Essor du 22 juillet 2010
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De plus en plus de députés protestent contre les huis clos concernant l'examen des projets de lois en commission : j'ai eu raison de mettre les pieds dans le plat lors de l'audition à huis clos de Domenech et Escalettes !
Vous verrez, les choses vont bouger, ce n'est plus tenable !
Je serais interviewé ce matin à 11 heures 55 sur RMC, dans le cadre de l'émission "Les grandes gueules".
Alain Marschall, Olivier Truchot et Jacques Maillot m'interrogeront sur les problèmes de huis clos à l'Assemblée nationale.
Demain, la commission des affaires sociales examinera, à huis clos, les amendements concernant le texte du projet de loi sur la réforme des retraites. Le président de la commission des Affaires sociales justifie sa décision en déclarant que "les députés sont plus directs et plus naturels si les débats ont lieu à huis clos" (voir article du Parisien/Aujourd'hui en France de ce jour, ci-dessous).
Cette décision est scandaleuse et antidémocratique !
L'examen des amendements en commission fait partie du processus officiel d'élaboration de la loi, et depuis la réforme du règlement de l'Assemblée nationale, c'est même devenu une étape essentielle puisque c'est le texte de la commission qui est examiné dans l'hémicycle. Des décisions importantes y sont prises : la preuve, c'est que dorénavant les ministres sont présents en commission, alors qu'ils ne l'étaient pas auparavant.
Il est absolument anormal que celà se fasse à huis clos, surtout sur un texte aussi important que celui de la réforme des retraites (et ce d'autant plus que le compte-rendu intégral des débats sera en ligne dans deux jours sur le site de l'Assemblée nationale). Pourquoi ne pas étendre ce raisonnement à la séance publique et interdire désormais l'accès du public aux séances publiques, afin que les députés soient plus directs et plus naturels !
Lors des débats sur la réforme du règlement de l'Assemblée nationale, j'avais déposé des amendements visant à rendre les séances en commission publiques de plein droit. Je n'avais malheureusement pas été suivi. Le rapporteur avait jugé suffisant qu'on laisse le bureau de la commission décider d'ouvrir ou non les réunions de commission. On voit ce que cela donne : des présidents de commissions qui décident du huis clos pour le confort des députés ou des auditionnés, au mépris de la transparence qui devraient présider aux travaux parlementaires, alors qu'il est très simple de retransmettre EN DIRECT la vidéo des débats en commission sur le site de l'Assemblée nationale
Je rappelle, pour information, qu'au Parlement européen, toutes les réunions, séance plénière et commissions sont ouvertes au public.
Twitter m'a permis de soulever médiatiquement ce problème de transparence des travaux parlementaires en commission, lors de l'audition Escalettes/Domenech : c'était le but ! Certains y on vu un coup d'éclat, alors que ce n'était pas du tout mon intention : je tenais a attirer l'attention de mes collègues sur le problème du huis clos, je suis d'ailleurs intervenu à ce sujet en réunion de groupe ... Malheureusement, je dois constater avec cette nouvelle décision que rien n'a changé, on reviens toujours à la case départ !
Nous ne sommes que des représentants, nous devons des comptes à nos concitoyens qui doivent pouvoir contrôler nos prises de positions, quand nous intervenons en tant que députés.
Les règles en vigueur, concernant le huis clos en commission, sont à mes yeux illégitimes !
C'est pourquoi je déposerai à la rentrée une proposition de résolution modifiant le règlement de l'Assemblée nationale, afin de rendre publiques, de plein droit, les réunions des commissions. Le huis clos ne serait possible que pour des raisons précises (comme certaines auditions sans lien avec un projet de loi), et à la suite d'un vote de la commission, et non pas comme c'est le cas actuellement, selon le bon vouloir du président de commission.
Fête départementale de l'UMP Haute-Savoie :
Samedi 17 juillet 2010
12 heures
(à la Ferme Biologique)
à JONZIER-EPAGNY
Vous êtes cordialement invité à participer à cette fête départementale, avec vos collègues, amis, relations, qui se déroulera en présence de Christian ESTROSI, ministre chargé de l'Industrie.
En matinée, Christian Estrosi visitera, en compagnie des élus, le site de l'entreprise SNR à SEYNOD.
les photos de la manifestation :
Depuis près d'un siècle, SNR concentre son activité sur la conception, le développement et la fabrication de roulements, dans des secteurs où cette pièce, souvent invisible, joue un rôle fondamental et parfois vital.
A travers son réseau commercial, SNR est aujourd'hui présent dans plus de 200 pays sur les 5 continents.
En 2007, la société NTN (Japon) a acquis 35% du capital de SNR. Suite à ce rapprochement, NTN a poursuivi le processus d'acquisition d'actions du groupe, jusqu'à détenir 51% le 7 avril 2008, et 80% le 22 avril 2010.
En intégrant SNR, le groupe NTN est devenu le 3ème roulementier mondial. Avec ses marqiues fortes, NTN-SNR est rès active dans les secteurs de :
La société NTN-SNR est la plus grosse société industrielle de Haute-Savoie.
Les chiffres clés du groupe NTN Corp. :
Chiffres clés du groupe NTN-SNR, branche de NTN Corp. :
Par sa présence ce matin, Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie, a tenu a rendre hommage a notre fleuron industriel et a plaidé pour une industrie novatrice, gage de notre compétitivité et meilleur remède contre les délocalisations.
L'aménagement du giratoire Berlet, à la sortie sud de Saint-Jorioz, est terminé après plus de 10 mois de travaux.
Il s'agissait de réaliser deux ouvrages en passage inférieur pour permettres à la piste cyclabe, gérée par le SILA et particulièrement fréquentée à cet endroit (5000 à 6000 cyclistes en heure de pointe), de franchir la RD 1508 en toute sécurité.
Les caractéristiques principales des aménagements sont les suivantes :
L'opération a nécessité le déplacement de tous les réseaux présents sur le site.
Le montant global des travaux s'élève à 2 300 000 euros TTC, compte tenu des déplacements des réseaux d'eau pluviales et eaux usées.
La répartition financière est la suivante :
LES CHIFFRES :
L’ESSENTIEL :
POURQUOI UN DEUXIÈME PLAN POUR LA SANTÉ AU TRAVAIL ?
QUE CONTIENT CE PLAN ?
QUELLES MESURES POUR PRÉVENIR LE STRESS AU TRAVAIL ?
CE PLAN A-T-IL ÉTÉ ÉTABLI DE MANIÈRE CONCERTÉE ?