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Lionel TARDY - Page 214

  • Interview Le Figaro : Lionel TARDY, un député 2.0

    Comme de plus en plus d'hommes politiques, Lionel Tardy a son blog, sa page Facebook et son compte Twitter. Quitte à fâcher une partie de ses confrères quand il rend compte d'une réunion à huis clos via Internet. Rencontre avec un député high-tech sur le site du Figaro.

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    Grâce à Internet, le député UMP Lionel Tardy est en train de se faire un nom sur la scène médiatique. Son dernier coup : avoir commenté en temps réel, fin juin, l'audition à huis-clos de Raymond Domenech et Jean-Pierre Escalettes, via son compte Twitter. Une opération qui a permis à ce patron d'entreprise spécialisée dans les nouvelles technologies de gagner une visibilité médiatique non-négligeable, mais qui n'a pas été du goût de tout le monde.

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    Dans les couloirs du Palais Bourbon, plusieurs de ses collègues lui ont reproché de ne pas jouer le jeu du huis-clos. Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a annoncé son intention de soumettre le cas des députés «twitteurs» au bureau de l'Assemblée. Sur son blog, le journaliste Jean-Michel Aphatie l'a accusé de «se dissimuler», «de trahir», «en clair d'agir sournoisement». L'origine de ces critiques ? La remise en cause d'un journalisme politique à l'ancienne, fait d'effets de manche et d'hypocrisie, estime Tardy.

    Lors de l'audition de Domenech et d'Escalettes, Lionel Tardy n'en était pas à son coup d'essai. Voilà près d'un an qu'il possède son compte Twitter et qu'il y diffuse des messages de façon régulière.

    En mars, c'est d'ailleurs déjà qui lui avait posté en direct les temps forts de la première réunion du groupe UMP à l'Assemblée après la débâcle de la droite aux élections régionales, et révélé l'abandon de la taxe carbone. Quelques mois plus tôt, il partageait avec les internautes sa position contre la Hadopi, s'attirant les compliments de nombreux utilisateurs de Twitter, hostiles dans leur majorité au projet de loi contre le téléchargement illégal.

    Depuis quelques temps déjà, Internet est devenu un espace incontournable pour les hommes politiques. Tenir un blog, posséder une page Facebook et avoir un compte Twitter est désormais assez banal. Reste encore à savoir s'en servir correctement.

    Lionel Tardy a une idée assez précise de la question. «Pour moi, ce sont des médias différents. Sur le blog, c'est de l'information à tête reposée, essentiellement sur du local. Twitter, je le réserve pour mes relations avec la presse, sur des sujets politiques nationaux : sur Twitter, la fête champêtre de Haute-Savoie, tout le monde s'en fout ! Quant à Facebook, c'est un peu pour tout le monde, entre le blog et Twitter». Peu de parlementaires - et plus largement d'hommes politiques -, prennent le temps de faire cette distinction, pourtant impérative lorsque l'on veut utiliser correctement ces outils.

    A l'écouter, Lionel Tardy ne regrette en tout cas en rien l'heure et demie qu'il consacre quotidiennement à son activité multimédia. Convaincu de l'intérêt que peuvent lui apporter blog, page Facebook et compte Twitter, le député haut-savoyard croit aussi aux bienfaits de ses supports «deux points zéro» auprès de ses administrés.

  • Point sur la réforme des retraites avec les organisations syndicales à ANNECY

    Pas de déplacement sur Paris ce mardi : j'ai reçu pendant 2 heures à la permanence UMP d'Annecy, en compagnie de François Carbonnel (suppléant de Bernard accoyer), une délégation CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA pour faire le point sur le dossier des retraites.

    J'ai salué cette initiative car il est de plus en plus rare que l'on vienne nous rencontrer en amont d'un texte de loi.

    La délégation est revenu sur les manifestations du 24 juin et nous a fait part de sa motion adressée aux députés et sénateurs de Haute-Savoie.

    Après avoir demandé un retrait de la réforme en l'état, le débat a très vite dévié sur le pouvoir d'achat et les conditions de travail :

    • quels emplois pour demain
    • quels salaires
    • quel partage des richesses ...

    Après avoir réorienté les débats et rappelé les enjeux de cette réforme (système déficitaire, 1 retraite sur 10 non financée en 2010 ...) nous avons abordés la question phare du passage de l'âge légal du départ en retraite de 60 à 62 ans.

    Beaucoup d'intervenant m'ont demandé ma position sur le passage à 62 ans :

    • 1 jeune sur 4 est au chômage : pourquoi travailler jusqu'à 62 ans ?
    • mieux vaut des retraités à 60 ans que des jeunes au chômage
    • le passage à 62 ans pénalise fortement les salariés ayant commencé à travailler jeunes ...

    Tout d'abord, j'ai clairement fait savoir a mes interlocuteurs que sans le passage de la retraite de 65 ans à 60 ans en 1983, nous n'en serions pas là : les réformes de 1993 (régime privé), de 2003 (régime public) et de 2008 (régimes spéciaux) ont toutes été conduites par des gouvernements de droite.

    J'ai confirmé que j'étais pour le passage à 62 ans, pour différentes raisons :

    • l'âge légal du départ en retraite à 62 ans est un faux problème : aujourd'hui, la plupart des salariés prennent déjà leur retraite à 61,5 ans.
    • avec la décision de faire passer, en 2003, le nombre d'annuité nécessaires pour une retraite à taux plein à 41 années en 2012 et à 41,5 ans en 2020, peu de personnes pourront à l'avenir partir avant leurs 62 ans ... sauf à subir une énorme décote.
    • depuis 1980, l'espérance de vie à la retraite a progressé de 5 ans et l'on ne peut que s'en féliciter, mais il faut assurer la pérennité de notre système par répartition : en faisant passer l'âge légal de départ en retraite de 65 à 60 ans, la gauche a fait l'inverse de ce qu'il fallait faire ...

    Parmi les propositions faites par les organisations syndicales :

    • tenir compte dans le calcul des retraites des années d'études et des stages pour ne pas pénaliser ceux qui rentrent plus tard sur le marché du travail

    Puis à nouveau retour sur d'autres revendications :

    • revalorisation du SMIC
    • sanction des entreprises qui délocalisent
    • suppression du bouclier fiscal
    • rétablissement des autorisations administratives de licenciement
    • problème des complémentaires santé ...

    Sur la question du fanancement :

    J'ai réexpliqué le mode de financement retenu pour arriver a un équilibre du régime des retraites en 2018 (déficit attendu de 43 milliards si nous ne faisons rien).

    Les salariés (à hauteur de 18 milliards : mesures d'âge), l'Etat (à hauteur de 15 milliards), les hauts revenus et les entreprises (à hauteur de 6 milliards) et les mesures de convergence public/privé (à hauteur de 4 milliards) participeront à l'effort demandé.

    Pour les syndicats, l'intégralité de la charge doit revenir aux entreprises et aux revenus du capital.

    Sur la question de la pénibilité :

    Gros débat sur les salariés cassés, les suicides, les conditions de travail ... mais pas de solutions concrètes, sauf à faire référence aux débats de 2003 (et aux engagements à ce sujet).

    Là est tout le problème, comment légiférer d'une façon générale à ce sujet, quand il faudrait raisonner au cas par cas. Les situations sont très différentes d'une entreprise à une autre, d'un poste à un autre ... à l'intérieur d'une même profession.

    Aucun pays n'ayant encore intégré la notion de pénibilité dans le calcul de 'lâge de départ en retraite, je suis ouvert à toute proposition constructive et applicable à ce sujet, d'ici le mois de septembre.

    Sur la convergence des mesures public/privé :

    Pas de débat particulier, si ce n'est que certains ont souligné la difficulté de devoir côtiser davantage (6 euros par mois, à terme, en 2018) sans augmentation des salaires dans la fonction publique.

    La réunion s'est finie sur un constat d'échec des représentations des organisations syndicales, qui ont déploré notre souhait de ne pas voter CONTRE cette réforme : ils appellent donc à manifester contre cette réforme en septembre.

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  • La deuxième phase de la RGPP

    LES CHIFFRES :

    • 150 : c’est le nombre de nouvelles mesures qui produiront leurs effets d’ici 2013.
    • 10 Mds € : c’est le montant des économies réalisées grâce à la RGPP2.
    • 100 000 : le nombre de postes de fonctionnaires non remplacés sur la période 2011-2013.

    L’ESSENTIEL :

    • François BAROIN a présenté le 30 juin en Conseil des ministres la deuxième phase de la révision générale des politiques publiques (RGPP).
    • Depuis mai 2007, la RGPP a permis de simplifier la vie des Français, de mieux organiser le travail des administrations, de conjuguer économies et amélioration de la qualité du service public.
    • Avec plus de 300 réformes engagées, cette modernisation de l’Etat sans précédent a généré 7 Mds€ d’économies et a permis le non remplacement de 100 000 postes de fonctionnaires. Conformément à l’engagement du Président de la République, la moitié des économies générées par le 1 sur 2 a été reversée aux fonctionnaires.
    • Le Gouvernement a décidé d’amplifier et d’accélérer cet effort de modernisation avec trois objectifs :
      • améliorer le service public,
      • contribuer au redressement de nos comptes publics,
      • poursuivre la modernisation de la fonction publique.
    • 150 réformes nouvelles vont être lancées avec un objectif de 10 Mds€ d’économies d’ici 2013 sur les dépenses de fonctionnement et d’intervention tout en poursuivant le non renouvellement d’1 fonctionnaire sur 2 partant à la retraite.

    RGPP, OÙ EN EST-ON ?

    • Depuis mai 2007, la 1ère phase de la RGPP a permis de moderniser l’Etat de la base au sommet. Plus de 300 réformes ont été lancées pour rendre notre administration plus simple, plus réactive et moins coûteuse.
      • L’organisation de nos administrations a été simplifiée : fusion de la DGI et de la DGCP, création de Pôle emploi, refonte des cartes militaires et judiciaires, fusion et décloisonnement des services déconcentrés de l’Etat (le nombre de directions est passé de 20 à 8 en régions et de 10 à 2 ou 3 dans les départements).
      • La qualité du service public offerte aux Français s’est améliorée : grâce à la réduction des délais de traitement (10 jours pour obtenir un passeport biométrique en 2010 contre 12 en 2009) ou encore à la simplification et dématérialisation des procédures (10 millions de contribuables déclarent aujourd’hui leurs revenus en ligne).
      • Au total, cette 1ère phase de la RGPP a généré 7 Mds€ d’économies et 100 000 postes de fonctionnaires n’ont pas été remplacés.

    POURQUOI LANCER UNE DEUXIÈME PHASE DE LA RGPP ?

    • Parce que la méthode RGPP a fait ses preuves : elle nous permet de réaliser des économies structurantes fondées sur un examen approfondi des différentes politiques publiques et sur des réformes de structure.
    • L’enjeu est aujourd’hui d’amplifier cet effort pour que la RGPP contribue au redressement de nos finances publiques tout en poursuivant la modernisation de l’Etat.
    • 150 réformes vont ainsi être lancées. Elles généreront 10 Mds€ d’économie d’ici 2013. Ces réformes s’articulent autour de 3 grands axes :
      • continuer à simplifier la vie des Français et améliorer la qualité de notre service public.
      • contribuer au redressement de nos comptes publics qui est une priorité nationale.
      • poursuivre la modernisation de la fonction publique.
    QUELS GISEMENTS D’ÉCONOMIES POUR RÉDUIRE LES DÉFICITS PUBLICS ?
    • Cette deuxième phase de la RGPP visera 3 grands postes des dépenses de l’Etat :
      • Les effectifs et la masse salariale : 100 000 postes seront supprimés entre 2011 et 2013, soit un gain estimé de plus de 3 Mds€. Les administrations centrales devront avoir réduit leurs effectifs de 10 % sur l’ensemble du Quinquennat. Dès 2012, la France aura ainsi retrouvé le nombre de fonctionnaires de l’Etat dont elle disposait au début des années 1990. A cette époque, la France n’était pas sous administrée !
      • Les dépenses de fonctionnement : les mesures RGPP permettront de dégager plus de 2 Mds€ d’économies en particulier sur les fonctions support et logistiques (achats, systèmes d’information, restaurants administratifs, reprographie, immobilier) qui seront mutualisées et rationalisées. Parallèlement, l’Etat prend ses responsabilités pour être exemplaire : le parc de véhicules de fonction va diminuer de 10 000 voitures, les logements de fonction seront limités aux nécessités absolues de service (7000 en moins), la consommation de papier sera réduite de 50 %. Les déplacements seront strictement encadrés.
      • Les dépenses d’intervention : l’objectif est de faire une économie de 10 %, ce qui représente environ 5 Mds€.
    • Cet effort de maîtrise des dépenses sans précédent est élargi aux opérateurs de l’Etat et à l’assurance maladie.

    DES RÉDUCTIONS DE DÉPENSES AU DÉTRIMENT DE LA QUALITÉ DES SERVICES PUBLICS ?

    • Absolument pas. La RGPP cible en particulier les dépenses de fonctionnement. La majorité des suppressions de postes ne porte pas sur le coeur de métier de l’Etat mais sur les fonctions support qui sont aujourd’hui doublonnées et éclatées entre les différentes administrations. Pour améliorer leur performance, elles seront mutualisées.
    • Cette seconde phase de la RGPP va par ailleurs poursuivre la modernisation en profondeur de l’Etat pour une administration davantage orientée vers le service à l’usager et adaptée aux nouvelles demandes avec :
      • Le renforcement du guichet unique par téléphone (3939) et par internet (mon.service-public.fr)
      • La simplification et la dématérialisation des démarches administratives : ce sont 100 simplifications des principales démarches administratives qui auront été engagées d’ici fin 2012. Dès l’automne 2010, l’Etat mettra en place une déclaration informatique unique en cas de déménagement, de décès ou de création d’entreprise pour que les Français n’aient pas à envoyer plusieurs fois la même information aux administrations.
    • Enfin, le maître mot de cette seconde phase de la RGPP, c’est la qualité du service public. Pour simplifier la vie des Français et leur faire gagner du temps, un plan de réduction de 30% des temps d’attente et des délais de traitement des démarches prioritaires (requêtes fiscales, frais de justice, demande de CNI) va être mis en place. Pour permettre à l’administration de s’évaluer en toute transparence et ainsi de s’améliorer, un baromètre de satisfaction des usagers sera régulièrement publié.

    LES FONCTIONNAIRES, GRANDS PERDANTS DE LA RGPP ?

     

    C’est tout le contraire. L’Etat est le premier employeur de France, il doit également être le meilleur. Ce que souhaite le Gouvernement c’est une fonction publique mieux gérée avec des fonctionnaires mieux formés, plus mobiles et mieux payés :

    • Mieux formés : avec une organisation plus performante des formations. Les formations continues qui portent sur des thèmes communs à plusieurs administrations seront mutualisées. Les concours de recrutement communs à plusieurs administrations seront progressivement développés. Cette démarche permettra d’offrir de nouvelles opportunités aux candidats tout en réduisant le coût de l’organisation des concours.
    • Plus mobiles : avec un programme de suppression de 150 corps de fonctionnaires. La multiplication des corps de fonctionnaires rigidifie aujourd’hui la gestion des ressources humaines et freine la mobilité des agents entre les différentes administrations.
    • Mieux payés : l’engagement du Président de la République de restituer aux agents la moitié des économies générées par le non remplacement d’un départ à la retraite sur deux est renouvelé. En pleine crise économique, ce sont 500 M€ qui ont été versés aux fonctionnaires en 2009 (prime spéciale de 500 € pour les enseignants assurant au moins 3 heures supplémentaires…). 
  • Biennale "Tout feu tout flamme" à THONES

    Plus de 1000 personnes ont assisté hier soir aux démonstrations acrobatiques des jeunes sapeurs pompiers de Thônes, suivies de celles de l'équipe spéciale des pompiers de Lyon : un grand moment.

    La biennale se poursuivra demain matin par la cérémonie aux monuments aux morts, par la remise de décorations puis le défilé historique dans les rues de Thônes. L'après-midi, place à de nouvelles démonstrations et le soir à la retraite aux flambeaux et au feu d'artifice, suivi d'un bal populaire.

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  • Arrivée du Tour de France à Morzine Avoriaz

    Les choses sérieuses commencent aujourd'hui sur le Tour de France, avec la première étape de montagne entre la station des Rousses (Jura)et la station de Morzine-Avoriaz (Haute-Savoie).

    189 kilomètres au programme avec deux cols de 1ère catégorie : le col de la Ramaz (1619 mètres) et la montée finale vers Avoriaz (1796 mètres) où sera jugée l'arrivée.

    Avec un français en jaune (Sylvain Chavanel), un temps superbe et toutes les incertitudes d'une première étape de montagne ... je file sur la ligne d'arrivée, je ne vais surtout pas rater celà !

    Rendez-vous demain matin pour le compte-rendu photo et vidéo sur ma fiche FACEBOOK 

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  • Invité à 12 h 30 de l'émission "7 jours en 1 heure" sur TV8 Mont-Blanc

    Je m'exprimerai ce dimanche sur TV8 Mont-Blanc pendant 12 minutes (vers 12 heures 35), dans le cadre de l'émission " 7 jour en 1 heure" de Gilles Meunier, sur la réforme des retraites :

    • pourquoi faut-il réformer ?
    • les principales mesures envisagées ?
    • quel équilibre pour le régime des retraites ?
    • qui sera touché ?
    • quand la réforme entrera-t'elle en vigueur ...

    Rediffusion de l'émission ce soir à 19 heures (canal 21 sur la TNT).

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  • L'annécien Christophe Lemaitre sous les 10 secondes au 100 mètres

    Cocorico, on l'attendait depuis quelques semaines ... c'est maintenant fait.

    L'annécien Christophe Lemaitre (licencié au club de l'AS Aix-les-Bains) est devenu hier, à 20 ans ... le premier athlète blanc à franchir le mur des 10 secondes (9,98 secondes) sur 100 mètres, lors des championnats de France à valence.

    Il aura fallut 42 ans, après l'exploit de Jim Hines (9,9 secondes en 1968) pour qu'un athlète blanc réalise cet exploit, dans une discipline où, jusqu'à présent, les 71 athlètes ayant franchit la barre des 10 secondes étaient tous des athlètes noirs.

    Tous les espoirs sont désormais permis pour Christophe Lemaitre, car il est le premier, parmi tous les grands sprinteurs (Lewis, Gay, Bailey, Gatlin, Powell), à avoir franchi le mur des 10 secondes aussi jeune.

    Le journal l'Equipe (et toute la presse locale et nationale) souligne cet exploit en une ... et en pages 2 et 3 : bel hommage.

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  • Première édition du "Jump'in" à LA CLUSAZ

    Compétition de saut d'obstacles exceptionnelle ce week-end à La Clusaz !

    C'est la première fois, dans l'histoire de l'Equitation française, qu'une station d'altitude organise un tel évènement sur une piste en sable technique.

    Au coeur du village, le champ Giguet a été entièrement réaménagé pour accueillir durant tout le week-end 9 épreuves : Grand Prix du Conseil Général, Grand Prix de La Clusaz.

    Venez nombreux assister à ce magnifique spectacle.

    Toutes les infos sur www.jumpinglaclusaz.com

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  • Journée "prévention secours" à ANNECY-LE-VIEUX

    En s'intallant sur la plage d'Albigny, la commune d'Annecy-le-Vieux a fait un choix judicieux pour l'organisation de cette journée d'animation "prévention secours" à laquelle participaient le SDIS, la police municipale, le SAMU, la gendarmerie, la Croix blanche ...

    Quoi de mieux que d'aller à la rencontre des touristes, sur leurs lieux de loisirs, pour faire avancer la prévention ... notamment en direction des jeunes.

    L'inauguration officielle de ce matin a permis au Lions Club le Doyen de remettre un défibrillateur à la commune. Ce défibrillateur sera installé au niveau de la base nautique.

    La mise en place généralisée de défibrillateurs dans les lieux publics permettrait de sauver 3 à 4000 vies par an.

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  • Réunion publique sur la réforme des retraites à la ROCHE-SUR-FORON

    Vous êtes cordialement invité à assister à cette réunion publique, avec vos collègues, amis, relations afin de découvrir les enjeux de la réforme des retraites, en particuliers pour les nombreux frontaliers du département.

    La réunion se tiendra en présence de :

    • Bernard ACCOYER, Président de l’Assemblée nationale et les parlementaires de la Haute-Savoie
    • Arnaud ROBINET, Secrétaire National chargé des retraites, Député de la Marne
    • Guylaine RIONDEL-BESSON – Directrice juridique du Groupement Européen Transfrontalier
    • Virginie DUBY-MULLER, Attachée parlementaire de Claude BIRRAUX, Député de la Haute-Savoie
    • Jean-Claude MORAND, référent “retraites” pour le département de la Haute-Savoie

    la réforme des retraites

    Vendredi 9 juillet 2010

    20 heures – salle du Môle

    (Parc des Expo de la Roche-sur-Foron)

    LA ROCHE sur FORON

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  • A quoi doit ressembler une loi 2.0 ?

    Vidéos du débat organisé hier soir à l'Assemblée nationale à propos du rapport "éthique du numérique".

    Débat intéressant ... qui en appelera d'autres ... et qui montre qu'il faut absolument, sur ces sujets complexes, engager enfin une vraie concertation multi-acteurs. On repart dans le bon sens !

    Vidéo n°1 :

    Interventions de :

    • Hervé Mariton : député de la Drôme
    • Lionel Tardy : député de la Haute-Savoie
    • Jean-François Copé : président du groupe UMP
    • Franck Riester : député de Seine et Marne

    et débat sur le numérique et la vie privée ...

    ... internet, un marché comme les autres ? ...

    ... la net neutralité, c'est du pipeau ?

  • Mes interventions sur la Loi de Modernisation Agricole

    La semaine dernière, je n'ai pas fait que twitter, je suis aussi intervenu dans les discussions sur la loi de modernisation agricole. Mes interventions ont tourné autour de trois thèmes : la qualité de la loi, les comités théodules et les relations commerciales. 

    • La qualité de la loi :

    Je m'attache beaucoup, depuis le début de mon mandat, à la qualité de la loi et à la simplification du droit. Sur la LMA, il y avait beaucoup à dire.

    La plus grande partie de l'article 1 illustrait parfaitement ce que Pierre Mazeaud, ancien président du conseil constitutionnel appelait la loi bavarde : que du déclaratif, rien de normatif. Et après, on s'étonne que les lois soient de plus en plus longues et touffues. Simplifier, c'est bien, mais c'est encore mieux de régler le problème à la source.

    Cette loi, particulièrement technique, comporte des dispositifs que je n'hésite pas à qualifier d'usines à gaz. Dans l'article 1, on crée une véritable police administrative de la nutrition.

    Des décrets vont fixer toute une série d'obligations sur l'équilibre alimentaire des menus, leur composition ... jusqu'à la taille des portions. L'administration pourra venir inspecter les cantines scolaires et autres lieux de restauration collective, pour vérifier que ces décrets sont bien appliqués. On nage en plein délire !

    Ce texte a aussi été l'occasion de faire le point sur une autre usine à gaz, datant de 2005, le coefficient multiplicateur. Ce dispositif compliqué devait permettre de limiter les augmentations de prix.

    Il n'a jamais été mis en oeuvre car sa compatibilité avec les règles européennes est plus que douteuse, sa mise en oeuvre demande beaucoup de moyens de contrôle et il risque en plus de provoquer des importations en provenance de pays à bas coûts de production. J'en ai demandé la suppression, qui a été refusée, bien que tout le monde ait convenu qu'il était difficilement utilisable.

    • Les comités théodules :

    Pas de loi sans son comité théodule. Ce théorème se vérifie systématiquement pour toute loi qui comporte plus de 10 articles. Dans la loi de modernisation agricole, c'est même un festival puisque pas moins de trois comités (du moins ceux que j'ai repérés) sont créés. A quoi cela sert-il d'en supprimer par décret, si c'est pour en créer d'autres par la loi.

    • Les relations commerciales :

    Les articles 3 à 5 traitaient des relations commerciales et de la contractualisation de ses relations dans le secteur des fruits et légumes. Une fois de plus, on cherche à trouver la solution miracle qui permettra de rééquilibrer les relations entre les petits producteurs et la grande distribution. C'était déjà tout le sujet de la loi de modernisation de l'économie, en 2008, qui a donné des résultats inégaux dans ce domaine.

    Au cours de la discussion, j'ai eu l'occasion de souligner à nouveau quelques problèmes juridiques...

    Bien que non spécialiste des questions agricoles, j'ai éte l'un des députés de la majorité qui a déposé le plus grand nombre d'amendements sur ce texte, et j'aurais certainement pu intervenir sur beaucoup d'autres sujets, si j'avais eu plus de temps pour le travailler.

    C'est bien la preuve que les députés doivent garder un oeil sur tous les textes, quitte à ne pas intervenir si cela ne s'avère pas nécessaire.