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  • Classement des politiques sur TWITTER : 6ème place

    Extrait du site www.lepost.fr :

    Ce classement est uniquement basé sur le nombre des "abonnés" aux profils de nos hommes et femmes politiques sur Twitter et ne se veut en aucun cas être une analyse.

    Notre choix est de ne sélectionner que les 50 premiers (pour l'heure). Nous espérons que nos politiques réagissent à ce classement et prennent autant ce réseau au sérieux que Facebook !

    N'hésitez pas à nous contacter sur : classement.politiques.twitter@gmail.com pour nous aider à corriger et faire progresser ce classement qui paraîtra le 15 au soir  et le 1er de chaque mois.

    Des profils ont peut être été oublié n'étant pas tous "vérifiés", si c'est le cas merci de nous le signaler et nous corrigerons lors du prochain classement en le mentionnant.

    Je me classe en 6ème position, uniquement précédé par 2 ministres, le porte parole du PS, la maire adjointe de Paris et un député européen …  

    Prochain classement le 1er novembre.

    CLASSEMENT AU 15 SEPTEMBRE 2010 : 

    Top 10 :

    1 Nathalie Kosciusko Morizet UMP 52 685 followers

    2 Benoit Hamon PS 37 921

    3 Laurent Wauquiez UMP 32 386

    4 Anne Hidalgo PS 7 408

    5 Daniel Cohn-Bendit EE 6 388

    6 Lionel Tardy UMP 5 507

    7 Valérie Pécresse UMP 5 463

    8 Cécile Duflot VERTS 4 931

    9 Frédéric Lefebvre UMP 4 658

    10 Vincent Peillon PS 4 560

    Top 20 :

    11 Arnaud Montebourg PS 4 254

    12 Alain Lambert UMP 3 930

    13 Michel Barnier UMP 3 169

    14 Christian Estrosi UMP 3 046

    15 Ségolène Royal PS 2 810

    16 José Bové EE 2 736

    17 Corinne Lepage CAP21 2 580

    18 Laurent Fabius PS 2 557

    19 Jean-Paul Huchon PS 2 554

    20 Luc Chatel UMP 2 469

    Top 30 :

    21 Pierre Moscovici PS 2 455

    22 François Bayrou MODEM 2 325

    23 Dominique de Villepin UMP - RS 2 293

    24 Martine Aubry PS 2 226

    25 Benjamin Lancar UMP 2 213

    26 Bertrand Delanoë PS 2 210

    27 Anne Marie Idrac UMP 2 056

    28 Jean-François Copé UMP 2 026

    29 Benoist Apparu UMP 1 993

    30 François Baroin UMP 1 901

    Suite :

    31 Harlem Desir PS 1 846

    32 Gérard Collomb PS 1 791

    33 Jean-Luc Romero 1 737

    34 François Hollande PS 1 652

    35 Claude Bartolone PS 1 637

    36 Olivier Besancenot NPA 1 615

    37 Jean-Pierre Chevènement PS 1 557

    38 Nicolas Dupont-Aignan DLR 1 304

    39 Hervé Morin NC 1 263

    40 Yves Jégo UMP- PR 1 252

    41 Hervé Novelli UMP 1 211

    42 Dominique Bussereau UMP 1 151

    43 Dominique Paillé UMP 1 125

    44 François Rebsamen PS 1082

    45 Christine Boutin UMP- PDC 1 073

    46 Jean-Jack Queyranne PS 905

    47 Laure de la Raudière UMP 883

    48 Catherine Trautmann PS 852

    49 Razzy Hammadi PS 803

    50 Najat Belkacem PS 774

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  • Debut de l'examen en commission du projet de loi sur l'immigration

    Ce projet de loi présenté le 31 mars 2010 en Conseil des ministres vise à renforcer l’intégration des immigrés qui entrent et séjournent sur le territoire national.

     

    En transposant trois directives européennes, le projet de loi participe à la construction progressive d’une politique européenne de l’immigration et de l’asile, complément de l’espace de libre-circulation issu des accords de Schengen :

    • la directive « retour » du 16 décembre 2008, relative aux normes et procédures applicables dans les Etats membres au retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier,
    • la directive « carte bleue européenne » du 25 mai 2009, établissant les conditions d’entrée et de séjour des ressortissants de pays tiers aux fins d’un emploi hautement qualifié et,
    • la directive « sanctions » du 18 juin 2009 prévoyant des normes minimales concernant les sanctions et mesures à l’encontre des employeurs de ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier. 

    Enfin, le projet de loi prévoit également un renforcement de la lutte contre les l’immigration illégale.

     

    Le projet de loi de 82 articles est divisé en sept titres :

    • Titre Ier. – Dispositions relatives à la nationalité et à l’intégration
    • Titre II. – Dispositions relatives à l’entrée et au séjour des étrangers
    • Titre III. – Dispositions relatives aux procédures et au contentieux de l’éloignement
    • Titre IV.- Dispositions relatives à la protection des droits sociaux et pécuniaires des étrangers sans titre et à la répression de leurs employeurs
    • Titre V. – Dispositions diverses
    • Titre VI. – Dispositions relatives à l’outre-mer
    • Titre VII. – Dispositions finales

    J'ai déposé un certain nombre d'amendements de suppression d'articles.

     

    Détails des articles du projet de loi immigration

     

    Comme on pouvait s'y attendre, l'examen en commission a été mené au pas de charge, le président Warsmann laissant à peine le temps d'intervenir, et quand on pouvait parler, le rapporteur et le ministre bottaient en touche ou ne répondaient même pas.

    Rendez-vous le 28 septembre, dans l'hémicycle !

     

  • Accession à la propriété : un nouveau dispositif plus simple et plus efficace

    Le Président de la République Nicolas Sarkozy et Benoist Apparu, secrétaire d’Etat au Logement et à l’Urbanisme ont présenté, ce mardi, les nouvelles mesures pour favoriser l’accession à la propriété.

    Décryptage des grands enjeux et principes de la réforme :

    Le gouvernement poursuit l’objectif d’une " France de propriétaires " souhaitée par le Président de la République.

    Pour atteindre cet objectif, Benoist Apparu a préparé en concertation avec l’ensemble des acteurs du logement une réforme simple et efficace de l’accession à la propriété qui entrera en vigueur au 1er janvier 2011.

    Plus simple, cette réforme ne retient que trois dispositifs, correspondant aux grandes étapes du cycle d’achat des primo-accédants :

    • Le Plan d’Epargne Logement, qui encourage l’effort d’épargne, permettant d’en réduire le coût sans nuire à son attractivité.
    • Le nouveau " PTZ + " qui accompagnera le déclenchement de l’acte d’achat. Il résulte de la fusion du Pass-Foncier, du PTZ actuel et du crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt. LE PTZ+ propose des montants et des durées de prêts supérieurs. Il sera universel pour les primo-accédants, sans condition de ressources.
    • Les aides personnelles au logement (APL-AL Accession) seront maintenues pour mieux sécuriser la solvabilité des familles face aux accidents de la vie.

    Plus efficace, la réforme cible les aides sur les priorités de la politique du logement : dans le neuf en zones tendues pour soutenir la construction et dans l’ancien en zones détendues pour revitaliser les " centres-bourgs ". Tout en encourageant la performance énergétique.

    La réforme participe à l’effort de réduction des dépenses publiques. Le coût du dispositif devrait atteindre 2,6 Md€ pour une efficacité maximisée.

  • L'action du Gouvernement pour améliorer les conditions de vie des étudiants

    LES CHIFFRES

    • 100 000 : c’est le nombre de boursiers supplémentaires depuis 2008.
    • +13% : c’est l’augmentation du montant des bourses depuis 3 ans.
    • 1,6 Md€ : c’est le budget du Ministère de l’Enseignement supérieur dédié au versement des bourses sur critères sociaux.
    • 44 000 : c’est le nombre de chambres CROUS rénovées ou construites depuis 2007.

    L’ESSENTIEL

    • Le Gouvernement a fait de la formation des jeunes une priorité pour notre pays. Depuis 2007, les budgets consacrés à l’enseignement supérieur et à la recherche ont augmenté de 1,8 Md€ par an, auxquels il faut ajouter les 5 Mds€ dédiés au Plan campus et les 21,9 Mds€ destinés aux investissements d’avenir financés par l’emprunt national.
    • Cet investissement sans précédent pour l’avenir de nos jeunes s’accompagne d’un effort exceptionnel pour améliorer la qualité et le cadre de vie et de travail des étudiants, indispensables à la réussite des études universitaires.
    • Portée par Valérie PÉCRESSE, cette action volontariste traduit l’attachement du Gouvernement à donner à chaque étudiant,  sans exception, sa chance de réussir.

    DEPUIS 2007, RIEN N’A ÉTÉ FAIT POUR AMÉLIORER LES CONDITIONS DE VIE DES ÉTUDIANTS ?

    • La qualité du cadre de vie et de travail des étudiants est une condition indispensable à la réussite de leurs études. C’est pourquoi, parallèlement à l’investissement massif du Gouvernement dans l’enseignement supérieur et la recherche (39 Mds€ sur l’ensemble du quinquennat), Valérie PÉCRESSE a ouvert, dès 2007, le grand chantier « Vie étudiante ».
    • Au terme d’un long travail de concertation, avec les syndicats d’étudiants notamment, le Gouvernement a mis en place un ensemble de mesures concrètes qui concernent aussi bien le logement que les bourses et les aides pour améliorer le quotidien des étudiants. L’objectif est clair : donner à chaque étudiant les meilleures conditions pour réussir.

    QUELLES MESURES POUR LE LOGEMENT ÉTUDIANT ?

    • La question du logement ne doit pas être un frein à la poursuite des études supérieures. C’est pourquoi Valérie PÉCRESSE a lancé un vaste plan de création de chambres universitaires.
      • Depuis 3 ans, 44 000 chambres CROUS ont été rénovées ou construites.
      • En cette rentrée universitaire, plus de 13 000 nouvelles chambres vont être livrées et 28 nouvelles résidences universitaires vont ouvrir leurs portes.
    • Il s’agit d’un effort exceptionnel de l’Etat. En 3 ans, le budget consacré au logement étudiant a quasiment doublé (111,5 M€ en 2010 contre 64 M€ en 2007). A ces financements s’ajoutent 47 M€ mobilisés au titre du plan de relance.
    • Cet effort sera prolongé dans le cadre de l’Opération Campus dotée de 5 Mds€ spécifiquement dédiés à la rénovation de 46 sites.
    • Par ailleurs, pour établir un plan national d’action pour les années à venir, Valérie PÉCRESSE organisera d’ici à la fin de l’année une conférence nationale sur le logement étudiant qui réunira tous les acteurs concernés.

    NE FAUT-IL PAS AIDER EN PRIORITÉ CEUX QUI EN ONT LE PLUS BESOIN ?

    • C’est tout le sens de la refonte de notre système de bourses étudiantes. Depuis 2008, les bourses ont été :
      • Élargies aux classes moyennes, trop longtemps écartées des aides de l’État, grâce à la réforme des critères d’attribution entrée en vigueur en 2008. Depuis 2008, on compte près de 100 000 boursiers supplémentaires, soit 20% de plus qu’en 2007 !
      • Significativement revalorisées : +13% en 3 ans et ce alors que l’inflation a augmenté sur la même période de 6,8%.
    • Pour renforcer encore ces mesures de justice sociale :
      • Tous les étudiants boursiers sont totalement exonérés de droits d’inscription et de sécurité sociale
      • Le ministère de l’enseignement et de la recherche a créé en 2007, le Fonds national d’aide d’urgence, pour venir en aide aux étudiants qui doivent affronter des difficultés exceptionnelles au cours de leur cursus : ces aides peuvent aller jusqu’à 4 000€
    • Le Gouvernement a encore tout récemment réaffirmé son profond attachement à l’amélioration des conditions de vie des étudiants :
      • En décidant de maintenir la possibilité du cumul d’une demi-part fiscale et de l’obtention des Aides personnalisées au logement (APL) ;
      • En annonçant un dixième mois de bourse.

     POURQUOI UN DIXIÈME MOIS DE BOURSE ?

    • Avec l'harmonisation européenne des diplômes, le plan « Réussir en licence » et le développement de la pratique des stages, l’année universitaire s’allonge progressivement à 10 mois. Aujourd’hui, près de 70% des étudiants sont engagés dans des cursus de plus de 9 mois. Il était donc légitime d’en tenir compte et de prolonger notre soutien aux étudiants boursiers.
    • Ce versement d’un dixième mois de bourse sera mis en place en deux temps :
      • Un demi-mois de bourse supplémentaire sera versé dès le mois de septembre 2010 : ce nouveau versement constitue une augmentation de +6% du montant des bourses versées aux étudiants ;
      • Un second demi-mois sera versé au cours de l'année universitaire 2011-2012, lorsque les engagements des universités sur la durée de l'année universitaire seront tenus.
    • Avec la mise en place d’un demi-mois supplémentaire dès cette rentrée, au moment où les étudiants doivent faire des investissements lourds, c’est un geste fort de soutien que nous leur adressons. 
  • La situation de l'emploi

    LES CHIFFRES :

    • - 0,2 point : c’est la baisse du chômage au 2ème trimestre 2010.
    • - 14 400 : c’est le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A en moins au mois de juillet.
    • + 35 000 : c’est le nombre de créations nettes d’emplois marchands au second trimestre 2010.

    L’ESSENTIEL :

    • La France vient d’enregistrer une baisse du chômage pour le 2ème trimestre consécutif (-0,2 point après -0,1 point au 1er trimestre) après 21 mois de hausse consécutive. Ce qui confirme que le marché de l’emploi se stabilise depuis le début de l’année.
    • Cette amélioration fait suite à une série de signaux encourageants sur le front de l’activité économique : +0,6% de croissance au 2ème trimestre, + 35 000 créations nettes d’emplois au 2ème trimestre et -50% de plans sociaux entre le 1er semestre 2009 et le 1er semestre 2010. 
    • Ces résultats sont le fruit de la politique de l’emploi portée par Christine LAGARDE et Laurent WAUQUIEZ, qui ont cherché, dès le début de la crise, à prévenir et accompagner les restructurations tout en anticipant la reprise de l’emploi. 
    • Pour autant, la situation de l’emploi reste fragile, c’est pourquoi le Gouvernement reste pleinement mobilisé et poursuivra son action en ciblant notamment les publics fragiles.

    EMPLOI, OÙ EN EST-ON AUJOURD’HUI ?

    • Durant la crise, la France avait mieux résisté que ses principaux partenaires : le nombre de chômeurs avait augmenté de +23 % dans notre pays entre mai 2007 et fin 2009 alors que, sur la même période, il avait crû de +50 % au Royaume-Uni et de +129% aux Etats-Unis !
    • Depuis le début de l’année, le marché de l’emploi se stabilise :
      • La France vient d’enregistrer une baisse du chômage de -0,2 point au 2ème trimestre pour s’établir à 9,3% en métropole et 9,7% avec les DOM. Après 21 mois de hausse, c’est le 2ème trimestre consécutif de baisse (rappel : - 0,1point au 1er trimestre) et la baisse la plus significative depuis le début de la crise. En juillet, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A a baissé de -0,5% (-14 400 chômeurs), soit le meilleur chiffre depuis février 2008.
      • Sur le front de l’emploi des jeunes, le nombre de demandeurs d’emploi de moins de 25 ans baisse à nouveau en juillet de -2,8%, accélérant la décrue enregistrée le mois précédent et orientant le chômage des jeunes à la baisse sur un an à -1,8%.
      • Concernant l’emploi des seniors, le taux de chômage des plus de 50 ans en métropole diminue, passant de 6,6% au 1er trimestre à 6,1% au 2ème trimestre.

    DANS QUEL CONTEXTE S’INSCRIT CETTE AMÉLIORATION ?

    • Ces bons chiffres de l’emploi font suite à une série de signaux très encourageants sur le front de l’activité économique : 
      • Les bons chiffres de la croissance : +0,2% au 1er trimestre 2010 et +0,6% au 2ème trimestre 2010
      • La baisse du nombre de plans sociaux de près de moitié au 1er semestre 2010 par rapport au 1er semestre 2009 (674 contre 1311)
      • La création nette de +35 000 emplois marchands au 2ème trimestre 2010. Au total, ce sont +59 000 emplois qui ont été créés depuis le début de l’année !
      • La poursuite de la reprise de l’intérim (+0,5% au 2ème trimestre 2010)
      • L’augmentation du volume des heures supplémentaires qui s’est poursuivie au 2ème trimestre.

    LA POLITIQUE ENGAGÉE PAR LE GOUVERNEMENT PORTE DONC SES FRUITS ?

    • Absolument ! Ces bons résultats sont le fruit de la mobilisation constante du Gouvernement depuis le début de la crise.
    • Notre politique de l’emploi a consisté à anticiper plutôt que subir, en prenant avec les partenaires sociaux des mesures pragmatiques en faveur du retour et du maintien dans l’emploi :
      • Le dispositif « zéro charge » a aidé à recruter 1 million de personnes dans les TPE, dont 41,5% en CDI.
      • L’activité partielle a bénéficié à 400 000 salariés en 2009. Grâce à ce dispositif, les salariés ont été mieux indemnisés et ont reçu des formations qui ont sécurisé leurs parcours professionnels et musclé les compétences de nos entreprises en prévision de la reprise.
      • Pour mieux accompagner les reconversions professionnelles, 125 000 conventions de reclassement personnalisé (CRP) et 15 000 contrats de transition professionnelle (CTP) ont été conclus en 2009.
      • Les contrats en alternance (contrats d’apprentissage et de professionnalisation), priorité du plan d’urgence pour l’emploi des jeunes, ont augmenté de +20% en juin-juillet 2010 par rapport à juin-juillet 2009.
    • Parallèlement à ces mesures qui ont permis d’amortir le choc de la crise, le Gouvernement a poursuivi la mise en oeuvre de réformes structurelles  :
      • La modernisation du service public de l’emploi : Pôle emploi, issu de la fusion ANPE-ASSEDIC, a été créé en janvier 2009 pour indemniser les chômeurs et faciliter leur recherche d’emploi. En 18 mois, la création de Pôle emploi a permis de simplifier les démarches, d’effectuer des gains de temps considérables et d’améliorer la couverture des territoires. Aujourd’hui, 98% des demandeurs d’emploi ont un site à moins de 30 km de chez eux !
      • Des mesures ciblées sur des populations en situation structurelle de sous-emploi, notamment les jeunes (alternance, RSA jeune) ou les seniors (obligation pour les entreprises de plus de 50 salariés d’être couvertes par un accord/plan d’actions sur l’emploi des seniors).

    DOIT-ON POUR AUTANT RELÂCHER NOS EFFORTS ?

    • Non, car la situation de l’emploi reste fragile. L’objectif reste de stopper la hausse du chômage d’ici fin 2010 et de le faire baisser durablement en 2011.
    • Pour cela, le Gouvernement est pleinement mobilisé et a décidé de poursuivre une politique de l’emploi ciblée sur les publics fragiles :
      • 1/ Les jeunes : parallèlement à une réflexion en cours sur la modernisation et le développement de l’alternance, le Gouvernement a décidé de maintenir jusqu’à la fin de l’année les trois mesures d’incitations à l’alternance : dispositif « zéro charge » apprenti, prime à l’embauche d’un apprenti et aide à l’embauche en contrat de professionnalisation.
      • 2/ Les seniors : le Gouvernement a proposé, dans le cadre de la réforme des retraites, de mettre en place une aide à l’embauche des demandeurs d’emploi de plus de 55 ans. Cette mesure s’appliquera à toutes les entreprises, pour des recrutements en CDI et en CDD de plus de 6 mois.
      • 3/ Les chômeurs de longue durée : le Gouvernement a souhaité renforcer la reconversion des salariés qui ont perdu leur emploi pendant la crise. Les chômeurs de longue durée seront les bénéficiaires directs du plan « Rebond pour l’emploi », désormais opérationnel.
    • Enfin concernant le service public de l’emploi, Pôle emploi, qui a su faire face à la hausse des demandeurs d’emploi en 2009, continuera de travailler sur son offre vers les entreprises pour accompagner l’augmentation du nombre d’offres d’emploi, dans le prolongement de ce qui a été fait avec le « 39-95 » et les forces de prospection, mais aussi pour continuer à améliorer le service fourni aux demandeurs d’emploi. C’est ainsi qu’une grande consultation, annoncée cet été, sera lancée début septembre.
  • Projet de loi relatif à l'immigration, à l'intégration et à la nationalité

    Cet après-midi se tenait, dans le cadre de la Commission des Lois constitutionnelles, l'audition d'Eric Besson, ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire.

    Il a défendu, face aux députés, le projet de loi relatif à l'immigration, à l'intégration et à la nationalité, qui sera examiné en commission dès la semaine prochaine et dans l'hémicycle en fin de mois.

    Je suis intervenu pour faire part de mes interrogations en l'état :

    Monsieur le Ministre,

     

    En l’état, et sans être un spécialiste de la question, j'ai un regard assez critique sur ce texte. Je souligne votre effort de clarté et les quelques corrections apportées aux déclarations de cet été.

     

    Je ne remets pas en cause la politique globale d'immigration. La France a une longue tradition d'asile et d'accueil, mais en même temps, elle ne peut pas accueillir toute la misère du monde. Il faut renforcer nos frontières et lutter contre l'immigration illégale.

     

    Une loi s'insère dans une hiérarchie des normes, et doit donc respecter les normes qui lui sont supérieures, à savoir la Constitution et les conventions internationales que nous avons ratifiés. Je pense en particulier à la Convention européenne des droits de l'homme.

     

    Nous aurons l'occasion d'en débattre lors de l'examen des amendements, mais d'ores et déjà, j'ai relevé un certain nombre de points qui sont, à mes yeux, manifestement inconstitutionnels.

     

    En l’état actuel, j’ai déposé des amendements de suppression des articles 6 / 7 / 8 / 10 / 12 / 21 / 38 / 39 / 43 / 44 et 75, une première !

     

    Rapidement, quelques points qui me heurtent : le passage de 48 heures à 5 jours pour saisir le juge judiciaire pour prolonger la rétention. C'est manifestement excessif. Autre point litigieux, la purge des irrégularités qui n'ont pas été soulevées dès la première audience. Quand on sait que l'avocat, souvent commis d'office, n'a connaissance du dossier que dans l'heure qui précède l'audience, on voit bien le problème. Enfin, la zone d'attente qui se créé automatiquement autour d'un groupe d'étrangers débarquant hors des points de contrôle frontaliers m'apparaît juridiquement baroque.

     

    J'insiste là dessus, car nous sommes sur des libertés publiques, avec des personnes que nous privons de leur liberté.

     

    Au delà de l'aspect purement juridique, je voudrais réaffirmer mon attachement à un certains nombre de valeurs humanistes auxquelles je suis particulièrement attaché : la liberté individuelle, la dignité des personnes. Ce texte, et certains amendements qui nous sont annoncés ne me semblent pas aller dans ce sens.

     

    J'espère que les débats permettront de lever les ambiguïtés de ce texte.

  • Rentrée parlementaire : mon programme (retraites, CSA, ARCEP, immigration)

    La session parlementaire reprend cet après-midi par les Questions au Gouvernement.

    Au-delà du dossier des retraites qui occupera l'essentiel de l'agenda cette semaine dans l'hémicycle, j'assisterai :

    à la réunion du groupe UMP mardi matin à 11 heures 30 : la réunion s'annonce intéressante après un été particulièrement riche en déclarations (réunion à huis clos)

    à l'audition mardi à 17 heures de Michel Boyon, président du CSA (Conseil Supérieur de l'Audiovisuel), par la Commission des Affaires culturelles et de l'Education.

    à l'audition mercredi matin à 10 heures de Jean-Ludovic Silicani, président de l'ARCEP (Autorité de Régulation ces Communications Electronique et de la Poste), par la Commission des Affaires Economiques

    Enfin mercredi à 14 heures 30, se tiendra l'audition, ouverte à la presse, d'Eric Besson, ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire, sur le projet de loi relatif à l'immigration, à l'intégration et à la nationalité.

    L'audition se déroulera dans le cadre de la Commission des Lois constitutionnelles, de la Législation et de l'Administration générale de la République.

    Le rapporteur de ce texte de loi sera Thierry Mariani, député du Vaucluse. C'est dans ce texte que l'on parlera notamment de la déchéance de nationalité.

    J'ai dèjà déposé un certain nombre d'amendements et je participerai à l'examen de ce texte en commission et dans l'hémicycle, en ayant comme principale préoccupation le respect des règles constitutionnelles et des Libertés publiques.

    Faites moi part de VOS QUESTIONS sur ces différents sujets (en commentaire).

    Je les relayeraient lors de ces différentes auditions.

  • Cumul des mandats, une proposition de loi à l'initiative du groupe socialiste

    Depuis 2007, je m'oppose au cumul des mandats, et surtout, je m'applique personnellement cette règle.

    J'ai déposé de nombreux amendements et une proposition de loi visant à limiter ce cumul des mandats, et notamment le cumul d'un mandat de parlementaire avec une fonction exécutive locale.

    Je suis heureux de voir que des élus du groupe socialiste de l'Assemblée nationale se rallient à ma position ! Ils seraient encore plus crédibles si certains cosignataires (Ayrault, Montebourg ...) n'étaient pas des cumulards notables ... Mais bon, on ne peut pas tout avoir !

    Le groupe socialiste à l'Assemblée nationale vient donc de déposer le 1er septembre une proposition de loi sur le cumul des mandats, qui va exactement dans le même sens. Et il se pourrait bien qu'elle soit mise en discussion lors de la prochaine niche parlementaire du groupe socialiste, le 16 octobre prochain.

    Si c'est le cas, je voterai pour cette proposition de loi.

    Si ce n'est pas cette fois ci, ce sera pour la prochaine. La limitation stricte du cumul des mandats est inéluctable, il faut juste que certains notables locaux accepte de faire le deuil du système actuel et choisissent entre leurs fonctions nationales et leurs mandats locaux.

    L'expérience et l'absentéisme à l'Assemblée nationale montre que l'on ne peut pas mener les deux de front !

  • Tableau de bord économique et financier de la Haute-Savoie (2ème trimestre 2010)

    Cette synthèse est réalisée par le service des affaires économiques de la Trésorerie Générale de la Haute-Savoie.

    Cette synthèse présente les données caractéristiques sur l'activité économique du département, produites par les administrations économiques et financières suivantes :

    • Direction Générale des Finances Publiques
    • Direction régionale des Doaunes du Léman
    • INSEE

    Les indicateurs du second trimestre 2010 portant sur l'activité des entreprises témoingnent d'une nette amélioration de la conjoncture.

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  • La fête du Vieux Seynod se poursuit ce dimanche

    Au programme de la journée :

    • 10 heures : messe en plein air
    • 11 heures : apéritif concert et travaux des champs à l'ancienne, réalisés avec des outils d'époque
    • 12 heures : repas champêtre avec spécialités savoyardes
    • 15 heures : grand défilé sur le thème des hameaux (chars, attelages, véhicules de collection, costumes)

    Présent de 11 heures 30 à 15 heures 30, j'ai participé au repas champêtre et assité au grand défilé.

    Gros succès pour la ferme de anfants qui offrait, comme chaque année, de nouvelles animations : la tonte de mouton, a remporté un vif succès auprès des plus jeunes.

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