Vacances du 16 au 22 août
Mon blog sera en sommeil
du 16 au 22 août
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lundi 23 août
Bonnes vacances à tous
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Vidéos du débat organisé hier soir à l'Assemblée nationale à propos du rapport "éthique du numérique".
Débat intéressant ... qui en appelera d'autres ... et qui montre qu'il faut absolument, sur ces sujets complexes, engager enfin une vraie concertation multi-acteurs. On repart dans le bon sens !
Vidéo n°1 :
Interventions de :
et débat sur le numérique et la vie privée ...
... internet, un marché comme les autres ? ...
... la net neutralité, c'est du pipeau ?
Je serai EN DIRECT sur le plateau de LCP de 8 heures 40 à 8 heures 55.
A l’heure du fast news et du prêt-à-penser, LCP-An propose chaque jour en DIRECT : LCP Politique Matin, un rendez-vous unique qui bouscule les codes convenus de l’information et éclaire l’actualité sous un jour nouveau.
Présentée par Pierre Sled, cette émission quotidienne dédiée à l’information politique décline l’actualité sur tous les tons. Résolument pertinente, forcément agitée, délibérément décalée, LCP Politique Matin impose une autre façon d’aborder l’information politique.
Revues de presse nationale et régionale incontournables, Chroniques d’information thématiques indispensables, LCP Politique Matin, c’est aussi et surtout deux temps forts qui animent cette matinale d’info :
On les laisse entre eux un face à face INEDIT : non présenté, non commenté !
Inédit à la télévision, cet échange entre deux députés ou responsables politiques laissés seuls sur le plateau de LCP-An promet de faire parler ! Le temps de cette séquence, Pierre Sled s’efface en régie en laissant libre cours au débat sur un thème d’actualité.
Sur le thème de : « Peut-on encore twitter à l’Assemblée ? » , avec :
Je serai ce vendredi interviewé en direct, de 16 h 10 à 16 h 30, dans l'émission "Le Buzz" sur LCI.
Sujet du jour : Où en est-on du OFF en politique
Rediffusions :
Mon live-tweet de l'audition de Messieurs Domenech et Escalettes, hier matin, a fait un peu de buzz ramdam et généré un gros débat, avec des critiques auxquelles je souhaite répondre ici.
Sur son blog ce matin, Jean-Michel Aphatie soulève un débat intéressant sur la concurrence et la gêne que ces live-tweets causeraient aux journalistes. Sa position est défendable, même si elle reflète avant tout une vision assez corporatiste. En résumé, pour Aphatie, le député qui twitte en direct casse le "business" du journaliste. Ce serait bien qu'il m'invite pour en débattre.
C'est vrai que lorsqu'un homme politique (qui ne se cache pas derrière un pseudo) établit un lien d'information direct avec le public, sans passer par le filtre et l'intermédiaire du journaliste, on se rend parfois compte que la valeur ajoutée du journaliste n'est pas toujours énorme. Quand l'information brute n'est pas substantielle, tout peut être dit en quelques tweets, comme c'était le cas hier pour cette audition à l'Assemblée nationale.
Cela ne veut pas dire que le journaliste ne sert plus à rien, bien au contraire. Il est même irremplaçable pour le tri et la vérification des informations, l'analyse, la mise en perspective et l'explication du contexte. En twittant le déroulement d'une audition, je suis dans le témoignage et l'information brute, certainement pas dans l'analyse ou la mise en perspective. Chacun son rôle !
Un certain nombre de personnes me reprochent de "transgresser" les règles. Cela m'amuse un peu, car nombre de personnes ont trangressé le huis clos, mais ils l'ont fait à l'ancienne, en envoyant des SMS sous couvert d'anonymat aux journalistes, en sortant de la salle avant même la fin de l'audition pour s'épancher auprès des journalistes ... à commencer par le président du groupe UMP lui-même (photo ci-dessous) ... ou en expliquant en détail le contenu de l'audition, dès la fin des débats.
Un exemple supplémentaire de cette tartufferie : pour une question d'emploi du temps, je n'étais pas à l'Elysée hier midi lorsque le Président de la République a reçu les députés UMP. Une réunion politique cette fois-ci, avec des informations à priori confidentielles ... et bien tout est dans la presse de ce matin ! Alors arrêtons ce débat sur les pseudos huis clos, qui depuis longtemps n'en portent que le nom. Et encore, je ne parle pas des fuites beaucoup plus graves, lors du Conseil des Ministres.
Vous rêvez d'accéder au compte-rendu intégral de l'audition d'hier : pas de problème, tout sera sur le site internet de l'Assemblée nationale d'ici la fin de la semaine. Peut-on donc parler de réel huis clos ???
Ce huis clos n'avait pas lieu d'être. A moins de sérieuses raisons comme le secret défense ou le secret des affaires : le travail des députés et notamment les auditions doivent être publiques ! Que ce soit pour l'audition de Madame Marais, présidente de l'Hadopi ou celle de Messieurs Domenech ou Escalettes, le huis clos a été demandé par les auditionnés pour leur confort personnel.
C'est inacceptable que les députés cèdent à de telles exigences de la part de ceux qu'ils auditionnent ! Dans le cas de l'audition de Messieurs Domenech et Escalettes, j'ai bien senti que ce n'était d'ailleurs pas tant un huis clos concernant le contenu des débats ... mais plutôt pour assurer la sérénité des débats et éviter le constant va et vient de la part du public (imaginez 150 journalistes compressés en tribune presse de la salle Lamartine !!).
En twittant l'audition, j'ai clairement transgressé les décisions de la commission qui au dernier moment a cédé a une demande de huis clos ... alors que l'audition, la veille, de Roselyne Bachelot, ministre de la Santé et des Sports, était publique. En demandant cette audition à huis clos, c'est la FFF qui une nouvelle fois a fui ses responsabilités en refusant d'affronter la presse. Encore une belle occasion de se racheter manquée !
Et honnêtement, il y a beaucoup de sujets beaucoup plus graves à traiter ...
Je n'ai jamais eu une âme de godillot ... je ne vais donc pas commencer aujourd'hui.
Concernant l'audition ce matin de Raymond Domenech et Jean-Pierre Escalettes, je serai interviewé :
Extrait de mon interview sur EUROPE 1 :
à 16 heures 05 sur RMC dans l'émission "Coach Courbis"
de 17 heures 30 à 18 heures sur BFM TV
de 18 heures 10 à 18 heures 30 sur LCI 'le Grand Journal"
et enfin à 22 heures 05 dans SOIR 3
Un nouveau classement des députés vient de sortir.
Limité à l'année 2009, il s'agit d'un classement général des 25 meilleurs députés, établit sur 5 grands critères, et pour la première fois, par le site www.interel.fr :
Critère n°1 : Dynamisme en commission
Critère n°2 : Force de proposition
Critère n°3 : Travail de rapporteur
Critère n°4 : Défense d'amendements
Critère n°5 : Contrôle et évaluation
... quels que soient les critères ... les classements se suivent et se ressemblent, avec une prime en 2009 pour les rapporteurs de textes et les présidents de commissions (je ne suis pas concerné).
Pour la deuxième année consécutive, le site www.lesinfos.com publie un palmarès des députés 2010 selon leur degré d’activité à l'Assemblée nationale.
Et celui-ci est toujours riche d’enseignements, tant sur la liste nominative des élus les plus actifs … que sur celle des moins présents.
Pour l'année 2010, je me classe en 17ème position ... sur 577 députés, après avoir été classé 21ème au classement 2009.
Pour établir ce classement, le site www.lesinfos.com a, comme l’an passé, épluché les données figurant sur le site internet de l’Assemblée nationale.
Celui-ci permet d’obtenir des données intéressantes sur les travaux des parlementaires. En l’occurrence, le site recense minutieusement les interventions de chacun des 577 députés, que ce soit lors des séances publiques que dans les différentes commissions auxquelles ils participent.
Il comptabilise ainsi les séances ou les réunions durant lesquelles chaque député est intervenu au moins une fois depuis le début de la législature en juin 2007.
En cumulant les interventions en séance et en commissions, on obtient un indicateur assez précis de la participation des députés aux travaux législatifs.
C’est sur la base de ce critère - saisi le 12 mai 2010 - qu'à été établi le palmarès 2010.. Critère imparfait sans doute, mais tout de même représentatif d’un certain degré d’investissement dans les travaux au Palais-Bourbon.
Les auteurs ont également noté dans leur tableau le nombre de rapports et avis écrits par les députés, ainsi que le nombre de propositions de loi dont ils sont les auteurs. Ces deux critères permettent de départager les députés ayant le même nombre d’interventions.
Le palmarès 2010 des députés réserve quelques belles surprises et confirme la tendance à l’inactivité … de nombreux élus (cumulards ou pas).
Honneur aux premiers de la classe :
Les stars de la politique ne brillent guère :
Les plus besogneux ne sont pas les plus connus !
Les excellentes places du socialiste Patrick Roy (10ème), de l’élue du parti de gauche Martine Billard (11ème) ou du député Nouveau Centre Jean Dionis du Séjour (14ème) et d’autres députés discrets témoignent d’une réelle implication dans les travaux parlementaires.
L’activité des stars de la politique est, en revanche, plus limitée, comme tendent à le prouver les rangs des socialistes Manuel Valls (168ème), Laurent Fabius (423ème), Jack Lang (553ème), de la communiste Marie-Georges Buffet (259ème) ...
Certains cancres sont bien fidèles :
En bas du classement se trouvent donc les moins actifs.
Une cinquantaine d’élus ont ainsi moins de dix interventions au compteur en trois ans de mandat !
Certains ont de bonnes raisons d’être encore mal classés, puisqu’ils viennent juste d’arriver au Palais-Bourbon. C’est, par exemple, le cas de Françoise de Salvador (qui a remplacé fin avril Georges Tron, nommé au gouvernement), de Gérard Ménuel (qui a succédé à François Baroin, nommé au gouvernement) et de Jacques Houssin, (qui siège depuis fin avril à la place de Marc-Philippe Daubresse, nommé a gouvernement). De même pour Fernand Siré qui a remplacé Arlette Franco (décédée le 31 mars), voire d’André Santini, revenu à l’Assemblée nationale en juillet 2009.
En revanche, l’inactivité manifeste de François-Xavier Villain (élu du Nord), des socialistes Laurent Cathala (Val-de-Marne) ou Michel Pajon (Seine-Saint-Denis), des UMP Jean-Claude Thomas (Marne), Sylvia Bassot (Orne) ou Bernard Brochand (Alpes-Maritimes) reste moins explicable …
Déjà très mal classés l’an dernier, ils n’ont guère manifesté de zèle au Palais-Bourbon pour remonter la pente. Et ils ne sont pas les seuls !
Découvrez le palmarès 2010 des 577 députés
L'émission démarre à 17 heures 40 sur France 5.
Nicolas Demorand recevra sur le plateau :
Reportages sur :
Enquête :
Lien vers l'émission "C politique" de ce dimanche