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Activité Assemblée - Page 8

  • Question au gouvernement sur la création d'un fichier géant concernant 60 millions de Français

    J'ai posé une Question au gouvernement mercredi sur la création du fichier des titres électroniques sécurisés (TES).

    Ce fichier va regrouper les données personnelles de 60 millions de Français dans une même base... ce qui n'est pas sans poser de problème de sécurité (risques de piratage et de détournement).

    Par ailleurs, le gouvernement a choisi un décret paru en catimini, plutôt qu'un débat au Parlement.

    La CNIL a bien validé les finalités de ce fichier... mais a émis de sérieuses réserves, ce que ne dit pas le Ministre de l'Intérieur.

    Ma question :


    La réponse de Bernard Cazeneuve :

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    Mon communiqué de presse du 8 novembre :

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    Dauphiné Libéré du 9 novembre :

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  • Proposition de résolution européenne sur la filière laitière

    Examen, en commission des Affaires économiques, de la proposition de résolution européenne sur les conséquences de la fin des quotas sur la filière laitière française et européenne.

    Je suis intervenu au nom du groupe Les Républicains pour rappeler qu'il fallait des mesures européennes... mais également des mesures nationales, notamment pour l'agriculture en montagne.

    Mon intervention :



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  • LONDRES : Visite des entreprises françaises de la French Tech

    Lancée officiellement par Emmanuel Macron, ministre de l'Economie et Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat au numérique le 14 avril, le French Tech Hub de Londres a pour but de fédérer et de coordonner l’écosystème numérique français.

    La French Tech de Londres est constituée d’une trentaine d'ambassadeurs qui ont monté leur start-up à Londres ou y travaillent chez des géants du numérique, et d'une dizaine d'investisseurs et VC.

    Premier objectif : cartographier la présence française à Londres pour mieux fédérer les (nombreuses) initiatives existantes.

    L'écosystème français à Londres est déjà très puissant, avec de nombreux clubs et réseaux d'expatriés, comme Frog Valley, French Digital et French Connect.

    Pour cimenter la communauté, un site internet des outils de communication en ligne sont mis en place, et des actions de networking et de mentoring seront proposées.

    Objectif : permettre aux Anglais de mieux identifier la French Tech, donner des outils aux start-up françaises installées à Londres pour accélérer et accompagner les porteurs de projets tricolores qui voudraient s'installer dans la capitale anglaise.

    109 start-up françaises ont déjà été identifiées, mais on estime qu'il en existe plus de 450, à des stades différents de maturité.

    Avec des pépites comme Made.com, vendeur de meubles en ligne ou Vestiaire Collective, marketplace de vêtements de luxe d'occasion, mais aussi dans la fintech, la spécialité londonienne.

    La ville de Londres compte environ 5 000 français dans la communauté tech, prêts pour certains à mettre leur enthousiasme et leur créativité au service de leurs compatriotes. L'engagement des entrepreneurs dans la dynamique French Tech est bénévole.

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  • LONDRES : Visite de start-ups françaises

    Attractivité des investissements start-up : les Anglais donnent une leçon à la France.

    Pour un paysage de l’entrepreneuriat en bonne santé, il faut une législation qui soit favorable aux investissements. Si la France n’est pas le pire pays où lever des fonds pour sa start-up, elle n’est clairement pas la destination rêvée non plus.

    Et alors que nos Mark Zuckerberg en herbe s’imaginent déjà partir pour la Silicon Valley, le Royaume-Uni espère s’installer durablement comme une terre d’attractivité pour les projets innovants de l’ensemble de l’Europe.

    Et pour cause, des 4 milliards de livres investis par les business angels européens, 1 milliard provient du Royaume-Uni. Mieux encore, 83% de ce milliard va directement aux investissements dits de « seed » (capital amorçage) ou de early stage. Précisément le type d’investissement qui est encore trop faible dans notre hexagone.

    Il faut dire que les investisseurs britanniques peuvent déduire de leurs impôts jusqu’à 50% de leurs investissements vers le seed, une nouvelle mesure qui aurait motivé plus de 58% des business angels à investir davantage dans ce secteur.

    ET dans le cas où la société rencontrerait l’échec durant ses débuts, l’investisseur pourra récupérer jusqu’à 40% de son investissement grâce à une autre mesure destinée à favoriser la prise de risque.

    Entre Paris et Londres, le combat est déséquilibré.

    La plupart des dirigeants start-ups françaises ont pris la décision de lancer leur business depuis Londres pour 3 raisons essentielles.

    • La simplicité de l’administratif : Une heure de temps, c’est ce qu’il a fallu à l’équipe de SunEos pour créer la société.
    • La disponibilité des capitaux : les différentes lois en vigueur rendent l’investissement beaucoup moins risqué pour le Business Angels.
    • Un pied à l’international : si de nombreuses start-ups souhaitent se lancer depuis la Silicon Valley, il sera plus simple et tout aussi efficace de commencer son internationalisation depuis l’Angleterre.

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  • Ma Question écrite de la semaine

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    Question à Monsieur le Ministre de l'Intérieur
    Thème : blocage, IP, enregistrement 
    Date de publication au Journal Officiel : 01/11/2016

     

    M. LIONEL TARDY interroge Monsieur le ministre de l’intérieur sur le périmètre des obligations pesant sur les exploitants de sites et services Internet au titre de la conservation des données de connexion. 

    A la suite d’une erreur humaine ayant eu lieu le 17 octobre 2016, des clients de l’opérateur Orange souhaitant accéder aux services de Google, Wikipedia ou hébergés par la société OVH se sont vus redirigés vers le dispositif de blocage mise en place au titre du décret n° 2015-125 du 5 février 2015.

    Leurs adresses IP ont ainsi été enregistrées, conformément à la réponse formulée par Monsieur le ministre à la question écrite n°74166, qui pour autant n’a pas totalement levé toutes les incertitudes sur le périmètre des données traitées (c’est ainsi que le ministre n’a pas répondu sur la conservation ou non de l’URL complète émise par le navigateur de l’Internaute et qui figure dans la requête HTTP traitée par le serveur de renvoi).

    Dans un communiqué en date du 18 octobre 2016, le Ministère a indiqué avoir demandé à son prestataire technique opérant le serveur d’information vers lequel sont renvoyés les Internautes souhaitant accéder à des contenus faisant l’objet de mesures de blocage, de procéder à l’effacement des adresses IP ainsi collectées.

    A cet égard, dans son avis (délibération n° 2015-001 du 15 janvier 2015) relatif au décret précité, la CNIL relevait que le cadre juridique actuel ne permet ni la collecte ni l'exploitation, par l'OCLCTIC, des données de connexion des internautes qui seraient redirigés vers la page d'information du ministère de l'intérieur.

    Si dans un arrêt en date du 19 octobre 2016 la Cour de Justice de l’Union Européenne a reconnu la légitimité pour un exploitant d’un site Internet de conserver les adresses IP de ses visiteurs à des fins de lutte contre les cyberattaques, elle n’en a pas moins rappelé qu’une telle possibilité doit être explicitement prévue par le droit positif national.

    Or s’il existe bien une obligation de conservation des données d’identification relatives aux opérations de création et de modification des contenus sur Internet (décret n° 2011-219 du 25 février 2011), il n’existe à ce jour aucune obligation spécifique de conservation à la charge d’un exploitant de service Internet de l’adresse IP de ses visiteurs ou utilisateurs.

    Dès lors, et compte tenu de la divergence d’interprétation entre les juridictions de l’ordre administratif et celles de l’ordre judiciaire, et des récentes divergences au sein de ce même ordre judiciaire, il souhaite obtenir une clarification quant à la portée des obligations de conservation des données de connexion pour les exploitants de sites Internet, et savoir si l’adresse IP des visiteurs fait-elle partie des données devant être conservées.

    En outre, il souhaite savoir si le traitement opéré au titre de l’exploitation du serveur d’information vers lequel sont redirigés les contenus faisant l’objet d’une mesure de blocage administratif a bien fait l’objet d’un examen préalable par la CNIL, et dans l’affirmative quelles sont les raisons qui motivent l’absence de publication de l’avis.

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  • PARIS GAMES WEEK du 27 au 31 octobre

    Soirée d'ouverture de la Paris Games Week.

    La Paris Games Week est un des rendez-vous majeurs du jeu vidéo dans le monde.

    Créé en 2010 à l'initiative du Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs (SELL), la Paris Games Week a réuni, pour son édition 2015, plus de 300 000 personnes, représentant l'ensemble de la communauté française et internationale du jeu vidéo.

    La Paris Games Week est le 4ème plus grand salon du jeu vidéo au monde.

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  • Rapport d'information sur la loi ALUR (partie urbanisme)

    L'examen de rapports sur l'application des lois votées sous le quinquennat se poursuit.

    Mardi, la Commission des Affaires économiques s'est penchée sur l'application de la loi ALUR (uniquement sur la partie urbanisme... le reste fera l'objet d'un autre rapport).

    Je suis intervenu sur les PLU intercommunaux et sur les "pastilles" dédiées à l'habitat des gens du voyage en zones agricoles et naturelles.

    Mon intervention :

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  • Immigration, asile et intégration : début de l'examen de la seconde partie du budget 2017

    La première partie du budget 2017 (recettes) a été votée ce mardi (j'ai voté CONTRE).

    Cette semaine, nous avons entamé l'examen de la seconde partie (dépenses). Comme chaque année, j'interviens sur un maximum de "missions" budgétaires, à commencer par la mission Immigration, asile et intégration.

    J'ai interrogé le ministre de l'Intérieur sur le soutien financier aux collectivités territoriales qui créent des places d'hébergement pour les demandeurs d'asile.

    Mon intervention (et la réponse de Bernard Cazeneuve) :



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  • Ma Question écrite de la semaine

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    Question à Madame la Ministre des Familles
    Thème : AFA, GIPED, adoption
    Date de publication au Journal Officiel : 25/10/2016

     

    M. LIONEL TARDY attire l'attention de Madame la ministre des familles, de l'enfance et des droits des femmes sur la fusion des deux groupements d’intérêt public que sont l’AFA (Agence Française de l'Adoption) et le GIPED (Groupement d'Intérêt Public de l'Enfance en Danger). Si ce rapprochement est louable, des questions se posent sur la continuité des accréditations de l’AFA dans une trentaine de pays d’origine des enfants, une fois sa disparition juridique actée.

    Concrètement, la fin de ces accréditations pourrait suspendre voire annuler les procédures d’adoption en cours (5 362 dossiers).

    Il souhaite connaître la façon dont le gouvernement compte traiter cette transition, ainsi que les garanties qu’il compte prendre.

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  • Application de la loi : examen de deux rapports d'informations

    En cette fin de législature, plusieurs rapports sur l'application des lois sont rédigés à l'Assemblée nationale.

    Deux ont été examinés mercredi, et je suis intervenu sur ce travail d'évaluation de la loi.

    Pour l'évaluation la loi consommation de 2014, sur laquelle je me suis particulièrement impliqué, j'ai évoqué les moyens de la DGCCRF (Répression des Fraudes) et le développement de l'action de groupe.

    Mon intervention (commission des affaires économiques) :


    Pour l'évaluation de la réforme ferroviaire de 2014, j'ai évoqué la dette de la SNCF, l'ouverture à la concurrence et l'activité du "Haut Comité du système de transport ferroviaire".

    Mon intervention (commission du développement durable) :


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  • PLFSS 2017 : un nouveau directeur national pour le RSI !

    L'article 9 du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2017 prévoit une nouvelle organisation du recouvrement des cotisations sociales des travailleurs indépendants.

    Cet article met en place une structure unique ayant la maitrise de l’ensemble des moyens nécessaires, selon le gouvernement.

    Première mesure concrète : une structure de pilotage national unique est créée, conduite par un directeur national, responsable de la performance du recouvrement et de la qualité du service rendu aux cotisants dans les deux réseaux (RSI et ACOSS).

    J'ai demandé la suppression de cette mesure en commission des affaires sociales... je ne vois pas en quoi cette création de poste va résoudre les difficultés quotidiennes d'accès au RSI !

    Mon intervention :


    Mon amendement :

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  • Ma Question écrite de la semaine

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    Question à Monsieur le Secrétaire d'Etat au Budget
    Thème : CIR, calcul, instruction
    Date de publication au Journal Officiel : 18/10/2016

     

    M. LIONEL TARDY attire l'attention de Monsieur le secrétaire d’état chargé du budget sur le mode de calcul utilisé depuis l’instruction fiscale du 4 avril 2014, concernant les dépenses entrant dans la détermination de la base du crédit d’impôt recherche (CIR).

    Ce mode de calcul visant à éviter la double imputation de dépenses éligibles, paraît injuste en ceci qu’il vient diminuer le CIR qui revient aux organismes de recherche privés au titre de leurs propres travaux de recherche interne, de même que celui dû au motif des travaux réalisés pour le compte d’organismes publics de recherches non lucratifs ou d’entreprises étrangères

    En effet, contraindre le sous-traitant à inclure dans son CIR les dépenses de recherche réalisées pour ses clients français, et à en déduire le chiffre d'affaires réalisé avec ces mêmes clients, revient à diminuer son CIR "légitime", provenant par exemple de ses propres dépenses de recherche interne, de la marge réalisée sur tous les contrats français.

    Il y a donc une rupture de l'égalité devant l'impôt : deux entreprises ayant les mêmes dépenses de recherche internes percevront un CIR différent suivant qu'elles réalisent ou non en parallèle des projets de recherche pour le compte de clients français.

    De plus, l'Etat par ce biais récupère chez les entreprises sous-traitantes une partie du CIR concédé aux donneurs d'ordre au titre de leurs dépenses de recherche externalisées. Cela revient à récupérer sans justification dans la poche des PME une partie du CIR octroyé aux grands groupes, et ce de façon totalement arbitraire.

    Le 2 mars 2016, l’administration fiscale a apporté une précision bienvenue, en limitant la déduction des revenus aux dépenses effectivement engagées par le prestataire. Toutefois, cette précision a été annulée 13 jours plus tard, au motif d’une erreur matérielle.

    Compte tenu de ces éléments, il souhaite connaître les justifications qui ont conduit à utiliser ce mode de calcul. Il souhaite également connaitre les raisons de l’abandon de la précision apportée à ce sujet par la circulaire du 2 mars 2016.

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  • Infraction routière avec un véhicule d'entreprise : mon intervention contre cette nouvelle obligation

    Dans le cadre du projet de loi "Justice du 21ème siècle", en voie d'adoption définitive, une disposition du gouvernement prévoit d'imposer, aux chefs d'entreprise, l'obligation de communiquer l'identité d'un salarié qui commet une infraction avec un véhicule d'entreprise.

    C'est une nouvelle charge, un nouveau transfert de responsabilité aux chefs d'entreprise.

    Dans l’hémicycle, j'ai demandé des garanties au Ministre de la Justice... je n'ai pas eu de réponse de sa part.

    Mon intervention :

     

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  • Projet de loi Montagne : des avancées sur la couverture mobile

    Examen dans l'hémicycle, de lundi soir à mercredi soir, du projet de loi de modernisation, de développement et de protection des territoires de montagne.

    Mardi soir, nous avons parlé de la couverture numérique et en téléphonie mobile des zones de montagne, sujet sur lequel je travaille depuis plusieurs années.

    Avec mes collègues Martial Saddier, Laurent Wauquiez et Charles-Ange Ginésy, nous avons pu obtenir plusieurs engagements et avancées.

    • Les communes de montagne seront prioritaires dans la couverture des zones blanches (extension du programme "zones blanches") :



    • Le gouvernement a compris l'intérêt de la mutualisation : lorsqu'un opérateur couvre une zone de montagne, il faut faciliter l'installation d'autres opérateurs, pour éviter les "zones grises" :

     

    • Toujours concernant la mutualisation, mon amendement visant à simplifier les démarches administratives a été adopté :

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  • Audition d'Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la CNIL

    Audition de la présidente de la CNIL en commission des Lois ... je l'interroge sur la proposition de loi en cours sur les drones civils (risques d'atteinte à la vie privée) et sur les moyens budgétaires de la CNIL, notamment suite à la promulgation de la loi République numérique, le 7 octobre, qui renforce de façon assez importante ses missions.

    Mes questions :

     

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