Le Monde du 11 février 2009
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LES CHIFFRES :
L’ESSENTIEL :
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A-T-IL ENTENDU L’INQUIETUDE DES FRANÇAIS ?
QUELLES SONT LES PISTES POUR DE NOUVELLES MESURES SOCIALES ?
ET POURQUOI PAS AUGMENTER LE SMIC OU BAISSER LA TVA ?
FAUT-IL FAIRE PLUS POUR NOS ENTREPRISES ET POUR L’EMPLOI ?
QUELLES CONTREPARTIES AU SOUTIEN DE L’ETAT ?
LE PLAN DE RELANCE VA-T-IL CREUSER LES DEFICITS ?
COMMENT TIRER LES LECONS DE CETTE CRISE ?
LES CHIFFRES :
L’ESSENTIEL :
POURQUOI CETTE GREVE ?
LE GOUVERNEMENT EST-IL SOURD A L’INQUIETUDE SOCIALE ?
SELON LES SONDAGES, CETTE GREVE EST SOUTENUE PAR LES FRANÇAIS ?
LE POUVOIR D’ACHAT EST UNE DES INQUIETUDES PRINCIPALES, QU’A FAIT LE GOUVERNEMENT ?
ET POUR L’EMPLOI ?
NE FAUT-IL PAS REGLEMENTER LA FINANCE INTERNATIONALE ET MIEUX REPARTIR LES BENEFICES ?
LE SERVICE MINIMUM EST-IL APPLIQUE ?
Nouvelle journée d'information auprès des ministres.
Aujourd'hui, remise du dossier de candidature complet + magazine Eco & Vous spécial JO 2018 à :
Le lobbying continue pour la candidature d'Annecy/Haute-Savoie.
Aujourd'hui, remise du dossier de candidature complet + magazine Eco & Vous spécial JO 2018 à :
Temps hivernal et ... neige sur Paris ce matin.
Un spectacle suffisamment rare pour être souligné. On se croirait en Haute-Savoie.
Poursuite du lobbying national pour la candidature d'Annecy/Haute-Savoie aux JO d'hiver de 2018.
Aujourd'hui, j'ai rencontré et remis un dossier complet à Patrick Devedjian, Ministre en charge de la mise en oeuvre du plan de relance, et à Patrick Ollier, Président de la Commission des Affaires Economiques de l'Assemblée nationale.
4500 cartes de voeux, aux couleurs d'Annecy/Haute-Savoie 2018, sont parties en direction des principaux décideurs nationaux.
Ce débat a été l'occasion d'évoquer différents sujets, dont la réforme audiovisuelle (taxe sur la publicité), en cours d'examen à l'Assemblée.
Bertrand Méheut a réaffirmé que son groupe était peu touché par le sujet, contrairement à TF1 et M6, puisque sur 4 milliards de CA, seuls 150 millions viennent de la publicité. Les ressources de CANAL+ viennent essentiellement des abonnements.
En ce qui concerne la 2ème coupure publicitaire, qui sera également éxaminée dans ce projet de loi, il s'agit pour Bertrand Méheut de répondre à une directive européenne non appliquée à ce jour.
La fusion TPS/CANAL Satellite est maintenant achevée, ce qui a nécessité de réorienter la parabole de 1,3 milions d'abonnés de TPS (opération étalée sur un an).
Tout le discours de Bertrand Méheut a été axé une nouvelle fois sur la problématique des opérateurs télécoms, dont France Télécom. Il souhaite au plus vite une séparation fonctionnelle des activités de France Télécom, entre les activités de services et les infrastructures, car il y a pour lui un vrai problème de distorsion de concurrence : dans tous les cas France Télécom gagne.
Entre autre, France Télécom, grâce à sa puissance fiancière 10 fois supérieure à CANAL+, achète des contenus qu'il propose " à bas coûts" à ses adhérents, ce qui lui permet de vendre ses offres triple play, chose que ne peuvent faire ni TF1, ni M6, ni CANAL+, ...
Cette question est récurrente et sera abordée lors de l'examen de prochains textes de lois.
Bertrand Méheut a également évoqué le développement de son groupe à l'étranger, avec notamment la présence de plus de 1,3 millions d'abonnés sur le marché polonais, puis a fait un rapide tour sur les acteurs de la TNT et les chaînes d'infos en continu que sont iTélé, BFM et LCI.
Toutes ces chaînes d'infos en continu, dont le budget moyen est de 35 millions d'euros, sont actuellement déficitaires (pertes de plus de 10 millions chacunes). Pendant ce temps, France 24 dispose d'un budget confortable de 80 millions d'euros ... pour quel résultat ?
Dans le cadre du Congrès des maires, Denis Bouchet et Vincent Roland, co-présidents de Savoie Mont Blanc Tourisme, ont reçus les maires et présidents de communautés de communes de Savoie et Haute-Savoie dans les nouveaux locaux parisiens de la structure.
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Les années se suivent et se ressemblent pour le salon MIDEST : après une grève des transports qui avait perturbé le salon l’an passé, une nouvelle grève des transports est annoncée pour cette année, du 4 au 8 novembre …
Les sous-traitants sont au bord de la crise de nerfs, mais ils se soignent ! Grève ou pas, 1 900 exposants se donnent rendez-vous du 4 au 8 novembre à Paris-Villepinte, au premier salon international de la sous-traitance industrielle.
Cet événement, 38ème du nom, reste à la mesure du poids de l'activité en France : 75 milliards d'euros de facturations, 850 000 emplois et près de 40 000 entreprises.
Le Midest a d'ailleurs repris des couleurs depuis trois ans. Le nombre d'exposants et de visiteurs s'est stabilisé et la dernière édition (celle de 2007) fut particulièrement dynamique, malgré les grèves.
Dans un contexte économique morose, il faudra donc braver les grèves pour découvrir les 1 100 sous-traitants français les plus en forme. Très attendue également, la seconde édition des Trophées de l'excellence. Elle mettra en compétition une vingtaine d'entreprises innovantes.
Je serai présent mercredi soir à partir de 18 heures sur le stand "Haute-Savoie sous-traitance".
Intervention en direct sur le plateau de La Chaine Parlementaire (LCP) de 21 heures à 22 heures, dans le cadre de l'émission "Ca vous regarde" (rediffusion mercredi à 0 heure 30).
Sujet du débat de ce soir :
Nicolas Sarkozy a présenté, ce mardi, le "Plan Emploi" du Gouvernement, à l’occasion de son déplacement à Rethel, dans les Ardennes, consacré à la «mobilisation pour l’emploi».
Sous la conduite d'Arnaud Ardoin, nos invités ont débattu de l’efficacité des solutions proposées.
Hier midi, de retour à pied d'un déjeûner ayant pour thème "Des règles applicables à l'audiovisuel au cadre de la convergence : adaptation ou reconstruction" auquel je partcipais dans le cadre de prise d'informations en vue du projet de loi Internet et Création, j'ai découvert une superbe exposition aéronautique sur les Champs Elysées.
Cette exposition est en place depuis le 4 octobre (jusqu'au 9 octobre), elle se situe à 200 mètres de l'Assemblée nationale et je ne m'étais rendu compte de rien ... Il est vrai que depuis lundi, tous les députés ont le nez dans le guidon, entre le RSA, le Grenelle de l'environnement et la crise financière.
Passionné d'aéronautique, c'est une belle initiative qui met en avant tout notre savoir faire civil et militaire. A ne pas manquer.
Plus d'infos sur :
Fin de l'examen du projet de loi à 2 H du matin ce mercredi.
Cette soirée a donné lieu à de nombreux échanges sur le bouclier fiscal et notamment sur le fait de soumettre ou pas les contribuables qui en bénéficient à la taxe complémentaire de 1,1%.
J'ai été ensible au fait que le plafonnement des niches fiscales est un moyen, sans toucher au bouclier fiscal, de faire payer tout le monde et notamment les plus aisés.
Mais RSA ou pas, il était de toute façon prévu de plafonner les niches fiscales, c'est donc un faux argument.
Le bouclier fiscal touche 13000 contribuables. Certes, certains ne roulent pas sur l'or, contrairement à ce que l'on peut croire, mais il me semble que dans le cadre d'un prélèvement qui se veut exceptionnel, tout le monde doit participer, et pas uniquement les classes moyennes.
J'ai donc voté à main levée pour l'amendement n°1 de l'article 2 de mon collègue Garrigue (qui a été rejeté) et pour les amendements 442 à 464 présentés par le député Sirugue et ses collègues du SRC (qui ont été rejeté).
Les amendements 442 à 464 ont donné lieu à un scrutin public lors duquel j'ai été le seul député UMP à voter pour .... et pourtant beaucoup de députés UMP pensaient comme moi, mais quand il faut voter ...
J'ai maintenu mon amendement 149 sur l'article 2, visant à limiter la durée de ce prélèvement exceptionnel à 3 ans (qui a été rejeté). Le gouvernement a argué qu'il était satisfait par un autre amendement qui stipule qu'un éventuel réexamen du financement, sans aucun engagement, sera fait chaque année ... ce qui n'est pas du tout la même chose (on a vu ce que la CSG, qui devait être temporaire, est devenue).
Voir l'amendement n°149 :
Mon intervention sur l'amendement n°149 :
Poursuite de l'examen du projet de loi sur le RSA, ce lundi après-midi et en séance de nuit.
Nous avons entamé l'examen de l'article 2 qui concerne le financement du RSA, principal point de discorde entre la majorité et l'opposition.
Plus de 10 orateurs se sont exprimés pour faire part de leur point de vue, sur l'intégration ou pas de la taxe complémentaire de 1,1% sur les revenus financiers des contribuables qui bénéficient du bouclier fiscal, et sur le plafonnement des niches fiscales prévu dans le cadre de la loi de Finances.
Celà a donné lieu à des échanges particulièrement vifs entre les présidents de groupe de l'UMP (Copé) et du SRC (Ayrault).
Martin Hirsch, Haut commisaire aux solidarités actives et Eric Woerth, ministre du Budget, ont rappelé la position du gouvernement :
Martin Hirsch a rappelé quelques chiffres :
Les débats ont été à nouveau interrompu en séance de nuit, à 23 H 30, par le président du groupe SRC, qui a demandé au président de séance de vérifier le quorum. Le quorum n'étant pas atteint, la séance a été levée et reportée à cet après-midi. Quelle perte de temps, alors que nous aurions pû siéger et avancer jusqu'à 2 H du matin.
Encore une fois, il est plus que temps, comme celà a été souligné lors de nos journées parlementaires, de réformer le règlement de l'Assemblée nationale, afin de mettre fin à ces pratiques systématiques d'obstructions inutiles.
Ma position sur le RSA :
L'examen des amendements sur l'article 2 débute cet après-midi.
En l'état actuel, je vais soutenir les amendements qui s'opposent au mode de financement envisagé par le gouvernement et si je n'obtiens pas gain de cause (avec certains de mes collègues), je vais défendre des amendements visant à mettre en place un seuil de revenu minimum à partir duquel s'appliquerai le prélèvement, et à limiter dans le temps (1 à 3 ans maxi) la durée de ce prélèvement exceptionnel.
la solution du plafonnement des niches fiscales, qui ne faisait pas parti du texte initial, est un bonne idée, sous réserve de l'examen de ses modalités d'application lors du projet de loi de Finances.