Remaniement ministériel à venir : dernière intervention de Laurent Fabius en tant que ministre des affaires étrangères
... avant de rejoindre le Conseil constitutionnel
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... avant de rejoindre le Conseil constitutionnel
... discussions autour du vote sur le projet de loi de réforme constitutionnelle
Question à Monsieur le Ministre de l'Economie
Thème : dépenses, communication, loi NOE
Date de publication au Journal Officiel : 09/02/2016
M. LIONEL TARDY interroge Monsieur le ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique sur l’abandon du projet de loi sur les « nouvelles opportunités économiques » (« NOÉ »). Il souhaite connaître les coûts qui avaient été avancés en prévision de ce projet de loi, notamment ceux pour la réalisation du logo et l’organisation de la conférence de presse à Bercy le 9 novembre 2015.
Le groupe « les Républicains » a décidé d’inscrire dans sa journée d’initiative parlementaire de jeudi une proposition loi en faveur en faveur de la compétitivité de l’agriculture et de la filière agroalimentaire.
En Commission des Affaires économiques la semaine dernière, la majorité avait rejeté un par un les articles de cette proposition de loi.
Présent également en séance ce jeudi matin, j'ai assisté avec mes collègues au rejet pur et simple de la proposition de loi par la majorité, avec l'appui du gouvernement... annulant ainsi toute la discussion des propositions !
Le groupe Les Républicains s'est mobilisé pour défendre le monde agricole en avançant de nombreuses pistes... en face, il n'y a donc aucune proposition.
Lien vers mon intervention la semaine dernière et détail des mesures
Analyse du scrutin sur la motion de rejet du groupe socialiste (lien) :
Mon communiqué de presse :
Ma question à Emmanuel Macron :
La réponse du Ministre de l'Economie :
Le texte de ma question :
Monsieur le Ministre de l’Economie,
La loi qui porte votre nom, la « loi Macron », devait être la loi du siècle, remède miracle contre le chômage et pour la croissance.
Or, mis à part la libéralisation du transport par autocar, le bilan est bien maigre : un chômage qui ne cesse d’augmenter et une prévision de croissance encore revue à la baisse, il y a 15 jours, par le FMI.
Mieux, six mois après la promulgation de la loi, seulement un tiers des 84 décrets d’application a été publié.
Un comble pour une loi qui était selon vous urgente, à tel point qu’il fallait utiliser le 49-3, pour mettre fin aux débats.
Et quand ils sont parus ou sur le point de l’être, ces décrets sont d’une complexité ahurissante.
J’en veux pour preuve l’avant-projet, relatif aux tarifs de certains professionnels du droit.
Long de 36 pages - sans compter les annexes - certains extraits sont d’une complexité inégalée que les gouvernements cubains et nord coréens nous envient.
Le paragraphe 3 prévoit – je cite – une évaluation de la rémunération « raisonnable », basée sur un chiffre d’affaire « prévisionnel ».
Trois formules mathématiques sont même prévues pour calculer cette rémunération raisonnable, appelée R*, je cite :
Il y a aussi celle sur la détermination des coûts pertinents : C = (CA – B – Wis) x CAr / CA ... et j’en passe.
Tout cela n’est malheureusement pas une blague.
Des décrets d’application qui tardent et qui viennent complexifier la vie des entreprises, voilà le résultat de la loi Macron.
Au lieu que le gouvernement s’acharne sur une réforme constitutionnelle symbolique, quand va-t’il enfin réaliser que l’état d’urgence est, avant tout, économique ?
Plusieurs sujets abordés lors de l'audition de Philippe Monloubou, président d'ERDF, mardi soir en commission des Affaires économiques : le compteur Linky, l'utilisation des données, l'ouverture à la concurrence, ...
Mes questions :
Point sur la couverture maladie universelle, la CSG et la pluriactivite des travailleurs frontalières suite aux Questions orales sans débat du matin posées par les députés Arlette Grosskost et Virginie Duby-Muller.
Question à Madame la Ministre du Travail
Thème : portage, décret, garantie
Date de publication au Journal Officiel : 02/02/2016
M. LIONEL TARDY interroge Madame la ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur le décret n°2015-1886 du 30 décembre 2015 relatif au portage salarial. Ce décret pose un certain nombre de problèmes, notamment car il fixe une garantie financière qui ne peut être inférieure à deux fois le plafond annuel de la sécurité sociale, ce qui équivaudrait à plus de 77 000 euros pour 2016. Il souhaite connaître les raisons qui ont présidé à la fixation d’un plafond si élevé, sachant que les modalités des délais de paiement varient selon les sociétés de portage. Ce décret entre ainsi en contradiction avec les annonces du Président de la République du 18 janvier qui souhaitait « assouplir » le régime du portage salarial.
Dauphiné Libéré du 2 février :
Hier soir se tenait à Annecy la soirée des vœux des militants de la seconde circonscription de la Haute-Savoie, dont je suis le député.
Après un long point sur les résultats des élections régionales, puis sur l’actualité locale et nationale, la soirée s’est terminée par l’intervention non prévue des deux candidats à la présidence de la fédération Les Républicains de la Haute-Savoie (Bernard Accoyer ne s'était même pas annoncé, contrairement à Virginie Duby-Muller ... étrange pour un président de fédération).
Mais puisque aucun débat n'a été organisé par la fédération, et avant que les deux candidats (Bernard Accoyer, le président sortant et Virginie Duby-Muller) ne prennent la parole, je me suis exprimé en tant que député pour indiquer ce que j’attendais du futur président de notre fédération.
N’étant candidat à rien, voilà ce que j’attends de notre futur président départemental :
On attend avant tout d'un président de fédération qu'il ANIME sa fédération au quotidien, les grands discours sur le national, les présidentielles (gérés par le national) sont en total décalage avec l'enjeu de cette élection.
Ne vous trompez pas d'élection ... et VOTEZ pour le renouvellement ce samedi 30 janvier.