Dans un an ... élection des députés haut-savoyards
Dauphiné Libéré du 17 juin
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Dauphiné Libéré du 17 juin
Le jeudi 16 et le vendredi 17 juin, je suis en déplacement au Danemark pour une mission d'étude sur les réseaux électriques et les énergies renouvelables.
Au programme de ce séjour :
Nous échangeront avec les autorités sur la politique danoise en matière énergétique :
C'est pour moi l'occasion de marier deux sujets qui m'intéressent, à savoir la production et le transport d'énergies renouvelables, et la "politique générale" des pays scandinaves (je suis membre de tous les groupes d'amitié avec la Scandinavie et vice-président de France-Finlande et France-Suède).
Le site de Horns Rev, au programme de la visite
Dauphiné Libéré du 16 juin
Je participerai en direct ce matin, de 11 heures 40 à 12 heures, à l'émission ARRET SUR INFO sur I<TELE.
Cette émission, présentée par Audrey Pulvar, appronfondit chaque jour avec des experts et des témoins (le témoin c'est moi !) un thème précis de l'actualité pour mieux comprendre les sujets qui font débat.
Ce matin, l'émission parlera de la problématique des "détachements" dans l'éducation, suite à l'affaire Luc Ferry.
Je serai entouré sur le plateau par :
L'émission sera rediffusée à 16 h 10 et sera en ligne sur internet pendant 1 semaine.
Ce projet de loi a été examiné en commission ce matin.
Il sera examiné dans l’hémicycle la semaine prochaine.
Un certain nombre de constats incite aujourd'hui à une réforme de la santé au travail :
Les conséquences des troubles musculo-squelettiques (TMS), qui représentent 80% des maladies professionnelles sont à cet égard révélatrices.
Il est donc indispensable de fournir une réponse à la pénibilité afin de réduire le risque de maladies professionnelles, notamment en améliorant les dispositifs de santé au travail.
De plus, dans le cadre de la réforme des retraites qui allonge la durée d’activité de deux années, le maintien dans l'emploi, et notamment celui des seniors, est un objectif majeur. La question de la pénibilité et celle des services de santé au travail sont indissociables.
Cette réforme qui est issue du rapport Dellacherie, voté à la quasi-unanimité par le Conseil économique et social en 2008, a fait l’objet de vingt-cinq réunions de concertation avec l’ensemble des partenaires sociaux et les médecins du travail entre 2008 et septembre 2009, date à laquelle un protocole d'accord a été établi, mais n'a pu obtenir l'approbation des organisations syndicales.
Cette réforme vise à remettre la médecine du travail au cœur des préoccupations de l’entreprise à travers les orientations suivantes :
La réforme des services de santé au travail avait été intégrée dans la loi portant réforme des retraites définitivement adopté le 27 octobre par le Parlement.
Cependant, ces dispositions ont été invalidées par le Conseil constitutionnel par décision du mardi 9 novembre 2010 au motif qu’elles constituaient un "cavalier législatif". Par conséquent elles ont été retirées de la réforme des retraites pour faire l’objet d’un texte spécifique.
La proposition de loi reprend le contenu des articles annulés par le Conseil constitutionnel.
Examen ce matin, en application de l'article 88, des amendements à la proposition de loi pour le développement de l'alternance : le texte sera examiné à partir de ce soir et jusqu'à vendredi dans l'hémicycle (je serai malheureusement à l'étranger).
Cette proposition de loi déposée par les députés Gérard CHERPION, Bernard PERRUT et Jean-Charles TAUGOURDEAU s’appuie sur trois axes:
Elle est issue du groupe de travail UMP sur l’emploi des jeunes et des seniors.
La crise de 2008-2009 a confirmé la sensibilité particulière de l'emploi des jeunes aux retournements de conjoncture : leur taux de chômage dans l’ensemble des pays de l’OCDE a augmenté de façon plus importante par rapport à l'ensemble des actifs, à l’exception de l’Allemagne qui a le taux de chômage des jeunes le plus faible du fait de l’usage très répandu des formations en alternance.
Si le nombre de jeunes actifs (15-29 ans) s'est réduit en France de 2,1 millions en trente ans, la démographie n'y a contribué que pour moitié (- 1,2 million). La différence s'explique par un puissant mouvement de poursuite d'études qui s'est opéré jusqu'au milieu des années 1990. Pourtant, l'élévation rapide du niveau de diplôme n'a guère relâché les tensions à l'entrée dans la vie active des jeunes dont les difficultés demeurent (chômage, statut d'emploi, salaire).
Peu développées en France - contrairement à l'Allemagne qui emploie trois fois plus de jeunes en apprentissage – l'alternance est le terme générique recouvrant toutes les formations dont le temps est partagé entre un enseignement théorique en centre de formation et une formation pratique proposée en entreprise.
Compte tenu de ces résultats en matière d’insertion professionnelle à court terme - en 2008, sept mois après leur sortie du système éducatif, près des deux tiers des jeunes issus de formation professionnelle initiale étaient en emploi mais l’insertion des apprentis était nettement meilleure (71 %) que celle des lycéens (51 %) – la proposition de loi vise à développer l’alternance, avec l’objectif de 800 000 jeunes en alternance en 2015, dont 600 000 apprentis.
Le second objectif est de mieux sécuriser les parcours professionnel tout au long de la vie en fusionnant les deux dispositifs actuels que sont la convention de reclassement personnalisée (CRP) et le contrat de transition professionnelle (CTP). L’instauration d’un dispositif unique d’accompagnement des salariés licenciés pour motif économique devra être négociée avec les partenaires sociaux.
Le troisième objectif est de favoriser le développement des groupements d’employeurs qui permettent d’offrir des emplois à durée indéterminée et à temps plein.
Par ailleurs cette proposition de loi ouvre le débat du partage de la valeur ajoutée dans les entreprises à l’aune du rapport de Jean-Philippe COTIS.
Cette proposition de loi est composée de 14 articles.
Luc Ferry vient d'être pris la main dans le pot de confiture.
Jusqu'en septembre 2010, Luc Ferry était "mis en disposition" par l'université Paris VII.
Il bénéficiat d'une décharge de service et n'avait donc pas de cours a dispenser. Cette décharge est possible suite a une demande de l'intéressé, transférée au président de l'université et acceptée à l'époque par le ministère de l'Enseignement supérieur, pour une durée de 3 ans.
Alors qu'il n'enseigne plus (et pourtant, 4 heures de cours par semaine, ce n'est pas le bout du monde) Luc Ferry continue à toucher, depuis septembre 2010, son salaire de professeur d'université : 4500 euros par mois.
Hors depuis la mise en application de la loi réformant l'autonomie des universités, les règles on changé : chaque établissement gère désormais sa propre masse salariale et les décisions sont prises par les présidents d'universités ... une excellente réforme !
Le président de l'université Paris-Diderot, lui a donc demandé de régulariser sa situation et donc d'exercer les cours pour lesquels il est rémunéré !
Réponse : on nous dit que Luc Ferry est en fait occupé par d'autres activités, ce qui justifie que le budget du Premier Ministre prenne en charge le remboursement de ses salaires induement versés.
Du statut de "mis en disposition", Luc Ferry est ainsi passé au statut de "détaché".
Ses activités, ce serait principalement la présidence du Conseil d'Analyse de la Société, un comité théodule à l'activité assez peu remarquée, qui publie ses travaux chez un éditeur (il faut donc que le citoyen paie pour accéder aux rapports écrits par un comité qui fonctionne sur fonds publics ...) et qui ne parait pas avoir une influence déterminante sur le cours des affaires de l'Etat ... et dont les coûts de fonctionnement laissent perplexe (voir tableau joint).
Et surtout, Luc Ferry est déjà payé pour cette présidence de comité théodule, à un niveau bien suffisant vu la charge de travail.
Ce que je constate, c'est que Monsieur Luc Ferry passe beaucoup de temps dans les médias, dans des émissions où il n'est pas question du Conseil d'Analyse de la Société. Il est même quasiment un invité permanent pour talk-show, où il lui arrive de déraper.
Il écrit également beaucoup de livres de philosophie, qui eux n'ont plus, n'ont pas grand chose à voir avec les services du Premier Ministre... et se fait rémunérer pour ses interventions lors de réunions privées.
J'ai donc beaucoup de mal à comprendre pourquoi l'université Paris VII sera remboursée sur fonds publics et pas sur les deniers personnels de Luc Ferry.
Les explications fournies jusqu'ici ne m'ont absolument pas convaincu !
Tout cela est particulièrement choquant.
J'interviendrai sur le sujet des détachements, demain de 11 heures 40 à 12 heures, sur iTélé (interviewé par Audrey Pulvar) : rediffusion à 16 heures 10.
Page 7 du jaune budgétaire 2011 (comités Théodule) relatant l'activité du Conseil d'analyse de la société
Cet après midi, l'Assemblée nationale votait sur plusieurs textes.
Deux d'entre eux me posent problème, la réforme de l'ISF et le mariage pour les personnes du même sexe.
Sur la réforme de l'ISF, mon agacement est double. Les conditions d'examen de ce texte ont été plus que déplorables. A cause de l'obstruction de l'opposition, les débats ont duré et l'essentiel du texte, en dehors de l'ISF, a été examiné dans la nuit de vendredi à samedi, avec une fin de séance à 6 heures 40 ...
Malgré toute ma bonne volonté, il m'était impossible d'être présent dans l'hémicycle, car je recevais un ministre dans ma circonscription vendredi après-midi.
Sur le fond, cette réforme me déçoit profondément. Nous avons supprimé le bouclier fiscal, ce qui n'est pas une mauvaise chose, tant ce mécanisme, compliqué, ne produisait pas les effets attendus.
Par contre, nous n'avons mené qu'une réformette sur l'ISF, avec comme seule mesure significative le relèvement du seuil d'entrée de 800 000 à 1,3 million d'euros. Ce n'est, pour moi, qu'un simple rattrapage pour tenir compte de l'absence de relèvement de ce seuil pendant de longues années et pour tenir compte de la hausse de l'immobilier.
Rien sur la question de la résidence principale : j'aurais préféré que le seuil reste identique, mais que l'on sorte la résidence principale de l'assiette de l'ISF.
Je suis également déçu que l'on ait décidé de compenser la perte de recettes par une hausse des droits de successions (impôt sur le capital) alors qu'un amendement, que j'avais cosigné, proposait de créer une tranche supplementaire d'impôt sur le revenu.
Bref, nous avons bâclé (une fois de trop pour moi) l'examen de ce texte, sans régler le moins du monde le problème de l'ISF !
Sur la question du mariage entre personne du même sexe ... je suis très ennuyé de l'absence complète de débat.
Ce n'est pas avec une heure et demie de discussion générale, où les orateurs se succèdent à la tribune pour donner leur point de vue, qui l'on peut parler de débat de fond.
Sur un sujet aussi complexe, sensible et il faut le dire passionnel, un véritable travail de fond est nécessaire.
Voilà une question où, en tant que législateur, je me doit de voter, pas seulement en fonction de ce que je pense, mais aussi en fonction de ce que pensent mes électeurs. Nous sommes sur des questions de société et la société doit être davantage impliquée dans ce type de débat, comme nous le faisons actuellement pour le débat sur la dépendance !
Sur ces deux textes, j'ai donc décidé de m'abstenir, en ne prenant pas part au vote.
C'est une manière de dire que le débat ne s'est pas déroulé comme il le faudrait et que la solution qui se dégage ne peut pas être satisfaisante.
... et en plus, je m'étais engagé à participer de 16 heures à 18 heures (au moment des votes) a un débat avec Jean Peyrelevade et Jean Arthuis, débat programmé de longue date, dont le compte-rendu sera publié dans l'hebdomadaire Valeurs Actuelles de la semaine prochaine.
Le 17ème Parlement des enfants s'est tenu à Paris le samedi 28 mai : ma place était occupée par Juliette, députée junior de ma circonscription et élève du CM2 de Doussard.
La classe de CM2 de Doussard étant cette année la classe sélectionnée sur ma circonscription pour participer au Parlement des enfants, c'est avec joie que je les ai reçu ce matin à l'Assemblée nationale.
20 émetteurs analogiques de la région vont basculer vers la TNT cette nuit.
Tous les foyers ne seront pas concernés en Pays de Savoie.
Il ne s'agit que de la zone Rhône : celà représente tout de même plus de 400 000 foyers dans les deux Savoie.
La zone Alpes basculera vers le tout numérique le 20 septembre.
Les émetteurs vont donc être temporairement arrêtés cette nuit et seront rallumés progressivement dans la journée de mercredi.
Passage à la TNT en Haute-Savoie ... Proxima Mobile à votre secours (2 juin 2011)
Audition à l'Assemblée nationale sur le passage à la TNT (15 mars 2011)
Communication du CSA sur le passage à la TNT en Haute-Savoie (22 février 2011)
Réunion de la commission de transition vers la TNT en Préfecture (27 janvier 2011)
Compte-rendu de ma réunion publique internet et TNT (14 décembre 2010)
Retrouvez toute l'actualité d'Annabel André-Laurent sur :
Dauphiné Libéré du 13 juin
Hebdo des savoie du 16 juin
Ce tournoi, organisé par Annecy Volley-ball, se tient les 12 et 13 juin sur l’esplanade du Paquier à Annecy.
Ce tournoi 3*3 sur herbe est ouvert à tous et toutes (un tournoi hommes, un tournoi femmes) sans limitation du nombre d'équipes.
Plus de 1200 compétiteurs (405 équipes pour 2047 matchs disputés en 2010) s’affrontent durant ces 2 jours.
Comme chaque année, une soirée tartiflette se tiendra dimanche soir dans les jardins de l'Impérial, sous un chapiteau de 600m².
Une petite nouveauté, puisque www.widiwici.com propose tout au long du week-end une animation défis décalés en volley ! Prévoyez accessoires et déguisements (gants de boxe, tongues, chaussures de ski, masques et tubas, etc...)
Le tout sera filmé … rendze-vous sur le Paquier !
Dauphiné Libéré du 12 juin
Pour une fois que j'ai un après-midi devant moi, j'en ai profité pour aller visiter en famille les Grandes Médiévales d'Andilly ... et je n'ai pas été déçu.
Malgré diverses invitations, mon emploi du temps ne m'avait jamais permis d'assister a cette manifestation qui se tient cette année les 4/5 et 11/12 et 13 juin ... ça vaut vraiment le coup !
Bravo à Vincent Humbert et toute son équipe !
Au programme des 4 heures de visite :
... et l'esplanade des Joutes
Le site des Grandes Médiévales d'Andilly
A peine arrivé de Paris, direction la salle Eugène Verdun, puis le Paquier, pour encourager les 1000 JSP venant de 12 départements de Rhône-Alpes.
30 équipes de 10 JSP se sont affrontées lors du concours de manoeuvre d'incendie et de secourisme, puis d'un challenge surprise.
Les élus ont également pû se tester sur des épreuves "olympiques" comme le tir au biathlon ou le curling ...
Beaucoup de pluie jusqu'à 15 heures ... puis grand beau temps !
Essor Savoyard du 16 juin
Dauphiné Libéré du 14 juin
Essor du 16 juin
Beaucoup de personnalités pour cette cérémonie de pose de la première pierre.
C'est en 1991 que le projet a été initié par la commune de Faverges, avant de devenir en 2001 un projet intercommunal.
Un délai dû a des problèmes de foncier, de DUP, de coût des terrains et de contraintes techniques ...
Les nouveaux bâtiments, qui seront livrés fin 2012, seront classés Très Haute Performance Energétique et ce malgré un budget serré.
Ils seront constitués de 3 bâtimenst : 2 bâtiments de vie et 1 bâtiment technique.
Dauphiné Libéré du 15 juin
Essor du 16 juin
Bande annonce partenaires du 35ème MIFA
(Marché International du Film d'animation d'Annecy)
Dauphiné Libéré du 11 juin
J'ai accueilli en début d'après-midi une délégation du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre et Apparentés) de la région Rhône-Alpes.
Ce déplacement, dont le thème était l'agriculture et la montagne, a conduit les conseillers régionaux à Manigod, ou ils ont visité les établissemnts Joseph Paccard, spécialisé dans l'affinage de fromages.
J'ai dû malheureusement m'éclipser avant l'arrivée de toute la délégation, conduite par Françoise Grossetête, députée européen, pour me rendre a Annecy afin d'acceuillir le ministre de la Culture.
La visite s'est poursuivie sur le plateau des Glières, par la découverte de l'exploitation de Michel Bastard-Rosset, et par une conférence de presse au restaurant "chez Constance".