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Dauphiné Libéré du 11 octobre :
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Dauphiné Libéré du 11 octobre :
Dauphiné Libéré du 10 octobre :
Eco des Pays de Savoie du 16 octobre :
Rappel : depuis cette semaine, les Questions écrites sont plafonnées à une par député et par semaine (j'en posait 5 par semaine en moyenne)... Cette mesure décidée par l'Assemblée va limiter mon travail parlementaire et les remontées des interrogations des habitants ma circonscription (voir mes articles).
Question à Madame la Ministre du Logement
Thème : ALUR, copropriétaires, instances représentatives
Date de publication au Journal Officiel : 13/10/2015
M. LIONEL TARDY attire l’attention de Madame la ministre du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité sur la mise en place de la Commission de Contrôle des Activités de Transaction et de Gestion Immobilières (CCATGI). La loi ALUR a créé cette commission au sein de le la loin° 70-9 du 2 janvier 1970 réglementant les conditions d'exercice des activités relatives à certaines opérations portant sur les immeubles et les fonds de commerce(article 13-5). Toutefois, le décret en Conseil d’Etat sur la composition et le fonctionnement de cette commission n’a, à ce jour, pas été pris. Il souhaite savoir quand elle compte publier ce décret, et la place qu’elle compte accorder aux copropriétaires dans cette commission.
Le groupe « Les Républicains » a souhaité inscrire dans sa journée d’initiative parlementaire du 8 octobre 2015 une proposition de loi visant à supprimer les freins au développement des entreprises posés depuis 2012.
Cette PPL de 7 articles a une portée symbolique car elle vise à supprimer les principales mesures anti-entreprises prises par le Gouvernement et la majorité socialiste depuis trois ans, alors même que la France est aujourd’hui dans une situation de décrochage économique.
Les mesures identifiées sont celles qui permettraient dès à présent d’alléger les contraintes des chefs d’entreprises et de favoriser un climat économique propice à une réelle reprise, avec comme objectif final la création d’emploi.
Il s’agissait de supprimer :
… sans compter les autres mesures qu’il n’a pas été possible de supprimer pour des raisons constitutionnelles.
Mon intervention en discussion générale :
La majorité a rejeté le texte, avant même que le contenu article par article soit débattu… je n’ai donc pas pu intervenir par la suite.
Même chose pour la proposition de loi visant modifier les dispositions relatives à l’accueil et l’habitat des gens du voyage, que j’avais cosignée pour renforcer la lutte contre le stationnement illégal (voir le texte de cette PPL).
Une drôle conception de la démocratie, alors que l’opposition fait des propositions argumentées, sur deux sujets vécus quotidiennement sur le terrain.
Dauphiné Libéré du 8 octobre :
Le projet de loi relatif à la déontologie et aux droits et obligations des fonctionnaires avait été initialement été présenté en Conseil des ministres dès juillet 2013, et comptait alors 59 articles.
Ce texte, en attente d’examen depuis 2 ans, devait à la fois traduire l'attachement du gouvernement au statut de la fonction publique, consacrer dans la loi les "valeurs fondamentales communes aux agents publics", renforcer les règles de déontologie dans la fonction publique, et mieux garantir les droits des agents. C’est dire si, peu après les déclarations du ministre Emmanuel MACRON, il sonne comme d’actualité !
Au mois de juin 2015 en tous cas, le Gouvernement a décidé de « recentrer le projet de loi sur l’essentiel », c’est-à-dire sur 25 articles, afin qu’il soit examiné « rapidement » en septembre.
Sur le fond, a été introduit dans le texte le principe de laïcité
Le gouvernement a corrigé son projet initial pour qu’au-delà des principes d'impartialité, de probité, d'intégrité et de dignité, figure celui de de laïcité. Ainsi, le projet de loi précise qu’un fonctionnaire « exerce ses fonctions dans le respect du principe de laïcité » et, à ce titre, doit « s’abstenir de manifester, dans l’exercice de ses fonctions, ses opinions religieuses ». Dans le cas contraire, il témoigne d'"un manquement à ses obligations professionnelles".
Déontologie : des dispositifs renforcés ?
Mobilité des agents : réforme par ordonnances
Le projet de loi prévoit aussi d’autoriser le gouvernement dans les douze mois après la publication de la loi à procéder par ordonnance pour favoriser la mobilité des agents entre les trois versants de la fonction publique (Etat, Territoriale et Hospitalière), ou pour modifier les dispositions applicables aux congés de parentalité, alors que ces dispositions figuraient en toutes lettres dans le premier projet de loi.
Au final, ce texte n’est pas seulement moins ambitieux que prévu. Non seulement il n’est pas sûr qu’il rassure les fonctionnaires sur la préservation de leur statut, attendu que les mesures mobilité et congés parentalité sont renvoyés à ordonnance, tandis que les mesures égalité professionnelle ont disparu.
Mais surtout, il se recentre sur un objectif, la prévention des conflits d’intérêts, qu’il ne remplit pas.
J'ai déposé 15 amendements sur ce texte, avec comme priorité rappeler quelques principes essentiels.
Par exemple, j'ai demandé que le bon usage de l'argent public soit érigé au rang de principe déontologique... on m'a répondu que c'était inutile !
J'ai enfin demandé d'aller plus loin sur le rapprocheemnt des instances... on est dans la confusion entre les missions de Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) et celles de la Commission de Déontologie de la Fonction Publique (CDFP) :
Journée particulièrement chargée dans les différentes commissions.
Ce matin, je suis d'abord intervenu en Commission des Affaires économiques à l'occasion du présentation du rapport d'application de la loi consommation, votée en 2014. Il est intéressant d'avoir une évaluation sur les textes votés : ici, il était question des relations commerciales.
J'ai assisté ensuite à l'audition d'Etienne Thobois, directeur de l'association "Ambition olympique et paralympique Paris 2024"... l'occasion de faire le point sur la candidature de Paris aux J.O. 2024.
Enfin, dans l'après-midi, le vice-président de la Commission européenne chargé de l'énergie, Maros Sefcovic était auditionné. Je l'ai interrogé sur des problématiques fiscales franco-françaises, afin d'avoir son point de vue.
Je suis intervenu cet après-midi à 15 h 24, dans le cadre des Questions au gouvernement, pour poser une question au Premier ministre sur l'absence de stratégie budgétaire du gouvernement à court et moyen terme.
Ma Question au gouvernement :
La réponse du secrétaire d'Etat au Budget :
Orateur du groupe Les Républicains, j'ai défendu sur ce projet de loi 17 amendements, sur les 35 déposés.
Présenté au cœur de l’été, au conseil des Ministres du 31 juillet 2015, et un peu à la surprise générale, le projet de loi sur la « gratuité et réutilisation des informations du secteur public » de Clotilde VALTER, secrétaire d’Etat en charge de la Réforme de l’Etat et de la Simplificationviserait à la transposition de la directive « PSI 2 » de 2013 sur la réutilisation des données publiques.
Le projet de loi, qui comporte 9 articles, sans procéder à une révolution en matière d’ouverture et de réutilisation libre et gratuite des données de la puissance publique, dite «open data», excède en réalité la simple transposition de la directive de 2013.
Il prévoit notamment un principe de gratuité de la réutilisation des informations publiques.
Mais ce principe de gratuité est assorti de deux dérogations, l’une, générale, et l’autre, particulière :
Mon intervention en discussion générale (orateur du groupe LR) :
L'un de mes amendements a été adopté. Grâce à lui, les redevances seront révisées tous les 5 ans, et pourront donc baisser.
Défense et adoption de mon amendement n°27 :
Le marathon budgétaire a commencé à l'Assemblée nationale. Présenté la semaine dernière en Conseil des ministres, le budget 2016 comprend plusieurs mesures (plus ou moins médiatiques) sur lesquelles je reviendrai.
Le premier de mes amendements a été adopté en commission des Affaires économiques mardi.
Cet amendement, que j'ai déposé notamment avec Virginie DUBY-MULLER et Martial SADDIER, prévoit de ramener la baisse de ressources prévues pour les CCI (Chambres de Commerce et d'Industrie) à niveau plus raisonnable.
Le gouvernement s'était engagé à une baisse de 117 millions d'euros... il a finalement demandé une baisse de 150 millions, qui ne serait pas sans risque pour le fonctionnement de ces CCI.
La majorité a été sensible aux arguments que j'ai avancés et a validé, en adoptant notre amendement, le retour au niveau initialement prévu dans le cadre du plan triennal (2015-2017).
Défense (et adoption) de l'amendement :
Communiqué de presse conjoint et texte de l'amendement :
Mon intervention globale sur le budget, au nom du groupe Les Républicains :
Eco des Pays de Savoie du 9 octobre :
C'est parti pour l'examen du Projet de Loi de Finances pour 2016 (PLF 2016) ... examen pour avis, en commission des Affaires économiques, des articles 3 / 4 / 6 / 7 / 8 / 14 et 20
le projet est adopté par 297 voix contre 195 ... rendez-vous en seconde lecture
Philippe Wahl, PDG du Groupe LA POSTE
Mon communiqué de presse sur ma participation à l'ONPP (Observatoire National de la Présence Postale) :
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