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  • Le groupe d'amitié FRANCE / TAIWAN très actif à l'Assemblée nationale

    Sans même attendre la constitution officielle du groupe d'amitié France Taiwan il y a 2 semaines ... les échanges ont été particulièrement importants entre nos deux pays, sous l'égide de Michel LU, Ambassadeur de Taiwan en France et de François Brottes, président de notre groupe d'amitié.

    10 octobre 2012 : Célébration à Paris de la 101ème Fête nationale de la République de Chine (Taiwan)

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    23 octobre 2012 : Déjeûner à l'Ambassade de Taiwan en France

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    29 octobre au 5 novembre 2012 : Déplacement d'une délégation de 5 députés à Taiwan.

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    21 novembre 2012 : Déjeuner du nouveau groupe d'amité France / Taiwan à l'Ambasse de Taiwan en France.

    22 novembre 2012 : Accueil à l'Assemblée nationale, en tant que secrétaire du groupe d'amitié France-Taiwan, d'une délégation taïwanaise, menée par l'ambassadeur de Taïwan en France et le Vice-Ministre de l'Economie de Taiwan.

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    Vendredi 30 novembre 2012 :

    J'ai accueilli ce vendredi après-midi à l'Assemblée nationale une délégation de membres du Conseil national auprès du Président de la République Ma Ying-Jeou et de fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères, accompagnés de Michel LU, Ambassadeur de Taiwan en France.

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  • Recul discret du Gouvernement ... sur le conseiller territorial

    Le 16 novembre dernier, je défendais, au nom du groupe UMP (une période devenue très lointaine) une motion de renvoi en commission sur la proposition de loi abrogeant le conseiller territorial.

    Je dénonçais un texte vide et mal ficelé, et Olivier Marleix, l'orateur du groupe avait même soulevé un problème de recevabilité financière de cette proposition de loi.

    ... En plus d'être vide de toute proposition, ce texte risquait d'être invalidé par le Conseil constitutionnel.

    Le Ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'est vite rendu compte du problème, et dès l'examen des amendements, a commencé à faire machine arrière. On sentait que ce texte n'irait pas jusqu'à la fin du processus.

    Nous en avons maintenant la confirmation, avec le dépôt, devant le Sénat, du projet de loi relatif aux élections locales.

    Les articles 25 et 26 de ce texte ne sont que la reprise, pure et simple, du contenu de la proposition de loi visant à abroger le conseiller territorial ...

    Tout ça pour ça ... encore un bel exemple de cafouillage et d'improvisation parlementaire du gouvernement. Ce n'était pourtant pas bien difficile d'attendre le projet de loi sur les collectivités locales pour y insérer la suppression du conseiller territorial.

    Cela fait plaisir de voir que la majorité écoute l'opposition et se range à ses propositions (même si elle se gardera bien de s'en vanter).

    Bien qu'en désaccord profond avec certaines dispositions de ce projet de loi, je constate qu'il ne se contente pas de détruire, mais qu'il propose aussi des solutions de remplacement.

    Nous allons avoir, enfin, au bout de 6 mois, un vrai débat parlementaire, avec de la matière.

    On commençait à se demander quand allaient enfin arriver les vraies réformes !!!

  • 17 000 followers sur mon compte TWITTER

    Semaine politique agitée ... avec des compteurs sur mon site et sur mon compte Twitter qui s'affolent.

    Vous êtes désormais 17 000 à suivre mon activité parlementaire sur mon compte Twitter ... soit 811 followers supplémentaires en une semaine.

    Merci de votre confiance.

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  • Présidence de l'UMP ... REVOTONS

    ... Elus, sympathisants, militants et adhérents ... je vous recommande chaudement la lecture du Nouvel Observateur de ce cette semaine ... un must ... vous comprendrez ainsi les raisons de mon engagement dans le "Rassemblement UMP" ... les langues se délient.

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    Mes chers amis,

    Cette première élection véritablement démocratique de notre mouvement devait être exemplaire. Si elle ne l’a pas été, c’est parce que, au nom de l’unité, j’ai accepté que le secrétaire général du mouvement puisse être en même temps candidat à l’élection à la présidence, ce qui n’aurait jamais dû être toléré !

    Le résultat, nous le voyons. Jamais la direction nationale de l’UMP n’a assuré une véritable neutralité dans cette élection. Les moyens de l’UMP ont été mobilisés au profit exclusif de l’un des candidats. Les opérations de vote se sont déroulées, dans certains bureaux, dans une confusion invraisemblable. La commission de contrôle a tout simplement oublié trois fédérations dans son décompte. La commission des recours a siégé de manière totalement illégale, avec une majorité de partisans de l’un des candidats, et a rendu un verdict discrédité avant même d’être livré.

    Au nom de l’unité, j’ai soutenu la proposition de médiation d’Alain Juppé permettant un large audit des opérations de vote, et j’avais indiqué que je me plierais à son jugement. Cela a été refusé par Jean-François Copé.

    Aujourd’hui, au regard de l’impasse dans laquelle notre parti est enferré, au regard des fractures qui le menacent, au regard de l’absence de légitimité qui entoure nos instances, au regard des militants qui ont soif de rassemblement, de dignité et de clarté, je propose, dans un geste ultime de conciliation, la seule solution qui vaille, la seule solution qui soit sage, efficace et démocratique : je propose de revoter.

    Militants, adhérents, élus, sympathisants, responsables de notre famille politique, partout en France le principe d’une nouvelle élection est réclamé parce ceux qui veulent sortir de cette mascarade par le haut.

    Je demande à Jean-François Copé une nouvelle élection dans trois mois, sous le contrôle d’une commission indépendante.

    Parallèlement à cette demande, je propose aux députés de l’UMP la constitution d’un groupe parlementaire provisoire, qui aura pour nom « Le Rassemblement UMP ». Sa vocation est d’exiger que la parole soit rendue aux militants. Dès lors qu’une nouvelle élection serait décidée dans la transparence, notre groupe rejoindra le groupe originel de l’UMP de l’Assemblée nationale.

    Nous sommes UMP et nous restons à l’UMP, mais notre voix doit être entendue !

    Nous ne réclamons rien d’autre que de remettre le sort de l’UMP entre les mains des militants, entre vos mains. Rien n’est plus légitime, rien n’est plus transparent, rien n’est plus noble que d’en appeler à votre arbitrage pour résoudre la crise que nous vivons.

    Bien amicalement,

    François Fillon

  • Invité ce soir à 21 h 15 sur iTélé de l'émission "On ne va pas se mentir"

    Chaque soir à 21 h 15 dans « On Ne Va Pas Se Mentir » sur BFM TV, Léa Salamé et Marc Fauvelle reçoivent des invités aux parcours et points de vue différents pour débattre de l'actualité du jour.


    Réagissez sur Twitter en utilisant le hashtag officiel #ONVPSM.

     

    Lionel Tardy, député de la Haute-Savoie sera l’un des invités de notre émission de ce soir.

     

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  • Invité de BFM TV ce mardi de 18 h à 18 h 30

    Tous les jours sur BFM TV, BFM Story revient de 18 h à 18 h 30 sur l’actualité de la journée et donne les clefs pour en comprendre les enjeux.

    Olivier Truchot recevra ce mardi Lionel Tardy, député de la Haute-Savoie, pour faire le point sur l’avenir de l’UMP.

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    Extrait de mon intervention :

  • Présidence de l'UMP ... il faut revoter !!!

    L'UMP, créée il y a dix ans, est en danger de mort.

    … pour moi la question ne se pose même plus : l'UMP est morte dans sa configuration actuelle.

    Un blogueur facétieux pastichait hier le Général en brocardant "l'UMP outragée, l'UMP brisée, l'UMP martyrisée" … mais toujours pas libérée de ses démons.

    La première des causes est que, contrairement à une idée reçue, les partis démocratiques ne fonctionnent pas de manière démocratique.

    Leurs appareils, la centralisation des décisions, la nomination des responsables départementaux ou régionaux, l'habitude prise de se mettre en rang derrière un chef, en font des machines électorales efficaces mais démocratiquement déficientes … j’ai vu ces forces se mettre en œuvre depuis lundi … et c’est la grande leçon que j’en retiens personnellement.

    Cruelle ironie du sort, c'est le fondateur et premier président de ce mouvement, Alain Juppé, qui a dressé hier soir l'acte de décès de l’UMP, en quelques mots aussi secs que désabusés : " Les conditions de ma médiation ne sont pas réunies. Ma mission est achevée ".

    A vrai dire, sa mission était quasi impossible à partir du moment où l'un des deux protagonistes, Jean-François Copé, en récusait de fait le bien fondé …

    L'affrontement Copé-Fillon vient d'atteindre ce week-end un point de non-retour. Du chaos au KO.

    Être proclamé vainqueur, voilà ce qui compte et vous l’aurez bien compris, pour Jean-François Copé.

    Être président de l'UMP, même d'une UMP réduite à la portion congrue, plutôt que pas président du tout. L'important pour Jean-François Copé est de garder la marque UMP … ça aussi tout le monde l’a bien compris.

    De ce divorce le nouveau président de l'UMP portera la plus grande part de responsabilité.

    Ce sera pour lui un lourd handicap dans les batailles politiques à venir.

    Si Jean-François Copé n'a pas cédé, c'est parce qu'il avait la main depuis une semaine, en l'occurrence le bâton du guide de la droite qu'il rêve d'être. C'est, à ses yeux, dans la perspective de 2017, un atout majeur.

    Les propos de Jean-François Copé dans lesquels il assurait hier soir n'être " mû que par le sens des responsabilités " sont d'une indécence rare … grosso modo c’est « j’y suis j’y reste et j’ai 3 ans pour faire rentrer tout le monde dans le rang » … désolé, dans un parti républicain, cela ne marche pas comme cela.

    Au nom d'un légalisme forcené, Jean-François Copé n'a rien voulu lâcher.

    Qu'y avait-il de si gênant, dans la médiation d'Alain Juppé, pour que Jean-François Copé la torpille en se cramponnant aux statuts ?

    Un président autoproclamé, les boulettes de la Cocoe (commission de contrôle), les anomalies constatées, les soupçons de partialité sur la commission des recours … tout cela justifiait un arbitrage extérieur.

    Il semble bien qu'Alain Juppé ait été considéré par Jean-François Copé comme une trop crédible solution de transition.

    Le député-maire de Meaux préfère une victoire à la Pyrrhus.

    Le partage presque absolu des suffrages dans ce scrutin inédit impose une solution de compromis.

    Après l'échec de la médiation Juppé, c'est aux militants, aux sympathisants de l'UMP et aux millions de Français qui espèrent en une droite républicaine, digne et réaliste, qu'il faut se consacrer … et redonner la parole, en revotant.

    Que peut-il désormais sortir de ce champ de ruines ?

    La fin probable des carrières politiques de Copé et Fillon.

    La fin aussi de l'UMP, qui a cru pouvoir devenir démocratique en un dimanche sans modifier son fonctionnement bonapartiste, sans choisir entre sa dérive frontiste et ce que l'on appelait jadis la droite républicaine.

    Pour éviter le suicide, il n'est qu'une solution raisonnable et équitable : organiser de nouvelles élections, selon des règles transparentes, sous la tutelle d'un collège constitué de personnalités irréprochables.

    Devant ce désastre, qui, sans doute, est la manifestation de profondes divergences politiques, seuls les adhérents peuvent sauver le parti.

    Leur expression n'ayant pas été nette dans ce vote litigieux, ils devraient exiger de nouvelles élections pour arriver à une expression claire de leur choix et de leur volonté.

    L'autorité est basée sur la confiance !

    On ne voit pas comment elle pourrait revenir, notamment chez les 50 % de votants qui ont le sentiment, aujourd’hui, d'être écartés et de s'être fait flouer.

    Si ce parti ne recourt pas à un nouveau vote, il se videra inéluctablement et disparaîtra.

    En attendant, c'est une énorme déception pour ces militants, qui voient là un échec de la démocratie.

    Nul ne doute maintenant que le retour à la commission des recours, contrôlée par les copéistes, n'aboutisse à la confirmation des résultats validés le 19 novembre.

    Je ne vois pas comment un président … proclamé par la Commission de recours qui lui est parfaitement dévouée, pourrait exercer normalement ses fonctions, et faire preuve de suffisamment d'autorité.

    C'est un coup d'état que vient de réussir Jean-François Copé.

    On comprend maintenant pourquoi Jean-François Copé avait refusé de quitter ses fonctions de secrétaire général de l'UMP quand il s'est porté candidat à sa présidence.

    Sa façon, de s'autoproclamer président avant même que les résultats soient officiellement publiés en disait déjà long sur sa détermination.

    Il a appris de Nicolas Sarkozy et d'une certaine façon de Jacques Chirac que le pouvoir ça ne se quémande pas, ça se prend, par tous moyens. Quitte à tout casser. Y compris le parti convoité, sachant qu'en gardant l'enseigne, les locaux, les clefs des locaux, une poignée d'apparatchiks qui doivent tout au chef, on a toute chance de survivre plus longtemps …

    Cerise sur la gâteau …Jean-François Copé aura en tout cas réussi à " flinguer " les prochaines primaires présidentielles de l'UMP.

    Qui ira faire confiance à un parti organisant une élection ouverte à des millions d'électeurs, s'il n'est même pas capable d'élire son propre président dans des conditions honorables ?

    Jean-François Copé a, incontestablement, beaucoup de talent.

    Il mène le jeu, considérant que dans l'histoire, les barbares l'ont toujours emporté sur les civilisés.

    Il pousse donc son avantage jusqu'au bout, en espérant que ça marche. Il a balayé ainsi d'un revers de la main la tentative de médiation d'Alain Juppé … ne jure que par les statuts et la Commission des recours.

    Tout est parfait !

    A ceci près que le directeur juridique de l'UMP a été licencié par Jean-François Copé pour avoir, avant les élections, fait des remarques sur la manière dont les choses se passaient, et qu'il a donc été aussi remplacé dans la Commission des recours.

    Pour François Fillon, le problème de fond est de savoir quelle est l'ampleur de la fraude électorale.

    On s'interroge, dans notre camp, sur une fraude majeure qui n'aurait rien à voir avec du bourrage d'urnes ou l'oubli de trois fédérations d'outre-mer, mais sur une organisation planifiée minutieusement au niveau de la confection des listes d'émargement.

    Ce que, sans doute, seule la justice pourra révéler … elle est en marche.

    Ce matin, vu d’Annecy, le plateau des Glières est couvert … mais la résistance s’organise.

  • Ma semaine parlementaire ... good job !!!

    Cette semaine a été particulièrement animée sur le front politique, avec les suites de l'élection interne pour la présidence de l'UMP.

    Je me suis largement exprimé dans les médias sur cet évènement politique très important pour l'avenir de la droite.

    Mais cela ne m'a pas empêché d'être à fond dans mon travail de parlementaire, comme d'habitude !

    Mardi après-midi, je suis intervenu en commission des affaires économiques, lors de l'audition de Guillaume Pépy, PDG de la SNCF, que j'ai interrogé sur ses projets à l'international.

    Mardi soir, j'ai défendu dans l'hémicycle mes amendements sur le projet logement, qui avait été annulé pour vice de forme par le Conseil constitutionnel.

    J'ai notamment soulevé quelques problèmes de faisabilité du texte.

    Le lendemain matin, dès 9 h 30, j'étais en commission des affaires culturelles pour une table ronde, qui fut assez "sportive" sur la question de la taxe pour copie privée, sujet que je suis de très près depuis plusieurs années.


    Mercredi en fin d'après midi, j'ai assisté à une audition de Viviane Reding, commissaire européen, sur la révision de la directive sur les données personnelles.


    Enfin, ce jeudi, je suis intervenu lors de trois textes ... en discussion générale.

    Ce matin sur la proposition de loi de François Sauvadet sur la reconnaissance du vote blanc, en tant qu'orateur du groupe UMP.

     
    Cet après midi, je suis intervenu sur une proposition de loi relative à la création d'un fichier positif des crédits, sujet déjà débattu a de multiples reprises.


    Ce soir, vers 23 h 50, je termine par une intervention sur une proposition de loi qui nous vient du Sénat, à propos de l'aménagement numérique du territoire, autre sujet de fond sur lequel je travaille.


    Jeudi midi, dejeuner avec un groupe de Saint-Felix ... et jeudi après-midi, entre deux interventions, j'ai accueilli officiellement à l'Assemblée nationale, en tant que secrétaire du Groupe d'amitié France-Taiwan, une délégation taïwanaise, menée par l'ambassadeur de Taïwan en France et le Ministre de l'Economie de Taiwan.

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    Ajoutez à celà que cette semaine, c'était le congrès des maires !!!

    J'ai accueilli plusieurs groupes à l'Assemblée nationale et j'ai passé du temps en leur compagnie.

    Je n'ai vraiment pas eu le temps de m'ennuyer !

    What else !!!

  • Appel de 134 parlementaires pour la dignité de notre mouvement

    Nous, députés et sénateurs de l’UMP, appelons Alain JUPPE à organiser à la tête de l’UMP une direction collégiale pour sortir notre mouvement de la situation dans laquelle il se trouve.

     

    Le président de la Commission d’organisation et de contrôle des opérations électorales (COCOE), P. GELARD a reconnu  aujourd’hui une erreur matérielle qui rend incomplets les résultats de l’élection du Président de notre mouvement : en effet les résultats de 3 fédérations n’ont pas été comptabilisés par la COCOE.  1304 militants ont ainsi été privés de leur vote.

     

    Cette grave erreur matérielle conduit à inverser les résultats du scrutin.

     

    Nous ne demandons pas qu’un candidat ou un autre soit déclaré vainqueur.

     

    Compte tenu de l’écart minime de voix, seule une collégialité derrière le fondateur historique de l’UMP nous paraît de nature à permettre la sortie de crise de notre mouvement.

     

    Intervention de François Fillon dans le JT de 20 heures :

     

  • Présidence de l'UMP : les tableaux explicatifs

    Recensement vote pour la présidence ... résultats par fédération :

    (une seule ligne pour les départements d'outremer qui étaient censés avoir tous votés par correspondance)

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    Recensement vote des motions ... résultats par fédération :

    (sont rajoutés 3 fédérations outremer qui finalement n'ont pas voté par correspondance ... et n'ont donc pas été comptabilisées)

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