir. C’est pourquoi Nicolas SARKOZY a annoncé l’exonération immédiate et totale de la taxe professionnelle sur les nouveaux investissements réalisés entre le 23 octobre 2008 et le 31 décembre 2009. Ces investissements ne seront pas inclus dans l’assiette de la taxe professionnelle. Quant au manque à gagner pour les collectivités territoriales, il sera entièrement compensé par l’Etat. Cette mesure immédiate sera proposée au Parlement dans la loi de finances rectificative pour 2008.
    • Au-delà de ces dispositions transitoires après 2009, la réforme des collectivités locales nous permettra d’engager définitivement celle de la taxe professionnelle.

    POURQUOI UN FONDS STRATEGIQUE D’INVESTISSEMENT ?

    • Dans un monde où l’économie va sortir bouleversée par la crise, les Etats vont être appelés à jouer un rôle plus actif. C’est pourquoi le Président de la République a annoncé la création d’ici la fin de l’année d’un grand fonds stratégique d’investissement national, géré par la Caisse des dépôts et consignations (CDC), qui sera un puissant levier de notre politique industrielle.
    • Ce fonds n’a pas vocation à subventionner les entreprises à fonds perdus mais à stabiliser les entreprises en position de faiblesse qui pourraient être des proies ou qui ont besoin d’appui pour passer un cap difficile et se restructurer. Il s’agit d’investir dans l’avenir et défendre les intérêts stratégiques de la nation.
    • Ce fonds ne creusera pas les déficits, il s’appuiera sur les ressources propres de la CDC, complétées en empruntant sur les marchés. Il contribuera ainsi à faire circuler l’argent et à l’orienter vers le développement industriel plutôt que vers la spéculation purement financière.
    • Nicolas SARKOZY proposera à nos partenaires de l’Union européenne de se doter eux aussi de fonds nationaux pour une meilleure coordination de nos politiques d’investissement.

    C’EST LE RETOUR DE L’ETAT TOUT PUISSANT ?

    • Non. C’est un Etat plus actif dans l’économie, qui assume ses responsabilités, qui entreprend, qui investit et qui protège. C’est un Etat qui a le souci de réguler sans étouffer ni l’initiative privée, ni l’audace, ni le goût du risque.
  • Visite du Président de la République à ANNECY

    Le Président de la République, en visite ce matin à Annecy-le-Vieux, puis à Argonay lors d'un discours, a mis en avant l’entreprise et l’investissement.

    Après avoir visité la société Mecalac, il a participé en compagnie de Christine Lagarde (ministre de l’Economie), d’Hervé Novelli, de Luc Chatel et d’Eric Besson (secrétaires d’Etat) et en présence de Jean-François Roubaud, Président national de la CGPME, à une table ronde au cours de laquelle les chefs d’entreprises l’ont interpellé sur :

    • Le souhait de la mise en place d’un moratoire de 6 mois en cas de dégradation de la côte Banque de France ou SFAC, d’une entreprise
    • Le respect strict de la mise en place des nouveaux délais de paiement début janvier 2009 (pas de dérogation, notamment dans le secteur automobile)
    • La bienveillance de l’Etat et notamment des organismes sociaux, lors de retards de paiement
    • Le niveau des charges sur le travail
    • La réforme de la taxe professionnelle …

    Puis lors de son allocution à Argonay, Nicolas Sarkozy a annoncé :

    • L’exonération de la taxe professionnelle pour tout investissement réalisé par les entreprises entre aujourd’hui et le premier janvier 2010.
    • La création d’un poste de médiateur du crédit au niveau national (attribué à René Ricol), avec déclinaison par département, qui sera responsable de s’assurer du bon fonctionnement du financement aux entreprises et aux particuliers.
    • La création d’un fonds public d’intervention avant la fin d’année, destiné à intervenir en prenant des participations auprès d’entreprises stratégiques défaillantes.

    Le président de la République s’est exprimé longuement sur le nouveau rôle de l’Europe, sur sa volonté de voir l’Etat miser à fond sur l’investissement (175 milliards sur 3 ans) et sur la nécessaire réforme des différentes couches administratives.

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  • 8ème convention régionale de la CGPME à LYON

    Cette 8ème convention était dédiée aux pays du Maghreb : Maroc, Tunisie et Algérie.

    Les différentes tables rondes et le dialogue avec les consuls et représentants de ces 3 pays, ont permis aux 800 chefs d'entreprises présents de prendre conscience de tout l'intérêt qu'ils avaient à investir ou commercer avec le Maghreb.

    La 9ème convention régionale de la CGPME se déroulera ... en Haute-Savoie.

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  • Inauguration des locaux de Bernardi à PRINGY

    Inauguration des nouveaux locaux de Bernardi, zone du Pré Vaurien, à PRINGY.

    La société était auparavant située à SEYNOD (à 500 mètres de mes anciens locaux).

    Celà illustre bien que de plus en plus d'implantations d'entreprises, sur le bassin annécien, et plus largement en Haute-Savoie, sont liées a la croissance endogène d'entreprises existantes, plutôt qu'à des entreprises venant de l'extérieur du département.

    Il faut donc que les élus mettent tout en oeuvre pour faciliter la croissance de ces PME locales, captives par définition, est garantes des emplois d'aujourd'hui et de demain, face à la crise de confiance actuelle.

    Celà souligne aussi la nécessité d'une politique économique beaucoup plus cohérente, axée sur l'accueil d'entreprises extérieures au département.

    Lors de mon discours, j'ai souligné le parallèle de nos parcours : reprise de nos entreprises respectives en 2000, augmentation des effectifs dans les mêmes proportions, puis changement de locaux en 2006 pour ma société (LTI) et en 2008 pour Bernardi.

    Félicitation à Mr Megdiche et à toute son équipe.

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