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entreprise - Page 9

  • De nouvelles mesures pour soutenir l'économie

     LES CHIFFRES :

    • 22 Mds euros : c’est le montant du plan de soutien au financement des PME.
    • 175 Mds euros : c’est l’investissement direct de l’Etat dans l’économie dans les 3 prochaines années
    • 100% : c’est le taux d’exonération total et définitif de la taxe professionnelle jusqu’en 2010 pour les nouveaux investissements

    L’ESSENTIEL :

    • Face à l’ampleur de la crise financière, il fallait prendre des mesures exceptionnelles pour protéger les économies et l’emploi des Français : c’est ce que le Gouvernement a fait en garantissant la solidité de notre système bancaire.
    • Nicolas SARKOZY a dit la vérité aux Français, la crise n’est pas finie et elle aura des conséquences directes sur l’activité, l’emploi et le pouvoir d’achat. Après la crise financière, la crise économique c’est le défi qu’il va falloir maintenant relever.
    • Parce que cette crise est déjà perceptible, le Président de la République a annoncé dans son discours d’Argonay, jeudi 23 octobre de nouvelles mesures d’ampleur pour soutenir notre économie :
      • Le suivi de la façon dont les banques accordent les prêts ;
      • L’exonération immédiate et totale de la taxe professionnelle pour les nouveaux investissements ;
      • La création d’un fonds stratégique d’investissement.

    PENDANT QUE LE GOUVERNEMENT SAUVE LES BANQUES, IL NE FAIT RIEN POUR L’ECONOMIE ?

    • Aider les banques c’était une priorité pour sauver les économies et les emplois des Français. Si on avait laissé tomber les banques en faillite, ce sont les travailleurs, les retraités, les épargnants qui en auraient payé le prix fort.
    • A situation exceptionnelle, il fallait un engagement exceptionnel de l’Etat. L’Etat a donc apporter sa garantie à hauteur de 360 Mds d’€ pour assurer la stabilité du système bancaire. L’objectif était clair : rétablir la confiance pour que les banques puissent continuer à financer l’économie, prêter aux entreprises, aux collectivités et aux Français.
    • En injectant 10,5 Mds d’€ dans les fonds propres de 6 grandes banques françaises, nous permettons aux banques d’accorder 75 Mds d’€ supplémentaires à l’économie.

    JUSQU'A PRESENT RIEN N’A ETE FAIT POUR SOUTENIR L’ECONOMIE ?

    • Bien sûr que si. Puisque l’origine des difficultés économiques se trouve dans la crise du crédit et de la confiance, le Gouvernement a pris les devants avec des mesures immédiates.
      • L’Etat a rendu disponible 22 Mds d’€ pour assurer le financement des PME, premier employeur des Français. OSEO, la banque des PME, est aujourd’hui en mesure d’offrir davantage de garanties pour les PME qui souhaitent emprunter.
      • Par ailleurs, le Gouvernement soutient l’immobilier qui représente 1,2 millions d’emplois avec notamment le rachat massif de 30 000 logements à prix décoté.
      • Enfin, l’Etat va investir dans le secteur de l’automobile en particulier pour développer la voiture propre avec un plan de plus de 400 millions d’€ sur trois ans.

    QUE L’ETAT PEUT-IL FAIRE DE PLUS POUR ASSURER L’ACCES AU CREDIT DE NOS ENTREPRISES ?

    • Le Président de la République a décidé de renforcer les mesures en ce sens :
      • Nous allons apporter des garanties aux assureurs crédit pour qu’ils continuent à offrir aux entreprises les assurances dont elles ont besoin pour obtenir des financements sans lesquels elles ne pourront pas poursuivre leur activité.
      • Nicolas SARKOZY souhaite également l’accélération des remboursements aux entreprises du Crédit Impôt Recherche.
    • Parce que les crédits que l’Etat garantis et les fonds propres qu’il a injectés dans les banques doivent se retrouver dans le financement des PME, l’Etat s’assurera que les banques jouent pleinement le jeu.
    • A cette fin, les services de l’Etat seront mobilisés. Le Premier Ministre a installé vendredi, dans l’Eure, la première réunion du comité départemental de suivi du crédit aux PME. Le Président de la République réunira la semaine prochaine les préfets et tous les trésoriers payeurs généraux pour les mobiliser dans ce cadre, afin de recenser les situations qui posent problème et publier banque par banque, département par département, la politique de crédit des établissements financiers.
    • Pour résoudre les difficultés et assurer un dialogue constructif entre les banques et leurs clients, Nicolas SARKOZY a par ailleurs désigné un médiateur du crédit, René Ricol, qui sera à la disposition de toutes les entreprises françaises qui auront des difficultés pour accéder au crédit.

    FACE À LA CRISE FAUT-IL CHANGER DE CAP ECONOMIQUE ?

    • Non. Pour sortir plus vite de la crise et profiter le mieux possible du rebond à venir, il nous faut plus de souplesse, plus de réactivité et plus de capacité d’innovation. C’est l’objectif des réformes que nous menons depuis l’élection de Nicolas SARKOZY. La crise actuelle implique non pas de ralentir mais de poursuivre et d’accélérer ces réformes.
    • Pour autant dans cette période de crise, il faut aussi soutenir l’activité. Non pas par une relance de la consommation qui augmenterait nos importations et n’aurait aucun effet sur l’activité de nos entreprises mais en investissant massivement. Car avec l’investissement on soutient à la fois l’activité d’aujourd’hui et l’amélioration de la productivité et de la compétitivité de demain.
    • Investir c’est ce que fait l’Etat, dans l’enseignement supérieur et la recherche, dans le Grenelle de l’environnement et l’économie numérique : au total en trois ans, ce sont 175 milliards d’euros d’investissement direct qui seront injectés par l’Etat dans l’activité économique au cours des 3 prochaines années. Notre budget pour 2009-2011 est avant tout un budget d'investissement.

    NE FAUT-IL PAS AUSSI ENCOURAGER L’INVESTISSEMENT PRIVE ?

    • Absolument. Il faut inciter fortement nos entreprises à investir. C’est pourquoi Nicolas SARKOZY a annoncé l’exonération immédiate et totale de la taxe professionnelle sur les nouveaux investissements réalisés entre le 23 octobre 2008 et le 31 décembre 2009. Ces investissements ne seront pas inclus dans l’assiette de la taxe professionnelle. Quant au manque à gagner pour les collectivités territoriales, il sera entièrement compensé par l’Etat. Cette mesure immédiate sera proposée au Parlement dans la loi de finances rectificative pour 2008.
    • Au-delà de ces dispositions transitoires après 2009, la réforme des collectivités locales nous permettra d’engager définitivement celle de la taxe professionnelle.

    POURQUOI UN FONDS STRATEGIQUE D’INVESTISSEMENT ?

    • Dans un monde où l’économie va sortir bouleversée par la crise, les Etats vont être appelés à jouer un rôle plus actif. C’est pourquoi le Président de la République a annoncé la création d’ici la fin de l’année d’un grand fonds stratégique d’investissement national, géré par la Caisse des dépôts et consignations (CDC), qui sera un puissant levier de notre politique industrielle.
    • Ce fonds n’a pas vocation à subventionner les entreprises à fonds perdus mais à stabiliser les entreprises en position de faiblesse qui pourraient être des proies ou qui ont besoin d’appui pour passer un cap difficile et se restructurer. Il s’agit d’investir dans l’avenir et défendre les intérêts stratégiques de la nation.
    • Ce fonds ne creusera pas les déficits, il s’appuiera sur les ressources propres de la CDC, complétées en empruntant sur les marchés. Il contribuera ainsi à faire circuler l’argent et à l’orienter vers le développement industriel plutôt que vers la spéculation purement financière.
    • Nicolas SARKOZY proposera à nos partenaires de l’Union européenne de se doter eux aussi de fonds nationaux pour une meilleure coordination de nos politiques d’investissement.

    C’EST LE RETOUR DE L’ETAT TOUT PUISSANT ?

    • Non. C’est un Etat plus actif dans l’économie, qui assume ses responsabilités, qui entreprend, qui investit et qui protège. C’est un Etat qui a le souci de réguler sans étouffer ni l’initiative privée, ni l’audace, ni le goût du risque.
  • Inauguration de Sivalbp à THONES

    Cette inauguration se distingue par son caractère exceptionnel :

    • site d'une surface de 42 000 m2 (dont 15 000 m2 couverts)
    • investissement total de 22 millions d'euros (actionnaires savoyards)
    • création de 45 emplois

    Celà fait plaisir de voir des dirigeants prendre des risques, investir et créer de l'emploi, malgré une conjoncture difficile.

    Un bel exemple de ce qu'il faut faire pour relancer notre économie.

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  • Visite du Président de la République à ANNECY

    Le Président de la République, en visite ce matin à Annecy-le-Vieux, puis à Argonay lors d'un discours, a mis en avant l’entreprise et l’investissement.

    Après avoir visité la société Mecalac, il a participé en compagnie de Christine Lagarde (ministre de l’Economie), d’Hervé Novelli, de Luc Chatel et d’Eric Besson (secrétaires d’Etat) et en présence de Jean-François Roubaud, Président national de la CGPME, à une table ronde au cours de laquelle les chefs d’entreprises l’ont interpellé sur :

    • Le souhait de la mise en place d’un moratoire de 6 mois en cas de dégradation de la côte Banque de France ou SFAC, d’une entreprise
    • Le respect strict de la mise en place des nouveaux délais de paiement début janvier 2009 (pas de dérogation, notamment dans le secteur automobile)
    • La bienveillance de l’Etat et notamment des organismes sociaux, lors de retards de paiement
    • Le niveau des charges sur le travail
    • La réforme de la taxe professionnelle …

    Puis lors de son allocution à Argonay, Nicolas Sarkozy a annoncé :

    • L’exonération de la taxe professionnelle pour tout investissement réalisé par les entreprises entre aujourd’hui et le premier janvier 2010.
    • La création d’un poste de médiateur du crédit au niveau national (attribué à René Ricol), avec déclinaison par département, qui sera responsable de s’assurer du bon fonctionnement du financement aux entreprises et aux particuliers.
    • La création d’un fonds public d’intervention avant la fin d’année, destiné à intervenir en prenant des participations auprès d’entreprises stratégiques défaillantes.

    Le président de la République s’est exprimé longuement sur le nouveau rôle de l’Europe, sur sa volonté de voir l’Etat miser à fond sur l’investissement (175 milliards sur 3 ans) et sur la nécessaire réforme des différentes couches administratives.

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  • 8ème convention régionale de la CGPME à LYON

    Cette 8ème convention était dédiée aux pays du Maghreb : Maroc, Tunisie et Algérie.

    Les différentes tables rondes et le dialogue avec les consuls et représentants de ces 3 pays, ont permis aux 800 chefs d'entreprises présents de prendre conscience de tout l'intérêt qu'ils avaient à investir ou commercer avec le Maghreb.

    La 9ème convention régionale de la CGPME se déroulera ... en Haute-Savoie.

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  • Inauguration des locaux de Bernardi à PRINGY

    Inauguration des nouveaux locaux de Bernardi, zone du Pré Vaurien, à PRINGY.

    La société était auparavant située à SEYNOD (à 500 mètres de mes anciens locaux).

    Celà illustre bien que de plus en plus d'implantations d'entreprises, sur le bassin annécien, et plus largement en Haute-Savoie, sont liées a la croissance endogène d'entreprises existantes, plutôt qu'à des entreprises venant de l'extérieur du département.

    Il faut donc que les élus mettent tout en oeuvre pour faciliter la croissance de ces PME locales, captives par définition, est garantes des emplois d'aujourd'hui et de demain, face à la crise de confiance actuelle.

    Celà souligne aussi la nécessité d'une politique économique beaucoup plus cohérente, axée sur l'accueil d'entreprises extérieures au département.

    Lors de mon discours, j'ai souligné le parallèle de nos parcours : reprise de nos entreprises respectives en 2000, augmentation des effectifs dans les mêmes proportions, puis changement de locaux en 2006 pour ma société (LTI) et en 2008 pour Bernardi.

    Félicitation à Mr Megdiche et à toute son équipe.

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  • La semaine de l'entreprise à l'IMUS d'ANNECY-LE-VIEUX

    Participation à la conférence inaugurale ce lundi matin, animée par Bernard Accoyer, sur le thème "Comment manager l'Assemblée nationale".

    Apprès avoir expliqué le fonctionnement de nos institutions, Bernard Accoyer s'est attaché a expliquer les réformes qu'il a engagé concernant la gestion des 1500 personnels de l'Assemblée.

    Puis il a expliqué qu'il n'avait pas a manager individuellement les 577 députés, qui par définition, sont libres de leurs choix, et ne se devait d'intervenir qu'en terme de gestion de l'ordre du jour et de l'organisation des débats. Il a souligné, en direction des étudiants amenés à devenir de futurs chefs d'entreprises, toute l'importance de l'action et des décisions prises par les élus sur le monde de l'entreprise.

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  • Déjeuner/débat sur avec Elie Cohen

    Thème de ce déjeuner : Les conséquences du Grenelle de l'Environnement sur les entreprises.

    Débat complètement hors sujet par rapport au thème.

    Après les exposés généraux sur les 5 scénarios possibles et des banalités du genre " on a la technologie/les solutions/ la volonté, il nous faut du temps/des investissements/changer les comportements ", aucune solution concrète.

    Et c'est bien la toute la question sur l'attitude des entreprises, par rapport au Grenelle de l'Environnement :

    • quel coût 
    • quel bénéfice
    • quelles aides
    • pourquoi faire
    • quelle compétitivité
    • quel financement

    Autant de questions sans réponses que je vais poser à Jean-louis Borloo, Ministre de l'Ecologie, lors de notre rendez-vous de jeudi matin.

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  • Amicale parlementaire des PME à PARIS

    Première réunion de l'amicale parlementaire des PME, que je préside, à la Maison de la Chimie.

    100 députés et sénateurs présents autour du Président National de la CGPME, Jean-François ROUBAUD.

    Thème de l'amicale,  le commerce de proximité :

    • Comment dynamiser le commerce de proximité ?
    • Le commerce de proximité et la grande distribution 
    • Ouverture le dimanche

    Réunion suivie par une visite de l'Hôtel de Lassay.

    Téléchargez les propositions de la CGPME :

    AP sur commerce de proximité 21 03 2008.pdf

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  • Réunion de travail à l'Elysée

    Réunion de travail sur le projet de Loi de Modernisation de l'Economie (LME) autour de Claude Guéan, Secrétaire Général de l'Elysée.
    Ce projet de loi vise à libérer notre économie.
    Les questions abordées :
    • un ou plusieurs textes
    • inclure ou pas les mesures fiscales
    • loi spécifique aux entreprises ou plus large
    Cette loi comprendrai 4 chapitres.
    Le chapitre 2 plus spécifique aux entreprises traitera :
    • les délais de paiement
    • les PME et les marchés publics
    • le statut de l'entrepreneur individuel
    • les baux commerciaux
    • la simplification du droit des sociétés
    • le financement des entreprises
    • la tranmission des entreprises
    • le développement à l'export
    • donner une seconde chance aux entrepreneurs
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  • Réunion au WTC à GENEVE

    Rencontre avec Philippe DOUBRE, Président du WTC de GENEVE (World Trade Center).

    Débat sur l'implantation d'un WTC, destiné aux PME savoyardes exportatrices, sur l'agglomération d'ANNECY.

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  • La dépénalisation du droit des affaires

    La commission présidée par Jean-Pierre Coulon vient de rendre son rapport sur la dépénalisation du droit des affaires

    Il propose une remise en ordre du système de sanctions en droits des affaires, en prenant en compte les sanctions pénales, mais aussi les sanctions civiles et administratives. Au fil des textes, le système de sanctions en droit des affaires était devenu un véritable maquis, et un chef d'entreperise risquait parois plusieurs sanctions pour un même fait. Cette remise en cohérence était devenue une nécessité, tant l'insécurité juridique est dommageable pour les chefs d'entreprise. 

    Ce rapport offre aussi une intéressante reflxion sur la nature du droit pénal, qui doit protéger les valeurs supérieures de la société, et ne doit surtout pas être un instrument utilisé par les parties dans un conflit privé. Trop souvent, le droit pénal est utilisé comme un moyen de pression dans une négociation, ou comme un moyen d'attaquer une réputation et de nuire ainsi à un concurrent. Le droit pénal est ainsi remis à sa juste place, dans une bonne articulation avec les sanctions civiles et adminsitratives. 

    Ce rapport analyse de manière limpide chaque infraction pénale et propose une solution concrète. Même les solutions qui ont été écartées sont quand même évoquées, avec les raisons qui ont conduit à ne pas les retenir. Ce rapport est un modèle que devraient suivre toutes les commissions !