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  • Départ des gens du voyage du terrain de CHAVANOD

    Après Gruffy et la visite du GAEC Les Châtelets ... direction Chavanod pour contrôler le bon déroulement du départ des gens du voyage en compagnie du maire de la commune, Réné Desille et du sénateur Pierre Hérisson.

    Nou sommes restés une heure sur place, jusqu'au départ de la dernière caravane, afin de contrôler l'état du terrain, ainsi que son nettoyage.

    Tout s'est bien passé et les engagements ont été tenus, conformément aux discussions que nous avions eu avec les responsables de ce groupe mardi et jeudi derniers.

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  • Ferme ouverte au GAEC Les Châtelets à GRUFFY

    Beaucoup de monde ce dimanche au GAEC Les Châtelets, qui ouvrait ses portes au grand public, dans le cadre de l'opération "ferme ouverte" organisée pour la 18ème année par la FDSEA et le CDJA.

    Ce GAEC occupe 130 hectares et dispose de 90 vaches et 85 génisses : il est spécialisé dans les produits laitiers en AOC. 

    Il a également mis en place une unité de méthanisation, qui a été visitée par Chantal Jouanno, alors Secrétaire d'Etat à l'écologie, le 2 octobre 2009.

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    Essor Savoyard du 28 juillet

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    Hebdo des Savoie du 4 août

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    Dauphiné Libéré du 4 août

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  • Les gens du voyage à Chavanod ... suite

    Après une première négociation musclée sur site mardi après-midi, puis une manifestation des agriculteurs devant la Préfecture ce matin dès 4 heures organisée par la FDSEA ... suivie d'un blocage de la circulation jusqu'à 12 heures 30, puis d'une nouvelle rencontre entre élus, agriculteurs, forces de l'ordre et gens du voyage sur site cet après-midi ... le départ des 130 150 caravanes est confirmé pour dimanche après-midi.

    Je serai présent sur le site dimanche après-midi pour veiller à ce que le terrain soit correctement nettoyé.

    Pour ce qui est de la manifestation de ce matin, plus de 50 tracteurs et 130 personnes ont bloqué la Préfecture. Un geste fort ... alors que le départ dimanche après-midi était déjà acté !

    Qu'est-ce qui n'a pas fonctionné ?

    Contrairement aux autres années, chaque arrondissement a mis a disposition une aire de grand passage (4 aires en Haute-Savoie)

    Le problème est qu'en raison des conditions atmosphériques, la plupart de ces aires sont impraticables pour des caravanes (terrains abimés par des groupes précédents ou pas adaptés du tout, car argileux).

    Dois-t'on aller l'an prochain vers des aires de grands passages stabilisées, drainées et donc fixes pour éviter de nouveaux problèmes liés aux intempéries ? Cette solution apporterait probablement satisfaction aux agriculteurs, mais sûrement pas aux riverains de ces aires de grands passages ! Quelle commune sera prête à accepter une aire de grand passage fixe en lieu et place du sytème de rotation annuel actuel ?  

    Manifestation des agriculteurs devant la Préfecture et sur le Pâquier

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    Dauphiné Libéré du 28 juillet

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    Dauphiné Libéré du 29 juillet

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    Essor du 4 août

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  • Instaurer la "règle d'or" pour protéger la France du déficit

    LES CHIFFRES :

    • 1974 : c’est la dernière année où le budget de l’Etat a été voté et exécuté à l’équilibre.
    • 25 000 euros : c’est le montant de la dette publique que doit chaque enfant né en 2011.
    • 90 : c’est le nombre de pays qui ont des règles budgétaires contraignantes pour réduire leur déficit et revenir à l’équilibre.

    L’ESSENTIEL :

    • Le 12 juillet dernier, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi constitutionnelle relatif à l’équilibre des finances publiques, dans les mêmes termes que ceux votés au Sénat. Ce texte inscrit dans la Constitution la « règle d’or » de l’équilibre des comptes publics pour protéger les générations futures de la dette.
    • Ce projet de loi constitutionnelle instaure une règle simple, claire et intangible : tous les Gouvernements seront désormais obligés de s’engager sur une date de retour à l’équilibre et de soumettre au Parlement des lois-cadres d’équilibre des finances publiques, qui définiront, pour au moins 3 années, les plafonds de dépense et un effort minimum de recettes supplémentaires nécessaires pour atteindre cet objectif.
    • Pour entrer en vigueur, cette réforme constitutionnelle doit désormais être adoptée par le Parlement réuni en Congrès. S’agissant d’un projet de loi constitutionnelle, seul le Président de la République peut décider de convoquer le Congrès, sur proposition du Premier ministre.

    POURQUOI INSCRIRE LA « RÈGLE D’OR » DE L’ÉQUILIBRE BUDGÉTAIRE DANS LA CONSTITUTION ?

    • Depuis 35 ans, l’État vit au-dessus de ses moyens. Année après année, les déficits sont venus alourdir une dette publique qui représente aujourd’hui 1 646 milliards d’euros. Tous les Gouvernements qui se sont succédés portent une part de responsabilité dans cette situation : l’objectif de retour à l’équilibre a souvent été affiché, mais n’a jamais été tenu, même en période de forte croissance économique comme c’était le cas à la fin des années 1990, sous
    • Lionel JOSPIN.
    • Nous devons en tirer les leçons : pour redresser durablement nos finances publiques, nous avons besoin de règles contraignantes qui nous obligent, collectivement, à tenir nos engagements. Inscrire la « règle d’or » dans la Constitution, c’est donc protéger les générations futures de la dette et renforcer la crédibilité budgétaire de la France, et en réalité, notre souveraineté.
    • Ce besoin de règles budgétaires garantissant l’équilibre des finances publiques est largement reconnu dans le monde. Le Fonds monétaire international (FMI) dénombre ainsi 90 États qui en sont dotés. L’Allemagne a modifié sa loi fondamentale en 2009 pour s’interdire d’adopter un budget en déficit structurel de plus de 0,35 % du PIB à compter de 2016. Cette réforme a fait l’objet d’un large consensus politique. En Europe et dans la zone euro, cela devient la norme !
    • Ce n’est pas une question partisane : des majorités de différents bords politiques ont pris ce type de décisions à l’étranger, et, en France, la réforme a été préparée au sein d’un groupe de travail présidé par Michel CAMDESSUS, réunissant des experts et des parlementaires de sensibilités différentes.
    • L’expérience des 4 dernières années le montre, c’est lorsque nous nous donnons des règles que nous parvenons à maîtriser les dépenses publiques. Ainsi :
      • En 2010, l’objectif national de dépenses d’assurance-maladie (ONDAM) a été rigoureusement respecté pour la première fois depuis plus de dix ans.
      • En 2011, les dépenses de l’État, hors charge de la dette et pensions, sont stabilisées en valeur. C’est le résultat de la norme de dépense que nous nous sommes fixés et que nous avons respectée.
      • En 2012, le montant des dépenses de personnel de l’État hors pensions va diminuer pour la première fois en valeur, grâce à l’application rigoureuse depuis 4 ans du principe de non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux.

    COMMENT LA « RÈGLE D’OR » GARANTIRA-T-ELLE LE RETOUR A L’ÉQUILIBRE ?

    • Le projet de loi constitutionnelle crée une nouvelle catégorie de lois : les lois-cadres d’équilibre de finances publiques, qui devront préciser quand et comment le Gouvernement s’engage à revenir à l’équilibre.
    • Ces lois-cadres couvriront une période minimale de trois ans. Elles détermineront une date de retour à l’équilibre des finances des administrations publiques et fixeront, pour chaque année, le plafond de dépenses et un effort minimum de recettes supplémentaires pour tenir cet objectif.
    • Le Gouvernement sera désormais tenu de voir à long terme avant de décider à court terme. La Constitution interdira en effet de voter une loi de finances ou une loi de financement de la sécurité sociale sans loi-cadre.
    • Les lois-cadres d’équilibre des finances publiques s’inscrivent dans le prolongement des lois de programmation des finances publiques, créées en 2008. Mais à la différence de ces dernières, le Gouvernement et le Parlement seront juridiquement tenus de respecter les engagements pris dans les lois-cadres : celles-ci auront en effet une valeur supérieure aux lois de finances annuelles et aux lois de financement de la sécurité sociale.
    • Le Conseil constitutionnel sera le garant du respect de la règle d’or :
      • Il examinera systématiquement les lois-cadres avant leur promulgation, afin de vérifier qu’elles respectent l’objectif constitutionnel de retour à l’équilibre.
      • Il sera automatiquement saisi des lois de finances annuelles et des lois de financement de la sécurité sociale, pour s’assurer qu’elles respectent les plafonds de dépenses et le minimum de recettes fixés par la loicadre d’équilibre des finances publiques.

    QUELLE SERA LA PORTÉE DE LA RÈGLE D’ÉQUILIBRE BUDGÉTAIRE ?

    • Les Gouvernements futurs resteront libres de mener la politique qui correspond à leurs priorités, en choisissant par exemple de maîtriser les dépenses plutôt que d’augmenter les impôts ou de réduire certaines dépenses au profit d’autres, jugées plus importantes. Toutefois, tout Gouvernement, quelles que soient ses orientations politiques, sera tenu de respecter l’objectif de retour à l’équilibre.
    • La règle d’or permettra de mener si nécessaire une politique de lutte contre la crise, comme celle qu’a lancée le Gouvernement en 2008. La règle d’or impose en effet l’objectif de retour à l’équilibre. Une majorité pourrait donc s’en écarter pendant une courte période afin de répondre à une crise, à la condition de prendre dans une nouvelle loi-cadre des engagements précis et chiffrés sur le retour à l’équilibre en sortie de crise.
    • Enfin, la règle d’or renforce le pouvoir du Parlement en lui permettant d’examiner les engagements pris chaque année par la France au niveau européen en matière de finances publiques. Le Parlement disposera des programmes de stabilité, avant leur transmission à la Commission européenne, et ceux-ci pourront faire l’objet d’un débat, à la demande du Gouvernement ou d’un groupe parlementaire, ce qui renforce les droits de l’opposition.

    QUEL EFFET LA RÈGLE D’OR AURA-T-ELLE SUR NOTRE STRATÉGIE BUDGÉTAIRE ?

    • Une fois soumise au Congrès et adoptée, la règle d’or constitutionnelle entrera en vigueur dans des conditions fixées par une loi organique, qui doit encore être élaborée et examinée.
    • La stratégie du Gouvernement en matière de finances publiques est d’ores et déjà conforme à l’esprit de la règle d’or : comme nous nous y sommes engagés devant nos partenaires européens, nous réduirons le déficit à 4,6 % en 2012, puis à 3% en 2013 et à 2% en 2014.
    • Le Gouvernement poursuivra sa politique de maîtrise des dépenses publiques et appliquera en 2012 les règles de stabilité en valeur des dépenses de l’État hors dette et pensions et de non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux.
  • 24ème édition du tournoi de tennis des Petits Princes du Lac à ANNECY

    La 24ème édition du tournoi de tennis internationnal les Petits Princes du Lac (jeunes de 13 ans et moins), se poursuit à Annecy, au tennis club des Marquisats, jusqu’à dimanche soir.

    Les phases finales débutent ce mercredi avec les tableaux filles et garçons (32 joueurs par tableau) qui s’affrontent en match par élimination directe.

    Les Petits Princes est le plus grand tournoi de tennis au monde pour les 13 ans et moins, aussi appellé « le Roland Garros des 13 ans et moins ». Il accueille plus de 300 joueurs dont les grands joueurs de demain.

    Ce tournoi à vu par le passé de très grands tennisman y faire leurs armes : Justine Hennin, Amélie Mauresmo, Roger Federer, Tommy Haas…

    Plus d’infos sur le site officiel : 

     http://www.tennis-annecy.com/petits-princes/

    Justin Henin, ancienne vainqueur du tournoi des Petits Princes, plus beau revers du tennis feminin, ex-numéro 1 mondiale … et vainqueur de 7 tournois du Grand Chelem, a honoré de sa présence la réception officielle en mairie d’Annecy des délégations internationales.

    Elle sera présente toute la journée de mercredi aux Marquisats.

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  • Le nouveau plan d'aide à la Grèce

    Éléments de contexte :

    • Jeudi 21 juillet, les chefs d’Etat et de Gouvernement de la zone euro se sont mis d’accord sur un nouveau plan d’aide à la Grèce d’un total de 109 milliards € apportés par l’UE et le FMI d’ici à 2014. Le secteur privé doit contribuer de manière volontaire, sur la même période, à hauteur de 50 milliards €. A l’issue du Sommet, Nicolas SARKOZY a qualifié cet accord d’ « historique », évoquant « l'engagement déterminé » des pays de la zone euro pour « soutenir » la Grèce.
    • Vendredi 22 juillet, après avoir réuni à Matignon François BAROIN, Valérie PÉCRESSE, Patrick OLLIER, les présidents des assemblées, les chefs des groupes parlementaires et les présidents des commissions, François FILLON a estimé que « cet accord marque une étape absolument décisive dans l'histoire de la zone euro », rappelant « le rôle essentiel du couple franco-allemand pour trouver les bonnes solutions à la crise ».
    • Le Premier ministre a annoncé que le Gouvernement proposerait au parlement une loi de finances rectificative dès la rentrée, pour permettre la mise en oeuvre des nouvelles modalités d’intervention du fonds européen de stabilité financière [FESF].
    • Il a également indiqué que le nouveau plan d’aide à la Grèce impliquait pour la France la mise en place d’environ 15 milliards € de garanties d’ici 2014, tout en précisant que « ces décisions n'ont pas de coût direct pour nos finances publiques ». En effet, ces garanties n’impacteront pas le déficit budgétaire et n’entraîneront pas de besoin d’emprunt supplémentaire. En revanche, elles seront comptabilisées dans la dette publique.

    Les principaux points à retenir du Sommet :

    • Le montant du second plan d'aide à la Grèce s’élève à 109 milliards € sur la période 2011/2014 pour la part apportée par les pays du FESF et le FMI. Il est complété par un apport du secteur privé de 135 milliards € [106 milliards € nets compte tenu des garanties].
    • Les taux des prêts consentis à la Grèce, tant par le FESF que par le secteur privé vont être réduits, et leur maturité allongée. L'Irlande et le Portugal pourront également bénéficier de ces conditions assouplies.
    • La réunion a permis d'amorcer la transformation du FESF en un véritable fonds monétaire européen, apte à agir de manière plus flexible et préventive.
    • Les chefs d’Etat et de Gouvernement ont également appelé à :
      • la mise au point rapide du paquet législatif sur la gouvernance économique européenne
      • moins de dépendance à l’égard des agences de notation (la Commission doit présenter rapidement des propositions en ce sens)
      • une meilleure gestion des crises dans la zone euro (des propositions de la Commission sont attendues à l’automne).

    Éclairages :

     

    Le sommet des chefs d’Etat et de Gouvernement de la zone euro, un succès en trompe-l’oeil ?

    • Non, cet accord est un accord historique qui permet de sauver la Grèce et qui marque une étape décisive pour la zone euro.
    • Cet accord, c’est aussi la preuve que le couple franco-allemand répond toujours présent lorsque l’Europe est au pied du mur.

    Quel est le montant total et la durée du programme pour la Grèce ?

    • Le nouveau programme grec sera financé conjointement par le secteur public et le secteur privé.
    • S’agissant du secteur public, le FESF et le FMI apporteront 109 milliards € de financements à la Grèce jusqu’à la mi-2014, ce qui lui permettra de mener à bien son programme d’ajustement.
    • S’agissant du secteur privé, les investisseurs privés se sont engagés à apporter à la Grèce 50 milliards € d’ici 2014 et 135 milliards € d’ici 2020.
    • Pour ce qui est de notre approche générale à l’égard de la participation du secteur privé dans la zone euro, la Grèce constitue une solution exceptionnelle et bien spécifique.

    Comment le plan améliore-t-il la soutenabilité de la dette grecque ?

     

    L’accord auquel nous sommes parvenus va permettre à la Grèce de poursuivre les efforts considérables qu’elle a engagés, grâce à :

    • De nouveaux prêts octroyés pour une durée plus longue [de 7,5 à 15 ans au moins], ce qui permettra à la Grèce de lisser ses besoins de financement et de faire face à ses échéances à un rythme plus adapté à sa situation économique.
    • Des conditions de taux plus avantageuses [3,5% - 4% contre 5,5% jusqu’à maintenant], ce qui lui permettra d’atteindre les objectifs ambitieux qu’elle s’est fixés avec la troïka ; cela représente une économie d’environ 30 milliards € sur 10 ans, soit 12 points de PIB.
    • Des possibilités de rachat de dette pour améliorer sa soutenabilité et réduire ses charges d’intérêt.

    Enfin, la clé de voûte de la soutenabilité de la dette, c’est la croissance. En ce sens, la mobilisation des fonds structurels européens au service de la compétitivité dans le cadre d’un véritable plan Marshall européen répondra au nécessaire renforcement de la croissance potentielle.

     

    Pourquoi avoir pris le risque de mettre la Grèce en défaut sélectif ?

    • Premièrement, le défaut sélectif, c’est une classification temporaire des agences de notation qui est de la responsabilité des agences, pas de la nôtre !
    • Deuxièmement, si les agences de notation décident d’affecter la dette grecque de cette notation, nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour faire face aux conséquences d’une telle décision pour le secteur bancaire grec et en particulier pour que la BCE puisse continuer à jouer son rôle de refinancement de l’économie.
    • Jean-Claude TRICHET a lui-même indiqué qu’il était prêt à répondre à une telle une situation.

    Pourquoi avoir renoncé à une taxe de stabilité financière ?

    • L’idée de taxer le secteur financier de la zone euro était une option examinée parmi d’autres. Dans la mesure où le secteur financier européen s’est dit prêt à apporter volontairement sa participation au plan de soutien à la Grèce, selon des modalités qui améliorent la soutenabilité de la dette grecque, il n’y avait pas lieu d’imposer une contribution sous forme de taxe !
    • Indépendamment du plan de soutien à la Grèce, les réflexions européennes sur la taxation du secteur financier en lien avec la stabilité financière se poursuivent. Comme vous le savez, la France et l’Allemagne soutiennent la mise en place d’une taxe sur les transactions financières, à laquelle la Commission travaille : elle ne peut avoir de sens qu’au niveau international.

    Pourquoi le cas de la Grèce est-il différent de celui de l’Irlande et du Portugal ?

     

    La situation est très différente, tant sur le plan politique qu’économique.

    • D’un point de vue politique, il y a un consensus très fort en Irlande et au Portugal pour mener à bien les efforts prévus dans le programme pour remettre en ordre l’économie de ces pays.
    • D’un point de vue économique, le niveau de la dette en Grèce est hors de proportion avec celui des autres pays européens [160 % du PIB] ; c’est pourquoi il exige les réponses particulières sur lesquelles nous venons de nous mettre d’accord aujourd’hui. Ce n’est pas du tout le cas de l’Irlande [96 %] et du Portugal [93 %] !

    Etes-vous certain qu’avec les mesures prises aujourd’hui, la contagion de la crise de la dette souveraine sera stoppée ?

     

    Ce qui stoppera la contagion, c’est d’abord la volonté politique, la détermination unanime des Européens à agir !

    • La volonté politique de venir au secours de la Grèce, avec le nouveau plan d’aide et l’effort pour améliorer la soutenabilité 
    • La volonté politique de réduire les taux d’intérêts pour l’Irlande et le Portugal.
    • La volonté politique de doter le FESF d’une capacité d’intervention renforcée [programme de précaution, recapitalisation possible des institutions financières, intervention sur le marché secondaire].
    • La volonté politique, enfin, de renforcer l’intégration économique de la zone euro et à la convergence de leurs économies, notamment par l’adoption, par tous les pays européens, d’un cadre budgétaire pluriannuel renforcé d’ici fin 2012.

    Combien le nouveau plan d’aide à la Grèce va-t-il coûter à la France ?

    • Ces décisions n'ont pas de coût direct pour nos finances publiques. Elles ont un impact indirect puisque nous allons participer à travers des garanties apportées sur les prêts qui seront consentis par le FESF à la Grèce.
    • Un texte sera présenté par le Gouvernement à la rentrée pour en tirer les conséquences législatives.

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  • 14èmes Médiévales d'ALBY-SUR-CHERAN

    Ce samedi et ce dimanche le vieux bourg d'Alby-sur-Chéran retrouve son ambiance Moyen Age.

    Pour la quatorzième année, l'association Alby Animation organise "les Médiévales" avec au programme des spectacles permanents, de 10 heures à 20 heures, sur la place du Clocher, sur la place de l'Eglise ou la place du Trophée.

    Plus de 40 bénévoles oeuvrent chaque année pour la réussite de cette manifestation qui en 2010 a rassemblé plus de 4000 visiteurs.

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  • Grand déballage des commerçants annéciens ... et luminarium

    Comme chaque année se tenait ce samedi le grand déballage organisé par Vita'Ville, l'association des commerçants d'Annecy, le long de la rue Carnot et de la rue du Pâquier.

    Beaucoup de monde malgré un temps capricieux ... et l'occasion de discuter longuement avec les commerçants.

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    Puis direction le luminarium Miracoco sur le Pâquier, dont on nous vante les mérites depuis un mois :

    • première apparition mondiale
    • structure monumentale en PVC gonflable
    • 1000 m2 de voûtes colorées ... et d'espaces secrets
    • luminarium de 28 m sur 44
    • immersion sensorielle
    • beauté des couleurs et lumières
    • dômes caverneux et voûtes de 10 mètres de haut ...

    ... bref, sur le papier un truc super ... mais pas du tout adapté au grand public !!!

    Après avoir patienté 30 minutes samedi matin et a nouveau 30 minutes samedi après-midi ... j'ai laissé tombé la visite ... comme beaucoup d'annéciens qui n'arrivaient plus a tenir leurs bambins, ou leurs poussettes ... quand la pluie ne s'en mêlait pas !!!

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    Dauphiné Libéré du 24 juillet

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  • Réunion TNT avec les élus de la CCVT à THONES

    Un grand nombre de communes du département de la Haute-Savoie ont basculé vers la TNT le 15 juin (région Rhône) ... mais un grand nombre (secteur le plus difficile) ne basculeront que le 20 septembre prochain (secteur Alpes), c'est le cas de la plupart des communes du canton de Thônes (en dehors de la Balme-de-Thuy qui a déjà basculé). 

    J'ai déjà organisé de nombreuses réunions d'information et diffusé sur ce blog un certain nombre d'informations :

    Passage à la TNT de la zone Rhône (14 juin 2011)

    Passage à la TNT en Haute-Savoie ... Proxima Mobile à votre secours (2 juin 2011)

    Audition à l'Assemblée nationale sur le passage à la TNT (15 mars 2011)

    Communication du CSA sur le passage à la TNT en Haute-Savoie (22 février 2011)

    Réunion de la commission de transition vers la TNT en Préfecture (27 janvier 2011)

    Compte-rendu de ma réunion publique internet et TNT (14 décembre 2010)

    Etant donné la complexité du territoire et le nombre d'émetteurs supprimés, une réunion destinée aux élus de la Communauté de Communes des Vallées de Thônes, s'est tenue aujourd'hui à Thônes.

    Cette réunion s'est déroulée en présence :

    • Alain Maer, membre du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA), en charge de la gestion et de l'emploi de la ressource TNT
    • Louis de Brossia, Président u GIP France Télé Numérique
    • Catherine Charropin, Déléguée régionale du GIP France Télé Numérique

    Elle a permls de faire le point avec les maires sur les émetteurs qui vont disparaître:

    • à La Clusaz
    • au Grand-Bornand
    • à Manigod
    • à Saint Jean-de-Sixt
    • à Thônes

    Carte de la couverture TNT prévisionnelle pour la communauté de communes des Vallées de Thônes par émetteur 

    Passage à la TNT de la CCVT

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    Essor du 28 juillet

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    Dauphiné Libéré du 3 août

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  • Fin de la session parlementaire ... point sur l'activité parlementaire de votre député

    La session parlementaire vient de s’achever.

    Pour accéder a une synthèse de l’activité de votre député, rendez-vous sur le site www.nosdeputes.fr qui recense toutes les informations concernant :

    • Ses travaux en commission
    • Ses travaux en hémicycle
    • Ses interventions
    • Ses Questions écrites
    • Ses Questions orales
    • Son champ lexical
    • Ses propositions de lois …

    … et les graphes concernant son activité parlementaire.

    Le site www.nosdeputes.fr est un site qui cherche à mettre en valeur l'activité parlementaire des députés de l'Assemblée Nationale Française.

    En synthétisant les différentes activités législatives et de contrôle du gouvernement des élus de la nation, ce site essaie de donner aux citoyens de nouveaux outils pour comprendre et analyser le travail de leurs représentants.

    Conçu comme une plateforme de médiation entre citoyens et députés, le site propose à chacun de participer et de s'exprimer sur les débats parlementaires.

    Au travers de leurs commentaires, les utilisateurs sont invités à créer le débat en partageant leur expertise lorsque cela leur semble utile.

    Lien vers ma fiche sur www.nosdeputes.fr

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  • Tweetlevel, nouvel outil de mesure d'influence sur TWITTER

    Deux nouveaux outils gratuits, lancés par la société Edelman, permettent de mesurer l'influence sur internet des bloggers et des utilisateurs d'internet.

    bloglevel.edelman.com pour les blogs

    tweetlevel.edelman.com pour les comptes Twitter

    Parallèlement à ces outils, Edelman publie le premier classement des parlementaires les plus influents sur Twitter (effecué avant l'épisode Eva Joly).

    Ce classement fait notamment apparaitre que sur les 30 députés les plus influents sur Twitter :

    Le note INFLUENCE, c'est la note qui intègre tous les paramètres ci-dessous et qui permet de déterminer la réalité de l'influence d'une personne qui s'est engagée en ligne, soit sur un blog, soit via un compte Twitter.

    • 19 sont des parlementaires PS
    • 7 sont des parlementaires UMP (2ème, 8ème, 10ème, 15ème ... il y a du boulot !)

    Pour le classement POPULARITE :

    Il s'agit d'une variable essentiellement quantitative qui prend en compte le nombre d'abonnés aux différents espaces sur Internet.

    • 5 sont des parlementaires PS
    • 3 sont des parlementaires UMP

    Pour le classement ENGAGEMENT :

    C'est une variable fondamentale qui mesure la capacité de la personne qui tient un blog ou un compte twitter à participer aux conversations, c'est-à-dire à répondre aux commentaires qui lui sont adressés et à le faire de manière qualitative.

    • 6 sont des parlementaire PS
    • 2 sont des parlementaires UMP ...

    Pour le classement CONFIANCE :

    Ici, il s'agit de mesurer les reprises, les citations, les "retweet", tout ce qui permet d'attester que les personnes ne sont pas que suivies, elles sont également citées en exemple par la communauté qui les entoure.

    • 6 sont des parlementaires PS
    • 2 sont des parlementaires UMP ...

    A méditer en vue des élections en 2012 ... ou internet tiendra une place majeure (on l'a vu avec l'épisode Eva Joly ou la "gauchosphère" a été très active).

    Téléchargez le classement des députés les plus actifs et influents sur Twitter

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  • Cérémonie en hommage à Pierre Lamy à SAINT-JORIOZ

    Pierre Lamy a été assassiné par la Gestapo, le mercredi 18 juillet 1944, à 14 heures, sur la route de Leschaux, au lieu-dit le Bourneau.

    Il a été nommé, à titre posthume, chevalier de la Légion d'Honneur, avec Croix de guerre et a reçu la médaille de la Résistance.

    D'abord instituteur, il a bifurqué vers l'inspection du travail en 1937, au moment où le gouvernement de Léon Blum a souhaité que chaque département soit doté d'un inspecteur du travail.

    Homme de dialogue, mais ferme, il a su conquérir l'estime des patrons et des ouvriers.

    En poste à Annecy, chargé d'appliquer la Charte du travail, puis la relève et le STO qui devait réquisitionner les ouvriers pour le travail en Allemagne, Pierre Lamy a organisé avec les services de la Préfecture, un arsenal de faux certificats, pour soustraire les jeunes haut-savoyards au STO.

    Chef de l'Armée secrète pour l'arrondissement d'Annecy, en septembre 1943, il était pressenti pour devenir le préfet du département à la Libération.

    Mais il fut arrêté le mardi 26 juin 1944 par un maquisard retourné qui a mis la Gestapo sur sa piste.

    Après quelques semaines d'interrogatoires et de tortures, un commando l'emmena route de Leschaux.

    A 35 ans, Pierre Lamy est mort en héros de la résistance. son souvenir demeure.

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    Dauphiné Libéré du 20 juillet

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  • Polémique sur le défilé militaire du 14 juillet ...

    Après RMC Info (Bourdin and Co) et BFM TV ce matin, j'interviendrai ce soir à 19 heures dans le journal FRANCE 3 édition nationale et sur RTL, et dans le journal de 20 heures de FRANCE 2 a propos de la polémique concernant le défilé militaire du 14 juillet, lancée par Eva Joly, candidate écologiste à l'élection présidentielle.

    Lien vers mon intervention sur RMC Info à 7 heures 20
    podcast

    Lien vers mon intervention sur RTL à 19 heures
    podcast

    Lien vers le Journal de France 3

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    Lien vers le Journal de France 2

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  • Ecrêtements et avantages en nature ...

    Hier au Sénat et ce matin à l'Assemblée nationale, des amendements ont été adoptés pour supprimer deux dispositions qui avaient été adoptées à l'initiative du député René Dosière, afin de moraliser (un peu) certaines pratiques des élus locaux.

    La première disposition entendait obliger les collectivités locales à prendre une délibération pour l'octroi d'avantages en nature (logement, voiture, téléphone portable, ordinateur ...) afin que cette liste nominative soit publique.

    L'octroi de tels avantages peut être parfois tout à fait justifié, et les interdire serait une mauvaise chose. Mais trop souvent, certains élus et hauts fonctionnaires des collectivités locales se les sont généreusement octroyés, sans réel besoin.

    La deuxième disposition entendait mettre fin à la pratique qui consiste, pour un élu qui cumule, et ne peut donc toucher l'intégralité des ces indemnités, à pouvoir reverser le surplus à d'autres élus de sa collectivité.

    Celà permet de verser une indemnité à des conseillers délégués, ou d'augmenter un peu un élu qui a de lourdes délégations. Mais cela sert, aussi malheureusement, à faire des cadeaux aux copains et à faire taire les dissensions en "achetant" le silence et la docilité.

    Ce système, à la discrétion totale de l'élu, est malsain.

    Bien que n'ayant pas participé au vote, car retenu par des rendez-vous en circonscription, j'approuve pleinement ces deux mesures, qui vont dans le sens d'une plus grande moralisation et de plus de transparence de la vie politique locale.

    Je déplore que les sénateurs aient supprimé ces dispositions, et je déplore encore plus que les députés n'aient pas eu le courage de s'opposer aux sénateurs sur ce sujet.

    Pour moi, ce rejet est une très mauvaise chose pour l'image de la classe politique, qui, une fois de plus, donne l'impression de vouloir protéger des pratiques douteuses et refuse toute réforme.

    Quand dans le même temps, on prône la tolérance zéro pour les autres, il y a un souci de cohérence...

    Cette affaire n'est pas terminée !

    Si René Dosière redépose ses amendements, je le soutiendrai, s'il ne le fait pas pour une raison ou une autre, c'est moi qui le ferai ! On ne peut pas laisser les choses en l'Etat, ces pratiques malsaines de certains élus locaux ne sont pas acceptables et il doit y être mis fin, d'une manière ou d'une autre !